J'ai du mal à partager l'enthousiasme des autres posteurs... Je n'ai lu que les trois premiers tomes et, jusqu'à présent, on dirait juste un épisode un peu trop long et pas génial des "Contes de la Crypte", dont la morale serait que, lorsqu'on est ado et qu'on veut tirer son coup ou consommer des substances illicites, on est toujours bien puni ; morale à laquelle j'avoue ne pas trop adhérer.
Je changerai peut-être d'avis après avoir lu la fin...
En tout cas, dans un genre assez proche, c'est 10 fois moins fort que le manga "Spirale".
Bon, moi, vous me connaissez, vous savez que je suis un jeune poète sensible écorché vif et tourmenté, épris d’absolu et de romantisme noir et désespéré (c’est fou les conneries que je peux écrire quand je m’y mets) et, en tant que tel, je ne pouvais qu’être attiré par le thème de cette BD. Hélas, ce fut une déception ; le traitement n’étant pas à la hauteur des sujets abordés. On aurait aimé en savoir plus sur la relation entre Barbara et Michael avant qu’elle ne parte complètement en couilles, pour pouvoir croire vraiment à leur amour passionnel. On aurait aimé (car on aime le sordide) que les auteurs fassent un peu plus qu’effleurer l’attirance de Barbara pour la souffrance et l’autodestruction, pour essayer de comprendre cette pauvre fille et de l’aimer un peu nous aussi. On aurait aimé autre chose qu’une conclusion aux flingues et au mysticisme de prisunic. On aurait aimé des dialogues moins prétentieux. Finalement, le seul truc pas trop décevant reste le graphisme, assez classe, et encore, ça fait un peu sous-Dave McKean…
Bref, je n’ai pas détesté, mais j’espérais beaucoup mieux.
Les couleurs sont vraiment somptueuses, bien réparties, lumineuses, et en accord parfait avec l'ambiance voulue par le scénario.
Les dessins sont dans le ton de l'histoire, à peine ébauchés, comme emprunts de timidité et de douceur.
Par contre je n'ai pas accroché sur le scénario, trop léger justement. Le personnage principal aurait mérité d'être plus creusé, pour constituer une vraie histoire, enfin, c'est une BD originale et c'est le style qu'ont voulu donner les auteurs je suppose.
Bon, voilà mon 1er western lu en BD suite au passage du père noël :) J'ai lu "On a tué Wild Bill" hier et je reste sur une impression mitigée.
Oui, les dessins sont franchement beaux mais je suis pas fan alors je suis resté un peu indifférent à cette beauté. Les femmes sont toutes horribles, les visages déformés, c'est étrange. L'histoire est très classique mais pour un western c'est ce qu'on demande, et les personnages habituels sont là, bien décrits. Le héros n'a pas inventé la poudre et ça au moins ça change un peu du classique western de l'âge d'or du cinéma, Melvin est plutot un looser qu'un Gary Grant.
Une nuit après cette lecture, j'ai une impression plus positive qu'en refermant l'album. Je pense qu'une seconde lecture va s'imposer car pour l'instant je suis resté sur ma faim, sans vraiment dire pourquoi.
Cette série commençait très bien, mais elle c'est embourbée.
Il est je trouve particulièrement gavant d'attendre très longtemps pour avoir un album, certe beau, mais dont l'intrigue ne semble pas beaucoup avancer et qui se termine sur un coup de théatre qui donne envi d'avoir la suite dès le mois suivant.
Donc très dommage, d'autant plus que la série aurait sûrement put être développée sous forme d'histoire complétes suivant la trame générale décrite par la saga.
Bref j'ai adoré au début, et passé les 5 ou 6 premier tomes j'ai décroché. Et ce n'est pas le feuilletage du tome 10 qui va me donner envi de m'y remettre... une fois de plus il se termine sur un cliffhanger désagréable.
Je m'acharne sur ce point, mais c'est à mon avis une immense erreur de terminer des albums ayant une périodicité au minimum annuelle comme des séries comics ou mangas, à la périodicité plus élevée.
Une ligne de dessin très classique mais qui sert des personnages hauts en couleur et vraiment originaux.
Ce ne sont pas simplement des héros, ce sont des figures, ou plutôt des gueules pour emprunter le vocable du ciné noir auquel cette série m'a fait penser.
Ca danse, ça chante, ça hurle, ça fume, ça boit, ça fornique, bref ça vie à 100 à l'heure dans les rues hallucinées de la ville dans tous ses états.
Seul bémol : au bout d'un moment ça revient toujours un peu au même...
Je suis aussi tombé sur l'offre de Librio ! On peut tout de même le dire : elle est très intéressante; en effet elle permet de connaître la BD en question (juste la connaître parce que c'est vrai que les formats sont vraiments ridicules). La preuve, maintenant je peux vous dire que je n'ai pas du tout accroché a Adèle Blanc-Sec. C'est un style à part : l'histoire est très (voire trop) délirante.
IL y des bêtes, des hommes de la préhistoire, des monstres...
Assez inhabituel pour un Paris du début du siecle ! Tous les personnages sont vraiment attachants, en particulier Adèle qui est vraiment extraordinaire. Mais cela ne suffit pas pour que je conseille l'achat : ce n'est pas du tout le genre de BD qui me détend. Désolé M. Tardi, cette fois-ci je n'accroche pas !
Ce manga m'a plutôt déçu... pourquoi? A cause du caractère du perso principal, il réagit pas "normalement", on aurait bon le tuer, il en voudrait toujours pas à l'autre personne...
Spoiler
Le coup du coquillage va de même, qui irait reporter un coquillage jusque la mer ?
Ou encore le fait qu'on lui casse ses lunettes mais pour lui c'est pas grave, rien, aucun sentiment...
Spoiler fini
J'aime bien un perso calme(Bouddha si on veut citer un autre manga) mais là c'est un peu "irréel", c'est "trop" quoi ...
Pour les dessins ça reste du Taniguchi, donc toujours les même têtes, c'est pas laid et pas super beau, beaux décors par contre!
Mais attention, tout n'est pas mauvais, y'a de magnifiques chapitres... j'ai beaucoup aimé les plans ou le perso a un plaisir simplement en regardant les oiseaux, la nature...
Mais bon je préfère de loins quartier lointain...
Yoko Stuno, c’est pour beaucoup de lecteurs, un classique de la bd d’aventure et de science-fiction. Mais je ne fais pas partie de ceux qui mettent cette série au panthéon de la bd.
On a souvent l’impression que pour l’auteur, la SF se résume à de longues digressions techniques détaillées et moyennement intéressantes. Côté aventure, cela se résume souvent à « Yoko doit aller au bout de l’aventure mais beaucoup de personnes masquées, des malfrats cachés dans la nuit, l’agressent pour l’empêcher d’accomplir sa mission ». C’est vite répétitif et parfois franchement ennuyeux.
Les personnages sont assez factices, dans le genre « incolore-inodore » ont fait difficilement mieux que Yoko, une espèce de Tintin vitaminé version féminine. Quand aux amis de Yoko, Vic et l’autre, ils font souvent plus de la figuration qu’autre chose. Ce qui rend tous les personnages encore plus factices, ce sont ces dialogues souvent anti-naturels, qui accentuent le caractère un peu guindé du dessin.
L’un dans l’autre, tous ces ingrédients donne une bd pas mal faite, il y a parfois de très bonnes idées, mais l’ensemble est sans véritable relief, pas de gros suspense, des scènes d’action assez banales, une aventure qui se lit de manière un peu machinale, on est parfois proche de l’ennui et du décrochage. Simple exemple : vous arrivez au bout d’une planche et vous réalisez que vous venez de tout lire d’une manière machinale et que vous n’en avez rien retenu, distrait par une autre pensée (du genre : « faut pas que j’oublie de sortir les poubelles »), du coup, vous devez recommencez la lecture de la planche. En relisant les dialogues vous trouvez aisément les raisons de votre distraction : les personnages ne se disaient rien d’intéressant, juste des commentaires inutiles sur ce qu’il se passe, rien qui ne soit utile à la description de leur caractère ou de leur psychologie. Du coup, on s’en fout un peu.
Bon bah je le lis dans le mag et je n'irais pas jusqu'a l'acheter, les gags sont assez inegaux et je pense que 10 € pour lire les meme gags que le mag c un peu cher . Mais bon c mimi tout plein, assez veridict mais aussi tres c** (il faut dire ce qui est)
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Black Hole
J'ai du mal à partager l'enthousiasme des autres posteurs... Je n'ai lu que les trois premiers tomes et, jusqu'à présent, on dirait juste un épisode un peu trop long et pas génial des "Contes de la Crypte", dont la morale serait que, lorsqu'on est ado et qu'on veut tirer son coup ou consommer des substances illicites, on est toujours bien puni ; morale à laquelle j'avoue ne pas trop adhérer. Je changerai peut-être d'avis après avoir lu la fin... En tout cas, dans un genre assez proche, c'est 10 fois moins fort que le manga "Spirale".
Tell me, Dark
Bon, moi, vous me connaissez, vous savez que je suis un jeune poète sensible écorché vif et tourmenté, épris d’absolu et de romantisme noir et désespéré (c’est fou les conneries que je peux écrire quand je m’y mets) et, en tant que tel, je ne pouvais qu’être attiré par le thème de cette BD. Hélas, ce fut une déception ; le traitement n’étant pas à la hauteur des sujets abordés. On aurait aimé en savoir plus sur la relation entre Barbara et Michael avant qu’elle ne parte complètement en couilles, pour pouvoir croire vraiment à leur amour passionnel. On aurait aimé (car on aime le sordide) que les auteurs fassent un peu plus qu’effleurer l’attirance de Barbara pour la souffrance et l’autodestruction, pour essayer de comprendre cette pauvre fille et de l’aimer un peu nous aussi. On aurait aimé autre chose qu’une conclusion aux flingues et au mysticisme de prisunic. On aurait aimé des dialogues moins prétentieux. Finalement, le seul truc pas trop décevant reste le graphisme, assez classe, et encore, ça fait un peu sous-Dave McKean… Bref, je n’ai pas détesté, mais j’espérais beaucoup mieux.
Le dérisoire
Les couleurs sont vraiment somptueuses, bien réparties, lumineuses, et en accord parfait avec l'ambiance voulue par le scénario. Les dessins sont dans le ton de l'histoire, à peine ébauchés, comme emprunts de timidité et de douceur. Par contre je n'ai pas accroché sur le scénario, trop léger justement. Le personnage principal aurait mérité d'être plus creusé, pour constituer une vraie histoire, enfin, c'est une BD originale et c'est le style qu'ont voulu donner les auteurs je suppose.
On a tué Wild Bill
Bon, voilà mon 1er western lu en BD suite au passage du père noël :) J'ai lu "On a tué Wild Bill" hier et je reste sur une impression mitigée. Oui, les dessins sont franchement beaux mais je suis pas fan alors je suis resté un peu indifférent à cette beauté. Les femmes sont toutes horribles, les visages déformés, c'est étrange. L'histoire est très classique mais pour un western c'est ce qu'on demande, et les personnages habituels sont là, bien décrits. Le héros n'a pas inventé la poudre et ça au moins ça change un peu du classique western de l'âge d'or du cinéma, Melvin est plutot un looser qu'un Gary Grant. Une nuit après cette lecture, j'ai une impression plus positive qu'en refermant l'album. Je pense qu'une seconde lecture va s'imposer car pour l'instant je suis resté sur ma faim, sans vraiment dire pourquoi.
Chroniques de la lune noire
Cette série commençait très bien, mais elle c'est embourbée. Il est je trouve particulièrement gavant d'attendre très longtemps pour avoir un album, certe beau, mais dont l'intrigue ne semble pas beaucoup avancer et qui se termine sur un coup de théatre qui donne envi d'avoir la suite dès le mois suivant. Donc très dommage, d'autant plus que la série aurait sûrement put être développée sous forme d'histoire complétes suivant la trame générale décrite par la saga. Bref j'ai adoré au début, et passé les 5 ou 6 premier tomes j'ai décroché. Et ce n'est pas le feuilletage du tome 10 qui va me donner envi de m'y remettre... une fois de plus il se termine sur un cliffhanger désagréable. Je m'acharne sur ce point, mais c'est à mon avis une immense erreur de terminer des albums ayant une périodicité au minimum annuelle comme des séries comics ou mangas, à la périodicité plus élevée.
La Java des Gaspards
Une ligne de dessin très classique mais qui sert des personnages hauts en couleur et vraiment originaux. Ce ne sont pas simplement des héros, ce sont des figures, ou plutôt des gueules pour emprunter le vocable du ciné noir auquel cette série m'a fait penser. Ca danse, ça chante, ça hurle, ça fume, ça boit, ça fornique, bref ça vie à 100 à l'heure dans les rues hallucinées de la ville dans tous ses états. Seul bémol : au bout d'un moment ça revient toujours un peu au même...
Adèle Blanc-Sec
Je suis aussi tombé sur l'offre de Librio ! On peut tout de même le dire : elle est très intéressante; en effet elle permet de connaître la BD en question (juste la connaître parce que c'est vrai que les formats sont vraiments ridicules). La preuve, maintenant je peux vous dire que je n'ai pas du tout accroché a Adèle Blanc-Sec. C'est un style à part : l'histoire est très (voire trop) délirante. IL y des bêtes, des hommes de la préhistoire, des monstres... Assez inhabituel pour un Paris du début du siecle ! Tous les personnages sont vraiment attachants, en particulier Adèle qui est vraiment extraordinaire. Mais cela ne suffit pas pour que je conseille l'achat : ce n'est pas du tout le genre de BD qui me détend. Désolé M. Tardi, cette fois-ci je n'accroche pas !
L'Homme qui marche
Ce manga m'a plutôt déçu... pourquoi? A cause du caractère du perso principal, il réagit pas "normalement", on aurait bon le tuer, il en voudrait toujours pas à l'autre personne... Spoiler Le coup du coquillage va de même, qui irait reporter un coquillage jusque la mer ? Ou encore le fait qu'on lui casse ses lunettes mais pour lui c'est pas grave, rien, aucun sentiment... Spoiler fini J'aime bien un perso calme(Bouddha si on veut citer un autre manga) mais là c'est un peu "irréel", c'est "trop" quoi ... Pour les dessins ça reste du Taniguchi, donc toujours les même têtes, c'est pas laid et pas super beau, beaux décors par contre! Mais attention, tout n'est pas mauvais, y'a de magnifiques chapitres... j'ai beaucoup aimé les plans ou le perso a un plaisir simplement en regardant les oiseaux, la nature... Mais bon je préfère de loins quartier lointain...
Yoko Tsuno
Yoko Stuno, c’est pour beaucoup de lecteurs, un classique de la bd d’aventure et de science-fiction. Mais je ne fais pas partie de ceux qui mettent cette série au panthéon de la bd. On a souvent l’impression que pour l’auteur, la SF se résume à de longues digressions techniques détaillées et moyennement intéressantes. Côté aventure, cela se résume souvent à « Yoko doit aller au bout de l’aventure mais beaucoup de personnes masquées, des malfrats cachés dans la nuit, l’agressent pour l’empêcher d’accomplir sa mission ». C’est vite répétitif et parfois franchement ennuyeux. Les personnages sont assez factices, dans le genre « incolore-inodore » ont fait difficilement mieux que Yoko, une espèce de Tintin vitaminé version féminine. Quand aux amis de Yoko, Vic et l’autre, ils font souvent plus de la figuration qu’autre chose. Ce qui rend tous les personnages encore plus factices, ce sont ces dialogues souvent anti-naturels, qui accentuent le caractère un peu guindé du dessin. L’un dans l’autre, tous ces ingrédients donne une bd pas mal faite, il y a parfois de très bonnes idées, mais l’ensemble est sans véritable relief, pas de gros suspense, des scènes d’action assez banales, une aventure qui se lit de manière un peu machinale, on est parfois proche de l’ennui et du décrochage. Simple exemple : vous arrivez au bout d’une planche et vous réalisez que vous venez de tout lire d’une manière machinale et que vous n’en avez rien retenu, distrait par une autre pensée (du genre : « faut pas que j’oublie de sortir les poubelles »), du coup, vous devez recommencez la lecture de la planche. En relisant les dialogues vous trouvez aisément les raisons de votre distraction : les personnages ne se disaient rien d’intéressant, juste des commentaires inutiles sur ce qu’il se passe, rien qui ne soit utile à la description de leur caractère ou de leur psychologie. Du coup, on s’en fout un peu.
Les P'tits diables (Tom et Nina)
Bon bah je le lis dans le mag et je n'irais pas jusqu'a l'acheter, les gags sont assez inegaux et je pense que 10 € pour lire les meme gags que le mag c un peu cher . Mais bon c mimi tout plein, assez veridict mais aussi tres c** (il faut dire ce qui est)