Un "Western dans la poche" est sans doute un premier album plus qu'honorable pour un jeune auteur. Miras a un style, par moments très chargé et un peu maladroit mais un style tout de même. L'intrigue possède son brin d'originalité, notament celui de prendre pour héros d'un western, un jeune intellectuel pas spécialement valeureux. Mais passées les premières pages enchanteresses, j'ai eu la sensation de retomber dans un récit trop balisé et peu passionant, l'album étant en plus désservi par une conclusion résolument trop banale.
2,5.
Je comprends qu'on puisse aimer cet album, mais dans mon cas il n'a pas du tout fonctionné. Le début est effectivement très peu crédible, mais il s'explique par la suite (trop tard, peut-être ?). Ce qui m'a vraiment rebuté c'est l'espèce d'enquête-jeu de piste qui compose une bonne partie de l'album... surtout qu'à un moment je me suis cru en train de lire une aventure du club des cinq, impression qui m'a vraiment gâché ma lecture. :(
Pourtant cette petite enquête avec rebondissements et mécanisme à découvrir est plutôt pas mal construite, mais elle me semble peu originale, et sans surprise... assez "mécanique", au final, trop orientée sur "le truc" de l'album. Preuve en est les personnages, juste esquissés pour tenir leur rôle.
Le dessin ne me plaît pas plus que ça, mais les changements de style (lors du récit des villageois) sont jolis.
Beau dessin, enfin, artistique on va dire. Pour ce qui est du scénario, c'est assez 'space' (c'est le cas de le dire). Faut s'accrocher. L'idée est bonne, mais chaque album est le précédent avec un nouvel emballage. Le premier album m'a plu, mais après 6, ça devient lassant.
J'avoue que tout ça m'a laissé carrément froid... Ce type d'introspection, qui finalement ne raconte que de la médiocrité, c'est un peu léger. Traitement steroïdien des adolescents, musculation du périnée chez les filles... Que de viande froide...
Pourtant Tomine semble se faire une spécialité des récits mettant en scène des adolescents à la vie terne, et qui réagissent de façon carrément médiocre, voire totalement normale (voir Les yeux à vif). Son style, un peu lisse, donne l'impression de lire du Daniel Clowes, en moins intéressant.
Aucune des 4 nouvelles ne m'a vraiment touché.
Bon on va pas se répéter : C'est un BD punk avec tout ce qui en découle...
Mais moi ce n'est pas l'ambiance qui me dérange (je suis pas un grand fan du punk mais je suis plutôt curieux), ça serait plutôt les scénarii : Je les trouve tout simplement creux, vides, très peu travaillés (contrairement à l'ambiance qui est très réussie !).
Le dessin plaira aux amateurs des années 80 : Dans son genre il est effectivement bien réussi, même si les couleurs sont assez fadasses.
Une BD pour les fans du genre punk/trash.
J'ai vraiment eu du mal avec cette BD.
Je dirais que le dessin est... académique. C'est pas moche, mais bon, je n'aime pas trop.
Quant au scénario, il aborde l'Histoire de Berlin entre Septembre 1928 et Mai 1929 en nous faisant suivre des tranches de vie, de pensées et de discussions de plusieurs groupes de personnes assez hétéroclites allant du groupe d'artistes intellos à la femme-ouvrière à tendance communiste.
Mais j'ai vraiment trouvé ça... ennuyeux... Il ne se passe pas grand chose d'autre que des discussions sur la politique, l'art, la vie quotidienne. On saute de personnages à d'autres sans transition et sans réel suivi narratif. Au passage, nous suivons régulièrement les pensées de tout le monde que l'histoire croise dans la rue ou ailleurs. Il y a donc en permanence du texte, parfois des textes intellectualisants, parfois de véritables cours sur l'art, d'autres fois des banalités qui n'ont rien à voir avec la trame de l'histoire. Tout cela est sans doute destiné à forger un décor psychologique à la ville de Berlin mais le résultat est médiocre en ce qui me concerne.
Et franchement, au fil des pages, je n'ai pas su m'accrocher au moindre personnage et l'histoire n'avançant pas, j'ai carrément décroché.
Une lecture qui m'a ennuyé et n'a eu qu'à peine le mérite de me permettre de découvrir le Berlin de 1928 tant la plongée dans cette ville m'a parue laborieuse et trainante.
Ces deux volumes sont composés à chaque fois d'une dizaine d'histoires courtes et sans scénarii élaborés, on peut même dire que l'orientation est doucement débile.
Par exemple on trouvera pèle mêle: une jeune fille qui rêve de se faire culbuter entre deux allées de rhododendrons, deux jeunes abrutis qui échouent chaque fois qu'ils tentent de perdre leur pucelage, ou encore un professeur en médecine qui fornique avec une infirmière aux allures de nymphette (pendant sa pause et en plus devant un cadavre frais...)
Les dessins sont plutôt réussis et ils contiennent les codes graphiques propre au hentai (grands yeux, grimaces débiles, bave aux lèvres etc...).
Par contre vu que la version originale était censurée (flous ou effet pixel), l'éditeur français a redessiné les parties sexuelles, et on ne peut pas dire que ce soit soigneux: on dirait que ces éléments ont étés rajoutés au tractopelle tant cela tranche avec le reste, les traits sont grossiers, c'est dommage...
Donc une BD pornographique relativement faiblarde, à noter que l'auteur a inclus beaucoup d'humour dans ses sketches, ce qui aide à faire passer le côté un peu "gros" des phantasmes mis en scène ici. Allez 2/5 pour les quelques sourires occasionnés par la débilité de certaines situations.
Franchement à l'époque où j'ai acheté cette BD on me l'avait présentée comme LA nouveauté à acheter.
Ben...
C'est de la SF un peu bidon quoi?!? Rien d'original sous la lune... rien que l'on ait déjà lu et relu... C'était peut-être dans un épisode l'Albator! Albator l'inventeur de la SF!!!:D:D:D
Et en plus j'aime vraiment pas les dessins, je ne sais vraiment pas ce qui m'a fait acheter cette BD?!?
Par contre les monstres sont bien classes!!!:D Peut être parce qu'on les voit aussi dans sillage...:D
En tout cas rien de bien prohibitif, mais une grosse déception venant de Morvan... Quoique je suis pas fan de sillage... alors pas de déception!!!:D
Ah quelle déception que ce premier tome.
Ayant parcouru les divers avis postés sur cette série, je me suis dit qu'elle correspondait à ce que je recherche dans la lecture d'une BD: du mystère, du fantastique (ou du moins aux frontières du fantastique) le tout se passant il y a quelques siècles en arrière.
Eh bien je dois dire que n'ai pas du tout été convaincu par la lecture de cette "île de Brac".
Les dessins ne sont pas exceptionnels et les paysages "admirés" par plusieurs ne m'ont pas conquis. De plus plusieurs cases sonnent trop creuses.
Quant au scénario, c'est du genre: Voilà ce qui s'est passé, ne vous tracassez pas à savoir qui ou quoi est à l'origine du délit car dans 10 pages on vous donnera la solution. Et durant les 10 pages restantes, on fait une petite course poursuite où on économise au max le crayon et les couleurs (ce sont les fameuses cases creuses).
Et la fin: pouf, on ferme l'album et on se dit que l'on n'a pas eu le temps de s'interroger sur le pourquoi des faits et pas eu le temps de se demander qui ou quoi peut être derrière tout ça.
Les autres tomes se feront donc sans moi.
Mouairf... Je trouve que cette BD fait un peu trop dans le choquant juste pour être choquant, au détriment de l'humour.
J'aime assez le dessin, il me fait un peu penser à celui des Innommables avec qui cette Bd partage le côté politiquement incorrect.
Mais ici, ce politiquement incorrect ne cède pas à mes yeux la place à un véritable humour. J'aime assez l'humour noir, mais là, ça ne colle pas. C'est du sadisme qui se veut choquant car Monsieur Tue-Tout a une passion pour tuer les enfants, et ce de manière souvent largement affreuse. Mais ça se veut drôle et ça ne réussit pas à me faire rire.
En outre, les gags sont largement répétitifs. J'ai bien dû sourire ou pouffer de rire sur 3 ou 4 gags, mais dans l'ensemble, le reste m'a laissé froid.
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Un Western dans la poche
Un "Western dans la poche" est sans doute un premier album plus qu'honorable pour un jeune auteur. Miras a un style, par moments très chargé et un peu maladroit mais un style tout de même. L'intrigue possède son brin d'originalité, notament celui de prendre pour héros d'un western, un jeune intellectuel pas spécialement valeureux. Mais passées les premières pages enchanteresses, j'ai eu la sensation de retomber dans un récit trop balisé et peu passionant, l'album étant en plus désservi par une conclusion résolument trop banale.
Charmes fous
2,5. Je comprends qu'on puisse aimer cet album, mais dans mon cas il n'a pas du tout fonctionné. Le début est effectivement très peu crédible, mais il s'explique par la suite (trop tard, peut-être ?). Ce qui m'a vraiment rebuté c'est l'espèce d'enquête-jeu de piste qui compose une bonne partie de l'album... surtout qu'à un moment je me suis cru en train de lire une aventure du club des cinq, impression qui m'a vraiment gâché ma lecture. :( Pourtant cette petite enquête avec rebondissements et mécanisme à découvrir est plutôt pas mal construite, mais elle me semble peu originale, et sans surprise... assez "mécanique", au final, trop orientée sur "le truc" de l'album. Preuve en est les personnages, juste esquissés pour tenir leur rôle. Le dessin ne me plaît pas plus que ça, mais les changements de style (lors du récit des villageois) sont jolis.
Les Technopères
Beau dessin, enfin, artistique on va dire. Pour ce qui est du scénario, c'est assez 'space' (c'est le cas de le dire). Faut s'accrocher. L'idée est bonne, mais chaque album est le précédent avec un nouvel emballage. Le premier album m'a plu, mais après 6, ça devient lassant.
Blonde platine
J'avoue que tout ça m'a laissé carrément froid... Ce type d'introspection, qui finalement ne raconte que de la médiocrité, c'est un peu léger. Traitement steroïdien des adolescents, musculation du périnée chez les filles... Que de viande froide... Pourtant Tomine semble se faire une spécialité des récits mettant en scène des adolescents à la vie terne, et qui réagissent de façon carrément médiocre, voire totalement normale (voir Les yeux à vif). Son style, un peu lisse, donne l'impression de lire du Daniel Clowes, en moins intéressant. Aucune des 4 nouvelles ne m'a vraiment touché.
Ranxerox
Bon on va pas se répéter : C'est un BD punk avec tout ce qui en découle... Mais moi ce n'est pas l'ambiance qui me dérange (je suis pas un grand fan du punk mais je suis plutôt curieux), ça serait plutôt les scénarii : Je les trouve tout simplement creux, vides, très peu travaillés (contrairement à l'ambiance qui est très réussie !). Le dessin plaira aux amateurs des années 80 : Dans son genre il est effectivement bien réussi, même si les couleurs sont assez fadasses. Une BD pour les fans du genre punk/trash.
Berlin (Lutes)
J'ai vraiment eu du mal avec cette BD. Je dirais que le dessin est... académique. C'est pas moche, mais bon, je n'aime pas trop. Quant au scénario, il aborde l'Histoire de Berlin entre Septembre 1928 et Mai 1929 en nous faisant suivre des tranches de vie, de pensées et de discussions de plusieurs groupes de personnes assez hétéroclites allant du groupe d'artistes intellos à la femme-ouvrière à tendance communiste. Mais j'ai vraiment trouvé ça... ennuyeux... Il ne se passe pas grand chose d'autre que des discussions sur la politique, l'art, la vie quotidienne. On saute de personnages à d'autres sans transition et sans réel suivi narratif. Au passage, nous suivons régulièrement les pensées de tout le monde que l'histoire croise dans la rue ou ailleurs. Il y a donc en permanence du texte, parfois des textes intellectualisants, parfois de véritables cours sur l'art, d'autres fois des banalités qui n'ont rien à voir avec la trame de l'histoire. Tout cela est sans doute destiné à forger un décor psychologique à la ville de Berlin mais le résultat est médiocre en ce qui me concerne. Et franchement, au fil des pages, je n'ai pas su m'accrocher au moindre personnage et l'histoire n'avançant pas, j'ai carrément décroché. Une lecture qui m'a ennuyé et n'a eu qu'à peine le mérite de me permettre de découvrir le Berlin de 1928 tant la plongée dans cette ville m'a parue laborieuse et trainante.
Conspiracy
Ces deux volumes sont composés à chaque fois d'une dizaine d'histoires courtes et sans scénarii élaborés, on peut même dire que l'orientation est doucement débile. Par exemple on trouvera pèle mêle: une jeune fille qui rêve de se faire culbuter entre deux allées de rhododendrons, deux jeunes abrutis qui échouent chaque fois qu'ils tentent de perdre leur pucelage, ou encore un professeur en médecine qui fornique avec une infirmière aux allures de nymphette (pendant sa pause et en plus devant un cadavre frais...) Les dessins sont plutôt réussis et ils contiennent les codes graphiques propre au hentai (grands yeux, grimaces débiles, bave aux lèvres etc...). Par contre vu que la version originale était censurée (flous ou effet pixel), l'éditeur français a redessiné les parties sexuelles, et on ne peut pas dire que ce soit soigneux: on dirait que ces éléments ont étés rajoutés au tractopelle tant cela tranche avec le reste, les traits sont grossiers, c'est dommage... Donc une BD pornographique relativement faiblarde, à noter que l'auteur a inclus beaucoup d'humour dans ses sketches, ce qui aide à faire passer le côté un peu "gros" des phantasmes mis en scène ici. Allez 2/5 pour les quelques sourires occasionnés par la débilité de certaines situations.
Clones en série (Nirta Omirli)
Franchement à l'époque où j'ai acheté cette BD on me l'avait présentée comme LA nouveauté à acheter. Ben... C'est de la SF un peu bidon quoi?!? Rien d'original sous la lune... rien que l'on ait déjà lu et relu... C'était peut-être dans un épisode l'Albator! Albator l'inventeur de la SF!!!:D:D:D Et en plus j'aime vraiment pas les dessins, je ne sais vraiment pas ce qui m'a fait acheter cette BD?!? Par contre les monstres sont bien classes!!!:D Peut être parce qu'on les voit aussi dans sillage...:D En tout cas rien de bien prohibitif, mais une grosse déception venant de Morvan... Quoique je suis pas fan de sillage... alors pas de déception!!!:D
Le Marquis d'Anaon
Ah quelle déception que ce premier tome. Ayant parcouru les divers avis postés sur cette série, je me suis dit qu'elle correspondait à ce que je recherche dans la lecture d'une BD: du mystère, du fantastique (ou du moins aux frontières du fantastique) le tout se passant il y a quelques siècles en arrière. Eh bien je dois dire que n'ai pas du tout été convaincu par la lecture de cette "île de Brac". Les dessins ne sont pas exceptionnels et les paysages "admirés" par plusieurs ne m'ont pas conquis. De plus plusieurs cases sonnent trop creuses. Quant au scénario, c'est du genre: Voilà ce qui s'est passé, ne vous tracassez pas à savoir qui ou quoi est à l'origine du délit car dans 10 pages on vous donnera la solution. Et durant les 10 pages restantes, on fait une petite course poursuite où on économise au max le crayon et les couleurs (ce sont les fameuses cases creuses). Et la fin: pouf, on ferme l'album et on se dit que l'on n'a pas eu le temps de s'interroger sur le pourquoi des faits et pas eu le temps de se demander qui ou quoi peut être derrière tout ça. Les autres tomes se feront donc sans moi.
Les aventures de Monsieur Tue-Tout
Mouairf... Je trouve que cette BD fait un peu trop dans le choquant juste pour être choquant, au détriment de l'humour. J'aime assez le dessin, il me fait un peu penser à celui des Innommables avec qui cette Bd partage le côté politiquement incorrect. Mais ici, ce politiquement incorrect ne cède pas à mes yeux la place à un véritable humour. J'aime assez l'humour noir, mais là, ça ne colle pas. C'est du sadisme qui se veut choquant car Monsieur Tue-Tout a une passion pour tuer les enfants, et ce de manière souvent largement affreuse. Mais ça se veut drôle et ça ne réussit pas à me faire rire. En outre, les gags sont largement répétitifs. J'ai bien dû sourire ou pouffer de rire sur 3 ou 4 gags, mais dans l'ensemble, le reste m'a laissé froid.