De routine en aventure
Autant être clair, Tim Harper s’emmerde dans la vie. Dans cette vie tellement… normale. Il est né dans une bonne famille, aimante et tout, il a un bel appart avec un chat dedans, un bon job dans lequel il excelle et, beau garçon, il plaît aux collègues de la gente féminine. Une vie sage, rangée, rien de très palpitant. Mais il faut courage et volonté pour changer le cours de son existence. A moins de provoquer un accident de la route et de tuer du même coup, deux bodyguards du FBI et leur protégé d’extrêmement prêt, un mafieux asiatique repenti, autrement dit, un traître pour ses anciens amis. Dans ce cas précis, c’est sûr, le train-train quotidien vole en éclat et rien n’est plus pareil. Surtout quand on commence à fouiller là où il ne faut pas.
A la barre de cette nouvelle série «grand angle», trois jeunes auteurs devenus amis sans même se rencontrer, vive le net!. Mathieu Mariolle impose un scénario bien ficelé, imprévisible, qu’il prend le temps d’installer en privilégiant un découpage serré, en multipliant les plans et donc les cases, dix par page en moyenne. Kyko Duarte et Miki, quatre mains ibériques pour un semi-réalisme uniforme, propre, sans exubérance ni excentricité. On est, d’ailleurs, à la limite de la maniaquerie. Tout est nickel, la ville au carré, les rues bourgeoises sans plaque d’égout ni poubelle, les arbres bien taillés, les bureaux bien rangés et les armes -très bien dessinée- brillent de mille feux… Les personnages sont graphiquement bien identifiés, pas de risque de se perdre dans les méandres d’un doux polar où s’opposent tueurs intraitables aux tempéraments ultra affirmés et à la confiance sans faille et un quidam aussi naïf qu’attachant. La mise en couleur informatique est assurée par Florence Torta. Elle fait des merveilles une fois le soleil couché. Une bande dessinée tout public de qualité.
Ayant récemment acheté l'integrale du premier cycle, j'ai pu découvrir cette série d'une seule traite. Eh ma foi je ne suis pas déçu de mon achat.
J'ai apprécié la lecture et ceci grâce à un scénario inventif (où l'histoire ne part pas dans tous les sens comme d'autres séries) et un dessin qui n'est certes pas parfait mais très agréable à suivre.
Bref très bonne série en ce qui concerne le premier cycle, et j'espère que le deuxième le sera tout autant (En ce qui concerne le premier album du deuxième cycle, c'est toujours aussi bien malgré le changement de dessinateur)
Cette série, j'ai vraiment du mal à la noter. Alors je met une note moyenne.
Bien sur, les dessins peuvent être très beaux, mais il ne le sont pas toujours. Les idées foisonnent, la créativité est là, mais souvent pour ne mener nulle part, la fin de chaque tome n'en etant pas vraiment une. C' est un peu sans queue ni tête et si c'est parfois drole, ça peut aussi être lassant.
Moi, je ne conseillerais pas l'achat de ce Bilal là.
Un bon petit Tardi, sans plus. Je dirais pour résumer mon impression, que l'histoire est bien menée, avec beaucoup de maitrise, mais malheureusement sans grande originalité.
Certains personnages sont attachants, d'autre à peine abordés, d'autres encores trop caricaturaux.
Pour moi, au final, les auteurs se sont fait plaisir, et somme toute, ça reste très lisible.
J’ai enfin lu Aldébaran, le best-seller de Léo ! Comme tout le monde, le dessin me rebutait un peu mais je m’y suis fait. Comme Thepat j’ai trouvé que certains passages sentimentaux étaient très artificiels et ne volaient pas beaucoup plus haut qu’un épisode d’"Hélène et les garçons" mais j’en ai vite fait abstraction. Aldébaran n’a rien d’une intrigue psychologique… et c'est tant mieux parce que sur ce plan-là, Léo est aussi habile qu'un éléphant au volant d'une 2CV... Très heureusement les qualités de cette série sont là pour compenser : le rythme est alerte et enlevé, le suspense et le mystère bien gérés, la fantaisie animalière amuse… Une lecture agréable, vraiment… Allez, hop ! Bételgeuse me voilà !
*****************SPOILER************************
La fin? Bah oui... grosse comme un camion, plus qu'invraisemblable mais étrangement, je l'accepte, elle a presque un côté fantastique ou même "Conte de fées"...
Un polar sympa, c'est sûr, même si je dois avouer que j'ai trouvé le 2e tome relativement rebarbatif. C'est dommage, ça partait pas mal du tout, et la 3e tome est lui aussi très bon.
Le dessin est lui aussi assez irrégulier, certaines planches semblent un peu brouillon, même les perso sont pas toujours reconnaissables, mais dans l'ensemble, c'est quand même très beau, voir même sublime.
Bon oui, c'est un bon polar, mais ce n'est pas un incontournable.
J’ai bien aimé ce diptyque. Certes, ce n’est pas de la grande bd et son but n’est pas atteint si celui-ci est de faire peur au lecteur. Mais le savoir-faire de Corbeyran permet de compenser le manque d’originalité de cette série. D’ailleurs, je commence à apprécier cet auteur qui sait diversifier ses scénarios avec une constante : un découpage toujours aussi efficace. Quant au dessin de D’Fali, il est propre mais pêche sans doute par un manque de personnalité. Par contre, la mise en couleur gâche vraiment les planches par des effets de lumières excessifs !
Cette série se lit donc bien et présente l’avantage de se conclure après 2 tomes, ça nous change des séries à rallonge ! ;)
J’ai été aussi enthousiaste que Ro et ArzaK à la lecture de Parker & Badger. En effet, les gags sont souvent drôle voire même hilarant ! Rarement une série humoristique aura mis autant mes zygomatiques à contribution ... Cuadrado fait donc mouche avec Parker, paresseux et pantouflard, et Badger, son blaireau intellec qui essaie d’arranger les choses tant bien que mal pour lui trouver du boulot ou éluder le loyer de l’appart. Le dessin, à la fois tout en rondeur et décontracté, est bien adapté au ton de la série. Je trouve d’ailleurs que le style de l’auteur est fort proche de la bande à Tchô, étonnant donc qu’il n’ai pas été publié par Glénat.
Bref, lire Parker & Badger
Ca met de bonne humeur
A lire sans modération . . . jusqu'au tome 4 ! Après, le niveau baisse (raison de ma note).
Amerikkka est une série de tomes indépendants ayant comme toile de fond les agissements du Ku Klux Klan de nos jours sur le continent américain. Les recherches documentaires effectuées par Martin, le scénariste, sont importantes et cela se ressent bien à la lecture. D’ailleurs, un complément d’information très instructif sur l’historique de ce mouvement se trouve en fin des tomes 1 et 2. Cette volonté de l’auteur d’être le plus proche possible de la réalité est louable mais ne suffit malheureusement pas à rendre la bd captivante. Certes, j’ai appris beaucoup de choses sur le Klan (historique, organisation, ...) mais j’attendais aussi un peu plus de relief au niveau de l’histoire, enfin, juste de quoi susciter l’intérêt et l’envie de lire la suite avidement. C’est justement ce qui fait défaut, les récits se terminant de manière trop conventionnelle. Chaque histoire est donc bien documentée mais trop lisse et peu accrochant en fin de compte. Un bon point par contre, chaque tome explore des endroits et des contextes variés. Quant au dessin d’Otéro, il présente quelques similitudes avec celui de Simon dans Rails (les personnages surtout). C’est un peu particulier. C’est pas trop le style que je préfère ... la mise en couleur est un peu vive dans les tomes 1 et 3, plus tamisée dans le 2.
Pour celui qui veut se faire une bonne idée de la série, je conseille le deuxième opus qui est pas mal, tant au niveau du récit que de la qualité des planches. C’est aussi peut être parce que l’action se situe dans le berceau même du KKK.
J'ai été assez déçu par cette histoire. Non seulement c'est court mais je n'ai pas vraiment trouvé la grâce, la finesse que je m'attendais à y trouver. C'est une histoire mignone, qui se veut un peu triste et mélancolique, qui ,effectivement, ne laisse pas totalement indifférent pendant la lecture mais qui ne m'a pas vraiment marqué une fois le livre refermé; pas du tout l'une de ses histoires que l'on ressasse de longues minutes une fois la dernière page lue. Le dessin est sympa, tout en rondeur mais participe peut-être un peu à ce phénomène de distanciation.
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De sang froid
De routine en aventure Autant être clair, Tim Harper s’emmerde dans la vie. Dans cette vie tellement… normale. Il est né dans une bonne famille, aimante et tout, il a un bel appart avec un chat dedans, un bon job dans lequel il excelle et, beau garçon, il plaît aux collègues de la gente féminine. Une vie sage, rangée, rien de très palpitant. Mais il faut courage et volonté pour changer le cours de son existence. A moins de provoquer un accident de la route et de tuer du même coup, deux bodyguards du FBI et leur protégé d’extrêmement prêt, un mafieux asiatique repenti, autrement dit, un traître pour ses anciens amis. Dans ce cas précis, c’est sûr, le train-train quotidien vole en éclat et rien n’est plus pareil. Surtout quand on commence à fouiller là où il ne faut pas. A la barre de cette nouvelle série «grand angle», trois jeunes auteurs devenus amis sans même se rencontrer, vive le net!. Mathieu Mariolle impose un scénario bien ficelé, imprévisible, qu’il prend le temps d’installer en privilégiant un découpage serré, en multipliant les plans et donc les cases, dix par page en moyenne. Kyko Duarte et Miki, quatre mains ibériques pour un semi-réalisme uniforme, propre, sans exubérance ni excentricité. On est, d’ailleurs, à la limite de la maniaquerie. Tout est nickel, la ville au carré, les rues bourgeoises sans plaque d’égout ni poubelle, les arbres bien taillés, les bureaux bien rangés et les armes -très bien dessinée- brillent de mille feux… Les personnages sont graphiquement bien identifiés, pas de risque de se perdre dans les méandres d’un doux polar où s’opposent tueurs intraitables aux tempéraments ultra affirmés et à la confiance sans faille et un quidam aussi naïf qu’attachant. La mise en couleur informatique est assurée par Florence Torta. Elle fait des merveilles une fois le soleil couché. Une bande dessinée tout public de qualité.
L'Epée de Cristal
Ayant récemment acheté l'integrale du premier cycle, j'ai pu découvrir cette série d'une seule traite. Eh ma foi je ne suis pas déçu de mon achat. J'ai apprécié la lecture et ceci grâce à un scénario inventif (où l'histoire ne part pas dans tous les sens comme d'autres séries) et un dessin qui n'est certes pas parfait mais très agréable à suivre. Bref très bonne série en ce qui concerne le premier cycle, et j'espère que le deuxième le sera tout autant (En ce qui concerne le premier album du deuxième cycle, c'est toujours aussi bien malgré le changement de dessinateur)
La Trilogie Nikopol
Cette série, j'ai vraiment du mal à la noter. Alors je met une note moyenne. Bien sur, les dessins peuvent être très beaux, mais il ne le sont pas toujours. Les idées foisonnent, la créativité est là, mais souvent pour ne mener nulle part, la fin de chaque tome n'en etant pas vraiment une. C' est un peu sans queue ni tête et si c'est parfois drole, ça peut aussi être lassant. Moi, je ne conseillerais pas l'achat de ce Bilal là.
La Débauche
Un bon petit Tardi, sans plus. Je dirais pour résumer mon impression, que l'histoire est bien menée, avec beaucoup de maitrise, mais malheureusement sans grande originalité. Certains personnages sont attachants, d'autre à peine abordés, d'autres encores trop caricaturaux. Pour moi, au final, les auteurs se sont fait plaisir, et somme toute, ça reste très lisible.
Aldébaran
J’ai enfin lu Aldébaran, le best-seller de Léo ! Comme tout le monde, le dessin me rebutait un peu mais je m’y suis fait. Comme Thepat j’ai trouvé que certains passages sentimentaux étaient très artificiels et ne volaient pas beaucoup plus haut qu’un épisode d’"Hélène et les garçons" mais j’en ai vite fait abstraction. Aldébaran n’a rien d’une intrigue psychologique… et c'est tant mieux parce que sur ce plan-là, Léo est aussi habile qu'un éléphant au volant d'une 2CV... Très heureusement les qualités de cette série sont là pour compenser : le rythme est alerte et enlevé, le suspense et le mystère bien gérés, la fantaisie animalière amuse… Une lecture agréable, vraiment… Allez, hop ! Bételgeuse me voilà ! *****************SPOILER************************ La fin? Bah oui... grosse comme un camion, plus qu'invraisemblable mais étrangement, je l'accepte, elle a presque un côté fantastique ou même "Conte de fées"...
Histoires d'en ville
Un polar sympa, c'est sûr, même si je dois avouer que j'ai trouvé le 2e tome relativement rebarbatif. C'est dommage, ça partait pas mal du tout, et la 3e tome est lui aussi très bon. Le dessin est lui aussi assez irrégulier, certaines planches semblent un peu brouillon, même les perso sont pas toujours reconnaissables, mais dans l'ensemble, c'est quand même très beau, voir même sublime. Bon oui, c'est un bon polar, mais ce n'est pas un incontournable.
Asphodèle
J’ai bien aimé ce diptyque. Certes, ce n’est pas de la grande bd et son but n’est pas atteint si celui-ci est de faire peur au lecteur. Mais le savoir-faire de Corbeyran permet de compenser le manque d’originalité de cette série. D’ailleurs, je commence à apprécier cet auteur qui sait diversifier ses scénarios avec une constante : un découpage toujours aussi efficace. Quant au dessin de D’Fali, il est propre mais pêche sans doute par un manque de personnalité. Par contre, la mise en couleur gâche vraiment les planches par des effets de lumières excessifs ! Cette série se lit donc bien et présente l’avantage de se conclure après 2 tomes, ça nous change des séries à rallonge ! ;)
Parker et Badger
J’ai été aussi enthousiaste que Ro et ArzaK à la lecture de Parker & Badger. En effet, les gags sont souvent drôle voire même hilarant ! Rarement une série humoristique aura mis autant mes zygomatiques à contribution ... Cuadrado fait donc mouche avec Parker, paresseux et pantouflard, et Badger, son blaireau intellec qui essaie d’arranger les choses tant bien que mal pour lui trouver du boulot ou éluder le loyer de l’appart. Le dessin, à la fois tout en rondeur et décontracté, est bien adapté au ton de la série. Je trouve d’ailleurs que le style de l’auteur est fort proche de la bande à Tchô, étonnant donc qu’il n’ai pas été publié par Glénat. Bref, lire Parker & Badger Ca met de bonne humeur A lire sans modération . . . jusqu'au tome 4 ! Après, le niveau baisse (raison de ma note).
Amerikkka
Amerikkka est une série de tomes indépendants ayant comme toile de fond les agissements du Ku Klux Klan de nos jours sur le continent américain. Les recherches documentaires effectuées par Martin, le scénariste, sont importantes et cela se ressent bien à la lecture. D’ailleurs, un complément d’information très instructif sur l’historique de ce mouvement se trouve en fin des tomes 1 et 2. Cette volonté de l’auteur d’être le plus proche possible de la réalité est louable mais ne suffit malheureusement pas à rendre la bd captivante. Certes, j’ai appris beaucoup de choses sur le Klan (historique, organisation, ...) mais j’attendais aussi un peu plus de relief au niveau de l’histoire, enfin, juste de quoi susciter l’intérêt et l’envie de lire la suite avidement. C’est justement ce qui fait défaut, les récits se terminant de manière trop conventionnelle. Chaque histoire est donc bien documentée mais trop lisse et peu accrochant en fin de compte. Un bon point par contre, chaque tome explore des endroits et des contextes variés. Quant au dessin d’Otéro, il présente quelques similitudes avec celui de Simon dans Rails (les personnages surtout). C’est un peu particulier. C’est pas trop le style que je préfère ... la mise en couleur est un peu vive dans les tomes 1 et 3, plus tamisée dans le 2. Pour celui qui veut se faire une bonne idée de la série, je conseille le deuxième opus qui est pas mal, tant au niveau du récit que de la qualité des planches. C’est aussi peut être parce que l’action se situe dans le berceau même du KKK.
K une jolie comète
J'ai été assez déçu par cette histoire. Non seulement c'est court mais je n'ai pas vraiment trouvé la grâce, la finesse que je m'attendais à y trouver. C'est une histoire mignone, qui se veut un peu triste et mélancolique, qui ,effectivement, ne laisse pas totalement indifférent pendant la lecture mais qui ne m'a pas vraiment marqué une fois le livre refermé; pas du tout l'une de ses histoires que l'on ressasse de longues minutes une fois la dernière page lue. Le dessin est sympa, tout en rondeur mais participe peut-être un peu à ce phénomène de distanciation.