Mon manga culte, celui qui m'a fait aimer la BD japonaise (avec RG Veda). Le dessin est très bon et le scénario sans être révolutionnaire est assez bon et tiens la route jusqu'au bout des 18 tomes. Mais surtout, ce qui est vraiment top dans FY, c'est le travail de Yu Watase sur ses personnages, ils ont tous une personnalité, une histoire et on s'attache assez rapidement à eux. En tous cas c'est un aspect important pour moi. Et aussi, Miss Watase a beaucoup d'humour. A lire donc !
Une très bonne surprise en ce qui me concerne.
Première impression : le dessin... Houlà, typiquement le style que je n'apprécie pas ! Pourquoi ai-je quand même acheté les albums ? Je ne sais pas... C'était il y 10 ans... Un coup de tête d'ado sans doute...
Seconde impression : le scénario. Et là, bonheur ! C'est tout simplement excellent ! Des dialogues percutants, des histoires très variées, un contexte historique bien respecté, avec de nombreuses références instructives...
Le 3/5, c'est parce que les différents tomes sont très inégaux (ne commencez pas par les premiers, ce sont les moins bons).
J'adore !
J'adore le dessin ! J'adore l'histoire ! J'adore les scénarios abracadabrantesques dans lesquels on arrive malgré tout à entrer avec plaisir ! J'adore les personnages, sombres, mystérieux et attachants ! J'adore la façon dont Thierry Robin dévoile doucement des bribes du mystère entourant son héros !
Que dire de plus ? Ah, Oui ! Bien sur, je vous recommande l'achat cette bédé :)
Je rejoins un peu l'avis de Cassidy mais je ne serai pas aussi sévère.
Pilules Bleues est une excellente bédé. Très drôle, touchante, sensible, légère, avec de bonnes trouvailles (je ne me suis toujours pas remise de l'histoire du rhinocéros) :)
Par contre, je ne pense pas que la gravité du sujet traité suffise à lui conférer le statut de "culte".
A lire, donc... Et à relire...
Un manga dans l'esprit de Dragon Ball mais dans le passé.
Les dessins et les pouvoirs font vraiment penser à DB (normal c'est un de ses assistants qui fait les dessins), c'est plutôt sympa mais le fait que ce soit de l'héroic-fantasy me plait beaucoup plus.
Le scénario fait vraiment penser à un jeu vidéo ce qui est normal car ce manga est tiré du jeu "Dragon Quest". C'est donc une histoire assez classique avec beaucoup de combats et surtout de superbes rebondissements qui m'ont fait halluciner.
La psychologie des personnages n'est pas très poussée mais il y a une certaine morale sur l'amitié (quand même un peu niaise des fois).
En conclusion, à réserver pour les fan du genre vu le nombre de volumes (37).
Tout d'abord, ce qui m'a attiré vers cette bd c'est que j'ai moi-même une copine qui s'appelle Florence et qui a, elle aussi, des jolis pieds. Et c'est donc avec une certaine curiosité que je me suis plongé dans cette histoire. Et je dois dire que le résultat est plutôt convaincant. J'en suis sorti le sourire aux lèvres et avec une agréable impression de bien-être.
Le scénario est avant tout construit comme une fable sociale. On nous parle de rapports entre garçons et filles, les rires, les pleurs et les coups foireux. Le centre d'intérêt du récit est axé sur le personnage principal c'est-à-dire ce pauvre Jérémie, un garcon timide, maladroit et qui n'a aucune confiance en lui. Il me fait parfois penser à Pierre Richard dans son film : "Je suis timide mais je me soigne".
Cet album parle avant tout de la vie de tout les jours. Chaque moment raconté, ici, a pu être vécu par chacun d'entre nous.
Je crois que c'est ce côté réaliste qui rend cet album vraiment sympathique.
Le dessin de Riad Sattouf est très inspiré de celui de Larcenet . Son trait est volontairement imparfait et assez caricatural. Mais il faut avouer que cette technique met bien en valeur le scénario . Ceci est d'ailleurs très paradoxale par rapport à son travail sur Petit Verglas ( Delcourt ) où là il nous proposait une approche graphique tout à fait différente .
En résumé , je dirais que cette album est terriblement humain . Il met en valeur certaines qualités et défauts que chacun de nous a en lui et le tout avec une certaine ironie .
Très sympa !
Cette BD, j’la sens culte moi ! Ca me démange de lui mettre déjà un 5/5, mais ce n'est que le premier tome, j'attends le second (avec impatience) en espérant qu'il soit aussi bon qu'Ambrosia, pour lui octroyer le max de points !
Le dessin de Moreno est vraiment bon, j'ai adoré cet univers baroque-futuriste. Dès ce premier tome, il y a de l'action : Corbeyran, dont les scénars sont la plupart du temps excellents, ne se contente pas seulement de placer le décor et de décrire ses persos.
Les couleurs sont assez sombres mais j'aime ;) !
A acheter sans hésiter.
Voila, tome 2 enfin sorti ! Tout me plait toujours autant, que ce soit le dessin (ya bien quelques traits un peu bizarres parfois mais rien de vraiment choquant), le scénario (qui n'est en rien "décalé" par rapport au premier tome), couleurs (toujours des tons assez froids, mais moi j'aime :) ),...
Verdict : je passe à 5/5!
Ah.
J’avais déjà lu (et pas aimé) «Je ne t’ai jamais aimé» du même auteur, mais là c’est en quelque sorte pire : le ton est toujours aussi apparemment détaché, dénué de sentiments, et il se passe toujours aussi peu de choses. Un aspect du livre est sa narration par démon interposé : Chester ne dit rien, ne pense rien, c’est son démon qui commente les scènes, ce qui ajoute encore au détachement de l’histoire, et donc du lecteur.
Mais le plus évident, c’est probablement l’aspect «recensement» : l’auteur a acheté tel Playboy à telle date, il s’est masturbé tant de fois devant la playmate du mois, il a arraché telles pages, a enterré, brûlé, mangé (je plaisante…) le magazine, puis à telle date il l’a racheté, puis rejeté, puis reracheté… Bref, soyons clairs, non seulement c’est saoûlant, mais surtout c’est simplement et complètement inintéressant.
Je n’ai lu qu’un «Spaghetti Brothers» et «L’honneur des Centobucchi», mais c’est assez pour dire que cela me plaît ! Cet album paraît tout d’abord assez austère : gaufrier de six cases, noir et blanc bien particulier de Mandrafina, aspect sérieux de l’histoire… mais on s’aperçoit bien vite que la caricature, le grotesque et le bouffon sont allègrement mêlés à cette tragique histoire de famille.
De fait, le dessin fait passer des visages du grave au caricatural en l’espace d’une case. Mandrafina sait y faire : si ses expressions faciales sont légèrement marquées, elles illustrent parfaitement l’histoire et servent en grande partie à rendre un côté un peu dérisoire, un peu bouffon.
C’est une des grandes forces de Trillo de réussir à combiner avec succès un sujet très sombre avec un comique qui nous fair rire parfois un peu jaune, comme pour l’excellent «Chicanos».
Il ne fait ici pas exception, et on passe un très bon moment à lire ce non moins bon album.
Cet album est de loin le plus contemplatif que j’ai pu lire dans cette collection. Le rythme est tout simplement fascinant, succession d’images illustrant chacune toute une scène, comme des photographies que l’on vous montrerait en vous racontant l’histoire associée.
Par opposition, le dessin fait très croquis pris sur le vif. Allant du plus dynamique au plus statique, il est vraiment prenant, et inhabituellement beau : la couverture devrait vous en convaincre.
Le ton est de plus en parfaite adéquation avec la narration : le grand-père fait, le père raconte, l’enfant imagine. La fin, très poétique, un peu nostalgique, est touchante et fait naître un sourire doux-amer sur les lèvres du lecteur.
J'avais tout d'abord moyennement apprécié, mais la relecture s'est avérée bien meilleure. :)
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Fushigi Yugi - Un Jeu étrange
Mon manga culte, celui qui m'a fait aimer la BD japonaise (avec RG Veda). Le dessin est très bon et le scénario sans être révolutionnaire est assez bon et tiens la route jusqu'au bout des 18 tomes. Mais surtout, ce qui est vraiment top dans FY, c'est le travail de Yu Watase sur ses personnages, ils ont tous une personnalité, une histoire et on s'attache assez rapidement à eux. En tous cas c'est un aspect important pour moi. Et aussi, Miss Watase a beaucoup d'humour. A lire donc !
Les Tuniques Bleues
Une très bonne surprise en ce qui me concerne. Première impression : le dessin... Houlà, typiquement le style que je n'apprécie pas ! Pourquoi ai-je quand même acheté les albums ? Je ne sais pas... C'était il y 10 ans... Un coup de tête d'ado sans doute... Seconde impression : le scénario. Et là, bonheur ! C'est tout simplement excellent ! Des dialogues percutants, des histoires très variées, un contexte historique bien respecté, avec de nombreuses références instructives... Le 3/5, c'est parce que les différents tomes sont très inégaux (ne commencez pas par les premiers, ce sont les moins bons).
Koblenz
J'adore ! J'adore le dessin ! J'adore l'histoire ! J'adore les scénarios abracadabrantesques dans lesquels on arrive malgré tout à entrer avec plaisir ! J'adore les personnages, sombres, mystérieux et attachants ! J'adore la façon dont Thierry Robin dévoile doucement des bribes du mystère entourant son héros ! Que dire de plus ? Ah, Oui ! Bien sur, je vous recommande l'achat cette bédé :)
Pilules bleues
Je rejoins un peu l'avis de Cassidy mais je ne serai pas aussi sévère. Pilules Bleues est une excellente bédé. Très drôle, touchante, sensible, légère, avec de bonnes trouvailles (je ne me suis toujours pas remise de l'histoire du rhinocéros) :) Par contre, je ne pense pas que la gravité du sujet traité suffise à lui conférer le statut de "culte". A lire, donc... Et à relire...
Dragon Quest - The Adventure of Dai (La Quête de Dai / Fly)
Un manga dans l'esprit de Dragon Ball mais dans le passé. Les dessins et les pouvoirs font vraiment penser à DB (normal c'est un de ses assistants qui fait les dessins), c'est plutôt sympa mais le fait que ce soit de l'héroic-fantasy me plait beaucoup plus. Le scénario fait vraiment penser à un jeu vidéo ce qui est normal car ce manga est tiré du jeu "Dragon Quest". C'est donc une histoire assez classique avec beaucoup de combats et surtout de superbes rebondissements qui m'ont fait halluciner. La psychologie des personnages n'est pas très poussée mais il y a une certaine morale sur l'amitié (quand même un peu niaise des fois). En conclusion, à réserver pour les fan du genre vu le nombre de volumes (37).
Les pauvres aventures de Jérémie
Tout d'abord, ce qui m'a attiré vers cette bd c'est que j'ai moi-même une copine qui s'appelle Florence et qui a, elle aussi, des jolis pieds. Et c'est donc avec une certaine curiosité que je me suis plongé dans cette histoire. Et je dois dire que le résultat est plutôt convaincant. J'en suis sorti le sourire aux lèvres et avec une agréable impression de bien-être. Le scénario est avant tout construit comme une fable sociale. On nous parle de rapports entre garçons et filles, les rires, les pleurs et les coups foireux. Le centre d'intérêt du récit est axé sur le personnage principal c'est-à-dire ce pauvre Jérémie, un garcon timide, maladroit et qui n'a aucune confiance en lui. Il me fait parfois penser à Pierre Richard dans son film : "Je suis timide mais je me soigne". Cet album parle avant tout de la vie de tout les jours. Chaque moment raconté, ici, a pu être vécu par chacun d'entre nous. Je crois que c'est ce côté réaliste qui rend cet album vraiment sympathique. Le dessin de Riad Sattouf est très inspiré de celui de Larcenet . Son trait est volontairement imparfait et assez caricatural. Mais il faut avouer que cette technique met bien en valeur le scénario . Ceci est d'ailleurs très paradoxale par rapport à son travail sur Petit Verglas ( Delcourt ) où là il nous proposait une approche graphique tout à fait différente . En résumé , je dirais que cette album est terriblement humain . Il met en valeur certaines qualités et défauts que chacun de nous a en lui et le tout avec une certaine ironie . Très sympa !
Le Régulateur
Cette BD, j’la sens culte moi ! Ca me démange de lui mettre déjà un 5/5, mais ce n'est que le premier tome, j'attends le second (avec impatience) en espérant qu'il soit aussi bon qu'Ambrosia, pour lui octroyer le max de points ! Le dessin de Moreno est vraiment bon, j'ai adoré cet univers baroque-futuriste. Dès ce premier tome, il y a de l'action : Corbeyran, dont les scénars sont la plupart du temps excellents, ne se contente pas seulement de placer le décor et de décrire ses persos. Les couleurs sont assez sombres mais j'aime ;) ! A acheter sans hésiter. Voila, tome 2 enfin sorti ! Tout me plait toujours autant, que ce soit le dessin (ya bien quelques traits un peu bizarres parfois mais rien de vraiment choquant), le scénario (qui n'est en rien "décalé" par rapport au premier tome), couleurs (toujours des tons assez froids, mais moi j'aime :) ),... Verdict : je passe à 5/5!
Le Playboy
Ah. J’avais déjà lu (et pas aimé) «Je ne t’ai jamais aimé» du même auteur, mais là c’est en quelque sorte pire : le ton est toujours aussi apparemment détaché, dénué de sentiments, et il se passe toujours aussi peu de choses. Un aspect du livre est sa narration par démon interposé : Chester ne dit rien, ne pense rien, c’est son démon qui commente les scènes, ce qui ajoute encore au détachement de l’histoire, et donc du lecteur. Mais le plus évident, c’est probablement l’aspect «recensement» : l’auteur a acheté tel Playboy à telle date, il s’est masturbé tant de fois devant la playmate du mois, il a arraché telles pages, a enterré, brûlé, mangé (je plaisante…) le magazine, puis à telle date il l’a racheté, puis rejeté, puis reracheté… Bref, soyons clairs, non seulement c’est saoûlant, mais surtout c’est simplement et complètement inintéressant.
Vieilles Canailles
Je n’ai lu qu’un «Spaghetti Brothers» et «L’honneur des Centobucchi», mais c’est assez pour dire que cela me plaît ! Cet album paraît tout d’abord assez austère : gaufrier de six cases, noir et blanc bien particulier de Mandrafina, aspect sérieux de l’histoire… mais on s’aperçoit bien vite que la caricature, le grotesque et le bouffon sont allègrement mêlés à cette tragique histoire de famille. De fait, le dessin fait passer des visages du grave au caricatural en l’espace d’une case. Mandrafina sait y faire : si ses expressions faciales sont légèrement marquées, elles illustrent parfaitement l’histoire et servent en grande partie à rendre un côté un peu dérisoire, un peu bouffon. C’est une des grandes forces de Trillo de réussir à combiner avec succès un sujet très sombre avec un comique qui nous fair rire parfois un peu jaune, comme pour l’excellent «Chicanos». Il ne fait ici pas exception, et on passe un très bon moment à lire ce non moins bon album.
Made In U.S.
Cet album est de loin le plus contemplatif que j’ai pu lire dans cette collection. Le rythme est tout simplement fascinant, succession d’images illustrant chacune toute une scène, comme des photographies que l’on vous montrerait en vous racontant l’histoire associée. Par opposition, le dessin fait très croquis pris sur le vif. Allant du plus dynamique au plus statique, il est vraiment prenant, et inhabituellement beau : la couverture devrait vous en convaincre. Le ton est de plus en parfaite adéquation avec la narration : le grand-père fait, le père raconte, l’enfant imagine. La fin, très poétique, un peu nostalgique, est touchante et fait naître un sourire doux-amer sur les lèvres du lecteur. J'avais tout d'abord moyennement apprécié, mais la relecture s'est avérée bien meilleure. :)