Autant le dire tout de suite, "CRS = Détresse", ce n'est pas un chef d’œuvre, mais ça me fait bien marrer.
Le dessin de Achdé est très classique comme souvent avec ce genre de BDs Humoristiques à gags. Mais il colle parfaitement avec les sketches et l’humour bon enfant.
Le scénario à gag (Achdé / Erroc / Cauvin) est drôle mais attention ceux qui n’aiment que la finesse s’abstenir. En revanche, les histoires ont tendances à se répéter (c’est d’ailleurs souvent le cas avec les séries à sketches). Les changements de scénaristes ont un peu atténué ce problème mais ce n’est pas non plus une grande révolution.
Niveau couleur (Cruz / Lunven), c’est plutôt moyen, ce n’est pas moche, on va dire que c’est très conventionnel à l’image de beaucoup d’album de ce genre.
Pour l’achat je dis oui, si vous êtes clients de BDs à gags.
Cette BD ressemble à une reprise en BD du scénario typique de pas mal de films d'horreur américain : une bande de jeunes amis insouciants et fêtards part en balade à la campagne et tombe dans un endroit qui finalement leur amènera bien des mauvaises surprises.
Comme on peut le voir au résumé, il n'y a là rien de vraiment original et la lecture de ce premier tome confirme rapidement la chose. Néanmoins, comme ce n'est qu'un début, rien n'indique que l'originalité n'arrive pas au fil des tomes.
Le dessin est correct (hormis les couleurs que je trouve assez moyennes) et il a été pris pour choix d'utiliser des personnages animaliers plutôt qu'humains. C'est assez heureux, je trouve, car cela donne un peu de cette originalité qui manque au scénario. Les choix d'animaux en question collent au caractère des personnages : l'héroïne est une chatte, son copain (temporaire) un zèbre bien membré, ils ont pour amis une belle poule et un singe un peu maladroit, ils se font draguer par une morue... heu... enfin par une femme poisson aux charmes aquatiques, etc... Je trouve que ce traitement animalier sauve ce tome 1 sans lequel le scénario n'aurait vraiment guère été captivant.
Ceci étant dit, l'introduction de l'album commence avec une histoire durant la seconde guerre mondiale avant venir à l'époque actuelle sans qu'on sache trop bien le lien entre l'une et l'autre des histoires pour le moment : il est possible que le récit prenne une tournure un peu plus novatrice à partir du tome 2.
Une lecture pas déplaisante pour une ambiance "film d'horreur pour adolescents" pas désagréable même si assez cliché.
Les Charlots, dans leurs films, c'est plutôt de l'humour façon "grand-guignol fait le clown". C'est vraiment de l'humour populaire bien franchouillard et assez teinté du style des années 60-70 même quand il s'agit de raconter l'histoire des 3 mousquetaires.
Guy Mouminoux y dessine avec son style humoristique bien à lui, celui du Goulag, dessin qui n'est pas excellent mais colle parfaitement avec l'humour des Charlots.
Le scénario de ces 3 histoires adaptées en BD ne sont pas non plus d'un très haut niveau intellectuel mais ce n'est pas l'idée : il s'agit de déconner, de raconter des histoires où les personnages principaux (les Charlots) tiennent plus de gros clowns que de vrais héros.
Personnellement, ce type d'humour bien franchouillard et rigolard ne me fait pas vraiment rire mais ça se lit sans trop de déplaisir. Et puis pour ceux qui ont vu les films dans leur jeunesse, c'est assez amusant de les retrouver quasiment à l'identique dans ces adaptations en BD.
Gérard Leclair a un graphisme tout particulier. Dessiné, semble-t-il, au crayon de papier, les planches de cet album ont un trait très fin et sont toutes en nuance de gris. Malgré une touche d'amateurisme (véhicules et immeubles bien souvent dessinés à la règle), on sent nettement que Leclair s'est appliqué pour son dessin, notamment sur les décors (enfin surtout concernant la première de ces histoires érotiques). C'est assez joli à regarder même si on ne peut pas crier au génie artistique. Les femmes également sont belles, si ce n'est des visages un peu trop lisses et parfaits, tandis que les hommes par contre, sont largement moins réussis à mes yeux.
Concernant les Contes érotiques eux-mêmes, ils sont très différents les uns des autres. Certains sont réussis et émoustillants ("Made in Hong-Kong" par exemple), d'autres franchement moyens car soit mal racontés soit ne faisant appel à aucun fantasme qui me touche. Une histoire en particulier coupe vraiment court à tout érotisme à mes yeux. Cette histoire en question ("les Amants de la Forêt Noire") montre jusqu'où peut aller la violence des hommes à l'égard de lesbiennes (qui finalement n'en sont peut-être pas) et non seulement son traitement laisse à mon goût à désirer (une sorte de ballet dansant s'engage autour de la violence d'une bande de casseurs), mais en plus une telle histoire fait un peu tâche dans un recueil à la base simplement érotique.
Pourtant dans l'ensemble, c'est une BD que je ne trouve pas mauvaise, assez jolie malgré ce côté amateur dont je parlais plus haut, et même si tout n'y est pas du même niveau, ça se lit bien et peut s'apprécier.
Bien que la collection Patte de Mouche ne se cantonne pas à un style narratif particulier, je trouve ce dernier très différent des autres. En ouvrant ce Patte de Mouche, on a l’impression de se plonger dans un vieil album de famille où le papa fait découvrir à son fiston la vie de son grand père. Le dessin, tenant plus de l’esquisse, convient parfaitement pour mettre en images ce récit contemplatif, comme le décrit si justement ThePatrick.
A découvrir !
Ce Patte de Mouche est effectivement très particulier mais je dois dire que je me suis surpris à être porté par l’histoire. Pourtant je suis entièrement d’accord avec les avis précédents en ce qui concerne l’absence de cohérence du scénario. Toutefois, le côté onirique du récit le justifie pleinement selon moi. A noter que Duffour reprend des personnages déjà vus dans la "Spirale infernale" (Hatchi, le minotaure et le monstre). Quant aux planches, elles sont simplissimes, ce qui renforce l’impression de voguer dans un rêve . . . pour peu qu’on y soit sensible.
Voici une bonne petite bd d’ambiance. Pourtant le milieu de la boxe m’indiffère complètement mais Mahler réussi à créer une atmosphère avec un cachet particulier, un peu dans le style "tranche de vie d’un gars qui accumule les déboires". De plus, j’apprécie le trait de l’auteur qui fait très "dessins de presse".
A lire !
C’est sympa Achille Talon, des histoires intéressantes prétextes à de nombreuses tirades qui sortent du vocabulaire ordinaire donc oui pour la culture mais de là à l’acheter peut être pas. Une lecture de temps en temps lorsque l’on ne sait pas quoi se mettre sous la dent à la bibliothèque est quand même conseillée de ma part. Il faut connaître…
Je ne connaissais pas particulièrement les oeuvres de Nicolas Poupon et je dois dire que j’ai été séduit par ses dessins. Le trait est simple, soigné et assez humoristique. De plus, les aplats chauds et les couleurs saturées rendent les planches très lumineuses et donc agréables à l’oeil. Par contre, tout comme Cassidy, j’ai été moins captivé par l’histoire clairement destinée aux enfants.
Curieux album que voici. Comme l’a souligné ThePatrick, les histoires courtes de ce recueil ne traitent pas exclusivement de la mort. Il y en a même une empreinte d’onirisme et de poésie (c’est d’ailleurs ma préférée). Je ne les ai pas toutes comprises (dont "le dessinateur d’arbres" ou "ma chère") et le plus navrant, je pense, est qu’il n’y a rien à comprendre pour celles là. Par contre, j’ai vraiment adoré "en route pour la lune" et plus simplement apprécié "la vie de monsieur T.", "une petite partie" ou encore "le petit clown dont personne ne voulait". Les autres récits présentent peu d’intérêt (dont "le théâtre des horreurs" et "camarades de jeux"). Bref, ces récits sont de qualité inégale ! Mais il n’en va pas de même heureusement pour les dessins d’Ulf K. que j’apprécie beaucoup. Le trait est épuré, l’encrage est propre. Enfin, l’application d’aplats noirs ajoute un plus incontestable au rendu des planches.
Je pense que ce tome a été réédité avec un prix revu à la hausse (mais les histoires contées sont aussi plus nombreuses). A vérifier . . .
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
CRS = Détresse
Autant le dire tout de suite, "CRS = Détresse", ce n'est pas un chef d’œuvre, mais ça me fait bien marrer. Le dessin de Achdé est très classique comme souvent avec ce genre de BDs Humoristiques à gags. Mais il colle parfaitement avec les sketches et l’humour bon enfant. Le scénario à gag (Achdé / Erroc / Cauvin) est drôle mais attention ceux qui n’aiment que la finesse s’abstenir. En revanche, les histoires ont tendances à se répéter (c’est d’ailleurs souvent le cas avec les séries à sketches). Les changements de scénaristes ont un peu atténué ce problème mais ce n’est pas non plus une grande révolution. Niveau couleur (Cruz / Lunven), c’est plutôt moyen, ce n’est pas moche, on va dire que c’est très conventionnel à l’image de beaucoup d’album de ce genre. Pour l’achat je dis oui, si vous êtes clients de BDs à gags.
La Vie en rouge
Cette BD ressemble à une reprise en BD du scénario typique de pas mal de films d'horreur américain : une bande de jeunes amis insouciants et fêtards part en balade à la campagne et tombe dans un endroit qui finalement leur amènera bien des mauvaises surprises. Comme on peut le voir au résumé, il n'y a là rien de vraiment original et la lecture de ce premier tome confirme rapidement la chose. Néanmoins, comme ce n'est qu'un début, rien n'indique que l'originalité n'arrive pas au fil des tomes. Le dessin est correct (hormis les couleurs que je trouve assez moyennes) et il a été pris pour choix d'utiliser des personnages animaliers plutôt qu'humains. C'est assez heureux, je trouve, car cela donne un peu de cette originalité qui manque au scénario. Les choix d'animaux en question collent au caractère des personnages : l'héroïne est une chatte, son copain (temporaire) un zèbre bien membré, ils ont pour amis une belle poule et un singe un peu maladroit, ils se font draguer par une morue... heu... enfin par une femme poisson aux charmes aquatiques, etc... Je trouve que ce traitement animalier sauve ce tome 1 sans lequel le scénario n'aurait vraiment guère été captivant. Ceci étant dit, l'introduction de l'album commence avec une histoire durant la seconde guerre mondiale avant venir à l'époque actuelle sans qu'on sache trop bien le lien entre l'une et l'autre des histoires pour le moment : il est possible que le récit prenne une tournure un peu plus novatrice à partir du tome 2. Une lecture pas déplaisante pour une ambiance "film d'horreur pour adolescents" pas désagréable même si assez cliché.
Les Charlots
Les Charlots, dans leurs films, c'est plutôt de l'humour façon "grand-guignol fait le clown". C'est vraiment de l'humour populaire bien franchouillard et assez teinté du style des années 60-70 même quand il s'agit de raconter l'histoire des 3 mousquetaires. Guy Mouminoux y dessine avec son style humoristique bien à lui, celui du Goulag, dessin qui n'est pas excellent mais colle parfaitement avec l'humour des Charlots. Le scénario de ces 3 histoires adaptées en BD ne sont pas non plus d'un très haut niveau intellectuel mais ce n'est pas l'idée : il s'agit de déconner, de raconter des histoires où les personnages principaux (les Charlots) tiennent plus de gros clowns que de vrais héros. Personnellement, ce type d'humour bien franchouillard et rigolard ne me fait pas vraiment rire mais ça se lit sans trop de déplaisir. Et puis pour ceux qui ont vu les films dans leur jeunesse, c'est assez amusant de les retrouver quasiment à l'identique dans ces adaptations en BD.
Contes pervers
Gérard Leclair a un graphisme tout particulier. Dessiné, semble-t-il, au crayon de papier, les planches de cet album ont un trait très fin et sont toutes en nuance de gris. Malgré une touche d'amateurisme (véhicules et immeubles bien souvent dessinés à la règle), on sent nettement que Leclair s'est appliqué pour son dessin, notamment sur les décors (enfin surtout concernant la première de ces histoires érotiques). C'est assez joli à regarder même si on ne peut pas crier au génie artistique. Les femmes également sont belles, si ce n'est des visages un peu trop lisses et parfaits, tandis que les hommes par contre, sont largement moins réussis à mes yeux. Concernant les Contes érotiques eux-mêmes, ils sont très différents les uns des autres. Certains sont réussis et émoustillants ("Made in Hong-Kong" par exemple), d'autres franchement moyens car soit mal racontés soit ne faisant appel à aucun fantasme qui me touche. Une histoire en particulier coupe vraiment court à tout érotisme à mes yeux. Cette histoire en question ("les Amants de la Forêt Noire") montre jusqu'où peut aller la violence des hommes à l'égard de lesbiennes (qui finalement n'en sont peut-être pas) et non seulement son traitement laisse à mon goût à désirer (une sorte de ballet dansant s'engage autour de la violence d'une bande de casseurs), mais en plus une telle histoire fait un peu tâche dans un recueil à la base simplement érotique. Pourtant dans l'ensemble, c'est une BD que je ne trouve pas mauvaise, assez jolie malgré ce côté amateur dont je parlais plus haut, et même si tout n'y est pas du même niveau, ça se lit bien et peut s'apprécier.
Made In U.S.
Bien que la collection Patte de Mouche ne se cantonne pas à un style narratif particulier, je trouve ce dernier très différent des autres. En ouvrant ce Patte de Mouche, on a l’impression de se plonger dans un vieil album de famille où le papa fait découvrir à son fiston la vie de son grand père. Le dessin, tenant plus de l’esquisse, convient parfaitement pour mettre en images ce récit contemplatif, comme le décrit si justement ThePatrick. A découvrir !
Les Abysses phénoménaux
Ce Patte de Mouche est effectivement très particulier mais je dois dire que je me suis surpris à être porté par l’histoire. Pourtant je suis entièrement d’accord avec les avis précédents en ce qui concerne l’absence de cohérence du scénario. Toutefois, le côté onirique du récit le justifie pleinement selon moi. A noter que Duffour reprend des personnages déjà vus dans la "Spirale infernale" (Hatchi, le minotaure et le monstre). Quant aux planches, elles sont simplissimes, ce qui renforce l’impression de voguer dans un rêve . . . pour peu qu’on y soit sensible.
TNT (Mahler)
Voici une bonne petite bd d’ambiance. Pourtant le milieu de la boxe m’indiffère complètement mais Mahler réussi à créer une atmosphère avec un cachet particulier, un peu dans le style "tranche de vie d’un gars qui accumule les déboires". De plus, j’apprécie le trait de l’auteur qui fait très "dessins de presse". A lire !
Achille Talon
C’est sympa Achille Talon, des histoires intéressantes prétextes à de nombreuses tirades qui sortent du vocabulaire ordinaire donc oui pour la culture mais de là à l’acheter peut être pas. Une lecture de temps en temps lorsque l’on ne sait pas quoi se mettre sous la dent à la bibliothèque est quand même conseillée de ma part. Il faut connaître…
Noémie contre la Rumeur
Je ne connaissais pas particulièrement les oeuvres de Nicolas Poupon et je dois dire que j’ai été séduit par ses dessins. Le trait est simple, soigné et assez humoristique. De plus, les aplats chauds et les couleurs saturées rendent les planches très lumineuses et donc agréables à l’oeil. Par contre, tout comme Cassidy, j’ai été moins captivé par l’histoire clairement destinée aux enfants.
Un tango avec la mort
Curieux album que voici. Comme l’a souligné ThePatrick, les histoires courtes de ce recueil ne traitent pas exclusivement de la mort. Il y en a même une empreinte d’onirisme et de poésie (c’est d’ailleurs ma préférée). Je ne les ai pas toutes comprises (dont "le dessinateur d’arbres" ou "ma chère") et le plus navrant, je pense, est qu’il n’y a rien à comprendre pour celles là. Par contre, j’ai vraiment adoré "en route pour la lune" et plus simplement apprécié "la vie de monsieur T.", "une petite partie" ou encore "le petit clown dont personne ne voulait". Les autres récits présentent peu d’intérêt (dont "le théâtre des horreurs" et "camarades de jeux"). Bref, ces récits sont de qualité inégale ! Mais il n’en va pas de même heureusement pour les dessins d’Ulf K. que j’apprécie beaucoup. Le trait est épuré, l’encrage est propre. Enfin, l’application d’aplats noirs ajoute un plus incontestable au rendu des planches. Je pense que ce tome a été réédité avec un prix revu à la hausse (mais les histoires contées sont aussi plus nombreuses). A vérifier . . .