J'ai trouvé ce manga vraiment malsain. En fait ce n'est pas vraiment son thème car les serial killer et les schizophrènes sont des cas qui ont déjà été traités que ce soit en bande dessinée ou au cinéma, mais c'est la représentation de scènes macabres qui vous donne vraiment des haut le coeur. Le dessin est en effet assez froid et en même temps réaliste, et l'auteur nous gratifie de certaines scènes d'exposition de cadavres plus vraies que nature. D'ailleurs, ça n'apporte pas grand chose à l'histoire en elle-même cet inspecteur aux multiples personnalités mais c'est juste pour accentuer le côté gore du titre. On aurait très bien pu garder un effet semblable sans ces scènes, qui ont d'ailleurs été sujet à polémique, et en même temps toucher un public un peu plus large.
Bref si vous aimez le style et n'êtes pas rebuté par le premier tome, ça peut se lire.
Histoire sympathique.
Mais un air de déja vu chez Glenat.(épervier)
En plus la fin part compètement en live (voir résumé).
Les trois tomes sont très inégaux.
Le troisieme m'apparait un peu baclé.
C'est dommage car cela démarrait plutot bien...
Je suis relativement d'accord avec Ro dans le sens où cette descente aux enfers est un peu trop extrême. Le gars dont la maison brûle, qui n'a pas d'amis et qui se fait escroquer par son banquier, c'est un peu lourd. Toutefois, c'est le premier tome et la dernière planche me pose question...Je pense que ce premier tome n'est que la mise en scène mais on attend l'histoire...A coté de cela, Chabouté maîtrise toujours autant au niveau du dessin mais je pense que ce n'est pas par cette bande dessinée qu'il faut appréhender son travail. A suivre
Comme on peut s'y attendre, l'histoire ne vole pas bien haut avec une classique recherche de trésor nazi mais c'est néanmoins intéressant à suivre et l'auteur fait preuve d'un certain humour. La seule originalité est le lieu de l'action à savoir la Bretagne et du coup ce magnifique macaron rouge sur la couverture annonçant que c'est le premier thriller breton.
Le dessin est assez bien fait, les personnages sont représentés façon Walt Disney par des hommes animalisés.
Eh bien... Je n'ai rien compris ! C'est complètement absurde, les dialogues perdent toute cohérence au bout de trois échanges... Je ne comprends pas non plus le rôle des différents personnages. A part le graphisme de Dumontheuil, tout en pastels vifs (bizarre, hein ?), et que je trouve correct pour un premier album, il n'y a pas grand-chose à sauver... Mais on ne peut s'empêcher de penser à ce qu'aurait pu devenir un tel concept dans les mains de manipulateurs d'absurde tels que Corbeyran, ou mieux, Andreas...
Comès a une âme de poète. Il le prouve encore une fois avec cet album, centré sur les automates. Une âme de poète, mais pas toujours les talents de conteur et/ou d'illustrateur pour transcender cette âme. Ainsi le scénario d'Eva est-il chaotique, les personnages sont indigents... Quant au dessin, il reste assez figé, permettant ainsi l'ambiguité concernant les automates, ce qui est plutôt artificiel.
La lecture en est barbante.
Mon avis va rejoindre celui de mon confrère Cassidy. On tape dans le trash, là ! Julie Doucet est une (digne ?) représentante du trash de nos cousins. Son album, un recueil de rêves, nous montre les pensées les plus (cra)dingues qui aient pu passer par son cerveau un peu dérangé. Ca ressemble presque à de l'écriture automatique en BD, sans tabous, sans censure. Tout nous est livré cash, sans enluminure psychanalytique (ce qui est rare chez l'Association).
C'est souvent à la limite du supportable, assez vulgaire, et, la plupart du temps, sans intérêt.
Quant au dessin de Julie, si... expressif, on va dire qu'il est en adéquation avec son sujet : moche, crade et quelconque.
Crumb, dans un genre comparable, a fait bien mieux.
En ouvrant l'album, je pensais que ce serait une histoire (ou plusieurs) sur une jeune dessinatrice québécoise qui tente de percer chez le voisin américain. Las ! On retrouve ce qui a fait l'essentiel de Ciboire de Criss !, c'est à dire le récit de ses déboires sentimentaux (pourquoi ne quitte-t-elle pas son petit ami, puisqu'elle comprend assez vite qu'il lui gâche non seulement son travail, mais aussi sa vie ?), des tracas qu'elle a laissés à Montréal et qu'elle ne parvient pas à oublier...
Bof bof. L'intérêt décroît très vite, même si l'idée du journal "en temps réel" nous laisse supposer une fraîcheur et une sincérité assez sympathiques.
Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à Les Eaux de Mortelune même si le contexte post-apocalyptique n'est pas là. Vu que je n'avais pas aimé les eaux, j'ai vite compris pendant la lecture que j'allais ne pas aimer Face de Lune.
J'ai un gros problème d'adaptation au dessin de Boucq, et plus particulièrement aux couleurs. C'est vieux croulant ce type de dessin, typiquement dans les trucs (à suivre) que je n'ai jamais beaucoup aimé... Et les couleurs 70's n'arrangent vraiment rien.
Pour du Jodo, c'est quand même vachement conventionnel, presque banal au regard des productions actuelles. Du coup, on ne peut pas dire que ça manque de quelque chose de particulier, l'hsitoire est bien menée, Face de Lune est intrigant à souhait, mais bof quoi, ça ne m'a pas intéressé.
Il n'y aura pas de T3 pour moi.
Attiré par le dessin, je me suis lancé une nouvelle fois dans une BD érotique sans trop y croire.
Le dessin confirme complètement mes premières impressions : Riverstone manie le pinceau comme peu savent le faire. Les femmes sont peut-être un peu trop girondes à mon goût, mais elle sait les mettre en valeur d'une manière des plus fines (oui ça reste du porno, mais bon). J'avoue être impressionné quand elles cambrent le dos... argh...
Sinon, l'histoire est plutôt chiante (forcement) et la fantaisie complètement absente. C'est du porno chiant, presque prude (sauf leurs histoires de pets qui relèvent plus du gag qu'autre chose). Dommage...
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MPD-Psycho, le détective schizophrène
J'ai trouvé ce manga vraiment malsain. En fait ce n'est pas vraiment son thème car les serial killer et les schizophrènes sont des cas qui ont déjà été traités que ce soit en bande dessinée ou au cinéma, mais c'est la représentation de scènes macabres qui vous donne vraiment des haut le coeur. Le dessin est en effet assez froid et en même temps réaliste, et l'auteur nous gratifie de certaines scènes d'exposition de cadavres plus vraies que nature. D'ailleurs, ça n'apporte pas grand chose à l'histoire en elle-même cet inspecteur aux multiples personnalités mais c'est juste pour accentuer le côté gore du titre. On aurait très bien pu garder un effet semblable sans ces scènes, qui ont d'ailleurs été sujet à polémique, et en même temps toucher un public un peu plus large. Bref si vous aimez le style et n'êtes pas rebuté par le premier tome, ça peut se lire.
Margot l'enfant bleue
Histoire sympathique. Mais un air de déja vu chez Glenat.(épervier) En plus la fin part compètement en live (voir résumé). Les trois tomes sont très inégaux. Le troisieme m'apparait un peu baclé. C'est dommage car cela démarrait plutot bien...
Purgatoire
Je suis relativement d'accord avec Ro dans le sens où cette descente aux enfers est un peu trop extrême. Le gars dont la maison brûle, qui n'a pas d'amis et qui se fait escroquer par son banquier, c'est un peu lourd. Toutefois, c'est le premier tome et la dernière planche me pose question...Je pense que ce premier tome n'est que la mise en scène mais on attend l'histoire...A coté de cela, Chabouté maîtrise toujours autant au niveau du dessin mais je pense que ce n'est pas par cette bande dessinée qu'il faut appréhender son travail. A suivre
Le secret de Plegastel
Comme on peut s'y attendre, l'histoire ne vole pas bien haut avec une classique recherche de trésor nazi mais c'est néanmoins intéressant à suivre et l'auteur fait preuve d'un certain humour. La seule originalité est le lieu de l'action à savoir la Bretagne et du coup ce magnifique macaron rouge sur la couverture annonçant que c'est le premier thriller breton. Le dessin est assez bien fait, les personnages sont représentés façon Walt Disney par des hommes animalisés.
L'Enclave
Eh bien... Je n'ai rien compris ! C'est complètement absurde, les dialogues perdent toute cohérence au bout de trois échanges... Je ne comprends pas non plus le rôle des différents personnages. A part le graphisme de Dumontheuil, tout en pastels vifs (bizarre, hein ?), et que je trouve correct pour un premier album, il n'y a pas grand-chose à sauver... Mais on ne peut s'empêcher de penser à ce qu'aurait pu devenir un tel concept dans les mains de manipulateurs d'absurde tels que Corbeyran, ou mieux, Andreas...
Eva
Comès a une âme de poète. Il le prouve encore une fois avec cet album, centré sur les automates. Une âme de poète, mais pas toujours les talents de conteur et/ou d'illustrateur pour transcender cette âme. Ainsi le scénario d'Eva est-il chaotique, les personnages sont indigents... Quant au dessin, il reste assez figé, permettant ainsi l'ambiguité concernant les automates, ce qui est plutôt artificiel. La lecture en est barbante.
Ciboire de criss !
Mon avis va rejoindre celui de mon confrère Cassidy. On tape dans le trash, là ! Julie Doucet est une (digne ?) représentante du trash de nos cousins. Son album, un recueil de rêves, nous montre les pensées les plus (cra)dingues qui aient pu passer par son cerveau un peu dérangé. Ca ressemble presque à de l'écriture automatique en BD, sans tabous, sans censure. Tout nous est livré cash, sans enluminure psychanalytique (ce qui est rare chez l'Association). C'est souvent à la limite du supportable, assez vulgaire, et, la plupart du temps, sans intérêt. Quant au dessin de Julie, si... expressif, on va dire qu'il est en adéquation avec son sujet : moche, crade et quelconque. Crumb, dans un genre comparable, a fait bien mieux.
Changements d'adresses
En ouvrant l'album, je pensais que ce serait une histoire (ou plusieurs) sur une jeune dessinatrice québécoise qui tente de percer chez le voisin américain. Las ! On retrouve ce qui a fait l'essentiel de Ciboire de Criss !, c'est à dire le récit de ses déboires sentimentaux (pourquoi ne quitte-t-elle pas son petit ami, puisqu'elle comprend assez vite qu'il lui gâche non seulement son travail, mais aussi sa vie ?), des tracas qu'elle a laissés à Montréal et qu'elle ne parvient pas à oublier... Bof bof. L'intérêt décroît très vite, même si l'idée du journal "en temps réel" nous laisse supposer une fraîcheur et une sincérité assez sympathiques.
Face de Lune
Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à Les Eaux de Mortelune même si le contexte post-apocalyptique n'est pas là. Vu que je n'avais pas aimé les eaux, j'ai vite compris pendant la lecture que j'allais ne pas aimer Face de Lune. J'ai un gros problème d'adaptation au dessin de Boucq, et plus particulièrement aux couleurs. C'est vieux croulant ce type de dessin, typiquement dans les trucs (à suivre) que je n'ai jamais beaucoup aimé... Et les couleurs 70's n'arrangent vraiment rien. Pour du Jodo, c'est quand même vachement conventionnel, presque banal au regard des productions actuelles. Du coup, on ne peut pas dire que ça manque de quelque chose de particulier, l'hsitoire est bien menée, Face de Lune est intrigant à souhait, mais bof quoi, ça ne m'a pas intéressé. Il n'y aura pas de T3 pour moi.
Chloé - Trop plein d'écume
Attiré par le dessin, je me suis lancé une nouvelle fois dans une BD érotique sans trop y croire. Le dessin confirme complètement mes premières impressions : Riverstone manie le pinceau comme peu savent le faire. Les femmes sont peut-être un peu trop girondes à mon goût, mais elle sait les mettre en valeur d'une manière des plus fines (oui ça reste du porno, mais bon). J'avoue être impressionné quand elles cambrent le dos... argh... Sinon, l'histoire est plutôt chiante (forcement) et la fantaisie complètement absente. C'est du porno chiant, presque prude (sauf leurs histoires de pets qui relèvent plus du gag qu'autre chose). Dommage...