Drôle, trépidant, ironique a souhait et d'un style graphique très agréable !
J'adore l'ambiance lovecraftienne qui règne dans cette bd (on retrouve un peu l'ambiance de Ghost buster aussi) qui cependant est loin d'être glauque, même si le macabre est présent à chaque case !
Un formidable voyage dans le monde du paranormal avec le démon le plus cool du monde mais qui ne se laisse pas marcher sur les pieds !
Enfin de la vraie BD.
Pas de textes superflus. On a vite compris le scénario.
L'important reste dans la fluidité, les dessins épurés, chaque case fait mouche.
A lire à n'importe quelle vitesse, moment ou position.
De la couleur, de l'humour, du rythme: génial.
NB : pour adultes uniquement.
J'admets que ma note peut paraître exagérée, mais cette série a vraiment un charisme hors du commun, voir un héro partir à l'aventure avec sa canne à pèche est pour moi un régal. J'admets également que les dessins sont assez...moyens. Mais jusqu'à la fin de "greed island" au moins, cette série est culte, et des perso tels qu'hisoka, gon ou kirua marquent indéniablement les lecteurs.
Cette note semblera trop exagérée pour des lecteurs mais il faut savoir que je suis un fan de westerns spaghettis.
J’ai retrouvé dans cette bd l’esprit des films de Sergio Léone : l’exagération, les gros plans, l’humour, les grandes gueules… Aaaahhh, il ne reste plus que la musique de Ennio Morricone en fond de lecture pour que tout soit parfait ! Pas grave, j’ai un de ses cds !
A l’image de « Trio Grande » des mêmes auteurs, l’ambiance est parfaitement adaptée à cette histoire farfelue. Isabelle Rabarot nous montre encore ses grands talents de coloriste avec sa mise en couleurs aux tons orangés et azurs.
La mise en page et les cadrages sont excellents. Le dessin de Lamy est dynamique et va comme sied à cette bd.
« 500 fusils » est un album très divertissant et dont je ne me lasse pas de le relire !
Une histoire poignante, pas autobiographique, mais inspirée de faits et témoignages réels. J’ai suivi les déboires et doutes de Toland avec un intérêt grandissant au fil des pages (le début est un peu mou), et les derniers chapitres m’ont tout simplement serré le cœur. Je me suis attaché aux différents personnages comme rarement, j’ai vraiment eu l’impression de souffrir avec eux.
Le sujet aide forcement à donner plus d’impact au récit, la narration n’étant finalement qu’un bête rapport de fait. Mais les réflexions intérieures du personnage principal sont criantes de vérité, le coté psychologique est vraiment bien développé. La façon dont les doutes de Toland sur sa propre sexualité se mêlent aux incidents de son entourage est tout simplement fascinante.
Alors d’accord, « Un monde de différence » n’est peut-être pas une BD innovante, mais elle se penche sur un sujet universel et malheureusement intemporel: L’intolérance. Le résultat est une histoire poignante, marquante, que je vous encourage à découvrir si le sujet vous intéresse un tant soit peu. Un de mes comics préférés, toutes catégories confondues.
Note : La VO est un peu difficile à lire, avec beaucoup d’argot américain, beaucoup de mots compliqués, et des accents retranscrits dans le texte. Vous voilà prévenus !
Ben ça alors...Moi qui m’attendait juste à un truc sympa. Et voilà que je me prends une bonne claque! Cet album est une merveille! Bon, soyons clair, je ne suis pas sûr que grand monde partagera mon enthousiasme démesuré... Thepat et Kael ci-dessous ont juste apprécié cet album. Je suppose qu’il vous est déjà arrivé de tomber en pamoison devant un roman, une bd, un film sans que votre entourage partage cet entrain. L’objet exerce sur vous une vraie fascination, vous avez la sensation qu’il exprime quelque chose de rare, quelque chose que vous avez déjà en vain recherché ailleurs. Et bien, c’est l’effet que me procure ce Kizilkum. Au départ, bien sûr, on peut se demander en quoi un album se déroulant au début du siècle dans le fin fond de l’empire russe peut me toucher à ce point? C’est parce que Kizilkum est tout sauf une bd historique. Face à la réalité psychologique qui sous-tend l’album, le contexte est finalement bien secondaire, on pourrait même transposer avec facilité cet album dans d’autres situation, en Palestine, En Irak... dans n’importe quel point chaud du globe… dans n’importe quel situation où un peuple est soumis à une occupation illégitime et où certains individus vont recourir aux moyens les plus extrêmes pour s’en délivrer.
Il y a dans cet album une maturité tout à fait étonnante pour un premier album! Vous ne trouverez dans cet album aucun effet facile, tout est mesuré, calculé, rendu sensible avec savoir-faire. Des auteurs qui savent vous pondre 10 pages entièrement muettes sans actions démesurées sans pour autant ne rien perdre de la tension narrative, il n’y en a pas beaucoup. Des auteurs qui savent limiter les paroles de leurs personnages au minimum, sans pour autant perdre quelque chose de leur personnalité complexe, c’est encore plus rare, surtout en bd! Des auteurs qui savent vous pondre une intrigue prenante avec un personnage principal aussi antipathique, j’en connais peu. Et Lepingle, lui, il manie tout ça avec brio dès son premier album!
Une angoisse me vient... Qu’est devenu Lepingle? Depuis cet album qui date déjà de 2002, il n’a rien sorti... A-t-il arrêté la bd déçu par des ventes mauvaises? Ce serait, à mon sens, un beau gâchis…
GTO est un manga très réaliste sur la vie de tous les jours. L'auteur y dénonce de nombreux travers de la société et plus particulièrement du système éducatif nippon sur un ton humoristique. Bon dis comme ça, ça n'a l'air de rien. En bref c'est l'histoire d'un ex-Yankee complètement obsédé par les lycéennes qui souhaite devenir prof, on imagine les futurs relations entre notre héros un peu brusque et ses élèves un peu taquins...
Au delà de l'apparente vulgarité, naïveté et brutalité (justifiée pour la plupart) de ce héros hors norme, Onizuka a un grand sens des valeurs et des responsabilités. On ne peut s'empêcher de s'attacher à ce héros extra-ordinaire.
Pour moi ce manga fait partie des meilleurs voire des cultes! Tous les personnages ont une importance capitale et une personnalité propre à eux-même. L'Histoire n'est pas uniquement ciblée autour de Onizuka même si elle finit presque toujours par s'y rattacher. De plus comment ne pas s'identifier à l'un des personnages "secondaire", si ce n'est pas au héros.
L'humour est toujours présent même dans les situations les plus rocambolesques. C'est un humour pas toujours très fin il faut l'avouer mais quand on accroche on se pisse dessus de rire! Bref c'est un manga qui a beaucoup de facettes: on apprécie autant les moments drôles et décalés que les situations périlleuses et dramatiques (on y parle des problèmes de drogues, suicides, crises familiale...). On passe toujours un bon moment à lire ce manga!
Du coté des dessins pour moi qui ne suis pas un grand connaisseurs je les trouve sublimes! Il y a toujours un foisonnement de détails. Je dis chapeau à l'équipe de Torû Fûjisawa qui s'est bien améliorée depuis shonan junaï gumi (young GTO pour les novices)! Dommage qu'il n'y ait "que" 25 tomes car je ne me lasse pas des différentes histoires même si elle peuvent se ressembler sur certains points (fallait bien un petit point noir ;-))
Je voulais aussi préciser qu'on n'accroche pas toujours tout de suite il faut essayer de lire au moins 2 tomes
Voilà je conseille à tous ce superbe manga qui m'a fait passer de très très bon moments!!
Sur-ceux amis du soir bonsoir!
Je met 5/5 parce que pour moi cette Bd est un OVNI. Batman a été visité et revisité et pourtant cette histoire lui donne un souffle nouveau. Il est vrai que l'histoire demande de connaitre un peu l'univers Batman mais pas forcément sur le bout des doigts. On peut tout simplement traverser l'histoire en ne comprenant pas tout, un peu à la David Lynch pour le ciné. Le style graphique est vraiment propre à ce dessinateur, clairement on aime ou on n'aime pas. Cependant, et ça c'est la vraie force de cette histoire, le dessin et l'histoire vont de paire et sont complètement complémentaires, se renvoient l'un à l'autre, et ça j'adore !
C'est noir, sombre, torturé et avant tout c'est merveilleux ! ;)
Les dessins sont merveilleusement bien faits. La lecture se fait sans arrêts, comme si on regardait un anime. De plus l'histoire tient debout, et les nombreux personnages, tous insolites, ont chacun leur personnalité, leurs habitudes et leur caractère. J'ai connu "Love Hina", alors que je faisais des recherches sur le net. J'ai tout de suite accrochée, et je me suis documentée sur l'intrigue (si on peut parler d'intrigue dans ce genre d'histoire !).
Je pense que tous les jeunes (entre 14 et 19 ans) aimeront ce manga, car il parle d'amitié, d'AMOUR (évidemment on est en plein dedans !), d'aventure (mais pas trop), et des filles !!!
J'espère que d'autres personnes auront autant de plaisir à lire ce manga, que moi j'ai eu à le lire.
Absolument superbe ! Une aventure épique mais réaliste dans ses moindres détails (Bravo à Bourgeon pour son travail de documentation !), une odyssée prenante qui nous promène entre les Caraïbes, l’Europe et l’Afrique en nous dressant des tableaux saisissants de la marine du XVIIIe et de la traite des noirs. Les personnages traversent de nombreuses péripéties aventureuses et sentimentales au cours desquelles on finit par s’attacher à eux. Alors, si on ajoute là-dessus le dessin de Bourgeon, on peut décréter que cette série est vraiment culte.
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Hellboy
Drôle, trépidant, ironique a souhait et d'un style graphique très agréable ! J'adore l'ambiance lovecraftienne qui règne dans cette bd (on retrouve un peu l'ambiance de Ghost buster aussi) qui cependant est loin d'être glauque, même si le macabre est présent à chaque case ! Un formidable voyage dans le monde du paranormal avec le démon le plus cool du monde mais qui ne se laisse pas marcher sur les pieds !
Squeak the mouse
Enfin de la vraie BD. Pas de textes superflus. On a vite compris le scénario. L'important reste dans la fluidité, les dessins épurés, chaque case fait mouche. A lire à n'importe quelle vitesse, moment ou position. De la couleur, de l'humour, du rythme: génial. NB : pour adultes uniquement.
Hunter X Hunter
J'admets que ma note peut paraître exagérée, mais cette série a vraiment un charisme hors du commun, voir un héro partir à l'aventure avec sa canne à pèche est pour moi un régal. J'admets également que les dessins sont assez...moyens. Mais jusqu'à la fin de "greed island" au moins, cette série est culte, et des perso tels qu'hisoka, gon ou kirua marquent indéniablement les lecteurs.
Wayne Redlake - 500 Fusils
Cette note semblera trop exagérée pour des lecteurs mais il faut savoir que je suis un fan de westerns spaghettis. J’ai retrouvé dans cette bd l’esprit des films de Sergio Léone : l’exagération, les gros plans, l’humour, les grandes gueules… Aaaahhh, il ne reste plus que la musique de Ennio Morricone en fond de lecture pour que tout soit parfait ! Pas grave, j’ai un de ses cds ! A l’image de « Trio Grande » des mêmes auteurs, l’ambiance est parfaitement adaptée à cette histoire farfelue. Isabelle Rabarot nous montre encore ses grands talents de coloriste avec sa mise en couleurs aux tons orangés et azurs. La mise en page et les cadrages sont excellents. Le dessin de Lamy est dynamique et va comme sied à cette bd. « 500 fusils » est un album très divertissant et dont je ne me lasse pas de le relire !
Stuck Rubber Baby (Un Monde de différence)
Une histoire poignante, pas autobiographique, mais inspirée de faits et témoignages réels. J’ai suivi les déboires et doutes de Toland avec un intérêt grandissant au fil des pages (le début est un peu mou), et les derniers chapitres m’ont tout simplement serré le cœur. Je me suis attaché aux différents personnages comme rarement, j’ai vraiment eu l’impression de souffrir avec eux. Le sujet aide forcement à donner plus d’impact au récit, la narration n’étant finalement qu’un bête rapport de fait. Mais les réflexions intérieures du personnage principal sont criantes de vérité, le coté psychologique est vraiment bien développé. La façon dont les doutes de Toland sur sa propre sexualité se mêlent aux incidents de son entourage est tout simplement fascinante. Alors d’accord, « Un monde de différence » n’est peut-être pas une BD innovante, mais elle se penche sur un sujet universel et malheureusement intemporel: L’intolérance. Le résultat est une histoire poignante, marquante, que je vous encourage à découvrir si le sujet vous intéresse un tant soit peu. Un de mes comics préférés, toutes catégories confondues. Note : La VO est un peu difficile à lire, avec beaucoup d’argot américain, beaucoup de mots compliqués, et des accents retranscrits dans le texte. Vous voilà prévenus !
Kizilkum
Ben ça alors...Moi qui m’attendait juste à un truc sympa. Et voilà que je me prends une bonne claque! Cet album est une merveille! Bon, soyons clair, je ne suis pas sûr que grand monde partagera mon enthousiasme démesuré... Thepat et Kael ci-dessous ont juste apprécié cet album. Je suppose qu’il vous est déjà arrivé de tomber en pamoison devant un roman, une bd, un film sans que votre entourage partage cet entrain. L’objet exerce sur vous une vraie fascination, vous avez la sensation qu’il exprime quelque chose de rare, quelque chose que vous avez déjà en vain recherché ailleurs. Et bien, c’est l’effet que me procure ce Kizilkum. Au départ, bien sûr, on peut se demander en quoi un album se déroulant au début du siècle dans le fin fond de l’empire russe peut me toucher à ce point? C’est parce que Kizilkum est tout sauf une bd historique. Face à la réalité psychologique qui sous-tend l’album, le contexte est finalement bien secondaire, on pourrait même transposer avec facilité cet album dans d’autres situation, en Palestine, En Irak... dans n’importe quel point chaud du globe… dans n’importe quel situation où un peuple est soumis à une occupation illégitime et où certains individus vont recourir aux moyens les plus extrêmes pour s’en délivrer. Il y a dans cet album une maturité tout à fait étonnante pour un premier album! Vous ne trouverez dans cet album aucun effet facile, tout est mesuré, calculé, rendu sensible avec savoir-faire. Des auteurs qui savent vous pondre 10 pages entièrement muettes sans actions démesurées sans pour autant ne rien perdre de la tension narrative, il n’y en a pas beaucoup. Des auteurs qui savent limiter les paroles de leurs personnages au minimum, sans pour autant perdre quelque chose de leur personnalité complexe, c’est encore plus rare, surtout en bd! Des auteurs qui savent vous pondre une intrigue prenante avec un personnage principal aussi antipathique, j’en connais peu. Et Lepingle, lui, il manie tout ça avec brio dès son premier album! Une angoisse me vient... Qu’est devenu Lepingle? Depuis cet album qui date déjà de 2002, il n’a rien sorti... A-t-il arrêté la bd déçu par des ventes mauvaises? Ce serait, à mon sens, un beau gâchis…
GTO - Great Teacher Onizuka
GTO est un manga très réaliste sur la vie de tous les jours. L'auteur y dénonce de nombreux travers de la société et plus particulièrement du système éducatif nippon sur un ton humoristique. Bon dis comme ça, ça n'a l'air de rien. En bref c'est l'histoire d'un ex-Yankee complètement obsédé par les lycéennes qui souhaite devenir prof, on imagine les futurs relations entre notre héros un peu brusque et ses élèves un peu taquins... Au delà de l'apparente vulgarité, naïveté et brutalité (justifiée pour la plupart) de ce héros hors norme, Onizuka a un grand sens des valeurs et des responsabilités. On ne peut s'empêcher de s'attacher à ce héros extra-ordinaire. Pour moi ce manga fait partie des meilleurs voire des cultes! Tous les personnages ont une importance capitale et une personnalité propre à eux-même. L'Histoire n'est pas uniquement ciblée autour de Onizuka même si elle finit presque toujours par s'y rattacher. De plus comment ne pas s'identifier à l'un des personnages "secondaire", si ce n'est pas au héros. L'humour est toujours présent même dans les situations les plus rocambolesques. C'est un humour pas toujours très fin il faut l'avouer mais quand on accroche on se pisse dessus de rire! Bref c'est un manga qui a beaucoup de facettes: on apprécie autant les moments drôles et décalés que les situations périlleuses et dramatiques (on y parle des problèmes de drogues, suicides, crises familiale...). On passe toujours un bon moment à lire ce manga! Du coté des dessins pour moi qui ne suis pas un grand connaisseurs je les trouve sublimes! Il y a toujours un foisonnement de détails. Je dis chapeau à l'équipe de Torû Fûjisawa qui s'est bien améliorée depuis shonan junaï gumi (young GTO pour les novices)! Dommage qu'il n'y ait "que" 25 tomes car je ne me lasse pas des différentes histoires même si elle peuvent se ressembler sur certains points (fallait bien un petit point noir ;-)) Je voulais aussi préciser qu'on n'accroche pas toujours tout de suite il faut essayer de lire au moins 2 tomes Voilà je conseille à tous ce superbe manga qui m'a fait passer de très très bon moments!! Sur-ceux amis du soir bonsoir!
Batman - Arkham Asylum (L'asile d'Arkham)
Je met 5/5 parce que pour moi cette Bd est un OVNI. Batman a été visité et revisité et pourtant cette histoire lui donne un souffle nouveau. Il est vrai que l'histoire demande de connaitre un peu l'univers Batman mais pas forcément sur le bout des doigts. On peut tout simplement traverser l'histoire en ne comprenant pas tout, un peu à la David Lynch pour le ciné. Le style graphique est vraiment propre à ce dessinateur, clairement on aime ou on n'aime pas. Cependant, et ça c'est la vraie force de cette histoire, le dessin et l'histoire vont de paire et sont complètement complémentaires, se renvoient l'un à l'autre, et ça j'adore ! C'est noir, sombre, torturé et avant tout c'est merveilleux ! ;)
Love Hina
Les dessins sont merveilleusement bien faits. La lecture se fait sans arrêts, comme si on regardait un anime. De plus l'histoire tient debout, et les nombreux personnages, tous insolites, ont chacun leur personnalité, leurs habitudes et leur caractère. J'ai connu "Love Hina", alors que je faisais des recherches sur le net. J'ai tout de suite accrochée, et je me suis documentée sur l'intrigue (si on peut parler d'intrigue dans ce genre d'histoire !). Je pense que tous les jeunes (entre 14 et 19 ans) aimeront ce manga, car il parle d'amitié, d'AMOUR (évidemment on est en plein dedans !), d'aventure (mais pas trop), et des filles !!! J'espère que d'autres personnes auront autant de plaisir à lire ce manga, que moi j'ai eu à le lire.
Les Passagers du vent
Absolument superbe ! Une aventure épique mais réaliste dans ses moindres détails (Bravo à Bourgeon pour son travail de documentation !), une odyssée prenante qui nous promène entre les Caraïbes, l’Europe et l’Afrique en nous dressant des tableaux saisissants de la marine du XVIIIe et de la traite des noirs. Les personnages traversent de nombreuses péripéties aventureuses et sentimentales au cours desquelles on finit par s’attacher à eux. Alors, si on ajoute là-dessus le dessin de Bourgeon, on peut décréter que cette série est vraiment culte.