Les trois premiers albums sont proprements géniaux. Une idée de base assez banale, mais traitée avec une telle intelligence, un tel réalisme, et un tel sens du dialogue... Ca force le respect !
Le dessin est sympathique, fluide et dynamique. Mais la grande force de cette série est bien le scénario, qui parvient à tenir le lecteur en haleine du début à la fin, et à faire réfléchir sans donner la moindre leçon de morale.
Le tome 4 est un peu décevant, nettement moins original et sans grand intérêt pour l'évolution de l'histoire à première vue... Son seul intéret réside dans la splendide illustration des scènes de sexe...
Bref, à part ce petit bémol, une série sublime ! J'attends la suite avec impatience !
Jetez-vous sur cette série et n'oubliez pas "Un soldat lâche, c'est toujours un soldat. Un soldat mort, c'est toujours un mort."... J'adore ces dialogues ! :)
J'ai beaucoup été surpris par le premier tome de cette série.
J'appécie beaucoup les dessins ( parfois très chauds... ) de Aouamri ; l'histoire est peu banale et laisse espérer une suite encore plus surprenante !
TOME 1 : 4/5
La nouvelle série de Florence Magnin part sur d'excellentes bases avec ce premier tome. Le dessin est un peu différent de ce que cette talentueuse madame a pu faire sur "L'autre monde" ou "Mary la noire", même s'il reste dans le même esprit.
Il n'y a pas grand chose à jeter sur ce premier tome, tant au niveau graphique que du scénario. On sent que Magnin prend un réel plaisir à présenter son histoire, ses personnages, et le plaisir de lecture est présent dès le début. On entre dans l'histoire avec facilité et une fois dedans, impossible d'en ressortir. Magnin parvient à nous captiver, avec juste ce qu'il faut de non-dits, de mystères et de personnages énigmatiques, pour monter crescendo dans l'intrigue. Alors, à la fin de cette BD, on n'a qu'une hâte : se lancer dans la lecture de la suite.
L'intrigue pourtant est bien plus complexe que sur les autres séries de l'auteur mais on sent déjà que seule aux commandes, Magnin n'en est que meilleure!
Le dessin est très fin, les couleurs chatoyantes, et les quelques planches en extérieur révèlent le talent de cet auteur pour dépeindre les décors naturels.
TOME 2 : 5/5
Avec ce deuxième tome, on entre vraiment dans l'histoire. L'intrigue ébauchée lors du 1er tome prend ici toute sa signification, et toute sa saveur. Les pièces du puzzle se mettent en place avec un scénario original et très bien emmené. Comme ce que le tome 1 l'avait laissé supposer, Magnin se débrouille vraiment bien sur une série en solo et malgré tout le talent de Rodolphe, son scénariste sur ses deux précédentes séries, la profondeur et le rythme sont bien meilleurs ici.
Quant aux dessins, ils sont encore supérieurs par rapport au tome 1, les ambiances sont superbement rendues, on est vraiment absorbé par cet univers coloré. Certaines planches frisent le sans faute, voir y plonge carrément, notamment sur les forêts qui entourent le château qu'Emilie découvre.
Une dimension fantastique vient rajouter du piment à l'histoire, et promet une suite splendide que j'attends déjà avec impatience.
La meilleure série de Florence Magnin, ce qui n'est pas peu dire au regard de la déjà très bonne tenue de "Mary la noire" et de "L'autre monde".
Après la quête de l'oiseau du temps et avant Peter Pan, Loisel s'est lancé dans l'illustration de trois nouvelles érotiques écrites par sa femme. Ses illustrations, quoique parfois très paillardes, sont parmis les plus belles qu'il ait dessiné (lui-même le reconnait volontiers) et d'une poésie malgré tout évidente. La couleur est maîtrisée à la perfection et le sens du cadrage et de la mise en scène à couper le souffle.
Comme toujours chez Loisel, on est face à un déluge de chair très gironde: la croupe est large et la poitrine généreuse. Il va même jusqu'à mettre en scène une femme enceinte jusqu'aux dents dans la dernière histoire se passant à Venise. Ces aquarelles illustrent à merveille les textes très crus de Rose Le Guirec. Un régal pour les yeux et les sens qui a d'ailleurs eu beaucoup de succès chez le lectorat féminin.
La dernière édition propose une couverture nouvelle, à mon sens bien moins réussie et originale que la première, les humanos ayant voulu revenir à du plus politiquement correct. Si vous avez un peu de chance, peut-être trouverez-vous l'ancienne couverture (je n'en ai vu qu'un exemplaire au cours de mes périgrinations que j'ai bien entendu acheté; l'édition de 89 est par contre très rare).
Il est sans discussion sûr qu'Astérix est une série supérieure à celle d'Oumpah Pah. Cela dit, la première coopération d'Uderzo et Goscinny est à posséder par tout amateur de BD.
Les dessins sont déjà assurés et certaines scènes sont hilarantes annonçant celles d'Astérix.
Au même titre que les Lucky Luke scénarisés par Goscinny, cette série vous fera passer un agréable moment.
Le must de Chaland étant plutôt le jeune Albert (bd très spéciale puisque le héros est méchant, sournois et très antipathique), je conseille néammoins l'intégrale qui vous fera découvrir le cheminement complet de l'auteur dont la maîtrise est impressionnante dès le 2nd album de Freddy Lombard.
Le reprise de Spirou est fantastique (on dirait du Franquin) mais vous ne trouverez ici que la première partie de l'histoire, je ne sais d'ailleurs pas très bien si elle a jamais été terminée.
Tome 1 et 2 indispensables. Puis le 4 et enfin le 3. A noter, le côté raciste de certains propos dans le 3ème tome de l'intégrale qui reprend les tous débuts de Chaland m'a un peu choqué malgré l'avertissement au début du volume.
Chauvel use ici d'un narration non linéaire. Malheureusement pour lui, ce choix ajouté à une histoire très noire fait automatiquement penser à Tarantino même si je suis persuadé que Chauvel ne cherche pas à singer le cinéaste. C'est juste que, pas de bol, on ne peut que penser à lui en lisant "Station Debout" et sa narration totalement déstructurée (et néammoins brillante). Chauvel ne renouvelle pas le genre noir mais sa BD n'en est pas pour autant ratée. Il le maîtrise parfaitement et si, pour certains, c'est un défaut, moi j'aime quand une histoire s'ancre dans un genre, en utilise toutes les ficelles, faisant remonter des souvenirs enfouis.
De ce point de vue "Station Debout" est une belle réussite, plus que "Nuit Noire" ou "Les Enragés" à mon humble avis. Chauvel, comme pour "Le poisson clown", nous fait découvrir le passé des personnages par le biais de flash back, arrivant aux moments les plus tendus. Mais ce qui ralentissait la narration de "Le poisson clown" trouve ici parfaitement sa place. Sans doute est-ce du au format de l'histoire (one shot vs 4 tomes). Il offre de plus une fin surprenante et très cinématographique; ce qui est sur c'est que Chauvel est nourri de cinéma et le régurgite à sa façon pour notre plus grand plaisir.
Le trait de Ehretsmann est incroyable, opposant la clarté à l'obscurité, représentant parfaitement la noirceur des corps morts et des sentiments. Il est parfaitement adapté à l'histoire, violente, d'un looser des plus médiocres.
Comme la plupart des internautes, j'ai été séduite par le scénario mais le dessin m'a vraiment déçue... Je viens de terminer le tome sept et j'avoue que je reste sur ma faim ! J'attends une suite, mais sans Didier, Francis, Josiane et Martin, cela me pose problème... Je comprends bien que, de toute façon, ça ne pouvait que se terminer de cette façon... J'ai tout de même hâte de lire I.N.R.I. si c'est de la même trempe : par contre, SVP, le DESSIN!!! Amélioration souhaitée !
Bon, en résumé, Hellboy est une série absolument magnifique. Les planches de Mignola sont splendides, l'auteur arrivant à créer beaucoup d'effets avec peu de moyens. Après, c'est sûr que tout le monde n'aimera pas. Moi, j'adore.
Autre point fort : les dialogues, et les personnages, assez drôles et inhabituels. Hellboy ne se prend pas au sérieux, et c'est tant mieux.
Par contre, c'est sûr que les scénarios sont un peu plus légers. Attendons, peut être qu'Hellboy gagnera en profondeur ...
En tout cas, une série vivement conseillée à tous les amateurs de fantastique, et à tous ceux qui veulent découvrir un style grapghique assez différent de ce que l'on voit habituellement (un très beau coffret regroupant les 4 premiers tomes est paru chez Delcourt).
Un très bon manga, assez différent de ce que proposent les éditeurs habituellement. Ici, tout est dans l'ambiance, la poésie qui entoure les personnages... Le dessin est très fin, les personnages très sympathiques, et malgré un aspect très contemplatif l'histoire évolue quand même pas mal, et cela sur seulement 2 tomes.
Un défaut : les délais de parution. Un tome par an, ça fait quand même assez peu. Mais bon, on est loin d'avoir un suspens insoutenable à la fin du volume. :)
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HK
Les trois premiers albums sont proprements géniaux. Une idée de base assez banale, mais traitée avec une telle intelligence, un tel réalisme, et un tel sens du dialogue... Ca force le respect ! Le dessin est sympathique, fluide et dynamique. Mais la grande force de cette série est bien le scénario, qui parvient à tenir le lecteur en haleine du début à la fin, et à faire réfléchir sans donner la moindre leçon de morale. Le tome 4 est un peu décevant, nettement moins original et sans grand intérêt pour l'évolution de l'histoire à première vue... Son seul intéret réside dans la splendide illustration des scènes de sexe... Bref, à part ce petit bémol, une série sublime ! J'attends la suite avec impatience ! Jetez-vous sur cette série et n'oubliez pas "Un soldat lâche, c'est toujours un soldat. Un soldat mort, c'est toujours un mort."... J'adore ces dialogues ! :)
Mortepierre
J'ai beaucoup été surpris par le premier tome de cette série. J'appécie beaucoup les dessins ( parfois très chauds... ) de Aouamri ; l'histoire est peu banale et laisse espérer une suite encore plus surprenante !
L'héritage d'Emilie
TOME 1 : 4/5 La nouvelle série de Florence Magnin part sur d'excellentes bases avec ce premier tome. Le dessin est un peu différent de ce que cette talentueuse madame a pu faire sur "L'autre monde" ou "Mary la noire", même s'il reste dans le même esprit. Il n'y a pas grand chose à jeter sur ce premier tome, tant au niveau graphique que du scénario. On sent que Magnin prend un réel plaisir à présenter son histoire, ses personnages, et le plaisir de lecture est présent dès le début. On entre dans l'histoire avec facilité et une fois dedans, impossible d'en ressortir. Magnin parvient à nous captiver, avec juste ce qu'il faut de non-dits, de mystères et de personnages énigmatiques, pour monter crescendo dans l'intrigue. Alors, à la fin de cette BD, on n'a qu'une hâte : se lancer dans la lecture de la suite. L'intrigue pourtant est bien plus complexe que sur les autres séries de l'auteur mais on sent déjà que seule aux commandes, Magnin n'en est que meilleure! Le dessin est très fin, les couleurs chatoyantes, et les quelques planches en extérieur révèlent le talent de cet auteur pour dépeindre les décors naturels. TOME 2 : 5/5 Avec ce deuxième tome, on entre vraiment dans l'histoire. L'intrigue ébauchée lors du 1er tome prend ici toute sa signification, et toute sa saveur. Les pièces du puzzle se mettent en place avec un scénario original et très bien emmené. Comme ce que le tome 1 l'avait laissé supposer, Magnin se débrouille vraiment bien sur une série en solo et malgré tout le talent de Rodolphe, son scénariste sur ses deux précédentes séries, la profondeur et le rythme sont bien meilleurs ici. Quant aux dessins, ils sont encore supérieurs par rapport au tome 1, les ambiances sont superbement rendues, on est vraiment absorbé par cet univers coloré. Certaines planches frisent le sans faute, voir y plonge carrément, notamment sur les forêts qui entourent le château qu'Emilie découvre. Une dimension fantastique vient rajouter du piment à l'histoire, et promet une suite splendide que j'attends déjà avec impatience. La meilleure série de Florence Magnin, ce qui n'est pas peu dire au regard de la déjà très bonne tenue de "Mary la noire" et de "L'autre monde".
Troubles fêtes
Après la quête de l'oiseau du temps et avant Peter Pan, Loisel s'est lancé dans l'illustration de trois nouvelles érotiques écrites par sa femme. Ses illustrations, quoique parfois très paillardes, sont parmis les plus belles qu'il ait dessiné (lui-même le reconnait volontiers) et d'une poésie malgré tout évidente. La couleur est maîtrisée à la perfection et le sens du cadrage et de la mise en scène à couper le souffle. Comme toujours chez Loisel, on est face à un déluge de chair très gironde: la croupe est large et la poitrine généreuse. Il va même jusqu'à mettre en scène une femme enceinte jusqu'aux dents dans la dernière histoire se passant à Venise. Ces aquarelles illustrent à merveille les textes très crus de Rose Le Guirec. Un régal pour les yeux et les sens qui a d'ailleurs eu beaucoup de succès chez le lectorat féminin. La dernière édition propose une couverture nouvelle, à mon sens bien moins réussie et originale que la première, les humanos ayant voulu revenir à du plus politiquement correct. Si vous avez un peu de chance, peut-être trouverez-vous l'ancienne couverture (je n'en ai vu qu'un exemplaire au cours de mes périgrinations que j'ai bien entendu acheté; l'édition de 89 est par contre très rare).
Oumpah-Pah
Il est sans discussion sûr qu'Astérix est une série supérieure à celle d'Oumpah Pah. Cela dit, la première coopération d'Uderzo et Goscinny est à posséder par tout amateur de BD. Les dessins sont déjà assurés et certaines scènes sont hilarantes annonçant celles d'Astérix. Au même titre que les Lucky Luke scénarisés par Goscinny, cette série vous fera passer un agréable moment.
Chaland
Le must de Chaland étant plutôt le jeune Albert (bd très spéciale puisque le héros est méchant, sournois et très antipathique), je conseille néammoins l'intégrale qui vous fera découvrir le cheminement complet de l'auteur dont la maîtrise est impressionnante dès le 2nd album de Freddy Lombard. Le reprise de Spirou est fantastique (on dirait du Franquin) mais vous ne trouverez ici que la première partie de l'histoire, je ne sais d'ailleurs pas très bien si elle a jamais été terminée. Tome 1 et 2 indispensables. Puis le 4 et enfin le 3. A noter, le côté raciste de certains propos dans le 3ème tome de l'intégrale qui reprend les tous débuts de Chaland m'a un peu choqué malgré l'avertissement au début du volume.
Station Debout
Chauvel use ici d'un narration non linéaire. Malheureusement pour lui, ce choix ajouté à une histoire très noire fait automatiquement penser à Tarantino même si je suis persuadé que Chauvel ne cherche pas à singer le cinéaste. C'est juste que, pas de bol, on ne peut que penser à lui en lisant "Station Debout" et sa narration totalement déstructurée (et néammoins brillante). Chauvel ne renouvelle pas le genre noir mais sa BD n'en est pas pour autant ratée. Il le maîtrise parfaitement et si, pour certains, c'est un défaut, moi j'aime quand une histoire s'ancre dans un genre, en utilise toutes les ficelles, faisant remonter des souvenirs enfouis. De ce point de vue "Station Debout" est une belle réussite, plus que "Nuit Noire" ou "Les Enragés" à mon humble avis. Chauvel, comme pour "Le poisson clown", nous fait découvrir le passé des personnages par le biais de flash back, arrivant aux moments les plus tendus. Mais ce qui ralentissait la narration de "Le poisson clown" trouve ici parfaitement sa place. Sans doute est-ce du au format de l'histoire (one shot vs 4 tomes). Il offre de plus une fin surprenante et très cinématographique; ce qui est sur c'est que Chauvel est nourri de cinéma et le régurgite à sa façon pour notre plus grand plaisir. Le trait de Ehretsmann est incroyable, opposant la clarté à l'obscurité, représentant parfaitement la noirceur des corps morts et des sentiments. Il est parfaitement adapté à l'histoire, violente, d'un looser des plus médiocres.
Le Triangle Secret
Comme la plupart des internautes, j'ai été séduite par le scénario mais le dessin m'a vraiment déçue... Je viens de terminer le tome sept et j'avoue que je reste sur ma faim ! J'attends une suite, mais sans Didier, Francis, Josiane et Martin, cela me pose problème... Je comprends bien que, de toute façon, ça ne pouvait que se terminer de cette façon... J'ai tout de même hâte de lire I.N.R.I. si c'est de la même trempe : par contre, SVP, le DESSIN!!! Amélioration souhaitée !
Hellboy
Bon, en résumé, Hellboy est une série absolument magnifique. Les planches de Mignola sont splendides, l'auteur arrivant à créer beaucoup d'effets avec peu de moyens. Après, c'est sûr que tout le monde n'aimera pas. Moi, j'adore. Autre point fort : les dialogues, et les personnages, assez drôles et inhabituels. Hellboy ne se prend pas au sérieux, et c'est tant mieux. Par contre, c'est sûr que les scénarios sont un peu plus légers. Attendons, peut être qu'Hellboy gagnera en profondeur ... En tout cas, une série vivement conseillée à tous les amateurs de fantastique, et à tous ceux qui veulent découvrir un style grapghique assez différent de ce que l'on voit habituellement (un très beau coffret regroupant les 4 premiers tomes est paru chez Delcourt).
Planètes
Un très bon manga, assez différent de ce que proposent les éditeurs habituellement. Ici, tout est dans l'ambiance, la poésie qui entoure les personnages... Le dessin est très fin, les personnages très sympathiques, et malgré un aspect très contemplatif l'histoire évolue quand même pas mal, et cela sur seulement 2 tomes. Un défaut : les délais de parution. Un tome par an, ça fait quand même assez peu. Mais bon, on est loin d'avoir un suspens insoutenable à la fin du volume. :)