Mince, ça va finir par se voir qu’un pote m’a prêté tous ses Manara:8
Hum…
Je suis un grand fan du dessin de Manara, et généralement les histoires importent peu… mais là, quand même, c’est tellement mauvais que ça en devient ridicule. C’est dommage car le dessin, lui, est toujours superbe (encore que, je l’aurais préféré sans couleur, comme dans les grands classiques de Manara : Le Déclic, Le Parfum de l'Invisible, …).
Donc non, je n’ai pas aimé, trop grotesque, vraiment pas le meilleur de Manara. Lecture déconseillée.
Voilà une BD qui n'est pas sans me rappeler le dessin animé "Brisby et le secret de Nime" pour ceux qui connaissent.
Je trouve que l'idée de départ est vraiment bonne. Ce n'est pas souvent que des souris sont mises en scène (à ma connaissance je précise).
Malheureusement, par la suite ça s'essouffle pas mal. C'est même un peu maladroit : je pense à la façon de présenter l'histoire.
Quant au dessin j'aurais préféré un trait plus net, soigné même si c'est assez plaisant à regarder.
Je ne conseille pas l'achat pour l'instant. Je pense que les futurs acheteurs potentiels devraient attendre la sortie des albums suivants pour avoir une vision plus générale de l'histoire. Ce premier tome n'est pas vraiment suffisante pour juger correctement de cette BD.
J'ai été super déçue par cet album. Le dessin est franchement beau, c'est un régal pour les yeux, mais à côté de ça... nada.
La lecture se passe sans émotion. Le pauvre gus rêve de devenir chevalier, ok, pas de problème, sauf que ses pseudo aventures m'ont à peine arraché un sourire ou une once de pitié. De marbre, je suis restée, devant les tribulations de cet homme déglingué et de cette femme paumée.
La fin arrive un peu comme si les auteurs étaient pressés de finir, non pas qu'elle soit mauvaise, mais plutôt raide.
Bref une lecture, et surtout un achat, dont je me serais bien passée.
Bonne série qui procure de bons moments de lecture. Originale globalement, malgré ses ingrédients HF classiques. De l'humour, quelques fois vaseux malheureusement, un scénario débridé, des personnages intéressants.
Modif de l'avis : la série est abandonnée, je n'en conseille plus l'achat, cette série en perd même tout son intérêt.
Une histoire de serial-killer qui se veut originale ? Pas vraiment. Sauf peut-être à la fin du premier tome, où un intérêt commence à s'esquisser. Mais il faudrait que Laumaillé "muscle son jeu". Car son dessin est vraiment difficile à lire. Ca manque vraiment de maturité, surtout au niveau de l'encrage. Et le dessinateur a de réels problèmes d'anatomie (regardez les mains des personnages, la poitrine de Mélissa...). Le tome 2 permettra peut-être de sauver la série de la médiocrité, mais j'en doute.
Je ne donne mon avis que sur le 1er volume.
J'ai eu du mal à accrocher avec cette histoire :
- Le dessin est débutant, avec parfois une impression de bâclé, mais peut promettre pour la suite, et puis Rome ne s'est pas faite en un seul jour.
- Le scénario est ultra prévisible et certaines parties sont laissées dans l'ombre... J'ai quelques doutes sur la "morale" de l'histoire.
Il faut bien un commencement, dire que celui-ci est loupé serait exagéré. Ca se laisse lire, mais je ne pense pas en garder un souvenir immortel. J'irai consulter les autres volumes pour me faire une idée plus nette.
Dans la lignée des "urban legend" pour teenager et de la déferlante actuelle d'histoires d'horreur made in Japan.
Pas foncièrement mauvais - le dessin est plutôt sympa - ni complètement à coté de la plaque, c'est juste une petite série B pour passer une petite heure à (essayer) de se faire peur.
Déçu, déçu, déçu...
C'est sur on ne pouvait pas s'attendre à du Ledroit et d'entrée de jeu la comparaison paraissait dangereuse... mais là... L'écart dépasse toutes les craintes possibles.
Peut-être Tacito a-t-il trop chercher à reproduire la Claudia de Ledroit? Le fait est qu'il n'est pas une page où le personnage de Claudia ne soit prit en défaut au niveau du dessin. Et malheureusement la couverture n'échappe pas à la règle.
La colorisation doit être pour beaucoup dans ce raté.
Le teint de Claudia ne colle pas, on a une impression Bizarre avec sa bouche (ça fait un peu bonhomme patate, on se demande si elle n'est pas juste scotchée en bas du visage...)
Sinon il y a du bon. Hein? Mais trop peu pour effacer tout ce qui ne va pas.
Niveau scénar on a l'impression que Mills se force à faire du Tacito avec des dialogues à la Dead hunter. Mais c'est du Requiem que l'on veut!!! Du vrai Mills tout en finesse dans ce monde de Brute. Ce qui passe très bien dans Dead hunter bloque vraiment dans Claudia
C'est bête, j'aurais aimé donner une bonne note mais ça reste vraiment trop trop juste... :(
Bon, j'ai acheté cet album par passion pour Andreas mais ce n'est vraiment pas le genre d'album que je conseillerais à l'achat à tout autre qu'un complet passionné et dont même la lecture est dispensable.
Il s'agit de la première BD réellement publiée par Andreas. Ayant fait un an de beaux-arts à apprendre entre autres la lithographie et la sérigraphie, il a quelques années plus tard demandé à François Rivière de lui écrire un texte qu'il mettrait en image avec cette technique.
Rivière lui a donc d'abord écrit un petite biographie fictive d'un ami de H.P. Lovecraft. Rivière n'y a pas vraiment mis du sien car il n'y croyait pas trop, et cela donne une histoire étrange, biographie dont on a du mal à voir l'interêt de cet homme, de ses relations avec Lovecraft et de ce qu'il est devenu ensuite.
Andreas a mis ça en image de manière plutôt élégante, avec des dessins style lithographie, copiés pour beaucoup à partir de photos d'époque, dessins qui sont très travaillés et relativement jolis mais qui sont loin du niveau de beauté des dessins du même style de Cromwell Stone. Le résultat, c'est un texte accompagné d'illustrations relativement jolies mais aussi figés que des photos et sans continuité de lecture comme une BD classique.
François Rivière, ayant trouvé ce premier résultat assez réussi, a écrit 4 autres textes, moins "scolaire" que la première autobiographie, mettant en scène les personnages d'Agatha Christie, de Pierre Loti, de Jules Verne et d'un peintre belge que je ne connaissais absolument pas. Ces histoires sont un peu plus prenantes que la première, celle d'Agatha Christie n'est pas trop mal, mais pour les autres, je n'ai franchement pas été captivé.
C'est un album étrange car on se demande vraiment l'interêt de ces biographies ou évènements fictifs dans la vie de personnes connues. Et comme le dessin d'Andreas n'y est vraiment pas à la hauteur de ce qu'il deviendra ensuite, d'autant plus que c'est le plus souvent de la "retranscription" de simples photos, c'est une BD vraiment dispensable, je trouve.
Carabas aussi se lance dans le manga, et j'imagine que le choix de cet(te) auteur(e) a été motivé par son style graphique bien particulier, qui la démarque largement de ce dont on peut avoir l'habitude. Elle utilise abondamment des photos largement retravaillées, avec pas mal d'effets informatiques. Le résultat est visuellement pas déplaisant, même si on confond parfois bien trop facilement les personnages... ce qui n'aide vraiment pas à la compréhension de "l'histoire", d'autant plus que le passage de scène à scène est parfois incompréhensible. Tout est en ambiance et en petites touches. Ce couple semble presque vivre dans un lieu hors du temps. L'immobilité, le contemplatif, dominent. C'est le mari mangaka de Michan qui par ses actions (pourtant pas impressionnantes) va faire voler en éclats cette situation.
L'album est beau. La maquette est sobre et belle, le papier de bonne qualité... On sent que Carabas a bien soigné l'objet. On peut juste regretter l'absence de notes/dossier, qui sont en général intéressantes.
Enfin bon, un manga roman graphique, il y en a déjà un nombre conséquent, comme celui-ci n'est vraiment pas facile d'accès, pas passionnant, et ne présente rien d'original (à part son graphisme), il est très dispensable.
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Le Kama Sutra
Mince, ça va finir par se voir qu’un pote m’a prêté tous ses Manara:8 Hum… Je suis un grand fan du dessin de Manara, et généralement les histoires importent peu… mais là, quand même, c’est tellement mauvais que ça en devient ridicule. C’est dommage car le dessin, lui, est toujours superbe (encore que, je l’aurais préféré sans couleur, comme dans les grands classiques de Manara : Le Déclic, Le Parfum de l'Invisible, …). Donc non, je n’ai pas aimé, trop grotesque, vraiment pas le meilleur de Manara. Lecture déconseillée.
Mordichaï
Voilà une BD qui n'est pas sans me rappeler le dessin animé "Brisby et le secret de Nime" pour ceux qui connaissent. Je trouve que l'idée de départ est vraiment bonne. Ce n'est pas souvent que des souris sont mises en scène (à ma connaissance je précise). Malheureusement, par la suite ça s'essouffle pas mal. C'est même un peu maladroit : je pense à la façon de présenter l'histoire. Quant au dessin j'aurais préféré un trait plus net, soigné même si c'est assez plaisant à regarder. Je ne conseille pas l'achat pour l'instant. Je pense que les futurs acheteurs potentiels devraient attendre la sortie des albums suivants pour avoir une vision plus générale de l'histoire. Ce premier tome n'est pas vraiment suffisante pour juger correctement de cette BD.
Don Quichotte dans la Manche
J'ai été super déçue par cet album. Le dessin est franchement beau, c'est un régal pour les yeux, mais à côté de ça... nada. La lecture se passe sans émotion. Le pauvre gus rêve de devenir chevalier, ok, pas de problème, sauf que ses pseudo aventures m'ont à peine arraché un sourire ou une once de pitié. De marbre, je suis restée, devant les tribulations de cet homme déglingué et de cette femme paumée. La fin arrive un peu comme si les auteurs étaient pressés de finir, non pas qu'elle soit mauvaise, mais plutôt raide. Bref une lecture, et surtout un achat, dont je me serais bien passée.
Salem la Noire
Bonne série qui procure de bons moments de lecture. Originale globalement, malgré ses ingrédients HF classiques. De l'humour, quelques fois vaseux malheureusement, un scénario débridé, des personnages intéressants. Modif de l'avis : la série est abandonnée, je n'en conseille plus l'achat, cette série en perd même tout son intérêt.
Mélissa
Une histoire de serial-killer qui se veut originale ? Pas vraiment. Sauf peut-être à la fin du premier tome, où un intérêt commence à s'esquisser. Mais il faudrait que Laumaillé "muscle son jeu". Car son dessin est vraiment difficile à lire. Ca manque vraiment de maturité, surtout au niveau de l'encrage. Et le dessinateur a de réels problèmes d'anatomie (regardez les mains des personnages, la poitrine de Mélissa...). Le tome 2 permettra peut-être de sauver la série de la médiocrité, mais j'en doute.
Pandora Box
Je ne donne mon avis que sur le 1er volume. J'ai eu du mal à accrocher avec cette histoire : - Le dessin est débutant, avec parfois une impression de bâclé, mais peut promettre pour la suite, et puis Rome ne s'est pas faite en un seul jour. - Le scénario est ultra prévisible et certaines parties sont laissées dans l'ombre... J'ai quelques doutes sur la "morale" de l'histoire. Il faut bien un commencement, dire que celui-ci est loupé serait exagéré. Ca se laisse lire, mais je ne pense pas en garder un souvenir immortel. J'irai consulter les autres volumes pour me faire une idée plus nette.
La Dame de la Chambre Close
Dans la lignée des "urban legend" pour teenager et de la déferlante actuelle d'histoires d'horreur made in Japan. Pas foncièrement mauvais - le dessin est plutôt sympa - ni complètement à coté de la plaque, c'est juste une petite série B pour passer une petite heure à (essayer) de se faire peur.
Claudia - Chevalier Vampire
Déçu, déçu, déçu... C'est sur on ne pouvait pas s'attendre à du Ledroit et d'entrée de jeu la comparaison paraissait dangereuse... mais là... L'écart dépasse toutes les craintes possibles. Peut-être Tacito a-t-il trop chercher à reproduire la Claudia de Ledroit? Le fait est qu'il n'est pas une page où le personnage de Claudia ne soit prit en défaut au niveau du dessin. Et malheureusement la couverture n'échappe pas à la règle. La colorisation doit être pour beaucoup dans ce raté. Le teint de Claudia ne colle pas, on a une impression Bizarre avec sa bouche (ça fait un peu bonhomme patate, on se demande si elle n'est pas juste scotchée en bas du visage...) Sinon il y a du bon. Hein? Mais trop peu pour effacer tout ce qui ne va pas. Niveau scénar on a l'impression que Mills se force à faire du Tacito avec des dialogues à la Dead hunter. Mais c'est du Requiem que l'on veut!!! Du vrai Mills tout en finesse dans ce monde de Brute. Ce qui passe très bien dans Dead hunter bloque vraiment dans Claudia C'est bête, j'aurais aimé donner une bonne note mais ça reste vraiment trop trop juste... :(
Révélations posthumes
Bon, j'ai acheté cet album par passion pour Andreas mais ce n'est vraiment pas le genre d'album que je conseillerais à l'achat à tout autre qu'un complet passionné et dont même la lecture est dispensable. Il s'agit de la première BD réellement publiée par Andreas. Ayant fait un an de beaux-arts à apprendre entre autres la lithographie et la sérigraphie, il a quelques années plus tard demandé à François Rivière de lui écrire un texte qu'il mettrait en image avec cette technique. Rivière lui a donc d'abord écrit un petite biographie fictive d'un ami de H.P. Lovecraft. Rivière n'y a pas vraiment mis du sien car il n'y croyait pas trop, et cela donne une histoire étrange, biographie dont on a du mal à voir l'interêt de cet homme, de ses relations avec Lovecraft et de ce qu'il est devenu ensuite. Andreas a mis ça en image de manière plutôt élégante, avec des dessins style lithographie, copiés pour beaucoup à partir de photos d'époque, dessins qui sont très travaillés et relativement jolis mais qui sont loin du niveau de beauté des dessins du même style de Cromwell Stone. Le résultat, c'est un texte accompagné d'illustrations relativement jolies mais aussi figés que des photos et sans continuité de lecture comme une BD classique. François Rivière, ayant trouvé ce premier résultat assez réussi, a écrit 4 autres textes, moins "scolaire" que la première autobiographie, mettant en scène les personnages d'Agatha Christie, de Pierre Loti, de Jules Verne et d'un peintre belge que je ne connaissais absolument pas. Ces histoires sont un peu plus prenantes que la première, celle d'Agatha Christie n'est pas trop mal, mais pour les autres, je n'ai franchement pas été captivé. C'est un album étrange car on se demande vraiment l'interêt de ces biographies ou évènements fictifs dans la vie de personnes connues. Et comme le dessin d'Andreas n'y est vraiment pas à la hauteur de ce qu'il deviendra ensuite, d'autant plus que c'est le plus souvent de la "retranscription" de simples photos, c'est une BD vraiment dispensable, je trouve.
A l'ouest de Tokyo
Carabas aussi se lance dans le manga, et j'imagine que le choix de cet(te) auteur(e) a été motivé par son style graphique bien particulier, qui la démarque largement de ce dont on peut avoir l'habitude. Elle utilise abondamment des photos largement retravaillées, avec pas mal d'effets informatiques. Le résultat est visuellement pas déplaisant, même si on confond parfois bien trop facilement les personnages... ce qui n'aide vraiment pas à la compréhension de "l'histoire", d'autant plus que le passage de scène à scène est parfois incompréhensible. Tout est en ambiance et en petites touches. Ce couple semble presque vivre dans un lieu hors du temps. L'immobilité, le contemplatif, dominent. C'est le mari mangaka de Michan qui par ses actions (pourtant pas impressionnantes) va faire voler en éclats cette situation. L'album est beau. La maquette est sobre et belle, le papier de bonne qualité... On sent que Carabas a bien soigné l'objet. On peut juste regretter l'absence de notes/dossier, qui sont en général intéressantes. Enfin bon, un manga roman graphique, il y en a déjà un nombre conséquent, comme celui-ci n'est vraiment pas facile d'accès, pas passionnant, et ne présente rien d'original (à part son graphisme), il est très dispensable.