En voyant ces deux couvertures, on pense à une histoire digne de ce scénariste... Mais après avoir lu une vingtaine de pages, l'énigme originale perd de son intensité pour finalement devenir une aventure banale... Et comme le dessin n'est pas génial ( photoshop and co...), c'est tout vu.
Une BD vraiment chelou.
Les dessins sont d'un style que je n'aime pas: de gros trais noirs avec des couleurs trop unies et flashy. C'est trop enfantin.
Et l'histoire heu ben y a pas vraiment d'histoire, juste des scènes de vie avec des éléments fantastiques dont on se demande ce qu'ils viennent faire là.
Enfin bon je trouve cette BD un peu sans intéret.
Gong! Astier : 1 - JBT900 : 0 ;)
Je dois avouer que je suis plutôt déçu par cette BD dont j'attendais beaucoup (couverture fabuleuse!). Et à la manière du thème développé dans cette œuvre, je me couche et abandonne.
Pourquoi tant de haine? Bien, essayons d'aborder les choses de façon claire :)
- Les couleurs tout d'abord : le noir et blanc j'adore. Franchement j'en lis de plus en plus et je n'ai pas souvent été déçu. Le jeu des contrastes entre le noir et le blanc permet de créer des effets saisissants. Ici Astier nous montre de la bonne volonté, un talent certain mais qui m'a paru un brin emprunté, un peu comme du sous-Miller. Ca manque d'assurance, d'aisance, et parfois je me suis posé la question du choix des contrastes sur telle ou telle case (pourquoi la robe de la fille est blanche là, je l'aurai plutôt vue noire, et 3 cases après plutôt le contraire) chose que je ne me suis jamais demandé à la lecture de Sin City pour ne parler que de Miller. Astier n'a pas encore 30 ans de métier dans les pattes et ça se sent, mais s'il continue à progresser, il est évident qu'il peut s'imposer comme un grand du N&B (c'est tout le mal que je lui souhaite). Bon attention, c'est quand même pas mal du tout hein, bien mieux que pas mal d'autres N&B! Pourquoi ? A cause, ou plutôt grâce au découpage.
- Le découpage : et bien oui, c'est quand même là l'aspect que j'ai trouvé le mieux réussi dans cette BD. Les conventions classiques du découpage "à-la-papa" sont ici oubliées, enfreintes et ce pour le plus grand bien de l'histoire. De plus la ligne narrative mélange le commentaire du matche avec les interrogations du boxeur, permettant de donner encore plus d'ampleur aux histoires qui se mêlent et qui sont suivies en parallèle. Encore une fois, Astier fait montre ici d'un vrai gros potentiel qui risque bien d'exploser dans ses prochains albums.
- Le dessin en tant que tel : c'est très irrégulier :( Certaines planches sont vraiment réussies, et d'autres sont nettement en retrait. Bon, là c'est bien entendu un avis très subjectif : on aime ou on aime pas un dessin, mais on ne peut pas dire que c'est mauvais dans le cas d'Astier. C'est juste que je n'accroche pas sur certains plans que je trouve un peu bâclés, et c'est d'autant plus dommage que sur d'autres, on sent "quelque chose". Bien entendu mon avis sur le dessin est intimement mêlé au traitement du N&B évoqué plus haut. Les allégories (la scène de la corrida, la scène du combattant casqué façon le labyrinthe et le Minotaure) ne m'ont pas du tout fait saliver la pupille par leur dessin mais plus par leur force évocatrice.
- Le scénario : bon là c'est vraiment là que le bat blesse :( Je me suis presque emm… à finir cette BD. Et pour rejoindre ce que dit Kael, si je l'ai terminée c'est plus pour jouir du découpage et du traitement narratif de l'histoire que de l'histoire en elle-même. Les personnages n'ont aucun relief, aucune saveur, et paraissent interchangeables avec bien d'autres fictions BD. Même si plusieurs lignes conductrices sont suivies en parallèle, on n'est pas vraiment surpris par l'évolution de l'histoire tant on suppose et tant on devine à priori tout ce qu'il va se passer, ou presque. De plus, j'ai regretté le manque d'introspection du personnage principal, on suit bien le cheminement de son raisonnement, depuis son plan jusqu'à la fin mais j'ai regretté l'absence d'un réel travail psychologique, chose à laquelle je suis particulièrement attaché dans une œuvre de fiction; d'autant plus lorsqu'elle sent le vrai comme cette BD.
Pour résumer, je dirai donc que je n'achèterai pas cette BD, que je ne la relirai certainement pas ou alors avant un moment, mais que je vais garder un œil attentif sur les prochaines productions de Laurent Astier qui à mon avis n'en reste pas moins un réel artiste.
je suis loin d'etre aussi enthousiaste sur cette bd que mes 3 predecesseurs, et je le regrette... j'avais tres envie d'aimer cette bd, la couv m'ayant bien accroché.
en fait, j'etais prevenu que le fond de cette bd etait assez banal dans le genre boxeur qui doit se coucher etc, et je ne peux que le confirmer. C'est quand meme dommage de se contenter de si peu. On voit que ça n'a pas été la partie la plus travaillée par l'auteur, et j'ai du mal à comprendre pourquoi en fait. Pourquoi chercher à avoir une histoire si banale, vue et revue des 100aines de fois dans les plus mauvais films ? il voulait baser l'originalité et l'interet de la BD sur le decoupage, les cadrages, et le dessin ? mouais, admettons, mais ça n'empechait pas un petit effort scenaristique...
apres, ok, c'est vrai que la mise en page est interessante dans l'ensemble. C'est vrai aussi que le dessin est bon (bien plus que dans cirk) mais ça ne compense pas le manque de scenar...
en gros, j'ai lu cette bd non par envie de connaitre la suite de l'histoire, parce que la fin, on la comprend dès les 1eres pages, mais plutot pour voir le travail effectué sur la mise en page. Bref, par curiosité... c'est un peu mince à mon gout.
On peut certes reprocher à Begbeider de cracher dans la soupe ou de surfer sur une vague de facilité mais il faut lui reconnaître un certain talent d'écrivain, pas vraiment pour la beauté de son style (n'est pas Céline qui veut), plutôt pour l'originalité, l'ironie et la lucidité dont il fait preuve, même si son cynisme est parfois un peu facile.
Malgré ses indéniables qualités, on voit avec cette série que même en s'appelant Begbeider, on ne s'improvise pas scénariste de BD d'un coup de baguette magique (n'est pas Dorison qui veut). Le scénar est plat et caricatural, l'ensemble est très convenu et franchement facile. Le tome 2, un poil plus réussi est nettement plus drôle mais pas vraiment plus fin.
Le dessin de Bertrand est quant à lui assez spécial, assez froid mais plutôt original. Je peux pas dire que je sois fou amoureux de ses proportions ou de ses couleurs mais à la différence du scénar de Begbeider, on voit clairement que ce n'est pas le travail d'un débutant qui se serait trompé de média.
J'ai hésité à mettre trois étoiles parce que marmot j'aimais bien. Mais j'en ai relu un y a pas très longtemps et c'est vrai que ça a mal vieilli quand même. La ligne claire d'Hergé ne me fait pas super kiffer et les gags sont quand même assez faciles. Je mets 2 mais c'est pas un mauvais 2; y a quand même pire dans le genre (style Jo, Zette et Jocko).
ça pour être barbare, elle est barbre cette serie !
Enchainant les viols, les massacres, les pillages, les batailles, cette serie n' est pas conseiller au ames sensibles !
Le scénario est vraiment nul, cette BD est le comble de l' immoralité
Ni franchement ratée, ni vraiment réussie, cette BD vaut surtout pour son dénouement inattendu. À part ça, pas grand'chose à se mettre sous la dent : je n'aime pas trop le dessin (je trouve moi aussi que c'est un peu du sous-Sfar, et j'adore pas Sfar), l'intrigue n'est pas très développée, les personnages meurent sans même avoir eu le temps d'exister vraiment... C'est pas complètement déplaisant à lire lais ça ne décolle jamais ; pas moyen de s'enthousiasmer, et on s'ennuie même un peu par moments... Bref, je crois qu'on peut sans regret faire l'impasse sur ce titre, même s'il n'est pas à mettre à la poubelle.
J'aurais mis 3/5 à cette honnête série B si elle ne souffrait de deux défauts gênants : primo, elle est un poil trop bavarde (le héros s'écoute penser d'un bout à l'autre ; ça devient rapidement lassant), et secundo, le dessin oscille entre très moyen et moche. Dommage parce qu'à part ça, "Phenomenum" s'annonce pas trop mal ; disons au niveau d'une série télé américaine pas trop tarte (ça existe).
Une série B qui se lit facilement. C'est pas désagréable mais dans le genre il y a largement mieux. Le dessin est bon (ah, la tour Eiffel...!) même si je trouve les personnages moins réussis et froids. Le gros problème vient pour moi des couleurs "flash" à l'ordi sans aucune nuance. Le scénario est pas trop mal (même si on s'en lève pas la nuit).
Mais prévisible et vers la fin confus (qui est avec qui, qui a fait exploser quoi?)
Une série dont on m'a dit beaucoup (trop) de bien et qui finalement se trouve être très banale.
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Imago Mundi
En voyant ces deux couvertures, on pense à une histoire digne de ce scénariste... Mais après avoir lu une vingtaine de pages, l'énigme originale perd de son intensité pour finalement devenir une aventure banale... Et comme le dessin n'est pas génial ( photoshop and co...), c'est tout vu.
Le Silence de Malka
Une BD vraiment chelou. Les dessins sont d'un style que je n'aime pas: de gros trais noirs avec des couleurs trop unies et flashy. C'est trop enfantin. Et l'histoire heu ben y a pas vraiment d'histoire, juste des scènes de vie avec des éléments fantastiques dont on se demande ce qu'ils viennent faire là. Enfin bon je trouve cette BD un peu sans intéret.
Gong
Gong! Astier : 1 - JBT900 : 0 ;) Je dois avouer que je suis plutôt déçu par cette BD dont j'attendais beaucoup (couverture fabuleuse!). Et à la manière du thème développé dans cette œuvre, je me couche et abandonne. Pourquoi tant de haine? Bien, essayons d'aborder les choses de façon claire :) - Les couleurs tout d'abord : le noir et blanc j'adore. Franchement j'en lis de plus en plus et je n'ai pas souvent été déçu. Le jeu des contrastes entre le noir et le blanc permet de créer des effets saisissants. Ici Astier nous montre de la bonne volonté, un talent certain mais qui m'a paru un brin emprunté, un peu comme du sous-Miller. Ca manque d'assurance, d'aisance, et parfois je me suis posé la question du choix des contrastes sur telle ou telle case (pourquoi la robe de la fille est blanche là, je l'aurai plutôt vue noire, et 3 cases après plutôt le contraire) chose que je ne me suis jamais demandé à la lecture de Sin City pour ne parler que de Miller. Astier n'a pas encore 30 ans de métier dans les pattes et ça se sent, mais s'il continue à progresser, il est évident qu'il peut s'imposer comme un grand du N&B (c'est tout le mal que je lui souhaite). Bon attention, c'est quand même pas mal du tout hein, bien mieux que pas mal d'autres N&B! Pourquoi ? A cause, ou plutôt grâce au découpage. - Le découpage : et bien oui, c'est quand même là l'aspect que j'ai trouvé le mieux réussi dans cette BD. Les conventions classiques du découpage "à-la-papa" sont ici oubliées, enfreintes et ce pour le plus grand bien de l'histoire. De plus la ligne narrative mélange le commentaire du matche avec les interrogations du boxeur, permettant de donner encore plus d'ampleur aux histoires qui se mêlent et qui sont suivies en parallèle. Encore une fois, Astier fait montre ici d'un vrai gros potentiel qui risque bien d'exploser dans ses prochains albums. - Le dessin en tant que tel : c'est très irrégulier :( Certaines planches sont vraiment réussies, et d'autres sont nettement en retrait. Bon, là c'est bien entendu un avis très subjectif : on aime ou on aime pas un dessin, mais on ne peut pas dire que c'est mauvais dans le cas d'Astier. C'est juste que je n'accroche pas sur certains plans que je trouve un peu bâclés, et c'est d'autant plus dommage que sur d'autres, on sent "quelque chose". Bien entendu mon avis sur le dessin est intimement mêlé au traitement du N&B évoqué plus haut. Les allégories (la scène de la corrida, la scène du combattant casqué façon le labyrinthe et le Minotaure) ne m'ont pas du tout fait saliver la pupille par leur dessin mais plus par leur force évocatrice. - Le scénario : bon là c'est vraiment là que le bat blesse :( Je me suis presque emm… à finir cette BD. Et pour rejoindre ce que dit Kael, si je l'ai terminée c'est plus pour jouir du découpage et du traitement narratif de l'histoire que de l'histoire en elle-même. Les personnages n'ont aucun relief, aucune saveur, et paraissent interchangeables avec bien d'autres fictions BD. Même si plusieurs lignes conductrices sont suivies en parallèle, on n'est pas vraiment surpris par l'évolution de l'histoire tant on suppose et tant on devine à priori tout ce qu'il va se passer, ou presque. De plus, j'ai regretté le manque d'introspection du personnage principal, on suit bien le cheminement de son raisonnement, depuis son plan jusqu'à la fin mais j'ai regretté l'absence d'un réel travail psychologique, chose à laquelle je suis particulièrement attaché dans une œuvre de fiction; d'autant plus lorsqu'elle sent le vrai comme cette BD. Pour résumer, je dirai donc que je n'achèterai pas cette BD, que je ne la relirai certainement pas ou alors avant un moment, mais que je vais garder un œil attentif sur les prochaines productions de Laurent Astier qui à mon avis n'en reste pas moins un réel artiste.
Gong
je suis loin d'etre aussi enthousiaste sur cette bd que mes 3 predecesseurs, et je le regrette... j'avais tres envie d'aimer cette bd, la couv m'ayant bien accroché. en fait, j'etais prevenu que le fond de cette bd etait assez banal dans le genre boxeur qui doit se coucher etc, et je ne peux que le confirmer. C'est quand meme dommage de se contenter de si peu. On voit que ça n'a pas été la partie la plus travaillée par l'auteur, et j'ai du mal à comprendre pourquoi en fait. Pourquoi chercher à avoir une histoire si banale, vue et revue des 100aines de fois dans les plus mauvais films ? il voulait baser l'originalité et l'interet de la BD sur le decoupage, les cadrages, et le dessin ? mouais, admettons, mais ça n'empechait pas un petit effort scenaristique... apres, ok, c'est vrai que la mise en page est interessante dans l'ensemble. C'est vrai aussi que le dessin est bon (bien plus que dans cirk) mais ça ne compense pas le manque de scenar... en gros, j'ai lu cette bd non par envie de connaitre la suite de l'histoire, parce que la fin, on la comprend dès les 1eres pages, mais plutot pour voir le travail effectué sur la mise en page. Bref, par curiosité... c'est un peu mince à mon gout.
Rester Normal
On peut certes reprocher à Begbeider de cracher dans la soupe ou de surfer sur une vague de facilité mais il faut lui reconnaître un certain talent d'écrivain, pas vraiment pour la beauté de son style (n'est pas Céline qui veut), plutôt pour l'originalité, l'ironie et la lucidité dont il fait preuve, même si son cynisme est parfois un peu facile. Malgré ses indéniables qualités, on voit avec cette série que même en s'appelant Begbeider, on ne s'improvise pas scénariste de BD d'un coup de baguette magique (n'est pas Dorison qui veut). Le scénar est plat et caricatural, l'ensemble est très convenu et franchement facile. Le tome 2, un poil plus réussi est nettement plus drôle mais pas vraiment plus fin. Le dessin de Bertrand est quant à lui assez spécial, assez froid mais plutôt original. Je peux pas dire que je sois fou amoureux de ses proportions ou de ses couleurs mais à la différence du scénar de Begbeider, on voit clairement que ce n'est pas le travail d'un débutant qui se serait trompé de média.
Quick et Flupke
J'ai hésité à mettre trois étoiles parce que marmot j'aimais bien. Mais j'en ai relu un y a pas très longtemps et c'est vrai que ça a mal vieilli quand même. La ligne claire d'Hergé ne me fait pas super kiffer et les gags sont quand même assez faciles. Je mets 2 mais c'est pas un mauvais 2; y a quand même pire dans le genre (style Jo, Zette et Jocko).
Chroniques Barbares
ça pour être barbare, elle est barbre cette serie ! Enchainant les viols, les massacres, les pillages, les batailles, cette serie n' est pas conseiller au ames sensibles ! Le scénario est vraiment nul, cette BD est le comble de l' immoralité
Banquise
Ni franchement ratée, ni vraiment réussie, cette BD vaut surtout pour son dénouement inattendu. À part ça, pas grand'chose à se mettre sous la dent : je n'aime pas trop le dessin (je trouve moi aussi que c'est un peu du sous-Sfar, et j'adore pas Sfar), l'intrigue n'est pas très développée, les personnages meurent sans même avoir eu le temps d'exister vraiment... C'est pas complètement déplaisant à lire lais ça ne décolle jamais ; pas moyen de s'enthousiasmer, et on s'ennuie même un peu par moments... Bref, je crois qu'on peut sans regret faire l'impasse sur ce titre, même s'il n'est pas à mettre à la poubelle.
Phenomenum
J'aurais mis 3/5 à cette honnête série B si elle ne souffrait de deux défauts gênants : primo, elle est un poil trop bavarde (le héros s'écoute penser d'un bout à l'autre ; ça devient rapidement lassant), et secundo, le dessin oscille entre très moyen et moche. Dommage parce qu'à part ça, "Phenomenum" s'annonce pas trop mal ; disons au niveau d'une série télé américaine pas trop tarte (ça existe).
Travis
Une série B qui se lit facilement. C'est pas désagréable mais dans le genre il y a largement mieux. Le dessin est bon (ah, la tour Eiffel...!) même si je trouve les personnages moins réussis et froids. Le gros problème vient pour moi des couleurs "flash" à l'ordi sans aucune nuance. Le scénario est pas trop mal (même si on s'en lève pas la nuit). Mais prévisible et vers la fin confus (qui est avec qui, qui a fait exploser quoi?) Une série dont on m'a dit beaucoup (trop) de bien et qui finalement se trouve être très banale.