"Aldébaran" est la BD de science-fiction que je préfère ! Tout d'abord le dessin est magnifique : les paysages, la faune et la flore nous entraînent dans un univers complètement dépaysant. Mais surtout, j'ai beaucoup aimé le scénario : l'histoire rythmée tient le lecteur en haleine (tout en préservant des moments de poésie) et les rapports entre les personnages évoluent au fur et à mesure, comme dans la vie. C'est ce qui m'a particulièrement touchée... Bref, à lire de toute urgence...
Après la lecture des 5 premiers tomes, je me permets enfin de mettre un avis sur cette oeuvre... pardon, ce chef-d'oeuvre du maître Urasawa.
Ayant connu cet auteur, comme bien d'autres, grâce à l'excellent "Monster", j'ai bien vite décidé de me plonger dans cette oeuvre, qui ne m'inspirait pas du tout du temps où je ne connaissais pas l'auteur.
Quel choc j'aurais manqué ! "20th century boys" (titre imprononçable mais qui correspond merveilleusement à la série) garde l'intensité et le suspense de "Monster" pour y ajouter une bonne dose d'humour, de nostalgie et de références, notamment aux années 60-70, époque où les héros étaient jeunes.
Le scénario est incroyablement ambitieux (je n'en dévoile rien) et l'auteur fait preuve, encore plus qu'avec "Monster", d'un immense talent de narration : il nous ballade entre le passé, le présent, le futur, l'ici, l'ailleurs... avec une aisance déconcertante et sans jamais nous perdre en route.
Avoir un tome de "20th century boys" dans les mains, c'est tout simplement rester scotché du début a la fin, tant la maîtrise de l'auteur est incontestable.
17/10/03 : Je viens de lire le tome 8...
Je n'aurais jamais pensé qu'une telle perfection scénaristique (excusez moi du terme) pourrait être atteinte dans un manga, ou même dans une bd en général. La tension est constante, les révélations sont légion mais étonnent toujours autant, et en plus de ca l'auteur se permet de faire une critique du totalitarisme pas niaise pour un sou (c'est remarquable de nos jours) et même incroyable de justesse. Je fais ce que je peux pour ne pas qualifier cette oeuvre de trop de superlatifs...mais ca devient très difficile.
Impossible de passer à côté de cette série mêlant enquêtes policières et science fiction. Et que dire de l'album "La marque jaune" qui est peut-être l'un des plus grand chefs-d'oeuvre de la BD, tant au niveau du scénario que du dessin. Certain pourront dire que E.P Jacobs est un auteur trop descriptif, mais je pense qu'au contraire cela contribue à plonger le lecteur dans l'histoire.
Au début de ma lecture, j’étais parti avec un avis négatif sur cette série, je me suis dis "tiens c’est Tarek le scénariste (auteur de la série "Cyrill et les ombres du bois cendré", où il ne se passe rien) ça va être nul" ; et puis non, à la lecture du tome je ne me suis pas ennuyé, c’est très rapide à lire.
J’ai trouvé cette petite histoire originale, bien racontée et je ne sais pas pourquoi j’ai rêvé de la lune pendant la nuit. :)
A part ces gentils compliments, il y a un passage où le cosmonaute n’a pas son casque dans l’espace (c’est un petit détail mais ça compte).
Les dessins et les couleurs sont très bons, j’aime bien ce style avec des grosses têtes.
Que dire de plus, à conseiller pour les enfant qui trouveront certainement cette bd bien.
Un conte tout beau tout gentil tout mignon qui fait passer un bon momment de lecture sans être pour autant un immanquable.
Le scénario n'est pas très développé, mais bon c'est sympa et ça ne nous donne pas envie d'arrêter.
Quant aux dessins, ils conviennent bien dans le style avec des persos qui ont des jambes fines et élancées, des couleurs vives ...
A bouquiner dans une librairie ou dans le Lanfeust Mag.
Pour les petits ...
Oui, ça se laisse lire.
Disons que c'est correctement réalisé.
On a des poursuites en voiture, des personnages "crédibles" - dans le sens où on les a déjà vus dans l'un ou l'autre téléfilm -, du suspense, de l'émotion, etc., etc.
Je regrette quand même l'accumulation de clichés (Don Lope en a repris une série ci-dessous mais croyez moi, y en a d'autres).
Je veux bien que l'utilisation de l'une ou l'autre grosse ficelle ne soit pas forcément rédhibitoire, voir même nécessaire (on ne va pas demander aux auteurs de réinventer la roue a chaque oeuvre) mais... trop c'est trop.
Disons que c'est de la "fast-bd" distrayante, bien dans l'ère du temps, par ailleurs très proche d'une esthétique publicitaire (ceci dit sur un ton nullement méprisant), mais qu'on oublie dans les 24 heures suivant la lecture.
On peut dire que j'aurai vraiment pris le temps pour me décider à enfin l'écrire, cet avis. Je voulais être sûr de moi, j'ai donc laissé passer un peu de temps avant de relire le premier tome de la nouvelle série de Peeters.
Allez, je me lance. :)
Bon, Peeters avait placé la barre très haut lors de la publication de "Pilules bleues", chef d'oeuvre de sensibilité et d'humanisme, véritable leçon de vie (mais j'ai déjà dit tout ça lors de mon avis sur ce one shot).
L'auteur a su évoluer dans une toute autre direction. Tout d'abord, ne vous y trompez pas : derrière l'emballage science-fiction qui baigne l'ensemble de l'univers de "Lupus" (vaisseaux spatiaux, planètes étranges aux particularités fantastiques et Xénomorphes hors du commun), l'auteur nous livre ici un roman graphique, une fois de plus, plein de sensibilité, axé sur les relations humaines des deux meilleurs amis du secteur Alpha de la ceinture de Moulagofhr (j'invente un peu, là).
Véritable étude des comportements humains, de l'apparence que se donnent les gens pour plaire - déplaire - paraître ce qu'ils sont/ne sont pas, cette bande dessinée, même si elle n'a pas réussi à me faire vibrer au même titre que "Pilules bleues" (le sujet est tout de même vraiment moins tragique), m'a apporté son lot d'émotions.
Les différents personnages sont très fouillés, possèdent une personnalité qu'il n'est pas aussi simple de cerner qu'il n'en a l'air (particulièrement Tony, l'ami de Lupus), ce qui permet à l'auteur de rythmer son récit par les changements d'humeur de ses personnages.
C'est très bien fait, très clair. Le champ sémantique est sympa car toujours en relation avec l'espace, mis au niveau des relations humaines (lorsqu'un personnage entre dans le champ de gravité émotionnel d'un second, par exemple :)).
Le dessin de Peeters est semblable à ses réalisations précédentes, mais ici l'action pointe le bout de son nez. Il se débrouille plutôt bien ! Même si l'ensemble n'est pas d'un dynamisme fulgurant, c'est très bien storyboardé, et permet donc une bonne introspection du lecteur dans les aventures de Lupus.
L'encrage de l'auteur a aussi évolué, à mon sens. Plus sombre, plus noir, j'ai l'impression que Peeters a passé beaucoup plus de temps sur le rendu que dans "Pilules Bleues", pour renforcer cette ambiance toute particulière à "Lupus".
J'attends la suite avec impatience, et j'ai confiance, vraiment. :)
J'ai aimé ce poème en image. C'est court? Et bien oui, la poésie cela consiste toujours à dire beaucoup avec peu... C'est obscur? Et bien oui, un des buts de la poésie est de retranscrire l'opacité du monde.
Et par-dessus tout un autre but est atteint : celui que se donne souvent la poésie d'ouvrir une brèche dans l'imaginaire, sans jamais vraiment la refermer. Et sur ce plan là c'est une pure réussite. On interprétera cette petite histoire comme on le veut, mais elle est d'une beauté stimulante.
J’ajoute que pour moi côter un album comme celui-ci n’a absolument aucun sens. Un jour je lui donnerai 3 étoiles, un autre 5...
Le poète est au-dessus de la critique objective. On est dans l’irrationnel, dans la subjectivité pure. Dans la sensation passagère... Un poème enthousiaste l’un et endort l’autre, stimule un jour et indiffère un autre jour le même lecteur... sans qu’il faille chercher plus d’explication rationnelle à la chose…
Alors bon, les avis qui mettent en équation le prix avec le temps de lecture, ça me fait bien rire... Est-ce que je dois chronomètrer le temps de mon rêve, moi? :D
Un manga sans grande originalité, ni pour les clichés, ni pour le dessin, ni pour le scénario.
Pourtant, la lecture est très agréable, et puis Tchii est tellement mignone ! Les situations ont tendance à se répéter un peu, mais l'histoire avance petit à petit.
Enfin, le thème relation homme-ordi est vraiment traité sous toutes ses faces, à travers les histoires des différents personnages, ce qui donne un peu de profondeur au récit.
MAJ (fin de la série) :
mouais... la fin est vraiment bizarre. Bon, elle n'est pas inatendue, loin de là. Mais on assiste à un changement de rythme dans les deux derniers tomes, et la conclusion me laisse perplexe. C'est une série étrange, avec des hauts et des bas, des histoires secondaires qui ne sont pas sans intérêt et une trame générale qui ne semble être que l'occasion de montrer les réactions d'un jeune garçon moitié fleur bleu moitié lecteur de magasines érotiques.
A noter pour ceux qui désirent acheter la série que les albums en tant qu'objets sont très réussis, surtout pour des mangas : de jolies couvertures, du beau papier, et une carte offerte par album.
Si vous devez acheter une serie de HF c'est celle là !
Pour moi je la classe encore plus haut que "La quête de l'oiseau du temps".
Pourquoi ? Le scénario est tout simplement parfait, rebondissements, révélations, nombreux persos, voyages, etc...
Et l'humour omniprésent (jeux de mots, gags, clins d'oeils, ...) est au summum du délire !
Il y a un brin d'érotisme dans cette BD, surtout avec Cixi qui est géniale.
Et que dire de Hébus qui est mon perso préféré !
Vraimment le must qui m'a fait découvrir la BD.
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Aldébaran
"Aldébaran" est la BD de science-fiction que je préfère ! Tout d'abord le dessin est magnifique : les paysages, la faune et la flore nous entraînent dans un univers complètement dépaysant. Mais surtout, j'ai beaucoup aimé le scénario : l'histoire rythmée tient le lecteur en haleine (tout en préservant des moments de poésie) et les rapports entre les personnages évoluent au fur et à mesure, comme dans la vie. C'est ce qui m'a particulièrement touchée... Bref, à lire de toute urgence...
20th Century Boys
Après la lecture des 5 premiers tomes, je me permets enfin de mettre un avis sur cette oeuvre... pardon, ce chef-d'oeuvre du maître Urasawa. Ayant connu cet auteur, comme bien d'autres, grâce à l'excellent "Monster", j'ai bien vite décidé de me plonger dans cette oeuvre, qui ne m'inspirait pas du tout du temps où je ne connaissais pas l'auteur. Quel choc j'aurais manqué ! "20th century boys" (titre imprononçable mais qui correspond merveilleusement à la série) garde l'intensité et le suspense de "Monster" pour y ajouter une bonne dose d'humour, de nostalgie et de références, notamment aux années 60-70, époque où les héros étaient jeunes. Le scénario est incroyablement ambitieux (je n'en dévoile rien) et l'auteur fait preuve, encore plus qu'avec "Monster", d'un immense talent de narration : il nous ballade entre le passé, le présent, le futur, l'ici, l'ailleurs... avec une aisance déconcertante et sans jamais nous perdre en route. Avoir un tome de "20th century boys" dans les mains, c'est tout simplement rester scotché du début a la fin, tant la maîtrise de l'auteur est incontestable. 17/10/03 : Je viens de lire le tome 8... Je n'aurais jamais pensé qu'une telle perfection scénaristique (excusez moi du terme) pourrait être atteinte dans un manga, ou même dans une bd en général. La tension est constante, les révélations sont légion mais étonnent toujours autant, et en plus de ca l'auteur se permet de faire une critique du totalitarisme pas niaise pour un sou (c'est remarquable de nos jours) et même incroyable de justesse. Je fais ce que je peux pour ne pas qualifier cette oeuvre de trop de superlatifs...mais ca devient très difficile.
Blake et Mortimer
Impossible de passer à côté de cette série mêlant enquêtes policières et science fiction. Et que dire de l'album "La marque jaune" qui est peut-être l'un des plus grand chefs-d'oeuvre de la BD, tant au niveau du scénario que du dessin. Certain pourront dire que E.P Jacobs est un auteur trop descriptif, mais je pense qu'au contraire cela contribue à plonger le lecteur dans l'histoire.
Les Aventures d'Irial
Au début de ma lecture, j’étais parti avec un avis négatif sur cette série, je me suis dis "tiens c’est Tarek le scénariste (auteur de la série "Cyrill et les ombres du bois cendré", où il ne se passe rien) ça va être nul" ; et puis non, à la lecture du tome je ne me suis pas ennuyé, c’est très rapide à lire. J’ai trouvé cette petite histoire originale, bien racontée et je ne sais pas pourquoi j’ai rêvé de la lune pendant la nuit. :) A part ces gentils compliments, il y a un passage où le cosmonaute n’a pas son casque dans l’espace (c’est un petit détail mais ça compte). Les dessins et les couleurs sont très bons, j’aime bien ce style avec des grosses têtes. Que dire de plus, à conseiller pour les enfant qui trouveront certainement cette bd bien.
Les Aventures d'Irial
Un conte tout beau tout gentil tout mignon qui fait passer un bon momment de lecture sans être pour autant un immanquable. Le scénario n'est pas très développé, mais bon c'est sympa et ça ne nous donne pas envie d'arrêter. Quant aux dessins, ils conviennent bien dans le style avec des persos qui ont des jambes fines et élancées, des couleurs vives ... A bouquiner dans une librairie ou dans le Lanfeust Mag. Pour les petits ...
Al'Togo
Oui, ça se laisse lire. Disons que c'est correctement réalisé. On a des poursuites en voiture, des personnages "crédibles" - dans le sens où on les a déjà vus dans l'un ou l'autre téléfilm -, du suspense, de l'émotion, etc., etc. Je regrette quand même l'accumulation de clichés (Don Lope en a repris une série ci-dessous mais croyez moi, y en a d'autres). Je veux bien que l'utilisation de l'une ou l'autre grosse ficelle ne soit pas forcément rédhibitoire, voir même nécessaire (on ne va pas demander aux auteurs de réinventer la roue a chaque oeuvre) mais... trop c'est trop. Disons que c'est de la "fast-bd" distrayante, bien dans l'ère du temps, par ailleurs très proche d'une esthétique publicitaire (ceci dit sur un ton nullement méprisant), mais qu'on oublie dans les 24 heures suivant la lecture.
Lupus
On peut dire que j'aurai vraiment pris le temps pour me décider à enfin l'écrire, cet avis. Je voulais être sûr de moi, j'ai donc laissé passer un peu de temps avant de relire le premier tome de la nouvelle série de Peeters. Allez, je me lance. :) Bon, Peeters avait placé la barre très haut lors de la publication de "Pilules bleues", chef d'oeuvre de sensibilité et d'humanisme, véritable leçon de vie (mais j'ai déjà dit tout ça lors de mon avis sur ce one shot). L'auteur a su évoluer dans une toute autre direction. Tout d'abord, ne vous y trompez pas : derrière l'emballage science-fiction qui baigne l'ensemble de l'univers de "Lupus" (vaisseaux spatiaux, planètes étranges aux particularités fantastiques et Xénomorphes hors du commun), l'auteur nous livre ici un roman graphique, une fois de plus, plein de sensibilité, axé sur les relations humaines des deux meilleurs amis du secteur Alpha de la ceinture de Moulagofhr (j'invente un peu, là). Véritable étude des comportements humains, de l'apparence que se donnent les gens pour plaire - déplaire - paraître ce qu'ils sont/ne sont pas, cette bande dessinée, même si elle n'a pas réussi à me faire vibrer au même titre que "Pilules bleues" (le sujet est tout de même vraiment moins tragique), m'a apporté son lot d'émotions. Les différents personnages sont très fouillés, possèdent une personnalité qu'il n'est pas aussi simple de cerner qu'il n'en a l'air (particulièrement Tony, l'ami de Lupus), ce qui permet à l'auteur de rythmer son récit par les changements d'humeur de ses personnages. C'est très bien fait, très clair. Le champ sémantique est sympa car toujours en relation avec l'espace, mis au niveau des relations humaines (lorsqu'un personnage entre dans le champ de gravité émotionnel d'un second, par exemple :)). Le dessin de Peeters est semblable à ses réalisations précédentes, mais ici l'action pointe le bout de son nez. Il se débrouille plutôt bien ! Même si l'ensemble n'est pas d'un dynamisme fulgurant, c'est très bien storyboardé, et permet donc une bonne introspection du lecteur dans les aventures de Lupus. L'encrage de l'auteur a aussi évolué, à mon sens. Plus sombre, plus noir, j'ai l'impression que Peeters a passé beaucoup plus de temps sur le rendu que dans "Pilules Bleues", pour renforcer cette ambiance toute particulière à "Lupus". J'attends la suite avec impatience, et j'ai confiance, vraiment. :)
Le coeur des ombres
J'ai aimé ce poème en image. C'est court? Et bien oui, la poésie cela consiste toujours à dire beaucoup avec peu... C'est obscur? Et bien oui, un des buts de la poésie est de retranscrire l'opacité du monde. Et par-dessus tout un autre but est atteint : celui que se donne souvent la poésie d'ouvrir une brèche dans l'imaginaire, sans jamais vraiment la refermer. Et sur ce plan là c'est une pure réussite. On interprétera cette petite histoire comme on le veut, mais elle est d'une beauté stimulante. J’ajoute que pour moi côter un album comme celui-ci n’a absolument aucun sens. Un jour je lui donnerai 3 étoiles, un autre 5... Le poète est au-dessus de la critique objective. On est dans l’irrationnel, dans la subjectivité pure. Dans la sensation passagère... Un poème enthousiaste l’un et endort l’autre, stimule un jour et indiffère un autre jour le même lecteur... sans qu’il faille chercher plus d’explication rationnelle à la chose… Alors bon, les avis qui mettent en équation le prix avec le temps de lecture, ça me fait bien rire... Est-ce que je dois chronomètrer le temps de mon rêve, moi? :D
Chobits
Un manga sans grande originalité, ni pour les clichés, ni pour le dessin, ni pour le scénario. Pourtant, la lecture est très agréable, et puis Tchii est tellement mignone ! Les situations ont tendance à se répéter un peu, mais l'histoire avance petit à petit. Enfin, le thème relation homme-ordi est vraiment traité sous toutes ses faces, à travers les histoires des différents personnages, ce qui donne un peu de profondeur au récit. MAJ (fin de la série) : mouais... la fin est vraiment bizarre. Bon, elle n'est pas inatendue, loin de là. Mais on assiste à un changement de rythme dans les deux derniers tomes, et la conclusion me laisse perplexe. C'est une série étrange, avec des hauts et des bas, des histoires secondaires qui ne sont pas sans intérêt et une trame générale qui ne semble être que l'occasion de montrer les réactions d'un jeune garçon moitié fleur bleu moitié lecteur de magasines érotiques. A noter pour ceux qui désirent acheter la série que les albums en tant qu'objets sont très réussis, surtout pour des mangas : de jolies couvertures, du beau papier, et une carte offerte par album.
Lanfeust de Troy
Si vous devez acheter une serie de HF c'est celle là ! Pour moi je la classe encore plus haut que "La quête de l'oiseau du temps". Pourquoi ? Le scénario est tout simplement parfait, rebondissements, révélations, nombreux persos, voyages, etc... Et l'humour omniprésent (jeux de mots, gags, clins d'oeils, ...) est au summum du délire ! Il y a un brin d'érotisme dans cette BD, surtout avec Cixi qui est géniale. Et que dire de Hébus qui est mon perso préféré ! Vraimment le must qui m'a fait découvrir la BD.