J'aimerais vraiment savoir lequel de Pellet ou Latil est un psychopate !!!!
C'est pas vrai ! Toutes les pages, ya sois un bras qui tombe, une tête coupée ... il faudrait se calmer, c'est quand même exageré !
Pourtant le contexte avait l'air très bien, l'histoire d'un peuple persécuté par les autres .. on aurait pu faire mieux quand même !
J’adore la bd et je suis toujours prêt à applaudir des deux mains l’auteur de bd qui ose aborder un sujet sérieux, comme la maladie, la guerre, l’histoire, la mort, la culture des petits pois en basse-provence… que sais-je encore. C’est à chaque fois l’opportunité de montrer que la bd, tout autant qu’un autre art est une forme d’expression à part entière, complète, suffisante à elle-même et n’ayant aucune limite intrinsèque.
L’ennui avec cet album, et toute la médiatisation qui l’a entouré, c’est qu’ici, le grand sujet se transforme vite en sujet casse-gueule. Parce que, franchement, je le dis : Sandrine Revel n’a rien à dire sur le sujet. A part se la jouer façon « j’étais à New York le 11 septembre », elle n’a pas grand-chose d’autre à revendiquer. Non seulement, elle ne nous apprend rien sur la catastrophe elle-même, mais en plus, elle n’apporte rien de particulier, aucun véritable angle, aucun ton particulier, aucune hypothèse sur la signification de cette tragédie. Elle raconte juste SON 11 septembre et la question que je me pose c’est : « quelle légitimité a-t-elle ? », non pas qu’il faille une autorisation pour écrire son 11 septembre, mais qu’est-ce qui fait qu’elle aurait quelque chose de plus particulier à dire que les centaines de gars qui en ont échappés de justesse et font la file sur les plateaux de télé pour vendre leur bouquin ?
C’est pourtant dans son nombrilisme qu’elle trouve un embryon de légitimation. Elle a perdu son frère peu avant le 11 septembre et vit durement son deuil lorsqu’elle est en voyage à New York. Du coup « son deuil personnel croise la trajectoire d’une tragédie planétaire » (dixit l’éditeur). Il y avait là assurément l’embryon d’un développement intéressant, elle aurait pu confronter à sa manière la mort d’un individu à celle de milliers d’êtres, s’interroger sur la nature du deuil et la violence de l’accident, de l’imprévu… malheureusement tout cela ne restera qu’embryonnaire, le parallèle est juste fait, on a même l’impression qu’elle justifie sa parole grâce à la mort de son frère, je suis désolé, cela ne me convainc pas, elle en dit trop ou pas assez ! C’est plus loin qu’il aurait fallu aller, quitte à être moins pudique, plus sordide, plus intime et exhibitionniste, à l’instar d’un David B. dans l’Ascension du haut-mal. Au lieu de ça, elle s’empêtre dans sa propre pudeur et livre un ouvrage mou, sans véritable consistance de fond, sans angle et sans ton particulier qui le distinguerait des milliers d’autres témoignages écrits ou filmés sur le sujet.
Je laisse juste deux étoiles pour la seule scène du livre qui m’a convaincu, celle où elle s’évanouit, s’envole vers la fumée des tours et s’imagine au milieu d’un empilement monstrueux de corps. Là seulement, la BD apportait quelque chose, une imagerie particulière et questionnait PAR l’IMAGE le rapport de l’individu à la masse sacrifiée sur l'autel de la connerie humaine.
Une BD agréable, autant par le dessin que par le scénario. Cependant, je n'accroche pas complètement à l'histoire. Peut être que la suite me donnera tort, mais pour le moment, on est assez attentiste dans ce monde ou finalement assez peu de choses semblent se passer. Pourtant quand on regarde de plus près, il semble y avoir de la matière, mais cela manque de pèche. Ce n'est pas désagréable loin de là, c'est divertissant, mais sans plus.
Franchement, s’il y a bien une chose qui m’énerve dans le principe d’une « série » c’est quand le scénariste ne considère plus les albums comme des entités plus ou moins indépendantes (tout du moins des « chapitres ») mais comme de simples tranches d’une même histoire coupée toutes les 46 planches. Ici, c’est franchement le cas, et cette histoire aurait franchement pu tenir en un seul album, si ce scénariste avait eu le sens de l’ellipse, de la concision et de l’essentiel. Ce qui est loin d’être le cas. Son histoire est extrêmement linéaire, remplie de scènes dispensables, son intérêt est diluée au fil de pages certes belles, mais souvent bien creuse. Ca se veut poétique et allégorique, mais il n’y a pas plus de magie là dedans que dans le plus mauvais des Walt Disney, c’est banal, gentillet, un peu vain, seules les 13 dernières planches me semblent réellement intéressantes, le reste est plein de métaphores vides et creuses au possible. Pour moi, il suffit de comparer cette série à un film comme « Le Voyage de Chihiro » de Miyazaki, pour comprendre, sur un sujet semblable, à quel point le premier n’est qu’esbroufe là où le deuxième est un film subtil, toujours double, interprétable à différents niveaux. En comparaison, MangeCoeur est très « premier degré ». Franchement dispensable.
Le moins qu'on puisse dire c'est que le format inhabituel et la couverture sont plutôt accrocheurs...
En revanche le style des illustrations ne me plait pas vraiment... je trouve l'ensemble froid et figé...Le choix des couleurs est bon, meme très bon, mais n'apporte aucun dynamisme à ces pages où le mouvement est plus suggéré que montré...peut-être est-ce volontaire, pour établir une adéquation avec l'histoire, toute en sous entendus et en non-dits...
Ce que j'apprécie surtout dans le scénario ce sont tous les rapports de domination, de séduction, d'autorité et d'amitié qui se mettent en place progressivement...le contexte est original et bien traité pour l'instant...
Deux personnes mises ensemble forment une association mais trois personnes forment une société, et tous les liens hiérarchiques apparaissent d'eux-memes.
Trois vierges, c'est pas mauvais, mais il va falloir que la suite de l'histoire soit convaincante...
Une exposition de la situation un peu confuse, certains passages franchement obscurs...mais en revanche des personnages attachants et bien dépeints...
Certains élements du scénario laissent présager de belles choses...et côté dessin, ben les belles choses sont déjà là...c'est plutôt réussi meme si certaines cases sont un peu "plombées" par une surcharge de détails...
Pour un premier tome, ça peut être prometteur mais il faut attendre la suite...
La lecture n'en est pas indispensable pour le moment.
Je suis assez d'accord avec le commentaire précédent.
Ces deux bds ne sont pas terriblement bien dessinées... c'est le moins que l'on puisse dire.
L'histoire ne tient pas trop la route. Le pseudo-scientifique m'énerve. Le scénariste croit-il que le simple fait d'utiliser des mots compliqués rend les gens intelligents ?
En résumé, si vous n'avez rien d'autre à lire, vous pouvez vous risquer... mais avec la quantité de bonnes bds qui sortent, cet achat n'est pas à recommander.
Ouh la, quelle deception... J'avoue avoir sauté sur cette série, encouragé pas la présence de Corbeyran au scénario...J'aurais mieux fait d'y réfléchir à deux fois.
Le dessin tout d'abord. Si certains plans, et notamment tout ce qui concerne les bateaux, avions et autres plateformes sont très réussis. Mais les personnages sont stéréotypés et pas toujours bien terminés. Le scénario est simple pour ne pas dire simpliste: tout s'enchaine avec facilité, sans relief. Ces trois héros manquent cruellement de personnalité. Deux scénaristes, dont celui du Chant des Stryges, pour en arriver là...
Point fort: avoir délivré l'enquête en entier.Pour le reste... Je n'aime pas critiquer une BD, mais dans ce cas je pense vraimmet qu'Imago Mundi est un produit mal fini, qui ne peut s'améliorer que si l'ensemble est reposé à plat et beaucoup plus chiadé.
Et bien moi je ne suis pas convaincu du tout par cette BD ! Certes, les dessins genre vieilles photos sont très beaux, mais j'ai du mal à croire que ce personnage ait réellement vécu toutes ces incroyables histoires. Ça me semble trop et ça finit par me lasser !
La cadre historique de cet album est crédible et intriguant. Passionant même ! Il est sûr qu'après la défaite allemande se sont jouées dans l'est de l'Europe de drôles de manigances entre Américains, Russes, rescapés Allemands et rébellion ukrainienne. Le héros de cet histoire, Anton Six, se révèle même être un agent sionniste au service des américains, s'infiltrant au sein d'un groupe de Nazis irréductibles afin de récupérer chez des résistants Ukrainiens, un document dénonçant la complaisance Stalinienne envers le génocide juif. Un peu compliqué tout ça, non? Mais c'est pourtant cette complexité qui rend l'album crédible et intéressant. Parce que malheureusement côté personnage et déroulement de l'action, tout cela est un peu trop morne et académique à mon goût. Et cela malgré un dessin élégant d'Arno.
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Les Guerriers
J'aimerais vraiment savoir lequel de Pellet ou Latil est un psychopate !!!! C'est pas vrai ! Toutes les pages, ya sois un bras qui tombe, une tête coupée ... il faudrait se calmer, c'est quand même exageré ! Pourtant le contexte avait l'air très bien, l'histoire d'un peuple persécuté par les autres .. on aurait pu faire mieux quand même !
Le 11e Jour
J’adore la bd et je suis toujours prêt à applaudir des deux mains l’auteur de bd qui ose aborder un sujet sérieux, comme la maladie, la guerre, l’histoire, la mort, la culture des petits pois en basse-provence… que sais-je encore. C’est à chaque fois l’opportunité de montrer que la bd, tout autant qu’un autre art est une forme d’expression à part entière, complète, suffisante à elle-même et n’ayant aucune limite intrinsèque. L’ennui avec cet album, et toute la médiatisation qui l’a entouré, c’est qu’ici, le grand sujet se transforme vite en sujet casse-gueule. Parce que, franchement, je le dis : Sandrine Revel n’a rien à dire sur le sujet. A part se la jouer façon « j’étais à New York le 11 septembre », elle n’a pas grand-chose d’autre à revendiquer. Non seulement, elle ne nous apprend rien sur la catastrophe elle-même, mais en plus, elle n’apporte rien de particulier, aucun véritable angle, aucun ton particulier, aucune hypothèse sur la signification de cette tragédie. Elle raconte juste SON 11 septembre et la question que je me pose c’est : « quelle légitimité a-t-elle ? », non pas qu’il faille une autorisation pour écrire son 11 septembre, mais qu’est-ce qui fait qu’elle aurait quelque chose de plus particulier à dire que les centaines de gars qui en ont échappés de justesse et font la file sur les plateaux de télé pour vendre leur bouquin ? C’est pourtant dans son nombrilisme qu’elle trouve un embryon de légitimation. Elle a perdu son frère peu avant le 11 septembre et vit durement son deuil lorsqu’elle est en voyage à New York. Du coup « son deuil personnel croise la trajectoire d’une tragédie planétaire » (dixit l’éditeur). Il y avait là assurément l’embryon d’un développement intéressant, elle aurait pu confronter à sa manière la mort d’un individu à celle de milliers d’êtres, s’interroger sur la nature du deuil et la violence de l’accident, de l’imprévu… malheureusement tout cela ne restera qu’embryonnaire, le parallèle est juste fait, on a même l’impression qu’elle justifie sa parole grâce à la mort de son frère, je suis désolé, cela ne me convainc pas, elle en dit trop ou pas assez ! C’est plus loin qu’il aurait fallu aller, quitte à être moins pudique, plus sordide, plus intime et exhibitionniste, à l’instar d’un David B. dans l’Ascension du haut-mal. Au lieu de ça, elle s’empêtre dans sa propre pudeur et livre un ouvrage mou, sans véritable consistance de fond, sans angle et sans ton particulier qui le distinguerait des milliers d’autres témoignages écrits ou filmés sur le sujet. Je laisse juste deux étoiles pour la seule scène du livre qui m’a convaincu, celle où elle s’évanouit, s’envole vers la fumée des tours et s’imagine au milieu d’un empilement monstrueux de corps. Là seulement, la BD apportait quelque chose, une imagerie particulière et questionnait PAR l’IMAGE le rapport de l’individu à la masse sacrifiée sur l'autel de la connerie humaine.
Lock
Une BD agréable, autant par le dessin que par le scénario. Cependant, je n'accroche pas complètement à l'histoire. Peut être que la suite me donnera tort, mais pour le moment, on est assez attentiste dans ce monde ou finalement assez peu de choses semblent se passer. Pourtant quand on regarde de plus près, il semble y avoir de la matière, mais cela manque de pèche. Ce n'est pas désagréable loin de là, c'est divertissant, mais sans plus.
MangeCoeur
Franchement, s’il y a bien une chose qui m’énerve dans le principe d’une « série » c’est quand le scénariste ne considère plus les albums comme des entités plus ou moins indépendantes (tout du moins des « chapitres ») mais comme de simples tranches d’une même histoire coupée toutes les 46 planches. Ici, c’est franchement le cas, et cette histoire aurait franchement pu tenir en un seul album, si ce scénariste avait eu le sens de l’ellipse, de la concision et de l’essentiel. Ce qui est loin d’être le cas. Son histoire est extrêmement linéaire, remplie de scènes dispensables, son intérêt est diluée au fil de pages certes belles, mais souvent bien creuse. Ca se veut poétique et allégorique, mais il n’y a pas plus de magie là dedans que dans le plus mauvais des Walt Disney, c’est banal, gentillet, un peu vain, seules les 13 dernières planches me semblent réellement intéressantes, le reste est plein de métaphores vides et creuses au possible. Pour moi, il suffit de comparer cette série à un film comme « Le Voyage de Chihiro » de Miyazaki, pour comprendre, sur un sujet semblable, à quel point le premier n’est qu’esbroufe là où le deuxième est un film subtil, toujours double, interprétable à différents niveaux. En comparaison, MangeCoeur est très « premier degré ». Franchement dispensable.
3 Vierges
Le moins qu'on puisse dire c'est que le format inhabituel et la couverture sont plutôt accrocheurs... En revanche le style des illustrations ne me plait pas vraiment... je trouve l'ensemble froid et figé...Le choix des couleurs est bon, meme très bon, mais n'apporte aucun dynamisme à ces pages où le mouvement est plus suggéré que montré...peut-être est-ce volontaire, pour établir une adéquation avec l'histoire, toute en sous entendus et en non-dits... Ce que j'apprécie surtout dans le scénario ce sont tous les rapports de domination, de séduction, d'autorité et d'amitié qui se mettent en place progressivement...le contexte est original et bien traité pour l'instant... Deux personnes mises ensemble forment une association mais trois personnes forment une société, et tous les liens hiérarchiques apparaissent d'eux-memes. Trois vierges, c'est pas mauvais, mais il va falloir que la suite de l'histoire soit convaincante...
L'Arche
Une exposition de la situation un peu confuse, certains passages franchement obscurs...mais en revanche des personnages attachants et bien dépeints... Certains élements du scénario laissent présager de belles choses...et côté dessin, ben les belles choses sont déjà là...c'est plutôt réussi meme si certaines cases sont un peu "plombées" par une surcharge de détails... Pour un premier tome, ça peut être prometteur mais il faut attendre la suite... La lecture n'en est pas indispensable pour le moment.
Imago Mundi
Je suis assez d'accord avec le commentaire précédent. Ces deux bds ne sont pas terriblement bien dessinées... c'est le moins que l'on puisse dire. L'histoire ne tient pas trop la route. Le pseudo-scientifique m'énerve. Le scénariste croit-il que le simple fait d'utiliser des mots compliqués rend les gens intelligents ? En résumé, si vous n'avez rien d'autre à lire, vous pouvez vous risquer... mais avec la quantité de bonnes bds qui sortent, cet achat n'est pas à recommander.
Imago Mundi
Ouh la, quelle deception... J'avoue avoir sauté sur cette série, encouragé pas la présence de Corbeyran au scénario...J'aurais mieux fait d'y réfléchir à deux fois. Le dessin tout d'abord. Si certains plans, et notamment tout ce qui concerne les bateaux, avions et autres plateformes sont très réussis. Mais les personnages sont stéréotypés et pas toujours bien terminés. Le scénario est simple pour ne pas dire simpliste: tout s'enchaine avec facilité, sans relief. Ces trois héros manquent cruellement de personnalité. Deux scénaristes, dont celui du Chant des Stryges, pour en arriver là... Point fort: avoir délivré l'enquête en entier.Pour le reste... Je n'aime pas critiquer une BD, mais dans ce cas je pense vraimmet qu'Imago Mundi est un produit mal fini, qui ne peut s'améliorer que si l'ensemble est reposé à plat et beaucoup plus chiadé.
La guerre d'Alan
Et bien moi je ne suis pas convaincu du tout par cette BD ! Certes, les dessins genre vieilles photos sont très beaux, mais j'ai du mal à croire que ce personnage ait réellement vécu toutes ces incroyables histoires. Ça me semble trop et ça finit par me lasser !
Anton Six
La cadre historique de cet album est crédible et intriguant. Passionant même ! Il est sûr qu'après la défaite allemande se sont jouées dans l'est de l'Europe de drôles de manigances entre Américains, Russes, rescapés Allemands et rébellion ukrainienne. Le héros de cet histoire, Anton Six, se révèle même être un agent sionniste au service des américains, s'infiltrant au sein d'un groupe de Nazis irréductibles afin de récupérer chez des résistants Ukrainiens, un document dénonçant la complaisance Stalinienne envers le génocide juif. Un peu compliqué tout ça, non? Mais c'est pourtant cette complexité qui rend l'album crédible et intéressant. Parce que malheureusement côté personnage et déroulement de l'action, tout cela est un peu trop morne et académique à mon goût. Et cela malgré un dessin élégant d'Arno.