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Par Ro
Note: 3/5
Couverture de la série Palestine
Palestine

Pas facile de donner un avis sur cette BD car il y en a beaucoup à dire et à penser. Commençons par le plus simple à critiquer, le dessin. Je ne le trouve pas franchement bon. Les personnages sont assez moches, d'une certaine manière typés dans un style années 80 (le comble alors que la BD date des années 90) et les décors pas mal même si assez simplistes à mes yeux. Quelques plans d'ensemble des quartiers de Gaza ou autres me font penser, par leur côté rond, fouillis et plein de détails à regarder de tous les côtés, à des images de Où est Charlie ?, contrastant avec le sérieux du propos. Et puis avec le texte par dessus, je trouve le tout assez hermétique à la lecture, trop confus pour être facilement apprécié et lu. Ceci étant dit, on s'y habitue en cours de lecture mais jamais je n'ai trouvé les images vraiment belles. L'intérêt de cette BD ne réside donc pas à mes yeux dans ses dessins mais bien dans ce qu'elle raconte. C'est du journalisme pur et dur, presque du rapportage : l'auteur raconte mot pour mot ce qu'il a fait et vu durant son séjour en Palestine et en Israël. Le côté instructif y est. On apprend à quoi ressemble la vie des réfugiés Palestiniens, on comprend ce qu'ils vivent tous les jours, on voit ce qu'ils endurent. L'expression "Bienvenue en Enfer" paraît justifiée si on se réfère à ce qui nous est décrit là : il est difficile, à la lecture de cette BD, de ne pas comparer la vie des Palestiniens à Gaza ou autres à celle de prisonniers de camps de concentration persécutés en permanence par des hommes en armes haineux contre qui ils ne peuvent que lancer des cailloux et puis se faire tuer. C'est dur, c'est noir et le pire c'est de se dire que tout cela est vrai et doit sûrement être encore pire de nos jours, plus de 10 ans après et avec la nouvelle Intifada. C'en est presque déprimant. Déprimant parce que l'on voit vraiment l'horreur de la vie des réfugiés Palestiniens, parce qu'on voit une haine totale entre soldats Israéliens, colons juifs et eux, mais aussi et surtout parce qu'on n'arrive pas à imaginer de solution à ça. Il est vrai que la BD est largement placée du côté des Palestiniens avec les Israéliens vus comme des monstres implacables et sans âme. Mais finalement vers la fin du 2e tome, l'auteur nous montre l'avis de civils Israéliens (des femmes d'ailleurs pour adoucir encore les choses) et cela nous montre d'autant plus l'incompréhension entre les peuples, l'impossibilité quasi-certaine d'arriver à une entente car chacun semble avoir ses raisons de haïr l'autre. Ceci étant dit, malgré ce petit interlude où l'on change de point de vue, je trouve que la BD reste tout de même sur l'idée suivante : "les Palestiniens sont traités comme des animaux depuis des dizaines d'années à cause des Anglais, des USA et des Israéliens, tout ça parce que les Israëliens jugent qu'ils ont le droit de leur prendre leur terre pour des raisons de fanatisme religieux et aussi parce qu'ils estiment que du fait d'avoir subi eux-mêmes l'Holocauste, ils ont le droit de se débarrasser de peuples qui les gêneraient pour vivre la vie qu'ils veulent vivre". C'est ce message unilatéral qui m'a gêné dans ma lecture. J'aurais franchement aimé que l'auteur s'attarde plus sur l'avis des Israéliens, sur le pourquoi du comment et surtout sur comment ils ont pu en venir à se haïr à ce point et à se considérer comme des animaux les uns pour les autres. D'autant plus que raconté ainsi, on s'en sort complètement pessimiste avec aucune idée en tête qui permettrait de résoudre ce conflit qui, présenté ainsi, a l'air de ne pouvoir avoir d'autre fin que l'extermination des Palestiniens ou bien le départ des Israéliens et la mort d'Israël. Et le pire reste toujours de se dire que les choses ont empiré depuis l'écriture de cette BD. Voilà, c'est donc ce côté unilatéral et complètement pessimiste que je reproche à cette BD. Mais d'une certaine manière, la réalité objective du reportage journalistique est assez respectée malgré tout et ce qu'a pu m'apprendre cette BD sur cette dure réalité en Palestine suffit à me la faire trouver pas mal. En outre, il y a aussi un aspect qui m'a plu : la façon dont l'auteur réalise combien lui-même paraît privilégié et égoïste dans cette situation. Il se montre presque comme étant mesquin et puéril, s'amusant à manger la nourriture des réfugiés et à dormir chez eux comme un touriste juste pour créer et vendre sa petite BD, et aussi pour se faire quelques sensations. J'ai trouvé un chapitre particulièrement fort, c'était celui où l'auteur est avec son guide en voiture sous une pluie battante, en pleine nuit, à transporter une vidéo interdite. L'auteur explique alors à quel point, alors que son guide subit des problèmes à cause de lui et qu'il n'aime pas vraiment ça, lui, l'occidental, est ravi et heureux d'être là parce qu'il vit ainsi un fantasme de gamin, une vraie aventure, tout fier d'avoir osé affronter ainsi une situation vraie et dangereuse, même s'il reste tout calfeutré dans sa protection d'occidental, se protégeant même soigneusement des gouttes de pluie. L'auteur ose montrer son côté "petit occidental en quête de sensations et de reconnaissance" alors qu'il fait son reportage, et cette sincérité sur lui-même et en comparaison du drame qui l'entoure m'a assez plu. Puis il y a juste ensuite ces mots : "Ce qu'il y a de bien avec une cassette vidéo, c'est que tu peux la rembobiner, (...) éliminer les surprises... C'est plus cool pour les nerfs : tu sais que les soldats ne viendront pas... Garanti... Mais mets les pieds dehors dans Gaza maintenant et tu n'es plus sûr de rien...". L'auteur montre bien que son histoire, c'est la Réalité, que lui-même qui y était alors qu'il était occidental ne pouvait pas appréhender comme un Palestinien peut le faire, alors ne parlons même pas des autres qui regardent ça de loin à la télé ou même dans cette BD. En résumé, une BD que je trouve assez moyenne visuellement, pas très agréable à lire car finalement le texte prime largement sur l'image (comme dit Patrick ci-dessous, l'intérêt d'avoir fait ça en BD n'est pas évident), mais avec l'intérêt d'en apprendre beaucoup sur la condition des Réfugiés Palestiniens, sur leur calvaire quotidien, et aussi sur la façon dont un occidental privilégié les voit et peut vivre un voyage parmi eux. Seul défaut majeur, prendre garde à l'unilatéralisme de ce récit.

15/06/2004 (modifier)
Par Kael
Note: 3/5
Couverture de la série L'Enfer du jour
L'Enfer du jour

C'est pas de la grande BD, oui, mais ça se laisse lire agréablement. J'ai moi aussi été gêné par cette différence de dessin qui ne correspond pas à grand chose dans ce récit, mais sinon, le scénar est très classique, relativement efficace et bien foutu. Moynot m'avait habitué à plus de noirceur dans ses récits...

14/06/2004 (modifier)
Par Ro
Note: 3/5
Couverture de la série Mille Visages
Mille Visages

J'ai lu les 3 tomes de cette série sans savoir du tout à quoi m'attendre. A feuilleter les albums, je croyais à un drôle de mélange d'histoire western et d'intrigue plus européenne. Alors en commençant la lecture du premier tome, je dois avouer avoir été agréablement surpris. Le scénario est vraiment original à mon goût, mettant en scène des thèmes aussi divers que l'intégration d'un blanc chez les sioux, la médecine dans l'Angleterre Victorienne, une histoire de résurrection et de vol des âmes, et une sorte de démon aux mille visages. L'ennui, c'est que le dessin est plutôt moche. Ca se voit dès la première page du premier tome : les décors sont très moyens, les couleurs un peu bizarres dans leur choix et leur harmonie, les visages pas très bien faits... Et puis il y a cette insistance qu'a le dessinateur à représenter les dents de ses personnages, dents évidemment moches et désordonnées, ce qui enlaidit tous les personnages de façon presque repoussante. Mais bon, à la fin du premier tome, j'étais prêt à oublier le petit défaut du dessin tant je trouvais le scénario original et bien foutu. Si la suite avait été du même acabit, j'aurais trouvé cette série très bien. L'ennui, c'est que l'intrigue est très complexe. Alors dans les 2 tomes suivants, l'auteur continue à expliquer ce qui a eu lieu avant le début du premier tome, la description du méchant et de ses machinations, la réaction des gentils, leur fuite, leur protection, etc... D'ailleurs, petite particularité, le narrateur change à chaque tome : le premier gentil d'abord, puis le méchant pour le 2e tome, puis le fils du gentil pour le 3e. Ca donne ainsi un aperçu différent des choses à chaque fois, permettant d'en apprendre plus, mais ça embrouille aussi un peu le suivi de l'histoire. Et puis finalement, en 3 tomes, on en a appris pas mal ok, il s'est passé plein de choses ok, mais finalement l'intrigue globale, elle, n'a pas vraiment évolué. Le méchant est toujours aussi puissant et inatteignable, les gentils subissent toujours ses assauts... On a compris aussi l'idée : tout le monde peut être en réalité un esclave au service du méchant, et donc il y a des traîtres partout, voilà... Et au bout du 3e tome, on a tellement bien compris l'idée qu'on aimerait bien voir arriver autre chose. D'une certaine manière, ça aurait pu avoir les bons côtés d'une série comme Monster, car on se pose toujours plein de questions sur ce qu'il s'est vraiment passé pour le premier gentil (pourquoi a-t-il commis tous ces méfaits dont on l'accuse au début du 1er tome ?), d'où vient le pouvoir du méchant et quelle est vraiment sa nouvelle nature multiple, comment il va être possible de le combattre, etc... Et les réponses à ces questions sont distillées tout doucement. Mais autant une intrigue à rallonge comme ça peut fonctionner en manga, autant dans une BD européenne, ça rend le tout plutôt fouillis et long à lire. Alors, ok, c'est sympa car chaque tome est dense et long à lire (on en a pour son argent), mais bon, la force de l'intrigue retombe trop vite et la confusion s'installe vite dans le scénario. Beaucoup de bons côtés pour cette BD (à commencer par l'originalité du scénario), mais un dessin très moyen et une intrigue un peu trop confuse et tirée sur la longueur.

14/06/2004 (modifier)
Par wonder
Note: 3/5
Couverture de la série Dragon Ball
Dragon Ball

J'aime beaucoup Dragon Ball et je conseille cette série à tous ceux qui veulent commencer le manga. Cependant, la lecture des 2 premiers volumes peut suffire : ils forment une histoire complète, hilarante et dotée de personnages attachants. Par contre, les 42 volumes, c'est trop.

13/06/2004 (modifier)
Par Kael
Note: 3/5
Couverture de la série Les 7 vies de l'épervier
Les 7 vies de l'épervier

Mouais... J'ai un peu de mal avec cette série. Jusqu'au 6e tome, je me suis ennuyé ferme. C'est long mais c'est long... Une horreur. Le scénar est carré, ok, mais tout est trop mou pour me faire vibrer. Les 7 personnages principaux ne font pour la plupart que de la figuration et ne servent finalement qu'à ajouter des pages à cette série. Sur les 7, seuls 3 sont vraiment intéressants pour l'histoire, les autres auraient pu ne pas exister que ça n'aurait rien changé à la trame. Je comprends pas trop l'intérêt en fait... L'idée de ces 7 héros qui ne seraient que des marionnettes face à leurs destins est prodigieusement agaçante. "Machin pense ça, mais il ne pourra pas éviter son destin fatal tadadam tsoin tsoin!" J'exagère à peine... C'est lourdingue. La narration est rendue poussive par ce genre de commentaires de la vieille aveugle, c'est dommage là encore. Malgré tout, je dis que cette série est "pas mal". Pourquoi ? Grâce au 7e et dernier tome pardi ! Ce 7e tome est, contre toute attente, une petite merveille, particulièrement le finish. Là, oui, j'étais à fond dans cette histoire, à fond avec Ariane (enfin !) espérant malgré moi que le dénouement tragique qu'on voit vite arriver ne soit finalement déjoué au dernier moment, faisant un pied de nez à ce destin qui m'a saoulé dans les 6 tomes précédents. Ce finish plein de panache et d'émotion est, comme l'a souligné Don Lope, un des plus marquants des BD que j'ai lues à ce jour.

11/06/2004 (modifier)
Par Pierig
Note: 3/5
Couverture de la série Le Serment de l'Ambre
Le Serment de l'Ambre

Lu les 4 premiers tomes. L’Amojar est exceptionnel tant sur le plan graphique que scénaristique avec un récit dense et bien rythmé, rythme d’ailleurs fort bien soutenu dans Portendick. Le moins qu’on puisse dire c’est que Le serment de l’ambre aura connu quelques déboires : durée de parution irrégulière (5 ans écoulés entre le T2 et le T3) et changements successifs de dessinateur puis de scénariste. Toutefois, la transition graphique entre Lauffray et Le Roux s’est faite sans trop de mal. Mais il faut noter une baisse sensible de la qualité du dessin de Le Roux dans le tome 4 (trait bâclé et qui perd de sa personnalité) et de la mise en couleur qui fait vraiment très « artificielle » et enlaidit les planches. Cette baisse de la qualité visuelle s’accompagne malheureusement d’un scénario de moindre qualité avec un récit qui perd en intensité et se perd en futilités. La fameuse pierre d’ambre, élément central de l’histoire, paraît soudain secondaire. Quelques bémols à souligner, notamment concernant le manque de cohérence dans le comportement des frères sorciers de Tichit qui change radicalement dans les derniers tomes. Ils semblent avoir un petit pois dans leur tête et sortent des répliques superflues. Je les préférais au début lorsque leur seule apparition suscitait la crainte et qu’ils se comprenaient sans dire un mot. Bref, ils perdent de leur crédibilité avec l’avancement du récit. Je regrette donc le manque d’uniformité des tomes qui gâche le potentiel de la série. Par contre, plus que l’histoire, j’apprécie tout particulièrement l’univers créé par Contremarche qui est vraiment intéressant ainsi que les inserts en peinture directe, s’attardant sur des légendes, qui sont remarquables !

10/06/2004 (modifier)
Couverture de la série Les Technopères
Les Technopères

Yep, c'est de la BD qui se lit bien. Moi ça m'a moyennement plu. J'aime les dessins, et la gueule lisse des persos, là y'a rien à dire. En revanche, l'histoire est assez folle faut avouer, et il faut s'accrocher. En fait la série est basée sur le même principe que "La caste des Méta-barons" du même scénariste. Deux personnes discutent de ce qui s'est passé des années avant, et ça revient sur eux, et ça repart. Et l'histoire évolue au fur et à mesure. Au début c'est bien, mais c'est vrai que c'est un peu lassant à la longue. Des fois ça ressemble aussi à Matrix (qui a pompé sur qui?). Donc globalement c'est agréable à lire. Je donne la moyenne pour la note.

10/06/2004 (modifier)
Par cac
Note: 3/5
Couverture de la série Lanfeust des Etoiles
Lanfeust des Etoiles

Je n'ai même pas lu la fin de Lanfeust de Troy, encore une série à compléter, mais j'ai quand même entamé Lanfeust des Etoiles en bibliothèque. On prend les mêmes recettes et on recommence : gags pipi caca, gags avec des jeux de mots, la tigresse salope et jalouse, le héros mollasson, le troll bourrin quoique plus gentillet que dans le premier cycle, le méchant, et tous les super méchants qui paraissent gentils au début et en fait non, les gens qui aident pour contrer les super méchants, les bestioles et personnages de diverses races - mais ça d'autres l'ont fait aussi hein regardez Sillage... etc. En même temps, c'est pas trop chiant à lire, même si on regarde parfois combien de pages il reste à lire, et puis c'est pas fait pour s'échauffer le cerveau. Les couleurs cassent les yeux, franchement faut lire dans une semi obscurité et pas sous la lumière.

10/06/2004 (modifier)
Par Pacman
Note: 3/5
Couverture de la série Coeur Tam-Tam
Coeur Tam-Tam

C'est étrange, j'ai un collègue de boulot qui a passé 10 ans en Afrique, et qui nous rabat sans cesse les oreilles avec l'université de Dakar, les examens folkloriques, la case au bord de la mer. Et bien sûr, il tient absolument à raconter pour la Xième fois ses anecdotes juste quand on est pressé, sur le point de partir. Et bien, même si on en rit parfois entre nous, il est sympathique, ce collègue. Pareillement, Rabier, s'il vit dans son monde, n'en est pas moins attachant. Quand on a fait l'effort de s'adapter à une société si différente de la nôtre, le retour est forcement douloureux. Mais il est également douloureux de "mourir" loin de chez soi. Cette bd traduit fort bien ce dilemme. Bon, pour le reste, scénario, réalisme, et même dessin, c'est pas forcement le top. Personnellement, je ne compte pas investir là-dedans.

10/06/2004 (modifier)
Par Ro
Note: 3/5
Couverture de la série La maison où rêvent les arbres
La maison où rêvent les arbres

Note approximative : 2.5/5 On retrouve dans La maison où rêvent les arbres les thèmes qui sont chers à Comes : la Nature, la magie et des humains qui vivent à part de l'humanité et au milieu des arbres... Mais comparé à d'autres de ses oeuvres sur ce sujet, j'ai trouvé cette BD-là plutôt moyenne. Le dessin est toujours du même style mais à mon sens moins travaillé et moins réussi que dans un album comme Les Larmes du Tigre par exemple (pour citer un one-shot au thème proche et de la même taille). Le trait ici est fin et le Noir & Blanc très peu exploité. Seule particularité de cet album: les brumes qui estompent le trait et blanchissent les planches, mais je ne trouve pas ça très joli pour autant. Le dessin manque d'esthétisme et de magie comparé à ce à quoi Comes m'a habitué. Et puis concernant l'histoire, elle est juste pas mal. L'idée aurait pu être bonne mais est assez moyennement traitée: les arbres rêvent et de leurs rêves résultent la création d'animaux possédant une vie temporaire, et quand ils cauchemardent ce sont des animaux meurtriers qui apparaissent. Mais bon, déjà, l'histoire commence de manière décevante pour moi, avec un couple de touristes tués par un crocodile dans un grand cri dans la brume, scène digne d'un film d'horreur de série B, indigne de Comes pour moi. Ensuite, quelques scènes sont sympas (comme le cite Arzak ci-dessous, l'apparition du macareux et la discussion qui s'en suit est belle et mignonne) mais globalement je n'ai pas été séduit. Des personnages comme l'arbre Gardien m'ont même paru ridicules, et l'Homme Vert n'a rien de la poésie et de la magie que l'auteur semble avoir voulu lui donner. Dans l'ensemble, ça se lit bien ceci dit, et l'histoire est légèrement originale. Bref, ce n'est pas trop mal mais franchement Comes a fait mieux.

10/06/2004 (modifier)