Une BD que j'avais lue en prépublication dans Bo-Doï, et qui m'avait attiré par un dessin agréable (oui, Uma est pas mal foutue quand même ;) et un scénario original, se déroulant dans le monde des diamantaires d'Anvers.
Un dessin assez conventionnel dont je ne suis pas un grand fan d'habitude, mais j'ai voulu essayer quand même la BD.
Ce premier tome pose les bases de la série, plante le décor et les personnages. Les dialogues sont parfois un peu pré-formatés (pour ne pas dire ridicules). Les personnages ont le mérite d'avoir un côté psychologique un peu plus creusé que dans d'autres séries. Mais à trop vouloir en faire, ils perdent en crédibilité et en authenticité...
J'ai regretté quelques imperfections sur le dessin, des détails un peu bâclés, enfin surtout un manque de constance, car sur certaines planches il n'y a rien à dire.
Une série qui nous présente un monde original, et c'est surtout là son intérêt...
C'est vrai que tout fan de manga doit arriver à cette conclusion : Eiji reprend tous les archétypes du manga de mauvaise qualité, les clichés et n'apporte rien d'original.
Le scénar faiblard et l'humour en-dessous du premier degré ne font pas mouche chez moi désolé.
Les dessins, pas terribles à la base, sont encore enlaidis par des couleurs bien moches. Mais le pire, c'est surtout la quasi-absence de scénario... Juste une succession de petits épisodes dépourvus du moindre intérêt, à l'intrigue aussi primitive que le protagoniste ("personnage chercher bouffe", "personnage se battre", "perssonnage se sauver" et, plus élaboré, "personnage rencontrer femelle"... presque hitchkockien, celui-là...). Heureusement que ça se finit très vite. Ca s'oublie aussitôt après.
Quand on pense qu'on peut gagner un prix à Angoulême avec ça...
Cela partait pourtant pas mal ... Mais le résultat est carrément décevant.
C'est plat, "cousu de fil blanc", lu et relu dans pas mal de bd, sans aucune originalité et dans le scénario et dans l'illustration.
Carrément pas mon genre de descendre une BD mais la, sincèrement, elle a rien pour être defendu ...
A lire en bibliothèque ...
J'ai mis un peu de temps à m'en rendre compte, mais cette BD est à prendre comme une parodie des feuilletons façon "Sunset Beach", "Melrose Place" et autres "Feux de l'Amour" : intrigues à deux balles, couples qui se font et se défont... Le problème des parodies, c'est que parfois elles finissent par ressembler tellement au modèle dont elles veulent se moquer qu'elles ne valent pas mieux. Souvenez- vous, à l'époque de la vague des boys band, plusieurs humoristes (ou prétendus tels) nous ont pondu des parodies dont, au final, le but semblait surtout de profiter de la mode et de gagner, comme les vrais boys band, un paquet de pognon grâce à des chansons aux paroles idiotes et à la musique insipide. Ici, donc, même si les personnages sont des insectes (ou des bactéries, j'ai pas vraiment réussi à déterminer), ce qui implique quelques variations par rapport aux vrais soap operas (ici, en plus du reste, ils se bouffent entre eux, fusionnent, muent...), c'est quand même finalement bien la même soupe qu'on sert : c'est super répétitif et c'est idiot. Ça va bien 5 pages, mais on se lasse vite.
Ça, c'est typiquement le genre de BD qui fonctionne grâce à l'identification du lecteur aux personnages, au côté "ah, ouais, bien vu, c'est vrai que ça se passe comme ça dans la vraie vie, moi aussi j'ai vécu ça". Forcément, beaucoup de lecteurs de BD ont entre 25 et 35 ans, et quelle personne entre 25 et 35 ans n'a pas déjà vécu la perte d'un emploi et/ou des moments difficiles dans son couple alors que celui-ci était à une période charnière ? Du coup, pas étonnant que "Beakfast after noon" plaise autant.
Le problème, c'est qu'à force de vouloir donner à fond dans le quotidien, le réalisme, cette BD est vraiment d'une platitude et d'une banalité rarement atteintes. Dessin passe-partout (comme le fait remarquer fourmi, qui pour une fois a raison, ça ressemble trait pour trait à des séries comme Premières chaleurs, qui ressemble trait pour trait à Les Filles, qui ressemble à et cetera et cetera...), pas d'intrigue, situations aussi passionnantes que "allons acheter des chips", dialogues insipides... Quel ennui ! Quelle paresse de la part de l'auteur ! J'ai peine à croire que j'ai réussi à m'infliger 180 pages de ce pensum... J'ai quand même refusé d'en lire les 20 dernières pages : c'était vraiment trop chiant, et puis j'étais persuadé de déjà connaître la fin.
J’aime l'humour noir quand il est bien fait (relom, porte à porte malheur, etc.) mais alors perpette... c'est vraiment tout mauvais, pas drôle, pas beau. Même pas agréable à lire dans un magazine...
meme avis que precedemment....des dialogues indigestes à force de vouloir cumuler les exemples de gouailles de racailles, vague echo des performances audiardesques, dont la force n'etait pas dans l'accumulation indigeste de lazzi mais dans la pertinence de ces derniers...clone sans gouts, que des dessins pour le moins approximatifs et maladroit ne parviennent pas a rehausser.a eviter.
Mon avis rejoint celui de Pédro. On a vanté cette BD comme étant du Audiard mis en couleur mais au final que reste t-il? De l'argot et des dialogues faciles; absolument rien de la gouaille et l'art de la formule de maître Audiard. Donc clairement cette BD a été "vendue" sous un certain concept, plus comme un coup marketing. Passé ce moment de déception, où on a l'impression d'avoir été dupé, on essaie de repartir vierge de tout à priori pour profiter de la lecture. Et malheureusement là aussi, la lecture est un ennui constant. On m'a vendu du Audiard et j'ai eu Max Pecas.
(Lu que le tome 1)
J'avais entendu dire beaucoup de bien de cet auteur, et de plus la collection Poisson-Pilote a pour habitude de publier de bons albums. Comme les dessins de celui-ci avaient l'air sympas, je l'ai lu...
Grave, grave, graaâaave erreur ! Cet album est une bouse !!! Une jolie bouse, certes, mais une bouse quand même. Je me suis rarement autant em...dé, même Plastic Little et XHG-C3 le surpassent, c'est pour dire !
En fait cet album est creux, tout simplement : scénario réduit à sa plus simple expression, personnages qui se retrouvent là on ne sait pourquoi, action chiante, histoire résumée à une suite de cheveux qui tombent dans on ne sait quelle soupe, et fin en queue de poisson, vraiment si je devais voter pour élire la plus grosse nullité de l'année, ce serait probablement Hop-Frog ! :(
Alors voilà. C'est peut-être pas gentil pour l'auteur -- dont je continue à entendre du bien par ailleurs ! -- mais il n'avait qu'à pas faire ça.
Vraiment, on n'a pas idée. :(
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Les Eternels
Une BD que j'avais lue en prépublication dans Bo-Doï, et qui m'avait attiré par un dessin agréable (oui, Uma est pas mal foutue quand même ;) et un scénario original, se déroulant dans le monde des diamantaires d'Anvers. Un dessin assez conventionnel dont je ne suis pas un grand fan d'habitude, mais j'ai voulu essayer quand même la BD. Ce premier tome pose les bases de la série, plante le décor et les personnages. Les dialogues sont parfois un peu pré-formatés (pour ne pas dire ridicules). Les personnages ont le mérite d'avoir un côté psychologique un peu plus creusé que dans d'autres séries. Mais à trop vouloir en faire, ils perdent en crédibilité et en authenticité... J'ai regretté quelques imperfections sur le dessin, des détails un peu bâclés, enfin surtout un manque de constance, car sur certaines planches il n'y a rien à dire. Une série qui nous présente un monde original, et c'est surtout là son intérêt...
Psychometrer Eiji
C'est vrai que tout fan de manga doit arriver à cette conclusion : Eiji reprend tous les archétypes du manga de mauvaise qualité, les clichés et n'apporte rien d'original. Le scénar faiblard et l'humour en-dessous du premier degré ne font pas mouche chez moi désolé.
L'Âge de raison
Les dessins, pas terribles à la base, sont encore enlaidis par des couleurs bien moches. Mais le pire, c'est surtout la quasi-absence de scénario... Juste une succession de petits épisodes dépourvus du moindre intérêt, à l'intrigue aussi primitive que le protagoniste ("personnage chercher bouffe", "personnage se battre", "perssonnage se sauver" et, plus élaboré, "personnage rencontrer femelle"... presque hitchkockien, celui-là...). Heureusement que ça se finit très vite. Ca s'oublie aussitôt après. Quand on pense qu'on peut gagner un prix à Angoulême avec ça...
Thomas ou le Retour du Tabou
Cela partait pourtant pas mal ... Mais le résultat est carrément décevant. C'est plat, "cousu de fil blanc", lu et relu dans pas mal de bd, sans aucune originalité et dans le scénario et dans l'illustration. Carrément pas mon genre de descendre une BD mais la, sincèrement, elle a rien pour être defendu ... A lire en bibliothèque ...
Les Dessous de Terminal Beach
J'ai mis un peu de temps à m'en rendre compte, mais cette BD est à prendre comme une parodie des feuilletons façon "Sunset Beach", "Melrose Place" et autres "Feux de l'Amour" : intrigues à deux balles, couples qui se font et se défont... Le problème des parodies, c'est que parfois elles finissent par ressembler tellement au modèle dont elles veulent se moquer qu'elles ne valent pas mieux. Souvenez- vous, à l'époque de la vague des boys band, plusieurs humoristes (ou prétendus tels) nous ont pondu des parodies dont, au final, le but semblait surtout de profiter de la mode et de gagner, comme les vrais boys band, un paquet de pognon grâce à des chansons aux paroles idiotes et à la musique insipide. Ici, donc, même si les personnages sont des insectes (ou des bactéries, j'ai pas vraiment réussi à déterminer), ce qui implique quelques variations par rapport aux vrais soap operas (ici, en plus du reste, ils se bouffent entre eux, fusionnent, muent...), c'est quand même finalement bien la même soupe qu'on sert : c'est super répétitif et c'est idiot. Ça va bien 5 pages, mais on se lasse vite.
Breakfast after noon
Ça, c'est typiquement le genre de BD qui fonctionne grâce à l'identification du lecteur aux personnages, au côté "ah, ouais, bien vu, c'est vrai que ça se passe comme ça dans la vraie vie, moi aussi j'ai vécu ça". Forcément, beaucoup de lecteurs de BD ont entre 25 et 35 ans, et quelle personne entre 25 et 35 ans n'a pas déjà vécu la perte d'un emploi et/ou des moments difficiles dans son couple alors que celui-ci était à une période charnière ? Du coup, pas étonnant que "Beakfast after noon" plaise autant. Le problème, c'est qu'à force de vouloir donner à fond dans le quotidien, le réalisme, cette BD est vraiment d'une platitude et d'une banalité rarement atteintes. Dessin passe-partout (comme le fait remarquer fourmi, qui pour une fois a raison, ça ressemble trait pour trait à des séries comme Premières chaleurs, qui ressemble trait pour trait à Les Filles, qui ressemble à et cetera et cetera...), pas d'intrigue, situations aussi passionnantes que "allons acheter des chips", dialogues insipides... Quel ennui ! Quelle paresse de la part de l'auteur ! J'ai peine à croire que j'ai réussi à m'infliger 180 pages de ce pensum... J'ai quand même refusé d'en lire les 20 dernières pages : c'était vraiment trop chiant, et puis j'étais persuadé de déjà connaître la fin.
Perpette
J’aime l'humour noir quand il est bien fait (relom, porte à porte malheur, etc.) mais alors perpette... c'est vraiment tout mauvais, pas drôle, pas beau. Même pas agréable à lire dans un magazine...
Les Teigneux
meme avis que precedemment....des dialogues indigestes à force de vouloir cumuler les exemples de gouailles de racailles, vague echo des performances audiardesques, dont la force n'etait pas dans l'accumulation indigeste de lazzi mais dans la pertinence de ces derniers...clone sans gouts, que des dessins pour le moins approximatifs et maladroit ne parviennent pas a rehausser.a eviter.
Les Teigneux
Mon avis rejoint celui de Pédro. On a vanté cette BD comme étant du Audiard mis en couleur mais au final que reste t-il? De l'argot et des dialogues faciles; absolument rien de la gouaille et l'art de la formule de maître Audiard. Donc clairement cette BD a été "vendue" sous un certain concept, plus comme un coup marketing. Passé ce moment de déception, où on a l'impression d'avoir été dupé, on essaie de repartir vierge de tout à priori pour profiter de la lecture. Et malheureusement là aussi, la lecture est un ennui constant. On m'a vendu du Audiard et j'ai eu Max Pecas.
Hiram Lowatt & Placido
(Lu que le tome 1) J'avais entendu dire beaucoup de bien de cet auteur, et de plus la collection Poisson-Pilote a pour habitude de publier de bons albums. Comme les dessins de celui-ci avaient l'air sympas, je l'ai lu... Grave, grave, graaâaave erreur ! Cet album est une bouse !!! Une jolie bouse, certes, mais une bouse quand même. Je me suis rarement autant em...dé, même Plastic Little et XHG-C3 le surpassent, c'est pour dire ! En fait cet album est creux, tout simplement : scénario réduit à sa plus simple expression, personnages qui se retrouvent là on ne sait pourquoi, action chiante, histoire résumée à une suite de cheveux qui tombent dans on ne sait quelle soupe, et fin en queue de poisson, vraiment si je devais voter pour élire la plus grosse nullité de l'année, ce serait probablement Hop-Frog ! :( Alors voilà. C'est peut-être pas gentil pour l'auteur -- dont je continue à entendre du bien par ailleurs ! -- mais il n'avait qu'à pas faire ça. Vraiment, on n'a pas idée. :(