Manque certain d'originalité, par rapport aux autres ouvrages de Larcenet.
Se laisse lire sans sourire et sans enthousiasme, on attend presque la fin avec impatience.
A voir rapidement sans s'y attarder...
O_ô
Voilà la tête que j'ai faite en lisant le début de cet album. Car j'ai eu très vite l'impression que les auteurs avaient un peu fumé, ou, pire, qu'ils étaient séniles. L'idée de départ était très intéressante, confinant en effet à un conte breton, mais tournant très vite à un grand n'importe quoi. Jugez-en plutôt : des chats qui parlent -et qui ne servent à peu près à rien-, une semi-mondaine qui ressemble trait pour trait à une certaine députée/actrice italienne célèbre, un personnage d'écrivain assez quelconque, des seconds couteaux agglomérés de façon artificielle...
Vous l'aurez compris, le scénario est très vite noyé, et ce n'est pas la conclusion, pourtant relativement cohérente, qui le fera surnager, tellement il est mal amené. Quant au dessin de Bignon, il est... spécial. J'ai du mal à dégager un critère de qualité, vu que ce n'est pas ma tasse de thé.
C'est un album très particulier, pour lequel seul le titre me semble légitime.
Imago Mundi ou "quand Corbeyran essaie de faire de Van Hamme, sans y arriver". C'est sans doute le truc le plus éculé et stéréotypé qu'a jamais écrit Corbeyran… Franchement, il nous a habitué à tellement mieux. Pour rêver, j'ai besoin d'autre chose que de héros poseurs qui doivent faire face à de mystérieux ennemis qui leur tirent dessus et tentent de les tuer toutes les trois pages… Comme envergure narrative, on a vu plus subtil, cela ne dépasse pas le niveau d'un Ric Hochet.
Ce qui est dommage, c'est que le marché lui donne raison puisque cette série se vend très bien. Mais en tant que scénariste de bd, on peut rêver d'autre chose que de combler le manque temporaire de Largo Winch des milliers des fans de Van Hamme… En plus, le dessin n'est pas terrible du tout… Y'a des gros problèmes de perspectives et les cadrages sont totalement exempts de la moindre subtilité. Faut vraiment être très bon public pour accrocher à cette bd, ce n'est pas mon cas… Quand je lis ce genre de truc, je suis bien content d'être exigeant… Toutes les trucs insipides que je me taperais sinon…
PS : Je n'ai lu que les deux premiers tomes... Lecture tellement fastidieuse que je n'ai vraiment pas envie de m'essayer aux quatre autres tomes pour voir si, par miracle, la série gagnerait en maturité et originalité... mais vu les titres et les couvertures, cela me semble peine perdue...
Attention, OVNI.
Le dessin est tellement chiadé qu'on y passe des heures. On voit que le type vient de l'animation, et qu'il aime ça. Il y a des jeux d'ombres tellement recherchés qu'il a dû y passer des heures. Je me demande combien de temps il a mis à faire l'album...
Il y a quelques maladresses, mais là je cherche la petite bête.
Le scénario est étrange à souhait, on n'y comprend pas grand chose, car l'auteur a pris plaisir à semer des scènes intrusives, qui n'avancent pas à grand chose, sauf à nous perdre (ce qui n'est pas un reproche).
Au final, des cases magnifiques, dignes d'être sorties de l'imagination de Lovecraft (puisque Baranger semble en être un fan), et une histoire bien menée. Y'a intérêt à ce que la suite soit à la hauteur !
Bah vous prenez le magnifique Blame ! et vous enlevez toute l'ambiance qui fait son charme et vous obtenez une jolie BD qui n'a aucun intérêt.
Le scénario c'est les méchants du futur sont méchants, on va dans le futur et on les bute, point barre.
Bref moi je l'ai acheté car je suis fan du graphisme de Nihei mais bon c'est vraiment que pour ça.
(Et puis en plus il est cher)
Blame est à mon sens un des meilleurs mangas qu'il y ait sur le marché.
Le graphisme est très réussi et malgré l'absence quasi totale de dialogue on comprend presque tout.
Presque le fait de ne pas tout comprendre est pour moi (c'est assez paradoxal) la deuxième réussite de ce manga qui nous plonge dans un brouillard constant et nous fait commencer chaque tome avec un intérêt nouveau.
Par contre âmes sensibles passez votre route même si c'est loin d'être le manga le plus gore et violent.
L'achat ne me semble pas conseillé mais obligatoire :p
4 étoiles... C'est peut-être trop... Ma vraie note serait plutôt 3.5, mais j'ai préféré arrondir par le haut parce qu'il y a dans cette bd des qualités formelles très rares.
Tout d'abord, le dessin est magnifique, très proche de l'animation, il différencie décor et personnage, ce qui donne aux images de cette bd une profondeur spatiale toute particulière. Ensuite, le découpage est une petite merveille. Chaque case appelle ses suivantes. On sent derrière tout cela un savoir-faire exceptionnel. Dernière chose remarquable : la narration et l'usage des récitatifs est digne des meilleur exemples en la matière (avec ce mode de narration, je n'ai rien lu d'aussi maîtrisé depuis Berceuse assassine ou Le Tueur).
Voilà pour les bons points... Maintenant précisions tout de même que le scénario, sur le fond, n'est pas très original ni novateur. Privilégiant certaines scènes d'action plutôt qu'un contenu très profond, il est difficile de voir ce qui le différencie fondamentalement de l'histoire guerrière de base... Si l'album s'avère passionnant de bout en bout, c'est surtout grâce aux qualités que j'ai évoqué plus haut... Il est un peu trop tôt pour juger de la qualité du propos, il reste à savoir où cette histoire de vengeance va nous mener.
Il s'agit d'une adaptation et je dois dire qu'à aucun moment, cela ne s'est ressenti : pas de récitatifs envahissant qui tente de faire passer à la sauvette ce qui n'est pas entré dans les cases, pas de raccourcis narratifs mal foutus.... Tout le contraire de Arrivederci Amore.
P.S. : Je trouve la couverture affreuse... et la typo... beurk... N'importe quelle case à l'intérieur aurait fait plus joli... Et le titre "Chroniques des immortels"... Y'a pas plus banal et insipide... Bref, vous arrêtez pas à ça...
Trouvé dans une bibliothèque, j’ai lu les deux premier tomes qui constituent une histoire complète : le premier cycle. Assez sympathique et qui de manière facile mène à une réflexion sur l’homme, cette bd m’a plu. Il y a des passages avec un humour certain qui suscite le fou rire et effectivement la lecture est plaisante. Après l’achat me paraît un peu conséquent je pense qu’il y a de meilleurs bd à acheter avant…mais bon la lecture est conseillée tout de même….
Franchement j'ai trouvé le premier tome relativement palpitant, mais je ne voyais pas trop où l'auteur voulait en venir, on se pose beaucoup de questions et on a envi de lire la suite. Le deuxième tome marque un virage surprenant et le scénario s’articule très bien. J’ai vraiment dévoré le deuxième tome car l’histoire fait monter le rythme cardiaque de manière incroyable. La fin fait frissonner…un très bon moment de bande dessiner avec un dessin qui est splendide même si je ne suis qu’un amateur pour juger. Alors la lecture est nécessaire et l’achat en découlera.
Une lecture chaotique en ce qui me concerne. Le dessin de Muñoz n'est vraiment pas mon truc ; oscillant souvent entre le quasi-abstrait et le Tex Avery, on a du mal à vraiment l'apprécier, surtout dans certaines cases où il faut faire un effort pour comprendre ce qui est dessiné. C'est vrai que c'est un style unique.
Côté scénario, c'est une plongée dans l'Argentine post-deuxième guerre mondiale, où les anciens Nazis se réfugiaient et s'enrichissaient. L'histoire aurait pu être très intéressante avec plus de linéarité. Là, c'est un peu confus, et on lâche assez vite.
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Nic Oumouk
Manque certain d'originalité, par rapport aux autres ouvrages de Larcenet. Se laisse lire sans sourire et sans enthousiasme, on attend presque la fin avec impatience. A voir rapidement sans s'y attarder...
Il faut y croire pour le voir
O_ô Voilà la tête que j'ai faite en lisant le début de cet album. Car j'ai eu très vite l'impression que les auteurs avaient un peu fumé, ou, pire, qu'ils étaient séniles. L'idée de départ était très intéressante, confinant en effet à un conte breton, mais tournant très vite à un grand n'importe quoi. Jugez-en plutôt : des chats qui parlent -et qui ne servent à peu près à rien-, une semi-mondaine qui ressemble trait pour trait à une certaine députée/actrice italienne célèbre, un personnage d'écrivain assez quelconque, des seconds couteaux agglomérés de façon artificielle... Vous l'aurez compris, le scénario est très vite noyé, et ce n'est pas la conclusion, pourtant relativement cohérente, qui le fera surnager, tellement il est mal amené. Quant au dessin de Bignon, il est... spécial. J'ai du mal à dégager un critère de qualité, vu que ce n'est pas ma tasse de thé. C'est un album très particulier, pour lequel seul le titre me semble légitime.
Imago Mundi
Imago Mundi ou "quand Corbeyran essaie de faire de Van Hamme, sans y arriver". C'est sans doute le truc le plus éculé et stéréotypé qu'a jamais écrit Corbeyran… Franchement, il nous a habitué à tellement mieux. Pour rêver, j'ai besoin d'autre chose que de héros poseurs qui doivent faire face à de mystérieux ennemis qui leur tirent dessus et tentent de les tuer toutes les trois pages… Comme envergure narrative, on a vu plus subtil, cela ne dépasse pas le niveau d'un Ric Hochet. Ce qui est dommage, c'est que le marché lui donne raison puisque cette série se vend très bien. Mais en tant que scénariste de bd, on peut rêver d'autre chose que de combler le manque temporaire de Largo Winch des milliers des fans de Van Hamme… En plus, le dessin n'est pas terrible du tout… Y'a des gros problèmes de perspectives et les cadrages sont totalement exempts de la moindre subtilité. Faut vraiment être très bon public pour accrocher à cette bd, ce n'est pas mon cas… Quand je lis ce genre de truc, je suis bien content d'être exigeant… Toutes les trucs insipides que je me taperais sinon… PS : Je n'ai lu que les deux premiers tomes... Lecture tellement fastidieuse que je n'ai vraiment pas envie de m'essayer aux quatre autres tomes pour voir si, par miracle, la série gagnerait en maturité et originalité... mais vu les titres et les couvertures, cela me semble peine perdue...
Freaks Agency
Attention, OVNI. Le dessin est tellement chiadé qu'on y passe des heures. On voit que le type vient de l'animation, et qu'il aime ça. Il y a des jeux d'ombres tellement recherchés qu'il a dû y passer des heures. Je me demande combien de temps il a mis à faire l'album... Il y a quelques maladresses, mais là je cherche la petite bête. Le scénario est étrange à souhait, on n'y comprend pas grand chose, car l'auteur a pris plaisir à semer des scènes intrusives, qui n'avancent pas à grand chose, sauf à nous perdre (ce qui n'est pas un reproche). Au final, des cases magnifiques, dignes d'être sorties de l'imagination de Lovecraft (puisque Baranger semble en être un fan), et une histoire bien menée. Y'a intérêt à ce que la suite soit à la hauteur !
Wolverine - Snikt !
Bah vous prenez le magnifique Blame ! et vous enlevez toute l'ambiance qui fait son charme et vous obtenez une jolie BD qui n'a aucun intérêt. Le scénario c'est les méchants du futur sont méchants, on va dans le futur et on les bute, point barre. Bref moi je l'ai acheté car je suis fan du graphisme de Nihei mais bon c'est vraiment que pour ça. (Et puis en plus il est cher)
Blame !
Blame est à mon sens un des meilleurs mangas qu'il y ait sur le marché. Le graphisme est très réussi et malgré l'absence quasi totale de dialogue on comprend presque tout. Presque le fait de ne pas tout comprendre est pour moi (c'est assez paradoxal) la deuxième réussite de ce manga qui nous plonge dans un brouillard constant et nous fait commencer chaque tome avec un intérêt nouveau. Par contre âmes sensibles passez votre route même si c'est loin d'être le manga le plus gore et violent. L'achat ne me semble pas conseillé mais obligatoire :p
La Chronique des Immortels
4 étoiles... C'est peut-être trop... Ma vraie note serait plutôt 3.5, mais j'ai préféré arrondir par le haut parce qu'il y a dans cette bd des qualités formelles très rares. Tout d'abord, le dessin est magnifique, très proche de l'animation, il différencie décor et personnage, ce qui donne aux images de cette bd une profondeur spatiale toute particulière. Ensuite, le découpage est une petite merveille. Chaque case appelle ses suivantes. On sent derrière tout cela un savoir-faire exceptionnel. Dernière chose remarquable : la narration et l'usage des récitatifs est digne des meilleur exemples en la matière (avec ce mode de narration, je n'ai rien lu d'aussi maîtrisé depuis Berceuse assassine ou Le Tueur). Voilà pour les bons points... Maintenant précisions tout de même que le scénario, sur le fond, n'est pas très original ni novateur. Privilégiant certaines scènes d'action plutôt qu'un contenu très profond, il est difficile de voir ce qui le différencie fondamentalement de l'histoire guerrière de base... Si l'album s'avère passionnant de bout en bout, c'est surtout grâce aux qualités que j'ai évoqué plus haut... Il est un peu trop tôt pour juger de la qualité du propos, il reste à savoir où cette histoire de vengeance va nous mener. Il s'agit d'une adaptation et je dois dire qu'à aucun moment, cela ne s'est ressenti : pas de récitatifs envahissant qui tente de faire passer à la sauvette ce qui n'est pas entré dans les cases, pas de raccourcis narratifs mal foutus.... Tout le contraire de Arrivederci Amore. P.S. : Je trouve la couverture affreuse... et la typo... beurk... N'importe quelle case à l'intérieur aurait fait plus joli... Et le titre "Chroniques des immortels"... Y'a pas plus banal et insipide... Bref, vous arrêtez pas à ça...
Garulfo
Trouvé dans une bibliothèque, j’ai lu les deux premier tomes qui constituent une histoire complète : le premier cycle. Assez sympathique et qui de manière facile mène à une réflexion sur l’homme, cette bd m’a plu. Il y a des passages avec un humour certain qui suscite le fou rire et effectivement la lecture est plaisante. Après l’achat me paraît un peu conséquent je pense qu’il y a de meilleurs bd à acheter avant…mais bon la lecture est conseillée tout de même….
Où le regard ne porte pas...
Franchement j'ai trouvé le premier tome relativement palpitant, mais je ne voyais pas trop où l'auteur voulait en venir, on se pose beaucoup de questions et on a envi de lire la suite. Le deuxième tome marque un virage surprenant et le scénario s’articule très bien. J’ai vraiment dévoré le deuxième tome car l’histoire fait monter le rythme cardiaque de manière incroyable. La fin fait frissonner…un très bon moment de bande dessiner avec un dessin qui est splendide même si je ne suis qu’un amateur pour juger. Alors la lecture est nécessaire et l’achat en découlera.
Le livre
Une lecture chaotique en ce qui me concerne. Le dessin de Muñoz n'est vraiment pas mon truc ; oscillant souvent entre le quasi-abstrait et le Tex Avery, on a du mal à vraiment l'apprécier, surtout dans certaines cases où il faut faire un effort pour comprendre ce qui est dessiné. C'est vrai que c'est un style unique. Côté scénario, c'est une plongée dans l'Argentine post-deuxième guerre mondiale, où les anciens Nazis se réfugiaient et s'enrichissaient. L'histoire aurait pu être très intéressante avec plus de linéarité. Là, c'est un peu confus, et on lâche assez vite.