Dessins de Dumontheuil : excellent. Il n'y a rien à dire, il a du talent !
Par contre, je n’ai pas vraiment accroché aux scénarii de Angéli. Ce côté invraisemblable sans le côté absurde me dérange. On est entre les deux et j’aurais préféré quelque chose de plus tranché, soit réaliste soit absurde.
De plus, le contexte de l’histoire, les putes, les bas quartiers... ne m’intéresse pas vraiment. Il y a un côté un peu glauque ou plutôt malsain que je n’aime pas.
Les personnages sont bien caractérisés : Museline, Rapha, Perle, Marie-Ange, le Doc... Mais on a du mal à s’attacher à eux, on reste totalement extérieur à l’histoire. Dommage.
En grande fan de chassés-croisés, de Tolstoï à Magnolia, je me régalais à l'avance de cette BD.
Je suis tombée de haut !
Les morceaux s'imbriquent mal et le côté "chassé-croisé" n'apporte rien à l'histoire. On a juste une juxtaposition de portraits clichés sans finesse, qui évoluent peu et qui ne sont pas attachants.
Bref, une réelle déception.
F’murr est surtout connu pour son Génie des alpages auquel je n’ai jamais réussi à accrocher. C’est pourtant pas faute d’avoir essayé mais le délire très particulier de cet auteur m’est assez hermétique (alors que j’adore l’absurde vu selon Dumontheuil).
Avec le Pauvre chevalier, F’murr propose une histoire de 62 pages qui m’a nettement plus intéressée. De plus, l’auteur adopte un style différent que je préfère, me rappelant par moment celui de Ptiluc dans La geste de Gilles de Chin et du dragon de Mons. Le personnage du pauvre chevalier, qui joue de malchance, est à la fois bien cerné et abouti par son caractère mêlant résignation et fatalisme. L’auteur avait donc là un beau potentiel pour faire une bd des plus réussies. Seulement voilà, tout comme Ro et ArzaK, je trouve la fin brutale et franchement décevante.
Bon, je n'avais pas commenté cette série après la première lecture, parce que, d'une part, j'étais un peu déçu de la fin de ce premier cycle et que, d'autre part, après avoir dépensé environ 60 Euros pour 6 albums, on se dit que l'on va redonner une chance aux Stryges.
Hé bien, mon avis n'a pas beaucoup changé, sur tout du moins les scénaristes de cette série : De qui se moque-t-on ? Un cycle de 6 albums pour apprendre quoi ? Une mini révélation sur nos Icares plumés avec en prime une fin qui n'est qu'une ouverture sur les prochains cycles (en gros, cela fini en queue de poisson). Franchement, c'est maigre pour une intrigue qui avait pourtant bien commencée et appuyée par un bon dessin à l'exception des voitures (dans les premiers tomes, elles sont franchement loupées).
Ma question est : Pourquoi des auteurs qui ont pourtant de bonnes idées se décident à faire des séries en 3 cycles soit 18 albums, alors que cela pourrait être parfaitement réalisé sur 6 albums ? Si cela était le cas, nous aurions la joie de lire et re-lire une série dense et riche classée parmi les séries cultes. Alors, est-ce uniquement pour l'argent ou par manque d'inspiration pour d'autres scénarios ?
Tout comme pour la série "Travis", je ne continuerai pas ce genre de série à rallonge ou l'on exploite un filon pour un résultat qui sera proche d'un 0/5 au bout du 18ieme album...
Je suis persuadé que si les auteurs de cette bd auraient exclus l'aspect historique trop présent et accentués un peu plus le coté aventure, Margot, l'enfant bleu aurait pu être une bonne série. Mais bon, ce n'est pas le cas et nous avons droit, ici, à un récit qui s'essaye parfois à l'humour mais qui reste malgré cela très conventionnel et sans vraiment d'intérêt.
Le dessin de Son manque souvent de finesse mais je pense qu'il s'est amélioré depuis lors.
Bon ben voilà, cette bd ne casse pas la baraque alors je n'ai qu'une chose à dire : à éviter !
Mouais ! Il y a du bon et du mauvais...
En premier, le scénario est des plus classique, enquête par des gavroches sur des disparitions de mouflets, le tout bardé d’un monsieur sans âge avec une philosophie qui se résume à je cite :
"mieux vaut avoir compris qu’avoir appris ! ".
Cela dit, l’argot utilisé et les expressions sont bien "titi" de l’époque. Bon, on se pose quelques questions, mais rapidement on s’aperçoit du manque de suspense haletant. Il n’y a pas d’intrigue échevelée, pas de rebondissements frissonnants. C’est finalement simple et assez synthétique.
C'est une bd destinée à la jeunesse, mais cela ne veut pas dire qu'il faille absolument la faire lire à la dite jeunesse! (si on doit comparer à d'autres éditions jeunesse telle Pitchi Poï).
Les personnages sont plutôt sympathiques mais sans un réel caractère.
Côté dessin, je dirais pas mal, rien d’exceptionnel, car sans personnalité palpable. Du travail propre, ni bâclé ni léger, les décors ne sont pas très bien détaillés, pas de mouvement non plus.
Il ne nous reste plus grand chose me direz-vous.
Et vous avez raison saperlotte !
Et le bon dans tout ça ? Ben je le cherche encore... je dirais c’est mignon ou gentil.
Je ne saurais vous dire s’il y a une suite ou un avant, la fin nous annonce un prochain épisode, encore un mystère insondable que je n’essaierai pas de résoudre.
C’est au détour d’une braderie que j’ai trouvé cette modeste bd, il faisait soleil, j’en avais marre de marcher, et voilà le mal se fait à l’insu de notre plein gré. ;) (euh, je m’égare là ! )
Pour l’achat n’insistez pas, je ne vous la vendrai pas mais je veux bien la donner!
J'ai trouvé ce manga vraiment malsain. En fait ce n'est pas vraiment son thème car les serial killer et les schizophrènes sont des cas qui ont déjà été traités que ce soit en bande dessinée ou au cinéma, mais c'est la représentation de scènes macabres qui vous donne vraiment des haut le coeur. Le dessin est en effet assez froid et en même temps réaliste, et l'auteur nous gratifie de certaines scènes d'exposition de cadavres plus vraies que nature. D'ailleurs, ça n'apporte pas grand chose à l'histoire en elle-même cet inspecteur aux multiples personnalités mais c'est juste pour accentuer le côté gore du titre. On aurait très bien pu garder un effet semblable sans ces scènes, qui ont d'ailleurs été sujet à polémique, et en même temps toucher un public un peu plus large.
Bref si vous aimez le style et n'êtes pas rebuté par le premier tome, ça peut se lire.
Histoire sympathique.
Mais un air de déja vu chez Glenat.(épervier)
En plus la fin part compètement en live (voir résumé).
Les trois tomes sont très inégaux.
Le troisieme m'apparait un peu baclé.
C'est dommage car cela démarrait plutot bien...
Je suis relativement d'accord avec Ro dans le sens où cette descente aux enfers est un peu trop extrême. Le gars dont la maison brûle, qui n'a pas d'amis et qui se fait escroquer par son banquier, c'est un peu lourd. Toutefois, c'est le premier tome et la dernière planche me pose question...Je pense que ce premier tome n'est que la mise en scène mais on attend l'histoire...A coté de cela, Chabouté maîtrise toujours autant au niveau du dessin mais je pense que ce n'est pas par cette bande dessinée qu'il faut appréhender son travail. A suivre
Comme on peut s'y attendre, l'histoire ne vole pas bien haut avec une classique recherche de trésor nazi mais c'est néanmoins intéressant à suivre et l'auteur fait preuve d'un certain humour. La seule originalité est le lieu de l'action à savoir la Bretagne et du coup ce magnifique macaron rouge sur la couverture annonçant que c'est le premier thriller breton.
Le dessin est assez bien fait, les personnages sont représentés façon Walt Disney par des hommes animalisés.
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Le Singe et la Sirène
Dessins de Dumontheuil : excellent. Il n'y a rien à dire, il a du talent ! Par contre, je n’ai pas vraiment accroché aux scénarii de Angéli. Ce côté invraisemblable sans le côté absurde me dérange. On est entre les deux et j’aurais préféré quelque chose de plus tranché, soit réaliste soit absurde. De plus, le contexte de l’histoire, les putes, les bas quartiers... ne m’intéresse pas vraiment. Il y a un côté un peu glauque ou plutôt malsain que je n’aime pas. Les personnages sont bien caractérisés : Museline, Rapha, Perle, Marie-Ange, le Doc... Mais on a du mal à s’attacher à eux, on reste totalement extérieur à l’histoire. Dommage.
Corps à corps (Aire Libre)
En grande fan de chassés-croisés, de Tolstoï à Magnolia, je me régalais à l'avance de cette BD. Je suis tombée de haut ! Les morceaux s'imbriquent mal et le côté "chassé-croisé" n'apporte rien à l'histoire. On a juste une juxtaposition de portraits clichés sans finesse, qui évoluent peu et qui ne sont pas attachants. Bref, une réelle déception.
Le Pauvre Chevalier
F’murr est surtout connu pour son Génie des alpages auquel je n’ai jamais réussi à accrocher. C’est pourtant pas faute d’avoir essayé mais le délire très particulier de cet auteur m’est assez hermétique (alors que j’adore l’absurde vu selon Dumontheuil). Avec le Pauvre chevalier, F’murr propose une histoire de 62 pages qui m’a nettement plus intéressée. De plus, l’auteur adopte un style différent que je préfère, me rappelant par moment celui de Ptiluc dans La geste de Gilles de Chin et du dragon de Mons. Le personnage du pauvre chevalier, qui joue de malchance, est à la fois bien cerné et abouti par son caractère mêlant résignation et fatalisme. L’auteur avait donc là un beau potentiel pour faire une bd des plus réussies. Seulement voilà, tout comme Ro et ArzaK, je trouve la fin brutale et franchement décevante.
Le Chant des Stryges
Bon, je n'avais pas commenté cette série après la première lecture, parce que, d'une part, j'étais un peu déçu de la fin de ce premier cycle et que, d'autre part, après avoir dépensé environ 60 Euros pour 6 albums, on se dit que l'on va redonner une chance aux Stryges. Hé bien, mon avis n'a pas beaucoup changé, sur tout du moins les scénaristes de cette série : De qui se moque-t-on ? Un cycle de 6 albums pour apprendre quoi ? Une mini révélation sur nos Icares plumés avec en prime une fin qui n'est qu'une ouverture sur les prochains cycles (en gros, cela fini en queue de poisson). Franchement, c'est maigre pour une intrigue qui avait pourtant bien commencée et appuyée par un bon dessin à l'exception des voitures (dans les premiers tomes, elles sont franchement loupées). Ma question est : Pourquoi des auteurs qui ont pourtant de bonnes idées se décident à faire des séries en 3 cycles soit 18 albums, alors que cela pourrait être parfaitement réalisé sur 6 albums ? Si cela était le cas, nous aurions la joie de lire et re-lire une série dense et riche classée parmi les séries cultes. Alors, est-ce uniquement pour l'argent ou par manque d'inspiration pour d'autres scénarios ? Tout comme pour la série "Travis", je ne continuerai pas ce genre de série à rallonge ou l'on exploite un filon pour un résultat qui sera proche d'un 0/5 au bout du 18ieme album...
Margot l'enfant bleue
Je suis persuadé que si les auteurs de cette bd auraient exclus l'aspect historique trop présent et accentués un peu plus le coté aventure, Margot, l'enfant bleu aurait pu être une bonne série. Mais bon, ce n'est pas le cas et nous avons droit, ici, à un récit qui s'essaye parfois à l'humour mais qui reste malgré cela très conventionnel et sans vraiment d'intérêt. Le dessin de Son manque souvent de finesse mais je pense qu'il s'est amélioré depuis lors. Bon ben voilà, cette bd ne casse pas la baraque alors je n'ai qu'une chose à dire : à éviter !
Sales mioches !
Mouais ! Il y a du bon et du mauvais... En premier, le scénario est des plus classique, enquête par des gavroches sur des disparitions de mouflets, le tout bardé d’un monsieur sans âge avec une philosophie qui se résume à je cite : "mieux vaut avoir compris qu’avoir appris ! ". Cela dit, l’argot utilisé et les expressions sont bien "titi" de l’époque. Bon, on se pose quelques questions, mais rapidement on s’aperçoit du manque de suspense haletant. Il n’y a pas d’intrigue échevelée, pas de rebondissements frissonnants. C’est finalement simple et assez synthétique. C'est une bd destinée à la jeunesse, mais cela ne veut pas dire qu'il faille absolument la faire lire à la dite jeunesse! (si on doit comparer à d'autres éditions jeunesse telle Pitchi Poï). Les personnages sont plutôt sympathiques mais sans un réel caractère. Côté dessin, je dirais pas mal, rien d’exceptionnel, car sans personnalité palpable. Du travail propre, ni bâclé ni léger, les décors ne sont pas très bien détaillés, pas de mouvement non plus. Il ne nous reste plus grand chose me direz-vous. Et vous avez raison saperlotte ! Et le bon dans tout ça ? Ben je le cherche encore... je dirais c’est mignon ou gentil. Je ne saurais vous dire s’il y a une suite ou un avant, la fin nous annonce un prochain épisode, encore un mystère insondable que je n’essaierai pas de résoudre. C’est au détour d’une braderie que j’ai trouvé cette modeste bd, il faisait soleil, j’en avais marre de marcher, et voilà le mal se fait à l’insu de notre plein gré. ;) (euh, je m’égare là ! ) Pour l’achat n’insistez pas, je ne vous la vendrai pas mais je veux bien la donner!
MPD-Psycho, le détective schizophrène
J'ai trouvé ce manga vraiment malsain. En fait ce n'est pas vraiment son thème car les serial killer et les schizophrènes sont des cas qui ont déjà été traités que ce soit en bande dessinée ou au cinéma, mais c'est la représentation de scènes macabres qui vous donne vraiment des haut le coeur. Le dessin est en effet assez froid et en même temps réaliste, et l'auteur nous gratifie de certaines scènes d'exposition de cadavres plus vraies que nature. D'ailleurs, ça n'apporte pas grand chose à l'histoire en elle-même cet inspecteur aux multiples personnalités mais c'est juste pour accentuer le côté gore du titre. On aurait très bien pu garder un effet semblable sans ces scènes, qui ont d'ailleurs été sujet à polémique, et en même temps toucher un public un peu plus large. Bref si vous aimez le style et n'êtes pas rebuté par le premier tome, ça peut se lire.
Margot l'enfant bleue
Histoire sympathique. Mais un air de déja vu chez Glenat.(épervier) En plus la fin part compètement en live (voir résumé). Les trois tomes sont très inégaux. Le troisieme m'apparait un peu baclé. C'est dommage car cela démarrait plutot bien...
Purgatoire
Je suis relativement d'accord avec Ro dans le sens où cette descente aux enfers est un peu trop extrême. Le gars dont la maison brûle, qui n'a pas d'amis et qui se fait escroquer par son banquier, c'est un peu lourd. Toutefois, c'est le premier tome et la dernière planche me pose question...Je pense que ce premier tome n'est que la mise en scène mais on attend l'histoire...A coté de cela, Chabouté maîtrise toujours autant au niveau du dessin mais je pense que ce n'est pas par cette bande dessinée qu'il faut appréhender son travail. A suivre
Le secret de Plegastel
Comme on peut s'y attendre, l'histoire ne vole pas bien haut avec une classique recherche de trésor nazi mais c'est néanmoins intéressant à suivre et l'auteur fait preuve d'un certain humour. La seule originalité est le lieu de l'action à savoir la Bretagne et du coup ce magnifique macaron rouge sur la couverture annonçant que c'est le premier thriller breton. Le dessin est assez bien fait, les personnages sont représentés façon Walt Disney par des hommes animalisés.