Mon avis ne porte que sur Lazarr, le seul tome de lu et je dois dire que je me suis régalé ! Manu Larcenet propose une satire sur la ségrégation raciale aux USA en unissant bien malgré eux le devenir d’un shérif raciste et d’un jeune noir envoyés dans un monde parallèle. Sur fond grave, l’histoire est traitée avec beaucoup d’esprit et de finesse. En outre, quelques réparties échangées entre les deux "inséparables" valent le détour.
Bref, voici une caricature bien sentie de la bêtise humaine.
Du tout bon Larcenet !
"Tom-Tom et Nana", un très grand classique de la BD jeunesse. Presque indémodable. Qui n'a pas trépigné en lisant les péripéties toujours abracadabrantesques de ce coquin de Tom-Tom et de cette petite peste de Nana, en terminant sur un grand sourire devant les malheurs bénins et toujours drôles de nos deux compères?
Mais ça, c'est quand on est enfant.
Car maintenant, je trouve cette BD presque illisible. Les graphismes me font mal à la tête. De plus, ils sont laids. Mais laids.
Et ces histoires ne m'arrachent plus l'ombre d'un sourire.
C'est là que se trouve la grande faiblesse de Tom-Tom et Nana. Passé un certain âge, ceux qui l'avaient adoré s'en détournent, puis regardent d'un oeil curieux cette oeuvre sur laquelle ils se demandent pourquoi ils pouvaient s'extasier à un tel point.
Ce n'est pas comme Astérix ou Luky Luke, on est sûr que l'on pourra les relire avec plaisir et émotion.
Rien de tel pour Tom-Tom et Nana.
Pour conclure, une BD à offrir d'urgence à vos enfants, car il est sûr qu'ils se jetteront dessus, mais il ne faut pas se faire d'illusion quant à sa longévité.
Ah Quick et Flupke! C'est toute mon enfance! Je viens d'en relire un, et je trouve vraiment ça pas mal.
Pour tout vous dire, certains gags m'ont même fait rire! Et ce n'est pas de la simple nostalgie.
"Quick et Flupke" n'a pas si mal vieilli, cette BD possède encore un réel potentiel comique, sans jamais tomber dans la vulgarité comme certaines BD actuelles dont je préfère taire le nom.
De plus, on y trouve un aspect historique réel: la société belge des années 40 dans toute sa vérité. Ce n'était pas si différent de maintenant.
Bref, "Quick et Flupk", c'est une des premières BD que je donnerais à des enfants. Elle s'est fortement inscrit, en bien, dans mon imaginaire.
C'est la première fois que je lis une BD comme ça!
Tout d'abord le graphisme, dans son genre, est vraiment de haut niveau. Jamais rien d'aussi glauque, d'aussi effrayant. Tout en couleurs directes.
Le scénario, bien qu'il tende à devenir classique, reste bien traité. Je dois avouer que j'ai un penchant pour les histoires de communautés perdus dans la nature et qui se font attaquer par des monstres, sans espoir d'aide. Je trouve que la tension qui s'en dégage peut être énorme, si le sujet est intelligemment travaillé. Ce qui est le cas ici. C'est du classique. Pour ceux qui apprécient aussi ce genre d'histoire, je conseille cette BD, bien qu'elle ne révolutionne pas le genre.
En définitive, une BD "d'ambiance", sombre à souhait.
Bonjour.
C'est pour moi un excellente BD qui a su traverser le temps et les crises, des tas de générations sont tombées dedans, beaucoup de nos aïeuls lorsqu'ils se promènent qui en remarquent sur les tables des vendeurs disent « holala, je lisais ça dans ma jeunesse ». Pour ma part j'en fais la collection et ça depuis 30 ans, je ne pense pas que cette série soit finie, je pense qu'elle est en attente d'un dessinateur qui sera la faire repartir encore de plus, un qui sera capable de faire des gags qui 20 plus tard ne seront pas démodés.
Cette série, c'est le genre de lecture qui en vous distrait sans toutefois laisser de souvenir particulier.
Le thème des morts vivants, très usité au cinéma (à ce propos, l'un de mes films référence est l'effrayant "zombies, quand il n'y a plus de place en enfer..."), trouve dans cette bd, une illustration intéressante. Pas géniale, juste intéressante.
Le graphisme est bon, les personnages sont trop caricaturaux, mais bon... je le répète... Cryozone, c'est une bonne lecture anti prise de tête.
A découvrir donc !
Tout d'abord, je n'ai pas lu la nouvelle qui a inspiré cet album. J'aurai donc du mal à parler de bonne ou mauvaise adaptation.
Au départ, le ton, les dessins,l'humour, la touche "culturelle" du scénario m'ont beaucoup séduit. L'ennui c'est que ça n'aboutit pas à grand chose. Comparé au début, la fin est aussi ennuyeuse qu'invraissemblable. Je serai tout de même curieux de lire la nouvelle originale. A mon avis, la bd passe à coté de quelque chose d'important.
Bon, pour finir, c'est pas mal, mais pour moi, ça vaut pas quinze euros.
L'anatomiste est un album sorti dans la collection Latitudes, ce qui signifie pour les connaisseurs : BD grand format, 80 pages (rien que ça), couverture et papier de grande qualité, bref un bien bel objet.
Parlons du contenu maintenant (c'est le plus important). L'anatomiste est un one shot à l'univers très sombre. En effet, Nicolas Tackian et Stéphane Miquel nous invitent à suivre la lente descente aux enfers de deux hommes employés par un médecin anatomiste (le professeur Knox) afin de déterrer les morts. Mais bientôt, l'anatomiste ne va plus se contenter de corps inertes depuis trop longtemps pour réaliser ses expériences... Au final, l'album est vraiment bon : bonne ambiance, très bien rythmé, les 80 pages se lisent vraiment d'un trait.
Côté dessins, je suis perplexe. Loïc Godart a un style vraiment particulier (notamment pour le dessin des visages). Et il faut avouer qu'au début j'ai eu quelques réticences. Puis en refermant l'album, je l'ai trouvé très beau. Alors, j'aime ou je n'aime pas ce style que j'ai tant de mal à expliquer ? Puisqu'il faut trancher, je vais pencher pour le "j'aime le coup de crayon de Godart" malgré quelques imperfections (notamment sur quelques impressions de mouvement un peu bizarres).
Un très bon album, même si j'ai une grosse critique à faire à l'éditeur : 19,5€ c'est cher !!!! Certains albums de la collection Latitudes (même format, même qualité de papier, même nombre de pages) sont à 14,5€, alors pourquoi pas là ? Grrrr !
Le titre de l’album exhale un doux parfum poétique et onirique ; une invitation à la lecture en quelques sortes. Et de fait, l’histoire commence de manière originale en développant l’imaginaire d’un homme qui, à la vue de portraits accrochés à un mur d’une bâtisse cossue, se veut le témoin de la vie passée des propriétaires successifs de cette demeure maintenant rasée ... rêve ou réalité, l’auteur entretient l’ambiguïté jusqu’à la fin. L’album se lit aisément même si certaines des histoires contées présentent peu d’intérêt. De même, les débuts prometteurs ne sont pas confirmés par le final fort conventionnel. Une semi déception donc, à laquelle vient s’ajouter un dessin trop figé qui ne m’a pas emballé. C’est le style d’une époque aujourd’hui révolu ... pour ces raisons, je ne mettrai pas plus de 3 étoiles et n’en conseille pas l’achat mais bien sa lecture !
Taï Dor est une série sympa, jouant sur le thème assez classique de la projection d'un homme ordinaire dans un monde fantastique où il sera amené à se découvrir un destin extraordinaire (dans le même genre, Les Princes d'Ambre de Zelazny, Trois Coeurs Trois Lions d'Anderson ou Les Chroniques de Thomas l'Incrédule de Donaldson, entre autres...).
Ce qui est un peu dommage, c'est que ce sujet incroyablement riche en développements potentiels n'est pas vraiment exploité à fond dans Tai Dor, qui joue surtout sur la carte Heroic Fantasy plus que sur les interactions entre les univers. Le scénario est donc souvent gentillet mais peu ambitieux et les dessins sont agréables mais très, très classiques.
Je ferai quand même sortir du lot les deux tomes de la Veuve Noire qui tranchent vraiment avec le reste de l'oeuvre, plus sombres, plus haletants et plus intéressants.
Une bonne petite série divertissante mais sans grande prétention.
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Mon avis ne porte que sur Lazarr, le seul tome de lu et je dois dire que je me suis régalé ! Manu Larcenet propose une satire sur la ségrégation raciale aux USA en unissant bien malgré eux le devenir d’un shérif raciste et d’un jeune noir envoyés dans un monde parallèle. Sur fond grave, l’histoire est traitée avec beaucoup d’esprit et de finesse. En outre, quelques réparties échangées entre les deux "inséparables" valent le détour. Bref, voici une caricature bien sentie de la bêtise humaine. Du tout bon Larcenet !
Tom-Tom et Nana
"Tom-Tom et Nana", un très grand classique de la BD jeunesse. Presque indémodable. Qui n'a pas trépigné en lisant les péripéties toujours abracadabrantesques de ce coquin de Tom-Tom et de cette petite peste de Nana, en terminant sur un grand sourire devant les malheurs bénins et toujours drôles de nos deux compères? Mais ça, c'est quand on est enfant. Car maintenant, je trouve cette BD presque illisible. Les graphismes me font mal à la tête. De plus, ils sont laids. Mais laids. Et ces histoires ne m'arrachent plus l'ombre d'un sourire. C'est là que se trouve la grande faiblesse de Tom-Tom et Nana. Passé un certain âge, ceux qui l'avaient adoré s'en détournent, puis regardent d'un oeil curieux cette oeuvre sur laquelle ils se demandent pourquoi ils pouvaient s'extasier à un tel point. Ce n'est pas comme Astérix ou Luky Luke, on est sûr que l'on pourra les relire avec plaisir et émotion. Rien de tel pour Tom-Tom et Nana. Pour conclure, une BD à offrir d'urgence à vos enfants, car il est sûr qu'ils se jetteront dessus, mais il ne faut pas se faire d'illusion quant à sa longévité.
Quick et Flupke
Ah Quick et Flupke! C'est toute mon enfance! Je viens d'en relire un, et je trouve vraiment ça pas mal. Pour tout vous dire, certains gags m'ont même fait rire! Et ce n'est pas de la simple nostalgie. "Quick et Flupke" n'a pas si mal vieilli, cette BD possède encore un réel potentiel comique, sans jamais tomber dans la vulgarité comme certaines BD actuelles dont je préfère taire le nom. De plus, on y trouve un aspect historique réel: la société belge des années 40 dans toute sa vérité. Ce n'était pas si différent de maintenant. Bref, "Quick et Flupk", c'est une des premières BD que je donnerais à des enfants. Elle s'est fortement inscrit, en bien, dans mon imaginaire.
30 jours de nuit
C'est la première fois que je lis une BD comme ça! Tout d'abord le graphisme, dans son genre, est vraiment de haut niveau. Jamais rien d'aussi glauque, d'aussi effrayant. Tout en couleurs directes. Le scénario, bien qu'il tende à devenir classique, reste bien traité. Je dois avouer que j'ai un penchant pour les histoires de communautés perdus dans la nature et qui se font attaquer par des monstres, sans espoir d'aide. Je trouve que la tension qui s'en dégage peut être énorme, si le sujet est intelligemment travaillé. Ce qui est le cas ici. C'est du classique. Pour ceux qui apprécient aussi ce genre d'histoire, je conseille cette BD, bien qu'elle ne révolutionne pas le genre. En définitive, une BD "d'ambiance", sombre à souhait.
Les Pieds Nickelés
Bonjour. C'est pour moi un excellente BD qui a su traverser le temps et les crises, des tas de générations sont tombées dedans, beaucoup de nos aïeuls lorsqu'ils se promènent qui en remarquent sur les tables des vendeurs disent « holala, je lisais ça dans ma jeunesse ». Pour ma part j'en fais la collection et ça depuis 30 ans, je ne pense pas que cette série soit finie, je pense qu'elle est en attente d'un dessinateur qui sera la faire repartir encore de plus, un qui sera capable de faire des gags qui 20 plus tard ne seront pas démodés.
Cryozone
Cette série, c'est le genre de lecture qui en vous distrait sans toutefois laisser de souvenir particulier. Le thème des morts vivants, très usité au cinéma (à ce propos, l'un de mes films référence est l'effrayant "zombies, quand il n'y a plus de place en enfer..."), trouve dans cette bd, une illustration intéressante. Pas géniale, juste intéressante. Le graphisme est bon, les personnages sont trop caricaturaux, mais bon... je le répète... Cryozone, c'est une bonne lecture anti prise de tête. A découvrir donc !
Le docteur Héraclius Gloss
Tout d'abord, je n'ai pas lu la nouvelle qui a inspiré cet album. J'aurai donc du mal à parler de bonne ou mauvaise adaptation. Au départ, le ton, les dessins,l'humour, la touche "culturelle" du scénario m'ont beaucoup séduit. L'ennui c'est que ça n'aboutit pas à grand chose. Comparé au début, la fin est aussi ennuyeuse qu'invraissemblable. Je serai tout de même curieux de lire la nouvelle originale. A mon avis, la bd passe à coté de quelque chose d'important. Bon, pour finir, c'est pas mal, mais pour moi, ça vaut pas quinze euros.
L'Anatomiste
L'anatomiste est un album sorti dans la collection Latitudes, ce qui signifie pour les connaisseurs : BD grand format, 80 pages (rien que ça), couverture et papier de grande qualité, bref un bien bel objet. Parlons du contenu maintenant (c'est le plus important). L'anatomiste est un one shot à l'univers très sombre. En effet, Nicolas Tackian et Stéphane Miquel nous invitent à suivre la lente descente aux enfers de deux hommes employés par un médecin anatomiste (le professeur Knox) afin de déterrer les morts. Mais bientôt, l'anatomiste ne va plus se contenter de corps inertes depuis trop longtemps pour réaliser ses expériences... Au final, l'album est vraiment bon : bonne ambiance, très bien rythmé, les 80 pages se lisent vraiment d'un trait. Côté dessins, je suis perplexe. Loïc Godart a un style vraiment particulier (notamment pour le dessin des visages). Et il faut avouer qu'au début j'ai eu quelques réticences. Puis en refermant l'album, je l'ai trouvé très beau. Alors, j'aime ou je n'aime pas ce style que j'ai tant de mal à expliquer ? Puisqu'il faut trancher, je vais pencher pour le "j'aime le coup de crayon de Godart" malgré quelques imperfections (notamment sur quelques impressions de mouvement un peu bizarres). Un très bon album, même si j'ai une grosse critique à faire à l'éditeur : 19,5€ c'est cher !!!! Certains albums de la collection Latitudes (même format, même qualité de papier, même nombre de pages) sont à 14,5€, alors pourquoi pas là ? Grrrr !
La Maison du temps qui passe
Le titre de l’album exhale un doux parfum poétique et onirique ; une invitation à la lecture en quelques sortes. Et de fait, l’histoire commence de manière originale en développant l’imaginaire d’un homme qui, à la vue de portraits accrochés à un mur d’une bâtisse cossue, se veut le témoin de la vie passée des propriétaires successifs de cette demeure maintenant rasée ... rêve ou réalité, l’auteur entretient l’ambiguïté jusqu’à la fin. L’album se lit aisément même si certaines des histoires contées présentent peu d’intérêt. De même, les débuts prometteurs ne sont pas confirmés par le final fort conventionnel. Une semi déception donc, à laquelle vient s’ajouter un dessin trop figé qui ne m’a pas emballé. C’est le style d’une époque aujourd’hui révolu ... pour ces raisons, je ne mettrai pas plus de 3 étoiles et n’en conseille pas l’achat mais bien sa lecture !
Le Cycle de Taï-Dor
Taï Dor est une série sympa, jouant sur le thème assez classique de la projection d'un homme ordinaire dans un monde fantastique où il sera amené à se découvrir un destin extraordinaire (dans le même genre, Les Princes d'Ambre de Zelazny, Trois Coeurs Trois Lions d'Anderson ou Les Chroniques de Thomas l'Incrédule de Donaldson, entre autres...). Ce qui est un peu dommage, c'est que ce sujet incroyablement riche en développements potentiels n'est pas vraiment exploité à fond dans Tai Dor, qui joue surtout sur la carte Heroic Fantasy plus que sur les interactions entre les univers. Le scénario est donc souvent gentillet mais peu ambitieux et les dessins sont agréables mais très, très classiques. Je ferai quand même sortir du lot les deux tomes de la Veuve Noire qui tranchent vraiment avec le reste de l'oeuvre, plus sombres, plus haletants et plus intéressants. Une bonne petite série divertissante mais sans grande prétention.