Nouvelle Série d'une nouvelle collection de Soleil : Soleil Levant.
Tout d'abord cette série, je l'ai achetée car elle commencait une nouvelle collection et le titre m'a fait tilt !
Parlons un peu de la BD, j'ai trouvé le thème assez original, le fait de pouvoir s'aventurer dans le pays des songes pour délivrer son amour est pas mal. L'histoire est bonne et les petites touches d'humour font sourire.
Au point de vue du dessin, il est pas mauvais mais pas top non plus, on sent que c'est un tome de départ. Les couleurs sont assez bien choisis même si parfois trop flashis pour l'époque, mais là ce n'est que détails.
Donc, Une nouvelle pas exceptionnelle mais je lirais le tome 2 s'il y en a un.
Arf ! trop drole, j'ai l'impression de relire Apple Seed, non pas dans le contexte de l'histoire (le fond est radicalement différent) mais dans la forme... je m'explique.
J'avais trouvé Apple Seed bordélique : Ghost in the shell l'est encore plus !En lisant les deux premiers tomes de cette série (ne comptez pas sur moi pour lire le troisième, hein ;)), j'ai l'impression que l'auteur se laisse embarquer par son histoire sans trop savoir ou il va, comme si il avait sauté l'étape du story board pour dessiner les différentes planches au jour le jour, comme ça, suivant son humeur. Ca donne un résultat vraiment, vraiment bancal... bon, pas de grosses contradictions non plus, mais un sentiment de... bah de bordel, tout simplement !
Le scénario d'Apple Seed, qui partait bien, se retrouvait vite noyé de termes techniques pour combler une faiblesse scénaristique évidente. Pareil pareil ! mais en pire ! Heureusement que l'on dispose d'un glossaire, d'ailleurs :) C'est très techos, très cyberspace et tout le tralala, l'idée de départ est originale mais vraiment trop confuse pour être correctement exploitée, à mon avis...
Le dessin de Masamune Shirow est quant à lui super fin... quel talent pour dessiner les femmes ! bon, l'édition de Glenat bousille un peu l'ensemble (papier de mauvaise qualité, entre autre), mais le resultat est correct... et sauve la série du 1/5 :)
Le sens de la mise en scène de Shirow est lui aussi assez puissant, c'est dynamique, actif, ca bouge dans tous les sens, et les cadrages sont assez originaux.
Par contre, niveau mise en couleur, c'est beaucoup trop informatique à mon gout...
Shirow est un grand dessinateur, mais qui doit à tout prix trouver un scénariste correct ! Pour moi, la réussite est à ce prix :)
Agreable à lire les dessins sont plutot bon malgres des couleurs qui elles sont moches tout simplement c'esr sympa mais rien d'extra quand meme il y a beaucoup mieux niveau Heroic fantasy
A lire
Le seul intérêt de cette série, c'est la minutie des dessins et le fait que ça se passe dans plusieurs villes de province: Arleston et Carrère saisissent bien l'environnement et l'ambiance propre à chaque cité (même s'ils caricaturent, chose assez inévitable). Ainsi, j'ai eu un vrai plaisir à la lecture de Propergol sur le Capitole, étant Toulousain moi-même. La vue aérienne sur le capitole est absolument sublime et il y a même mon ancien marchand de BD du Hussard Bleu , pote des auteurs (un gros barbu). Sorti de ça, on peut pas dire que les intrigues cassent trois pattes à un canard ni que les dialogues soient particulièrement brillants.
Désolé mais c'est comme ça !
Je me suis beaucoup ennuyé à lire ces trois tomes !
Bon et, quand aux dessins c'est de la très belle aquarelle, certes, mais bon c'est pas ce que je préfère moi !
Et l'histoire, et bien je n'aime pas ! Tout simplement ! Ho mon dieu que c'est tragique tout ça !!!!! C'est comme ça, moi ça me lourde.
Hmm...
Cet album est particulier à plus d'un titre. Pages noires peu remplies et parfois quasiment vides, dessin extrêmement sobre et peu expressif, la forme peut surprendre...
La narration se fait parfois de manière intéressante, une scène est "parsemée" en petits bouts dans l'album, entrecoupée d'autres morceaux, plus ou moins longs. L'effet ainsi crée est assez étrange, petits morceaux de souvenirs épars et rassemblés au fur et à mesure, décalage entre la lecture et la compréhension...
Mais bon, cela ne suffit pas. Chester Brown raconte une partie de son adolescence avec un regard d'observateur à la limite du clinique (j'entends par là froid, distant, impartial, sans concession), avec une sobriété confinant au dénuement. Et pour tout dire, je trouve cela très peu touchant. La "magie" n'ayant pas fonctionné sur moi, les autres qualités de cet album ne me sont pas apparues.
Bref, plus ennuyeux qu'autre chose. :(
Je suis très déçu. Après tous les avis plus que positifs lus sur BDT, je m'attendais à un truc extraordinaire de simplicité, de poésie et d'efficacité. Et en fait, si l'histoire est assez basique (un écrivain en mal d'inspiration part sur les traces d'un autre écrivain), je trouve que mis en BD, ça rend l'ensemble vraiment plat. J'imagine tout à fait ça en bouquin mais je ne vois pas ce que la mise en image peut apporter. Seule la chute trouve grace à mes yeux parce que concernant le développement de l'histoire j'ai effectivement eu l'impression de passer quelques mois à l'Amélie.
Ca, ça sent le jeune auteur persuadé de faire de la BD d’avant-garde alors que 20.000 autres avant lui ont déjà fait des choses exactement semblables. Les textes, qui se veulent ‘ach’ment profonds et oniriques, dépassent rarement le stade de la branlette mentale du gars qui se la joue artiste tourmenté et fragile. Le dessin fait quand même preuve d’un peu plus d’imagination (et évite donc le 1/5 à cette BD) à défaut d’être foncièrement original. Disons que ça ressemble tantôt à du Julie Doucet, tantôt au Sfar de Donjon Zénith, tantôt à qui vous voudrez parmi les « artistes indépendants », mais qu’il y a quand même une certaine créativité dans la façon de triturer les corps des personnages pour qu’ils reflètent leurs états d’âme. Vu le prix, c’est quand même assez faible comme argument pour se ruer sur ce titre.
Cette BD me rappelle Rantanplan, Morris s'est laissé emporter, cette BD n'est pas rigolote et Morris n'a pas travaillé le dessin. Honte a toi Morris de détruire Lucky d'une façon pareille ! Avec Goscinny ca aurait peut-être marché puisque Rantanplan me fait rigoler par ci par la, alors j'ai mis "bof".
Un mystère pour moi. Je trouve les dessins inégaux selon les scènes et mêmes les cases (ça va du beau au fouilli) et j'accroche difficilement à ce mélange western/fantastique. Le premier tome est assez symptomatique, le gamin dégaine ses pierres à tour de bras pour tuer les méchants; j'suis plus fan de western standard. N'étant pas non plus un grand admirateur de Gorn, je me dis que tout cela est finalement logique, je dois être trop lourdeau pour être touché par la poésie de Tiburce Oger.
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Le Souffleur de rêves
Nouvelle Série d'une nouvelle collection de Soleil : Soleil Levant. Tout d'abord cette série, je l'ai achetée car elle commencait une nouvelle collection et le titre m'a fait tilt ! Parlons un peu de la BD, j'ai trouvé le thème assez original, le fait de pouvoir s'aventurer dans le pays des songes pour délivrer son amour est pas mal. L'histoire est bonne et les petites touches d'humour font sourire. Au point de vue du dessin, il est pas mauvais mais pas top non plus, on sent que c'est un tome de départ. Les couleurs sont assez bien choisis même si parfois trop flashis pour l'époque, mais là ce n'est que détails. Donc, Une nouvelle pas exceptionnelle mais je lirais le tome 2 s'il y en a un.
The Ghost in the shell
Arf ! trop drole, j'ai l'impression de relire Apple Seed, non pas dans le contexte de l'histoire (le fond est radicalement différent) mais dans la forme... je m'explique. J'avais trouvé Apple Seed bordélique : Ghost in the shell l'est encore plus !En lisant les deux premiers tomes de cette série (ne comptez pas sur moi pour lire le troisième, hein ;)), j'ai l'impression que l'auteur se laisse embarquer par son histoire sans trop savoir ou il va, comme si il avait sauté l'étape du story board pour dessiner les différentes planches au jour le jour, comme ça, suivant son humeur. Ca donne un résultat vraiment, vraiment bancal... bon, pas de grosses contradictions non plus, mais un sentiment de... bah de bordel, tout simplement ! Le scénario d'Apple Seed, qui partait bien, se retrouvait vite noyé de termes techniques pour combler une faiblesse scénaristique évidente. Pareil pareil ! mais en pire ! Heureusement que l'on dispose d'un glossaire, d'ailleurs :) C'est très techos, très cyberspace et tout le tralala, l'idée de départ est originale mais vraiment trop confuse pour être correctement exploitée, à mon avis... Le dessin de Masamune Shirow est quant à lui super fin... quel talent pour dessiner les femmes ! bon, l'édition de Glenat bousille un peu l'ensemble (papier de mauvaise qualité, entre autre), mais le resultat est correct... et sauve la série du 1/5 :) Le sens de la mise en scène de Shirow est lui aussi assez puissant, c'est dynamique, actif, ca bouge dans tous les sens, et les cadrages sont assez originaux. Par contre, niveau mise en couleur, c'est beaucoup trop informatique à mon gout... Shirow est un grand dessinateur, mais qui doit à tout prix trouver un scénariste correct ! Pour moi, la réussite est à ce prix :)
Elfquest (Le Pays des Elfes)
Agreable à lire les dessins sont plutot bon malgres des couleurs qui elles sont moches tout simplement c'esr sympa mais rien d'extra quand meme il y a beaucoup mieux niveau Heroic fantasy A lire
Léo Loden
Le seul intérêt de cette série, c'est la minutie des dessins et le fait que ça se passe dans plusieurs villes de province: Arleston et Carrère saisissent bien l'environnement et l'ambiance propre à chaque cité (même s'ils caricaturent, chose assez inévitable). Ainsi, j'ai eu un vrai plaisir à la lecture de Propergol sur le Capitole, étant Toulousain moi-même. La vue aérienne sur le capitole est absolument sublime et il y a même mon ancien marchand de BD du Hussard Bleu , pote des auteurs (un gros barbu). Sorti de ça, on peut pas dire que les intrigues cassent trois pattes à un canard ni que les dialogues soient particulièrement brillants.
Le Roi Cyclope
Désolé mais c'est comme ça ! Je me suis beaucoup ennuyé à lire ces trois tomes ! Bon et, quand aux dessins c'est de la très belle aquarelle, certes, mais bon c'est pas ce que je préfère moi ! Et l'histoire, et bien je n'aime pas ! Tout simplement ! Ho mon dieu que c'est tragique tout ça !!!!! C'est comme ça, moi ça me lourde.
Je ne t'ai jamais aimé
Hmm... Cet album est particulier à plus d'un titre. Pages noires peu remplies et parfois quasiment vides, dessin extrêmement sobre et peu expressif, la forme peut surprendre... La narration se fait parfois de manière intéressante, une scène est "parsemée" en petits bouts dans l'album, entrecoupée d'autres morceaux, plus ou moins longs. L'effet ainsi crée est assez étrange, petits morceaux de souvenirs épars et rassemblés au fur et à mesure, décalage entre la lecture et la compréhension... Mais bon, cela ne suffit pas. Chester Brown raconte une partie de son adolescence avec un regard d'observateur à la limite du clinique (j'entends par là froid, distant, impartial, sans concession), avec une sobriété confinant au dénuement. Et pour tout dire, je trouve cela très peu touchant. La "magie" n'ayant pas fonctionné sur moi, les autres qualités de cet album ne me sont pas apparues. Bref, plus ennuyeux qu'autre chose. :(
Quelques Mois à l'Amélie
Je suis très déçu. Après tous les avis plus que positifs lus sur BDT, je m'attendais à un truc extraordinaire de simplicité, de poésie et d'efficacité. Et en fait, si l'histoire est assez basique (un écrivain en mal d'inspiration part sur les traces d'un autre écrivain), je trouve que mis en BD, ça rend l'ensemble vraiment plat. J'imagine tout à fait ça en bouquin mais je ne vois pas ce que la mise en image peut apporter. Seule la chute trouve grace à mes yeux parce que concernant le développement de l'histoire j'ai effectivement eu l'impression de passer quelques mois à l'Amélie.
Douce confusion
Ca, ça sent le jeune auteur persuadé de faire de la BD d’avant-garde alors que 20.000 autres avant lui ont déjà fait des choses exactement semblables. Les textes, qui se veulent ‘ach’ment profonds et oniriques, dépassent rarement le stade de la branlette mentale du gars qui se la joue artiste tourmenté et fragile. Le dessin fait quand même preuve d’un peu plus d’imagination (et évite donc le 1/5 à cette BD) à défaut d’être foncièrement original. Disons que ça ressemble tantôt à du Julie Doucet, tantôt au Sfar de Donjon Zénith, tantôt à qui vous voudrez parmi les « artistes indépendants », mais qu’il y a quand même une certaine créativité dans la façon de triturer les corps des personnages pour qu’ils reflètent leurs états d’âme. Vu le prix, c’est quand même assez faible comme argument pour se ruer sur ce titre.
Kid Lucky
Cette BD me rappelle Rantanplan, Morris s'est laissé emporter, cette BD n'est pas rigolote et Morris n'a pas travaillé le dessin. Honte a toi Morris de détruire Lucky d'une façon pareille ! Avec Goscinny ca aurait peut-être marché puisque Rantanplan me fait rigoler par ci par la, alors j'ai mis "bof".
La Piste des Ombres
Un mystère pour moi. Je trouve les dessins inégaux selon les scènes et mêmes les cases (ça va du beau au fouilli) et j'accroche difficilement à ce mélange western/fantastique. Le premier tome est assez symptomatique, le gamin dégaine ses pierres à tour de bras pour tuer les méchants; j'suis plus fan de western standard. N'étant pas non plus un grand admirateur de Gorn, je me dis que tout cela est finalement logique, je dois être trop lourdeau pour être touché par la poésie de Tiburce Oger.