J'ai bien aimé le ton particulier de cet album. L'histoire est volontairement naïve et moins simple qu'elle n'en a l'air au premier abord. Le dessin de Gibrat est tout bonnement magnifique, sa demoiselle est divine. Autant prévenir : le scénario de Pecqueur est à des années-lumières de Golden City, sa série SF pour ados qui cartonne en ce moment. Je ne suis pas sûr qu'il s'adresse au même public.
Un bien bel album qui surfe sur une vague poétique et érotique, un mélange finalement assez rare en bd.
Canardo est l'antihéros par excellence: alcoolique, trouillard, pessimiste (et j'en passe). En plus c'est un canard! Pourtant cette série mérite le détour, même si le dessin très particulier peut rebuter a priori. Cela dit, les albums sont de qualité très variable: les meilleurs sont des histoires tragiques peuplées de personnages désespérés, à l'atmosphère noire et dont on sort remué (l'Amerzone, la mort douce, la marque de Raspoutine, Noces de brume...) alors que les autres sont des polars assez banals; reste l'atmosphère glauque qui baigne toutes les aventures de Canardo.
Candélabres est une série fantastique qui se démarque de la plupart des BD du genre, d'abord par le dessin, simple mais beau, mais surtout par l'attention portée aux personnages, qui ont une vraie personnalité et qui réussissent à nous émouvoir. Ici, pas d'action à toutes les pages, tout se fait dans la subtilité et la délicatesse.
Le superbe noir et blanc de Comès crée dans cette BD une ambiance étouffante et vénéneuse, et, comme l'héroïne, on se trouve pris dès le début de l'histoire par le charme étrange de la maison et de ses habitants.
Magnifique ! Voila comment peut-on qualifier La merveilleuse série de Ayrolles et Maionara. Un tres beau conte au dessin particulier au debut (car les traits des personnages sont un peu fouillis) mais qui, au final, donne vraiment l'impression d'etre dans un conte de Perrault. Moins bien que De Capes et de Crocs ça c'est sur mais franchement bien tout de meme !
Encore une belle série de Delcourt a avoir dans sa collection.
C'est par hasard que j'ai découvert cette BD cet été chez un ami. J'ai donc lu les 15 albums en 10 jours tellement je l'ai trouvée passionnante, cela m'a surtout permis de bien suivre l'intrigue. Il est vrai que le scénard est parfois un peu tiré par les cheveux, un ou deux albums pas vraiment indispensables, des situations périeuses irréalistes, mais l'ensemble se lit comme un très bon roman qui aurait quelques "lacunes".
Contrairement à beaucoup, j'ai particulierement aimé le hors série "l'enquête" véritable investigation façon " watergate" le mélange BD fax et autres lettres est vraiment original, sort l'ensemble de son habituel format. On aime ou on n'aime pas....moi je le conseille vivement.
Contrairement a beaucoups, le dessin trés retro m'a plu.
Le scenario est superbement construit.
Bref, de la grande SF qui se lit d'une seul traite.
Courrir acheter l'integral pendant qu'il en reste encore.
Cette série de BD est vraiment géniale!Les histoires sont passionantes et l'héroïne l'est encore plus.Chaque tome est une découverte et on va de surprises en surprises,les dessins sont plus que superbes et évoluent au fil des albums. Merci de tout mon coeur à Michel Weyland d'avoir crée Aria qui restera mon idole.
Un dessin et une mise en page de Mc Kean magnifiques. Ce n'est certes pas toujours très attirant pour le grand public mais personnellement, je trouve son style fort et beau. Certaines scènes sont absolument géniales. Le scénario de Gaiman, s'il est intéressant est malheureusement un peu abscon à la première lecture. Rien n'est incompréhensible d'un point de vue factuel mais on a un peu du mal à comprendre le sens qui unit certains évênements. A la deuxième lecture, cela s'éclaircit, on s'aperçoit même qu'il s'agit d'un très bon scénario (d'une grande oeuvre dit Alan Moore qui signe la préface). Je serais peut-être moins enthousiaste qu'Alan Moore mais force est de constater que de l'originalité, cet album en possède. Les deux auteurs n'ont pas choisi la facilité.
Quels tomes vraiment dérangeants !!!
L'atmosphère, vraiment très sombre, nous fait découvrir un univers complètement perdu, loin de tout, gigantesque complexe de métal comprenant des milliers de niveaux où vivent (ou plutôt survivent) des individus en autarcie totale.
Au sommet, la résosphère, dont on ne connaît encore que peu de chose pour le moment, mais qui se présente tel l'accès à un monde virtuel pour le moins... étrange :)
Au milieu de tout cela, le héros, Killy, voyage. Un héros dont on ne sait rien, rien du tout ! On ne sait pas d'où il vient, pas où il va, ni quel est son but, ses projets...
Son comportement est très étrange... le lecteur qui ne sait pour l'instant que peut de chose sur le personnage le perçoit comme un être blasé, sans passion, inhumain au possible (regardez le regard du héros sur la couverture, vous comprendrez vite !) et pourtant étrangement attachant. (comme la plupart des personnages de cet univers, d'ailleurs). Ses tribulations sont pour le moins intéressantes à observer : Killy marche, Killy se repose (toujours en position fœtale, ce qui accentue le coté dépressif du personnage), Killy mange... Killy tue !
Et c'est lorsqu'il répend la mort, pour des raisons qui parfois peuvent nous échapper mais que l'on découvrira au fil des tomes, que son visage s'anime enfin, tel le regard de Gally dans l'extase du combat, vers les derniers tomes de Gunnm.
Troublant personnage, donc, dont la finesse de visage n'a d'égal que l'inhumanité presque choquante de ses comportements...
Nous voici donc catapulté dans un monde ultra froid, axé sur l'action pure, (et sauvage), et sur un scénario basique, mais baignant dans une atmosphère assez originale.
Et pourtant, tout colle, comme par magie ! Amateur avant tout de scénarii complexes (le troisième tome d'UW1, par exemple), j'aurais pu être tout simplement dégoûté de Blame, mais non ! L'atmosphère est si étrange, si prenante et si... vierge d'informations, au premier abord, que cela en devient fascinant.
Le style graphique est tout simplement royal : très différent de ce que l'on a l'habitude de voir dans le domaine du manga, le trait est ultra fin, et très détaillé tout en restant un poil brouillon peut être. Parfait pour les scènes d'action, certes, mais il faut tout de même s'accrocher pour suivre tant chacune des pages recèle de détail.
Blame : Gigantisme, inhumanité, Perdition... Trop bon !
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Marée Basse
J'ai bien aimé le ton particulier de cet album. L'histoire est volontairement naïve et moins simple qu'elle n'en a l'air au premier abord. Le dessin de Gibrat est tout bonnement magnifique, sa demoiselle est divine. Autant prévenir : le scénario de Pecqueur est à des années-lumières de Golden City, sa série SF pour ados qui cartonne en ce moment. Je ne suis pas sûr qu'il s'adresse au même public. Un bien bel album qui surfe sur une vague poétique et érotique, un mélange finalement assez rare en bd.
Canardo
Canardo est l'antihéros par excellence: alcoolique, trouillard, pessimiste (et j'en passe). En plus c'est un canard! Pourtant cette série mérite le détour, même si le dessin très particulier peut rebuter a priori. Cela dit, les albums sont de qualité très variable: les meilleurs sont des histoires tragiques peuplées de personnages désespérés, à l'atmosphère noire et dont on sort remué (l'Amerzone, la mort douce, la marque de Raspoutine, Noces de brume...) alors que les autres sont des polars assez banals; reste l'atmosphère glauque qui baigne toutes les aventures de Canardo.
Candélabres
Candélabres est une série fantastique qui se démarque de la plupart des BD du genre, d'abord par le dessin, simple mais beau, mais surtout par l'attention portée aux personnages, qui ont une vraie personnalité et qui réussissent à nous émouvoir. Ici, pas d'action à toutes les pages, tout se fait dans la subtilité et la délicatesse.
Eva
Le superbe noir et blanc de Comès crée dans cette BD une ambiance étouffante et vénéneuse, et, comme l'héroïne, on se trouve pris dès le début de l'histoire par le charme étrange de la maison et de ses habitants.
Garulfo
Magnifique ! Voila comment peut-on qualifier La merveilleuse série de Ayrolles et Maionara. Un tres beau conte au dessin particulier au debut (car les traits des personnages sont un peu fouillis) mais qui, au final, donne vraiment l'impression d'etre dans un conte de Perrault. Moins bien que De Capes et de Crocs ça c'est sur mais franchement bien tout de meme ! Encore une belle série de Delcourt a avoir dans sa collection.
XIII
C'est par hasard que j'ai découvert cette BD cet été chez un ami. J'ai donc lu les 15 albums en 10 jours tellement je l'ai trouvée passionnante, cela m'a surtout permis de bien suivre l'intrigue. Il est vrai que le scénard est parfois un peu tiré par les cheveux, un ou deux albums pas vraiment indispensables, des situations périeuses irréalistes, mais l'ensemble se lit comme un très bon roman qui aurait quelques "lacunes". Contrairement à beaucoup, j'ai particulierement aimé le hors série "l'enquête" véritable investigation façon " watergate" le mélange BD fax et autres lettres est vraiment original, sort l'ensemble de son habituel format. On aime ou on n'aime pas....moi je le conseille vivement.
La Guerre Eternelle
Contrairement a beaucoups, le dessin trés retro m'a plu. Le scenario est superbement construit. Bref, de la grande SF qui se lit d'une seul traite. Courrir acheter l'integral pendant qu'il en reste encore.
Aria
Cette série de BD est vraiment géniale!Les histoires sont passionantes et l'héroïne l'est encore plus.Chaque tome est une découverte et on va de surprises en surprises,les dessins sont plus que superbes et évoluent au fil des albums. Merci de tout mon coeur à Michel Weyland d'avoir crée Aria qui restera mon idole.
Violent Cases
Un dessin et une mise en page de Mc Kean magnifiques. Ce n'est certes pas toujours très attirant pour le grand public mais personnellement, je trouve son style fort et beau. Certaines scènes sont absolument géniales. Le scénario de Gaiman, s'il est intéressant est malheureusement un peu abscon à la première lecture. Rien n'est incompréhensible d'un point de vue factuel mais on a un peu du mal à comprendre le sens qui unit certains évênements. A la deuxième lecture, cela s'éclaircit, on s'aperçoit même qu'il s'agit d'un très bon scénario (d'une grande oeuvre dit Alan Moore qui signe la préface). Je serais peut-être moins enthousiaste qu'Alan Moore mais force est de constater que de l'originalité, cet album en possède. Les deux auteurs n'ont pas choisi la facilité.
Blame !
Quels tomes vraiment dérangeants !!! L'atmosphère, vraiment très sombre, nous fait découvrir un univers complètement perdu, loin de tout, gigantesque complexe de métal comprenant des milliers de niveaux où vivent (ou plutôt survivent) des individus en autarcie totale. Au sommet, la résosphère, dont on ne connaît encore que peu de chose pour le moment, mais qui se présente tel l'accès à un monde virtuel pour le moins... étrange :) Au milieu de tout cela, le héros, Killy, voyage. Un héros dont on ne sait rien, rien du tout ! On ne sait pas d'où il vient, pas où il va, ni quel est son but, ses projets... Son comportement est très étrange... le lecteur qui ne sait pour l'instant que peut de chose sur le personnage le perçoit comme un être blasé, sans passion, inhumain au possible (regardez le regard du héros sur la couverture, vous comprendrez vite !) et pourtant étrangement attachant. (comme la plupart des personnages de cet univers, d'ailleurs). Ses tribulations sont pour le moins intéressantes à observer : Killy marche, Killy se repose (toujours en position fœtale, ce qui accentue le coté dépressif du personnage), Killy mange... Killy tue ! Et c'est lorsqu'il répend la mort, pour des raisons qui parfois peuvent nous échapper mais que l'on découvrira au fil des tomes, que son visage s'anime enfin, tel le regard de Gally dans l'extase du combat, vers les derniers tomes de Gunnm. Troublant personnage, donc, dont la finesse de visage n'a d'égal que l'inhumanité presque choquante de ses comportements... Nous voici donc catapulté dans un monde ultra froid, axé sur l'action pure, (et sauvage), et sur un scénario basique, mais baignant dans une atmosphère assez originale. Et pourtant, tout colle, comme par magie ! Amateur avant tout de scénarii complexes (le troisième tome d'UW1, par exemple), j'aurais pu être tout simplement dégoûté de Blame, mais non ! L'atmosphère est si étrange, si prenante et si... vierge d'informations, au premier abord, que cela en devient fascinant. Le style graphique est tout simplement royal : très différent de ce que l'on a l'habitude de voir dans le domaine du manga, le trait est ultra fin, et très détaillé tout en restant un poil brouillon peut être. Parfait pour les scènes d'action, certes, mais il faut tout de même s'accrocher pour suivre tant chacune des pages recèle de détail. Blame : Gigantisme, inhumanité, Perdition... Trop bon !