Oui, bon, ce n'est pas un chef d'oeuvre scénaristique de Foerster. Les histoires de ce colporteur s'oublient assez vite en fait. Même si on retrouve le côté fantastique et l'humour noir des autres histoires courtes de l'auteur, celles-ci manquent justement de cette acidité grinçante et du côté vraiment noir et original de ses autres nouvelles.
Franchement, je préfère les autres oeuvres de Binet. Poupon, ici, est plutôt du genre détestable, et les gags de cette BD ne me font pas vraiment rire. Certes ce Poupon est antipathique et tout le récit est construit là-dessus, mais l'auteur a su le rendre suffisamment détestable et irritant pour que je ne prenne pas plaisir à lire ses gags et qu'ils n'attirent pas chez moi ne serait-ce que le sourire.
Ca ne vaut pas le niveau des Bidochons.
Moui... Le dessin est sympa, l'histoire gentille, le décor joli... Mais le tout est peu trop naïf et l'histoire trop rapide. Je ne vous en déconseille pas l'achat, mais moi personnellement je ne l'achèterais pas car j'aime posséder des BDs au scénario suffisamment conséquent pour avoir l'impression d'avoir une vraie histoire entre les mains, pas un petit conte délayé sur les pages d'un album entier.
Ciao Pékin est une bd sympa. Le héros est attachant, surtout grâce à sa manière de décliner la réalité façon "histoire dont vous êtes le héros" (petit A, petit B, Petit C...). L'intrigue est menée tambour battant et le dessin de Pourquié, extrêmement vivant, emporte toute mon adhésion. Malheureusement la résolution du mystère policier est plutôt...convenue. La police qui arrive façon « deus ex machina » et qui révèle le pot aux roses parce qu’on arrive à la fin de l’album, c’est un peu maladroit. C'est bien dommage, il y avait matière à finir sur une pointe plus originale.
Une très bonne série d'aventures que je lis depuis ma plus tendre enfance. Mon avis n'est certainement pas objectif dans la mesure où le côté nostalgie joue beaucoup, mais il faut reconnaître que les scénarios sont souvent excellents (par Charlier qui est quand meme l'auteur de "Blueberry", "Buck Danny", "Barbe-Rouge"...) ainsi que le dessin, dans le plus pur style Spirou.
Bon, vous l'aurez compris, si je suis si expéditive sur le résumé, c'est parce que je n'ai pas aimé cet album.
Je le trouve sans intérêt, sauf peut-être pour des Toulousains (vous me tiendrez au courant), mais moi je me suis franchement emmerdée. C'est vite lu et vite oublié.
Les histoires sont sans queue ni tête. Alors c'est vrai que parfois c'est sympa, mais là c'est pénible.
Les dessins sont pas mal pour la 1e et la 3e histoire; je n'ai pas accroché au dessin de Cabanes, je l'ai trouvée illisible (problème de couleur ? de détails ?).
Passez votre chemin, pour 14 euros c'est vraiment pas la peine.
Bon c'est vrai on sent l'ambiance, c'est noir et souvent méchant, le dessin va bien avec tout ça mais... j'accroche pas. Les histoires sont souvent trop courtes, et les lire les unes après les autres ça colle pas. C'est un peu trop speed et finalement il n'y pas d'attente, de désir de lire la suivante. La plupart ne sont pas très originales, elles sont juste bien faites sur des thèmes très connus. Après avoir lu Zoé je m'attendais à mieux. Je préfère Foerster dans les histoires un peu fantastiques noires et méchantes avec néanmoins une touche d'humour, c'était plus angoissant et plus original.
Hem hem.
Bon, on va encore dire que j'ai un parti pris contre les mangas. J'ai pas encore réussi a en dénicher un qui vaille, selon moi. Mais je m'étais précipité sur Nausicäa lorsque je l'avais vue encensée de partout, que l'on me disait: "Genial...".
Déjà, j'ai toujours eu du mal à concevoir l'utilité de garder le sens de lecture original, c'est chiant et ça agace. Mais bon on s'habitue.
Pour le dessin, on dirait trop un crayonné à mon goût, un trait plus épais n'aurait tué personne, mais bon (2eme fois).
Et puis encore une joulie morale écolo derrière, ça aussi ça finit par agacer :
- Ne pillons pas les ressources de notre planète, écosystème machin et environnement trucmuche, mais bon...(3eme fois, c'est agaçant aussi non ?).
Et puis on se demande si l'histoire ne part pas un peu dans tous les sens, l'auteur aurait pu et dû s'arrêter largement avant, 7 tomes de ça, ça fait trop lourd, mais bon (n'en jetez plus).
Trop de "mais bon" en fin de compte pour justifier autant de tomes (7) sur une "morale" déjà assez vue... MAIS BON (le dernier je vous jure).
En venant mettre mon avis sur cette série, je ne m'attendais pas du tout à tomber sur des avis aussi défavorables. La dernière des salles obscures n'est pas un chef d'œuvre, loin de là, mais c'est une belle tentative d'en faire un. Un demi-échec que j’aurais plutôt tendance à vouloir considérer comme une demi réussite. J’ai lu les deux albums rapidement, l’un à la suite de l’autre, avide de savoir jusqu’où allait mener cette aventure qui démarrait très fort. La fin, que je ne peux révéler ici est certes conventionnelle mais efficace. Ce que je reprocherai plutôt à Lapière, c’est de s’être senti obligé de remplir la vie de son personnage principal de détails parfois moyennement intéressants dans la mesure où ils délayent le sujet plutôt qu’ils ne l’enrichissent. Donc, je reste sur un sentiment de dispersion, d’un foisonnement d’idées (ce qui est toujours bon en soi) que le scénariste semble avoir eu du mal à maîtriser (ou ne l’a pas voulu).
Côté dessin, je ne suis pas du tout d’accord avec Spooky, il est clair que le dessin de Gillon n’est pas des plus « actuels » mais il convient à merveille pour illustrer ce scénario. Et il le fait de main de maître. Son trait a de l’élégance à revendre, sa mise en scène est intelligente et raffinée.
J'ai pris les Déblok en grippe à l'époque où je lisais la série dans le journal de Mickey. Et depuis par extension, j'ai beaucoup de mal avec toutes les autres œuvres de Florence Cestac.
Je trouve son dessin non seulement laid mais surtout agaçant par les postures et mimiques exacerbées et clownesques de ses personnages. Et au niveau de l'humour des Déblok, même constat à mes yeux puisque je trouve ces gags très bas de plafond, très tarte-à-la-crème et tout simplement pas drôles.
Je n'aime donc pas du tout.
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Porte-à-porte-malheur
Oui, bon, ce n'est pas un chef d'oeuvre scénaristique de Foerster. Les histoires de ce colporteur s'oublient assez vite en fait. Même si on retrouve le côté fantastique et l'humour noir des autres histoires courtes de l'auteur, celles-ci manquent justement de cette acidité grinçante et du côté vraiment noir et original de ses autres nouvelles.
Poupon la peste
Franchement, je préfère les autres oeuvres de Binet. Poupon, ici, est plutôt du genre détestable, et les gags de cette BD ne me font pas vraiment rire. Certes ce Poupon est antipathique et tout le récit est construit là-dessus, mais l'auteur a su le rendre suffisamment détestable et irritant pour que je ne prenne pas plaisir à lire ses gags et qu'ils n'attirent pas chez moi ne serait-ce que le sourire. Ca ne vaut pas le niveau des Bidochons.
Pyrénée
Moui... Le dessin est sympa, l'histoire gentille, le décor joli... Mais le tout est peu trop naïf et l'histoire trop rapide. Je ne vous en déconseille pas l'achat, mais moi personnellement je ne l'achèterais pas car j'aime posséder des BDs au scénario suffisamment conséquent pour avoir l'impression d'avoir une vraie histoire entre les mains, pas un petit conte délayé sur les pages d'un album entier.
Ciao pékin
Ciao Pékin est une bd sympa. Le héros est attachant, surtout grâce à sa manière de décliner la réalité façon "histoire dont vous êtes le héros" (petit A, petit B, Petit C...). L'intrigue est menée tambour battant et le dessin de Pourquié, extrêmement vivant, emporte toute mon adhésion. Malheureusement la résolution du mystère policier est plutôt...convenue. La police qui arrive façon « deus ex machina » et qui révèle le pot aux roses parce qu’on arrive à la fin de l’album, c’est un peu maladroit. C'est bien dommage, il y avait matière à finir sur une pointe plus originale.
La Patrouille des Castors
Une très bonne série d'aventures que je lis depuis ma plus tendre enfance. Mon avis n'est certainement pas objectif dans la mesure où le côté nostalgie joue beaucoup, mais il faut reconnaître que les scénarios sont souvent excellents (par Charlier qui est quand meme l'auteur de "Blueberry", "Buck Danny", "Barbe-Rouge"...) ainsi que le dessin, dans le plus pur style Spirou.
Correspondances
Bon, vous l'aurez compris, si je suis si expéditive sur le résumé, c'est parce que je n'ai pas aimé cet album. Je le trouve sans intérêt, sauf peut-être pour des Toulousains (vous me tiendrez au courant), mais moi je me suis franchement emmerdée. C'est vite lu et vite oublié. Les histoires sont sans queue ni tête. Alors c'est vrai que parfois c'est sympa, mais là c'est pénible. Les dessins sont pas mal pour la 1e et la 3e histoire; je n'ai pas accroché au dessin de Cabanes, je l'ai trouvée illisible (problème de couleur ? de détails ?). Passez votre chemin, pour 14 euros c'est vraiment pas la peine.
Sorcières
Bon c'est vrai on sent l'ambiance, c'est noir et souvent méchant, le dessin va bien avec tout ça mais... j'accroche pas. Les histoires sont souvent trop courtes, et les lire les unes après les autres ça colle pas. C'est un peu trop speed et finalement il n'y pas d'attente, de désir de lire la suivante. La plupart ne sont pas très originales, elles sont juste bien faites sur des thèmes très connus. Après avoir lu Zoé je m'attendais à mieux. Je préfère Foerster dans les histoires un peu fantastiques noires et méchantes avec néanmoins une touche d'humour, c'était plus angoissant et plus original.
Nausicaä de la vallée du vent
Hem hem. Bon, on va encore dire que j'ai un parti pris contre les mangas. J'ai pas encore réussi a en dénicher un qui vaille, selon moi. Mais je m'étais précipité sur Nausicäa lorsque je l'avais vue encensée de partout, que l'on me disait: "Genial...". Déjà, j'ai toujours eu du mal à concevoir l'utilité de garder le sens de lecture original, c'est chiant et ça agace. Mais bon on s'habitue. Pour le dessin, on dirait trop un crayonné à mon goût, un trait plus épais n'aurait tué personne, mais bon (2eme fois). Et puis encore une joulie morale écolo derrière, ça aussi ça finit par agacer : - Ne pillons pas les ressources de notre planète, écosystème machin et environnement trucmuche, mais bon...(3eme fois, c'est agaçant aussi non ?). Et puis on se demande si l'histoire ne part pas un peu dans tous les sens, l'auteur aurait pu et dû s'arrêter largement avant, 7 tomes de ça, ça fait trop lourd, mais bon (n'en jetez plus). Trop de "mais bon" en fin de compte pour justifier autant de tomes (7) sur une "morale" déjà assez vue... MAIS BON (le dernier je vous jure).
La Dernière des Salles Obscures
En venant mettre mon avis sur cette série, je ne m'attendais pas du tout à tomber sur des avis aussi défavorables. La dernière des salles obscures n'est pas un chef d'œuvre, loin de là, mais c'est une belle tentative d'en faire un. Un demi-échec que j’aurais plutôt tendance à vouloir considérer comme une demi réussite. J’ai lu les deux albums rapidement, l’un à la suite de l’autre, avide de savoir jusqu’où allait mener cette aventure qui démarrait très fort. La fin, que je ne peux révéler ici est certes conventionnelle mais efficace. Ce que je reprocherai plutôt à Lapière, c’est de s’être senti obligé de remplir la vie de son personnage principal de détails parfois moyennement intéressants dans la mesure où ils délayent le sujet plutôt qu’ils ne l’enrichissent. Donc, je reste sur un sentiment de dispersion, d’un foisonnement d’idées (ce qui est toujours bon en soi) que le scénariste semble avoir eu du mal à maîtriser (ou ne l’a pas voulu). Côté dessin, je ne suis pas du tout d’accord avec Spooky, il est clair que le dessin de Gillon n’est pas des plus « actuels » mais il convient à merveille pour illustrer ce scénario. Et il le fait de main de maître. Son trait a de l’élégance à revendre, sa mise en scène est intelligente et raffinée.
Les déblok
J'ai pris les Déblok en grippe à l'époque où je lisais la série dans le journal de Mickey. Et depuis par extension, j'ai beaucoup de mal avec toutes les autres œuvres de Florence Cestac. Je trouve son dessin non seulement laid mais surtout agaçant par les postures et mimiques exacerbées et clownesques de ses personnages. Et au niveau de l'humour des Déblok, même constat à mes yeux puisque je trouve ces gags très bas de plafond, très tarte-à-la-crème et tout simplement pas drôles. Je n'aime donc pas du tout.