Une belle histoire, mêlant destinées personnelles et histoire de l’après seconde guerre mondiale en Allemagne. Les dessins sont vraiment magnifiques et maîtrisés.
Mais plusieurs détails agaçants m’ont empêché de pleinement apprécier ce one-shot. Déjà, la narration est un peu maladroite et saccadée. Elle est sans arrêt interrompue par une « voix off » décrivant le contexte historique. C’est rempli de dates et de noms, et à la fin je ne les lisais même plus.
Ensuite par moment j’avais vraiment l’impression de lire du Léo, Bételgeuse entre autres. Je trouve que le côté historique n’est qu’une toile de fond, et le plus gros du scénario parle de relations amoureuses, mais de façon un peu « cucul ». De même toutes les excuses sont bonnes pour montrer les nanas à poil. L’héroïne rencontre une vieille amie à elle ? « Tiens justement j’allais aux bains turcs, viens avec moi on discutera un peu ». S’ensuivent 3 pages de femmes dénudées, derrières arrondis et autres nichons… un peu gros quand même. (La mise en scène, pas les PAF ! Pardon je m’égare)
Bon j’ai quand même passé un bon moment, mais il ne me reste pas grand chose après lecture. Une bonne BD, qui aborde une période intéressante de la seconde guerre mondiale (l’après guerre et la reconstruction plutôt que la guerre elle-même), mais qui aurait gagné à se concentrer un peu plus sur ce côté historique, et moins sur les ébats amoureux des personnages… mais ceci n’est bien sûr qu’un avis personnel.
J'ai beaucoup entendu parler de F'murrr. Je n'ai pas encore lu Le Génie des Alpages, mais j'ai commencé par cet album, qui m'a intrigué. Mais c'est vraiment de la curiosité, parce que si j'avais su de quoi il retournait...
En bref, c'est un album qui m'a rapidement ennuyé. Les pointes d'humour sont certes nombreuses, mais je n'ai pas vraiment accroché. Mis à part quelques sourires par-ce par-là, ce n'est pas trop mon truc. Quant au dessin... Ni bon, ni mauvais, disons que c'est un dessin de caricaturiste semi-réaliste.
Bref, ce n'était pas un grand moment de lecture...
Une série à mettre au superlatif : magnifiques dessins, scénario envolé, histoire captivante, personnages charismatiques.
Une référence, sans aucun doute.
Ma seule réserve serait vers les couvertures peu heureuses. Mais vous en conviendrez, c'est un détail dans cette avalanche de qualités.
Heureuse découverte que cette BD, merci BDThèque :)
J'aime beaucoup le style de la BD ainsi que sa mise en page. Cette dernière sert habilement et efficacement le scénario dont le rythme nous tient en haleine jusqu'à la dernière page.
C'est l'une des rares BDs qui laissent songeur face à l'interprétation à donner aux propos de Lola, délire ou réalité ? Cette double interprétation est la marque sacrée du fantastique et fait de Lola une pièce majeure du genre.
Je ne pense pas que la profession de prostituée de Lola est une excuse pour faire du cul sur de la SF (cf avis d'Alix :)), les scènes sont fréquentes mais à peine visibles, l'auteur n'a consacré que quelques cases pour ce propos et n'en a pas fait le sujet principal de son scénario. Et puis cette activité n'est ni sage ni pudique ;) surtout sous l'effet de drogues.
Le scénario quant à lui se situe entre Terminator, Bad Taste et Flesh Gordon, sa trame n'est peut être pas la plus originale mais sa mise en oeuvre arrive à nous surprendre :). Je ne suis pas arrivé à refermer l'album sans avoir lu la fin et ceci est le signe d'une belle réussite.
Lola Cordova est à découvrir par tout le monde du moment que ce tout le monde est âgé de 18 ans ou plus.
Scénario original, les personnages en ont gros sur la patate et ils le montrent. Beaucoup d'armes, de corps déchiquetés (trop sans doute), mais du coup on s'interroge sur notre propre mode de vie.
Un peu pessimiste à mon goût, mais ça marche.
Les couleurs sont belles, contrastées et sombres comme il convient pour l'histoire. Les dessins manquent sans doute un peu de précision.
C'est carrément atypique comme histoire. Comme précisé dans la préface, ça ne se termine pas du tout comme on s'y attend dans un comic de super-héros, et la poésie y est plus présente que les vannes pourries. Du coup, et malgré une narration un peu confuse au début, on se laisse prendre dans cet univers multi-référentiel, magnifiquement illustré par Dave Mc Kean. Ca m'a même donné envie de lire les autres oeuvres de Gaiman. :)
J'étais curieux de voir comment un auteur (l'un des plus populaires des années 80) serait capable de traiter de l'un des mythes du 20ème siècle. Eh bien, Micheluzzi m'a carrément surpris. Car il ne s'est pas du tout attaché à décrire la catastrophe elle-même (vite expédiée, finalement), en ne traitant que la "petite histoire" de certains des passagers du transatlantique. Et c'en est presque revigorant, tant le côté "plus-gros-bateau-du-monde-qui-coule-de-façon-très-spectaculaire" est un peu saoûlant à mon goût. Pas dans le bouquin de Micheluzzi, attention, ses à-côtés sont assez intéressants, pas trop mal décrits, malgré une drôle de familiarité avec le lecteur.
Ca se laisse lire sans trop de problème.
Ayako est une trilogie digne du Parrain. Elle nous plonge dans le japon d’après guerre nous permettant à la fois de découvrir le système familial de la société rurale japonaise mais également de porter un regard sur la situation politique d’après guerre dans cette partie du monde. Bref, c’est complexe mais d’un grand intérêt car cela nous ouvre à un monde rarement traité chez nous en occident. A cela s’ajoute une saga familiale dont les ingrédients principaux sont l’amour, la jalousie, la haine et la vengeance. Cette série rend également compte de la rigidité existant dans certaine famille et de cet esprit archaïque où la réputation d’une famille prévaut sur le bien-être de ses membres. Bref, un scénario riche et mené tout en finesse. Coté dessin, je dois avouer éprouver quelques difficultés. C’est du vieux manga empreint de Wall Disney… Il est étonnant de voir les personnages et de se dire qu’ils sont censés représenter des japonais… M’enfin l’intrigue nous permet de passer outre cet aspect et nous offre un très agréable moment de lecture pour lecteur averti.
A partir d'un postulat intéressant, Natael a tenté de broder une histoire qui tient la route. Malheureusement, la complexité s'accroît assez vite, les différents niveaux de réalité s'entrechoquant sans qu'on arrive réellement à dénouer l'écheveau. Le gros point fort de ce gros album (86 pages), c'est incontestablement le dessin : héritier de la ligne claire, Beja pourrait être Edgar P. Jacobs s'il avait voulu faire un dessin sensuel et avant-gardiste, débarrassé des oripeaux post-modernistes. En bref, ses femmes sont magnifiques et son trait extrêmement maîtrisé. Malheureusement le traitement (catastrophique) des couleurs par Layna gâche quelque peu cet enthousiasme.
Au final, c'est un parfum d'étrangeté et de sensualité capiteuse qui plane sur cet album, une curiosité qui aurait gagné en étant moins complexe.
Voici donc un recueil de quelques histoires de jeunesse (elles datent à peu près toutes de 1977) de Régis Franc, l'un des auteurs "mode" phares des années 1980.
Ces histoires sont souvent basées sur des postulats graphiques et techniques bien précis : le personnage principal ne bouge pas, ou presque, d'une case à l'autre, tandis que des intrigues secondaires se déroulent en arrière-plan. Autre possibilité : les cases prennent toute la largeur de la page, ou toute la hauteur, ce qui donne parfois des pages à 3 cases...
Original, pour l'époque ? Possible. Mais Franc exploite mal ces contraintes, jouant déjà sur le registre qui fera son "succès" au cours de la décennie suivante : des bavardages sans fin, sans relief, typiquement mondains. L'intérêt narratif est proche du zéro. Reste le dessin, qui ne casse pas des briques, mais qui reste pas trop désagréable à l'oeil la plupart du temps.
Franc représente tous ses personnages (humains) sous des traits d'animaux : rongeurs essentiellement, chiens...
A réserver aux amateurs.
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L'Innocente
Une belle histoire, mêlant destinées personnelles et histoire de l’après seconde guerre mondiale en Allemagne. Les dessins sont vraiment magnifiques et maîtrisés. Mais plusieurs détails agaçants m’ont empêché de pleinement apprécier ce one-shot. Déjà, la narration est un peu maladroite et saccadée. Elle est sans arrêt interrompue par une « voix off » décrivant le contexte historique. C’est rempli de dates et de noms, et à la fin je ne les lisais même plus. Ensuite par moment j’avais vraiment l’impression de lire du Léo, Bételgeuse entre autres. Je trouve que le côté historique n’est qu’une toile de fond, et le plus gros du scénario parle de relations amoureuses, mais de façon un peu « cucul ». De même toutes les excuses sont bonnes pour montrer les nanas à poil. L’héroïne rencontre une vieille amie à elle ? « Tiens justement j’allais aux bains turcs, viens avec moi on discutera un peu ». S’ensuivent 3 pages de femmes dénudées, derrières arrondis et autres nichons… un peu gros quand même. (La mise en scène, pas les PAF ! Pardon je m’égare) Bon j’ai quand même passé un bon moment, mais il ne me reste pas grand chose après lecture. Une bonne BD, qui aborde une période intéressante de la seconde guerre mondiale (l’après guerre et la reconstruction plutôt que la guerre elle-même), mais qui aurait gagné à se concentrer un peu plus sur ce côté historique, et moins sur les ébats amoureux des personnages… mais ceci n’est bien sûr qu’un avis personnel.
Jehanne au pied du mur
J'ai beaucoup entendu parler de F'murrr. Je n'ai pas encore lu Le Génie des Alpages, mais j'ai commencé par cet album, qui m'a intrigué. Mais c'est vraiment de la curiosité, parce que si j'avais su de quoi il retournait... En bref, c'est un album qui m'a rapidement ennuyé. Les pointes d'humour sont certes nombreuses, mais je n'ai pas vraiment accroché. Mis à part quelques sourires par-ce par-là, ce n'est pas trop mon truc. Quant au dessin... Ni bon, ni mauvais, disons que c'est un dessin de caricaturiste semi-réaliste. Bref, ce n'était pas un grand moment de lecture...
De Cape et de Crocs
Une série à mettre au superlatif : magnifiques dessins, scénario envolé, histoire captivante, personnages charismatiques. Une référence, sans aucun doute. Ma seule réserve serait vers les couvertures peu heureuses. Mais vous en conviendrez, c'est un détail dans cette avalanche de qualités.
Apocalypse selon Lola (Lola Cordova)
Heureuse découverte que cette BD, merci BDThèque :) J'aime beaucoup le style de la BD ainsi que sa mise en page. Cette dernière sert habilement et efficacement le scénario dont le rythme nous tient en haleine jusqu'à la dernière page. C'est l'une des rares BDs qui laissent songeur face à l'interprétation à donner aux propos de Lola, délire ou réalité ? Cette double interprétation est la marque sacrée du fantastique et fait de Lola une pièce majeure du genre. Je ne pense pas que la profession de prostituée de Lola est une excuse pour faire du cul sur de la SF (cf avis d'Alix :)), les scènes sont fréquentes mais à peine visibles, l'auteur n'a consacré que quelques cases pour ce propos et n'en a pas fait le sujet principal de son scénario. Et puis cette activité n'est ni sage ni pudique ;) surtout sous l'effet de drogues. Le scénario quant à lui se situe entre Terminator, Bad Taste et Flesh Gordon, sa trame n'est peut être pas la plus originale mais sa mise en oeuvre arrive à nous surprendre :). Je ne suis pas arrivé à refermer l'album sans avoir lu la fin et ceci est le signe d'une belle réussite. Lola Cordova est à découvrir par tout le monde du moment que ce tout le monde est âgé de 18 ans ou plus.
Idoles
Scénario original, les personnages en ont gros sur la patate et ils le montrent. Beaucoup d'armes, de corps déchiquetés (trop sans doute), mais du coup on s'interroge sur notre propre mode de vie. Un peu pessimiste à mon goût, mais ça marche. Les couleurs sont belles, contrastées et sombres comme il convient pour l'histoire. Les dessins manquent sans doute un peu de précision.
L'Orchidée Noire (Black Orchid)
C'est carrément atypique comme histoire. Comme précisé dans la préface, ça ne se termine pas du tout comme on s'y attend dans un comic de super-héros, et la poésie y est plus présente que les vannes pourries. Du coup, et malgré une narration un peu confuse au début, on se laisse prendre dans cet univers multi-référentiel, magnifiquement illustré par Dave Mc Kean. Ca m'a même donné envie de lire les autres oeuvres de Gaiman. :)
Titanic
J'étais curieux de voir comment un auteur (l'un des plus populaires des années 80) serait capable de traiter de l'un des mythes du 20ème siècle. Eh bien, Micheluzzi m'a carrément surpris. Car il ne s'est pas du tout attaché à décrire la catastrophe elle-même (vite expédiée, finalement), en ne traitant que la "petite histoire" de certains des passagers du transatlantique. Et c'en est presque revigorant, tant le côté "plus-gros-bateau-du-monde-qui-coule-de-façon-très-spectaculaire" est un peu saoûlant à mon goût. Pas dans le bouquin de Micheluzzi, attention, ses à-côtés sont assez intéressants, pas trop mal décrits, malgré une drôle de familiarité avec le lecteur. Ca se laisse lire sans trop de problème.
Ayako
Ayako est une trilogie digne du Parrain. Elle nous plonge dans le japon d’après guerre nous permettant à la fois de découvrir le système familial de la société rurale japonaise mais également de porter un regard sur la situation politique d’après guerre dans cette partie du monde. Bref, c’est complexe mais d’un grand intérêt car cela nous ouvre à un monde rarement traité chez nous en occident. A cela s’ajoute une saga familiale dont les ingrédients principaux sont l’amour, la jalousie, la haine et la vengeance. Cette série rend également compte de la rigidité existant dans certaine famille et de cet esprit archaïque où la réputation d’une famille prévaut sur le bien-être de ses membres. Bref, un scénario riche et mené tout en finesse. Coté dessin, je dois avouer éprouver quelques difficultés. C’est du vieux manga empreint de Wall Disney… Il est étonnant de voir les personnages et de se dire qu’ils sont censés représenter des japonais… M’enfin l’intrigue nous permet de passer outre cet aspect et nous offre un très agréable moment de lecture pour lecteur averti.
Nolimé Tangéré
A partir d'un postulat intéressant, Natael a tenté de broder une histoire qui tient la route. Malheureusement, la complexité s'accroît assez vite, les différents niveaux de réalité s'entrechoquant sans qu'on arrive réellement à dénouer l'écheveau. Le gros point fort de ce gros album (86 pages), c'est incontestablement le dessin : héritier de la ligne claire, Beja pourrait être Edgar P. Jacobs s'il avait voulu faire un dessin sensuel et avant-gardiste, débarrassé des oripeaux post-modernistes. En bref, ses femmes sont magnifiques et son trait extrêmement maîtrisé. Malheureusement le traitement (catastrophique) des couleurs par Layna gâche quelque peu cet enthousiasme. Au final, c'est un parfum d'étrangeté et de sensualité capiteuse qui plane sur cet album, une curiosité qui aurait gagné en étant moins complexe.
Nouvelles histoires
Voici donc un recueil de quelques histoires de jeunesse (elles datent à peu près toutes de 1977) de Régis Franc, l'un des auteurs "mode" phares des années 1980. Ces histoires sont souvent basées sur des postulats graphiques et techniques bien précis : le personnage principal ne bouge pas, ou presque, d'une case à l'autre, tandis que des intrigues secondaires se déroulent en arrière-plan. Autre possibilité : les cases prennent toute la largeur de la page, ou toute la hauteur, ce qui donne parfois des pages à 3 cases... Original, pour l'époque ? Possible. Mais Franc exploite mal ces contraintes, jouant déjà sur le registre qui fera son "succès" au cours de la décennie suivante : des bavardages sans fin, sans relief, typiquement mondains. L'intérêt narratif est proche du zéro. Reste le dessin, qui ne casse pas des briques, mais qui reste pas trop désagréable à l'oeil la plupart du temps. Franc représente tous ses personnages (humains) sous des traits d'animaux : rongeurs essentiellement, chiens... A réserver aux amateurs.