Le Régulateur
Trouvé par hasard en occasion. Je me laisse séduire par le dessin et par l'envie de changer d'univers graphique...
Pas mal du tout, bonne BD.
Le dessin est effectivement très plaisant, l’ambiance graphique rétro-futuriste très réussie.
Le scénario est à mon goût classique mais très efficace.
Ce premier tome vaut un bon 3,5/5 pour son efficacité et sa lecture plaisante.
Le postulat de base est assez intéressant. Un cafouillage de personnages chargés de gérer la mort, provoque un enchainement "mortel" d'événements tous plus surprenant les uns que les autres. Sur une trame qui se rapproche de films comme "le ciel peut attendre" de lubisch ou w.betty, les auteurs nous embarquent dans leur délire... c'est plutôt plaisant, même si certains personnages ont du mal à convaincre (la mort par exemple qui se fait appeler "madame"), et si certains mécanismes de l'histoire sont vraiment durs à avaler (par exemple l'infirmière qui dit à la mort : "vas y la mort, t'es ici chez toi" -je caricature un peu là, mais dans l'esprit c'est ça-). Quant au graphisme, il est honnête. Pas génial, juste honnête.
Je serai direct : je n'ai aimé "Ayako" que très modérément. A cela plusieurs raisons...
Les dialogues tout d'abord. Je ne sais si cela vient de la version originale ou du traducteur, mais certains dialogues sont assez mauvais ou maladroits. De plus la présence de longs monologues dont le seul but est de faire comprendre au lecteur une situation par ailleurs déjà exprimée par l'image alourdit parfois beaucoup l'ensemble.
L'histoire ensuite. Certains éléments sont assez caricaturaux (dans le mauvais sens du terme), voire même contraires au simple bon sens. La filature par Jiro de sa soeur au début en est un bon exemple. Il y a également la séparation marquée entre différents éléments : la situation économique et sociale de cette époque de l'après-guerre est largement évoquée dans une première partie, puis passe presque complètement sous silence. De même le fait de mélanger histoire d'espionnage et drame familial peut surprendre. Je suis presque sûr que ça passera mieux à la relecture, mais cela m'a tout de même un peu gêné.
L'utilisation outrée du symbolisme. Deux exemples très frappant : le lieutenant-colonel Américain qui ne cesse de brandir un révolver sous le nez de Shimokawa, le responsable Japonais en charge des chemins de fer ; et la scène où la fille repose sur un rocher de forme on ne peut plus phallique pendant que l'océan se déchaîne autour... Ce genre de choses a alourdi ma lecture : c'est gros et ça manque de subtilité.
Le dessin enfin, qui est parfois maladroit. Certains visages me paraissent presque ratés, et l'agencement de certaines cases laisse à désirer. L'exemple le plus marquant est peut-être Jiro qui monte un escalier vers la droite (sur la page de droite : il se dirige donc vers le bord de l'album), puis se retrouve à gauche sur la case suivante... Saute d'axe assez déroutante...
Le fait que Jiro, le "héros" de l'histoire, se révèle être un assez sale personnage, qu'Ayako n'ait ici qu'une importance finalement très restreinte, que ce tome ne fasse que poser les bases de ce drame familial, et que le ton de l'ensemble soit résolument sérieux, voire grave, joue probablement aussi.
Enfin bon, il faut tout de même relativiser : ayant lu récemment tout l'excellent "Phénix", "L'histoire des 3 Adolfs" qui se conclut de façon magistrale, et étant actuellement plongé dans Bouddha, il est vrai que la barre est haut placée et que ma déception par rapport à ces chefs d'oeuvre laisse à "Ayako" une bonne marge pour qu'elle soit une lecture tout de même très agréable et intéressante.
Un album de jeunesse du génial Goossens. Malheureusement inégal, l'album réserve néanmoins certaines surprises et certains gags désopilants proprement indispensables pour tout fan de Goossens qui se respecte (Les sortilèges du comte Karigraf, L'Homme qui me sauva, Cinéma...). Dommage tout de même qu'à côté de ces petites perles, l'on doive se farcir des gags lourds comme celui intitulé "Le père Noël arrive" bien inférieur à ce que fera Goossens plus tard avec le même personnage dans "Route pour l'enfer" (voir ce titre). Donc, à lire, oui, à acheter si vous êtes fan de l'auteur, au sinon... intéressez-vous plutôt à d'autres parts de son oeuvre
Bon je viens d'achever le dernier tome et il était temps que la "trilogie" se finisse !! Autant le début est bien, palpitant et l'idée de faire deux tomes 1 et 2 était géniale autant après le tome 3&4 ça commence à patiner dans la semoule !! Les histoires n'en finissent plus et on se retrouve à se balader dans plein d'époques avec plein de bouts d'histoires qui rappellent d'autres histoires. Ca fourmille d'idées mais faut savoir s'arrêter !! En tout cas ça renforce ma conviction que faire des histoires sur le voyage dans le temps tient du défi car malgré la rigueur de stan et vince il y a des choses à redire : pourquoi les sacs de viande auraient-ils influencé l'évolution de la vie s'ils étaient si sages ?? Enfin ça part bien et l'idée de faire un futur vu des années 30 est vraiment bien et donne une touche kitsch vraiment sympa. En plus il y a un côté comics qui rend le dessin original.
Mais bon le dessin a des lacunes. Je trouve que les persos sont bien faits, ils sont assez vivant, de façon inégale mais le mouvement, notamment les courses, est vraiment pas terrible. Je sais pas si c'est fait exprès mais si c'est le cas c'est dommage. Les décors sont originaux et bien faits. Juste le mouvement.
Voila ça fait du bien quand ça se termine !! Mais on passe un agréable moment dans l'ensemble surtout avec les 5 premiers tomes.
Encore une fois Brüno signe là un album très agréable, certes très classique mais plutôt bien fichu.
Sur un rythme tranquille renforcé par une narration qui donne la part belle au temps qui passe, cette petite BD m'a procuré un très bon moment de lecture (dans un métro en plus mais bon...). Les temps d'action se découpent et se recoupent dans des unités de temps et de lieu qui se confondent et donnent à cet album un rythme lénifiant mais curieusement efficace.
En donnant au train du récit un rôle à part entière, Brüno tient là sa meilleure idée de l'album, car pour le reste, même si tout est bien traité, le propos reste peu original et les personnages cent fois vus et revus. Mais qu'importe, j'adore le dessin de Brüno et même s'il n'y a pas la couleur d'un "Nemo", son trait est toujours sûr, plein de fraicheur et de personnalité.
Brüno c'est bien, il faut lire ses albums, surtout que 4€ c'est vraiment pas cher pour ce que c'est.
Roooh, que d'avis cruels sur cette petite bd qui prend son envol...
Il est bien difficile de lui attribuer une note au vu de ce premier tome uniquement.
Le scénario me laisse une bonne impression et semble pouvoir évoluer dans le bon sens, et les dessins du jeune Tello, imprégnés de la culture manga ("Au maitre Hayao, en dédicace sur la page de garde"), sont assez réussis.
LE problème, c'est qu'il y a des scènes où je ne comprends strictement rien. J'entends surtout les scènes de combat et les scènes où l'action s'emballe, les cases s'enchainent confusément et l'action est difficile à suivre.
Ceci est donc un avis d'encouragement, qui évoluera forcément au vu du deuxième tome. En bien...ou en mal (mouah ah ah !).
Vi, moi j'aime bien Mélusine. Il est clair que cette bd se trouve largement au-dessus de la production actuelle de Dupuis, et ce par deux aspects : le très bon dessin et les gags, classiques mais bien menés.
Qualité non négligeable, Mélusine fait aussi partie de ces bd humoristiques qui comportent des pages sans chutes, sans gags, juste pour la tendresse ou la beauté du moment...C'est frais, ça détend et quand on trouve des albums à 3 euros (collection pirate) on saute dessus !
Denayer, ancien décoriste de Tibet et Graton, crée sa série "sports mécaniques" en 1971. Plus réaliste que son illustre devancière Michel Vaillant, plus dynamique aussi, elle ne connaîtra cependant pas son succès. Alliant sport et trame policière, il s'agissait pourtant d'une BD sympathique, du moins sur certains albums.
Le trait de Denayer (Wayne Shelton, Les Casseurs...) est très agréable, servant bien des scenarii bourrés de rebondissements (parfois grotesques).
Une BD au scénario accrocheur par l'auteur du troisième testament...
Cependant, le dessin est un peu déroutant. On ne reconnait pas toujours les personnages principaux et secondaires à travers les planches, et la logique de déroulement est parfois un peu floue... Dommage... C'est pourquoi je vous conseille de relire l'album plusieurs fois pour bien cerner le récit...
Mais bon... le scénario est captivant et nous entraîne vers un western aux frontières du réel...
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Le Régulateur
Le Régulateur Trouvé par hasard en occasion. Je me laisse séduire par le dessin et par l'envie de changer d'univers graphique... Pas mal du tout, bonne BD. Le dessin est effectivement très plaisant, l’ambiance graphique rétro-futuriste très réussie. Le scénario est à mon goût classique mais très efficace. Ce premier tome vaut un bon 3,5/5 pour son efficacité et sa lecture plaisante.
Mèche rebelle
Le postulat de base est assez intéressant. Un cafouillage de personnages chargés de gérer la mort, provoque un enchainement "mortel" d'événements tous plus surprenant les uns que les autres. Sur une trame qui se rapproche de films comme "le ciel peut attendre" de lubisch ou w.betty, les auteurs nous embarquent dans leur délire... c'est plutôt plaisant, même si certains personnages ont du mal à convaincre (la mort par exemple qui se fait appeler "madame"), et si certains mécanismes de l'histoire sont vraiment durs à avaler (par exemple l'infirmière qui dit à la mort : "vas y la mort, t'es ici chez toi" -je caricature un peu là, mais dans l'esprit c'est ça-). Quant au graphisme, il est honnête. Pas génial, juste honnête.
Ayako
Je serai direct : je n'ai aimé "Ayako" que très modérément. A cela plusieurs raisons... Les dialogues tout d'abord. Je ne sais si cela vient de la version originale ou du traducteur, mais certains dialogues sont assez mauvais ou maladroits. De plus la présence de longs monologues dont le seul but est de faire comprendre au lecteur une situation par ailleurs déjà exprimée par l'image alourdit parfois beaucoup l'ensemble. L'histoire ensuite. Certains éléments sont assez caricaturaux (dans le mauvais sens du terme), voire même contraires au simple bon sens. La filature par Jiro de sa soeur au début en est un bon exemple. Il y a également la séparation marquée entre différents éléments : la situation économique et sociale de cette époque de l'après-guerre est largement évoquée dans une première partie, puis passe presque complètement sous silence. De même le fait de mélanger histoire d'espionnage et drame familial peut surprendre. Je suis presque sûr que ça passera mieux à la relecture, mais cela m'a tout de même un peu gêné. L'utilisation outrée du symbolisme. Deux exemples très frappant : le lieutenant-colonel Américain qui ne cesse de brandir un révolver sous le nez de Shimokawa, le responsable Japonais en charge des chemins de fer ; et la scène où la fille repose sur un rocher de forme on ne peut plus phallique pendant que l'océan se déchaîne autour... Ce genre de choses a alourdi ma lecture : c'est gros et ça manque de subtilité. Le dessin enfin, qui est parfois maladroit. Certains visages me paraissent presque ratés, et l'agencement de certaines cases laisse à désirer. L'exemple le plus marquant est peut-être Jiro qui monte un escalier vers la droite (sur la page de droite : il se dirige donc vers le bord de l'album), puis se retrouve à gauche sur la case suivante... Saute d'axe assez déroutante... Le fait que Jiro, le "héros" de l'histoire, se révèle être un assez sale personnage, qu'Ayako n'ait ici qu'une importance finalement très restreinte, que ce tome ne fasse que poser les bases de ce drame familial, et que le ton de l'ensemble soit résolument sérieux, voire grave, joue probablement aussi. Enfin bon, il faut tout de même relativiser : ayant lu récemment tout l'excellent "Phénix", "L'histoire des 3 Adolfs" qui se conclut de façon magistrale, et étant actuellement plongé dans Bouddha, il est vrai que la barre est haut placée et que ma déception par rapport à ces chefs d'oeuvre laisse à "Ayako" une bonne marge pour qu'elle soit une lecture tout de même très agréable et intéressante.
L'Homme à la Valise
Un album de jeunesse du génial Goossens. Malheureusement inégal, l'album réserve néanmoins certaines surprises et certains gags désopilants proprement indispensables pour tout fan de Goossens qui se respecte (Les sortilèges du comte Karigraf, L'Homme qui me sauva, Cinéma...). Dommage tout de même qu'à côté de ces petites perles, l'on doive se farcir des gags lourds comme celui intitulé "Le père Noël arrive" bien inférieur à ce que fera Goossens plus tard avec le même personnage dans "Route pour l'enfer" (voir ce titre). Donc, à lire, oui, à acheter si vous êtes fan de l'auteur, au sinon... intéressez-vous plutôt à d'autres parts de son oeuvre
Vortex
Bon je viens d'achever le dernier tome et il était temps que la "trilogie" se finisse !! Autant le début est bien, palpitant et l'idée de faire deux tomes 1 et 2 était géniale autant après le tome 3&4 ça commence à patiner dans la semoule !! Les histoires n'en finissent plus et on se retrouve à se balader dans plein d'époques avec plein de bouts d'histoires qui rappellent d'autres histoires. Ca fourmille d'idées mais faut savoir s'arrêter !! En tout cas ça renforce ma conviction que faire des histoires sur le voyage dans le temps tient du défi car malgré la rigueur de stan et vince il y a des choses à redire : pourquoi les sacs de viande auraient-ils influencé l'évolution de la vie s'ils étaient si sages ?? Enfin ça part bien et l'idée de faire un futur vu des années 30 est vraiment bien et donne une touche kitsch vraiment sympa. En plus il y a un côté comics qui rend le dessin original. Mais bon le dessin a des lacunes. Je trouve que les persos sont bien faits, ils sont assez vivant, de façon inégale mais le mouvement, notamment les courses, est vraiment pas terrible. Je sais pas si c'est fait exprès mais si c'est le cas c'est dommage. Les décors sont originaux et bien faits. Juste le mouvement. Voila ça fait du bien quand ça se termine !! Mais on passe un agréable moment dans l'ensemble surtout avec les 5 premiers tomes.
Cold Train
Encore une fois Brüno signe là un album très agréable, certes très classique mais plutôt bien fichu. Sur un rythme tranquille renforcé par une narration qui donne la part belle au temps qui passe, cette petite BD m'a procuré un très bon moment de lecture (dans un métro en plus mais bon...). Les temps d'action se découpent et se recoupent dans des unités de temps et de lieu qui se confondent et donnent à cet album un rythme lénifiant mais curieusement efficace. En donnant au train du récit un rôle à part entière, Brüno tient là sa meilleure idée de l'album, car pour le reste, même si tout est bien traité, le propos reste peu original et les personnages cent fois vus et revus. Mais qu'importe, j'adore le dessin de Brüno et même s'il n'y a pas la couleur d'un "Nemo", son trait est toujours sûr, plein de fraicheur et de personnalité. Brüno c'est bien, il faut lire ses albums, surtout que 4€ c'est vraiment pas cher pour ce que c'est.
Marshall
Roooh, que d'avis cruels sur cette petite bd qui prend son envol... Il est bien difficile de lui attribuer une note au vu de ce premier tome uniquement. Le scénario me laisse une bonne impression et semble pouvoir évoluer dans le bon sens, et les dessins du jeune Tello, imprégnés de la culture manga ("Au maitre Hayao, en dédicace sur la page de garde"), sont assez réussis. LE problème, c'est qu'il y a des scènes où je ne comprends strictement rien. J'entends surtout les scènes de combat et les scènes où l'action s'emballe, les cases s'enchainent confusément et l'action est difficile à suivre. Ceci est donc un avis d'encouragement, qui évoluera forcément au vu du deuxième tome. En bien...ou en mal (mouah ah ah !).
Mélusine
Vi, moi j'aime bien Mélusine. Il est clair que cette bd se trouve largement au-dessus de la production actuelle de Dupuis, et ce par deux aspects : le très bon dessin et les gags, classiques mais bien menés. Qualité non négligeable, Mélusine fait aussi partie de ces bd humoristiques qui comportent des pages sans chutes, sans gags, juste pour la tendresse ou la beauté du moment...C'est frais, ça détend et quand on trouve des albums à 3 euros (collection pirate) on saute dessus !
Alain Chevallier
Denayer, ancien décoriste de Tibet et Graton, crée sa série "sports mécaniques" en 1971. Plus réaliste que son illustre devancière Michel Vaillant, plus dynamique aussi, elle ne connaîtra cependant pas son succès. Alliant sport et trame policière, il s'agissait pourtant d'une BD sympathique, du moins sur certains albums. Le trait de Denayer (Wayne Shelton, Les Casseurs...) est très agréable, servant bien des scenarii bourrés de rebondissements (parfois grotesques).
W.E.S.T
Une BD au scénario accrocheur par l'auteur du troisième testament... Cependant, le dessin est un peu déroutant. On ne reconnait pas toujours les personnages principaux et secondaires à travers les planches, et la logique de déroulement est parfois un peu floue... Dommage... C'est pourquoi je vous conseille de relire l'album plusieurs fois pour bien cerner le récit... Mais bon... le scénario est captivant et nous entraîne vers un western aux frontières du réel...