J'ai hésité à poster cette série, vu que j'ai lu les histoires 3,4 et 5, et que seules les trois premières sont sorties en albums, plus édités qui plus est.
Mais bon, le dessinateur n'est pas n'importe qui, et puis j'avais vraiment aimé quand je lisais ça dans Okapi.
Christinne est une héroïne sympathique, toujours prête à secourir ceux qui ont besoin d'elle, tout en restant assez humaine, crevée et effrayée quand ça tourne mal. Bref, elle est presque parvenue à me donner la vocation pour être médecin.
Dans les deux dernières histoires (celles qui n'ont pas été publiées donc), il y a une dimension romantique que je trouve trop naïve aujourd'hui mais qui m'avait bien plu quand j'étais ado.
Le dessin de Gibrat, s'il rappelle inévitablement le Sursis, n'est que l'ébauche de ce qu'il deviendra. Les proportions des personnages en particulier sont parfois un peu étranges.
C'est une série sympa, un peu naïve et pédagogique mais qui se lit sans problème, et dont le dessin amusera les fans de Gibrat. Plutôt pour pré-ados quand même.
Une série attachante, qui nous permet de suivre l'apprentissage de la vie d'un jeune homme pas épargné par les aléas de celle-ci. Attention, il ne se passe pas grand-chose dans Névé. Il y a de longs silences, des moments contemplatifs. Le scénariste démontre une vraie tendresse pour son personnage.
Le (seul) gros défaut vient en fait des couleurs, que je trouve ternes, alors qu'une telle série, identifiée par des associations de couleurs, aurait eu besoin de teintes plus vives, plus pétantes.
Pour une fois que Weyland sort de sa série-phare Aria, il fait… du sous-Aria ! Ou plutôt du Aria sans le dire. Car l’univers, les décors, voire les personnages, tout est pareil. L’héroïne, même si elle est –légèrement- plus pantouflarde qu’Aria, possède des traits de caractère très proches : de la détermination, une certaine forme de romantisme… Physiquement, elle en est d’ailleurs assez proche : blonde, pulpeuse, visage enfantin…
Je ne taxerai pas Weyland –dont j’aime beaucoup l’œuvre- d’hypocrisie, de nous vendre sous un autre nom une aventure sans doute banale de son héroïne fétiche ; je parlerai plutôt d’une incapacité de l’auteur à sortir de l’univers qu’il a créé et décliné à l’infini.
Pour le reste, cela reste divertissant et plaisant à lire.
Voilà une série qui s’annonçait sous de bons auspices ! Deux scénaristes talentueux, un dessinateur plus qu’honnête… A l’arrivée Labyrinthes ressemble à un assemblage hétéroclite sans vraiment de qualité. Certes, la variété des labyrinthes explorés est intéressante, mais mal exploitée à mon sens. Le personnage du Professeur Ariane évolue hors des sentiers battus (notamment au tome 3), mais on a du mal à s’y intéresser.
Reste une série courte (c’est mieux quand la qualité est moyenne, comme c’est le cas ici…) ; plutôt pas mal dessinée, mais qui ne laisse pas un souvenir impérissable.
Une curiosité cette BD. Fusion de l’une des passions de Forest, les péniches, et d’une envie d’écrire une histoire sans véritable fin, elle nous emmène sur les pas de Jules, enfant à la fois candide et intelligent, dans une aventure avec un grand A, dans un style à la fois vernien et Club des Cinq. même si ce n’est pas trépidant, ça se suit sans déplaisir, tellement le plaisir –justement- de Forest transparaît de chaque case.
Marrante cette histoire du géant vert se passant dans un futur alternatif. Les auteurs ne s’embarrassent pas trop de réflexions sur les paradoxes temporels et c’est tant mieux, car on a hâte de voir Hulk en action (non, on ne le verra pas faire caca, même s’il est très en colère). Ceci dit, même si l’histoire est assez fun, l’intrigue ne brille pas par son originalité ; on voit venir les rebondissements d’assez loin. Le dessin de Perez est assez bon, très bon même par moments. Cela procure un assez bon moment de lecture, qui ravira probablement les fans du personnage.
Pour commencer, voilà un bel album au format original (et inrangeable dans une bibliothèque commune ;) ) et à la couverture que je trouve bien jolie.
Ayant lu Dallas Cowboy et Presque, je m'attendais au même graphisme et à la même structure de récit intimiste. J'ai donc été surpris (pas désagréablement) par cette narration sous forme de strip, avec une chute à chacun, chute moitié comique moitié noire.
J'aime le dessin simple et "rigolo" à la fois, tout en étant esthétique et si typique de ce dessin que je connais de Larcenet. C'est un dessin qui est beaucoup moins sombre que dans les autres albums de Larcenet chez les Rêveurs et par goût il est plus à même de me plaire.
Et effectivement, j'ai bien accroché aux premiers strips que je trouvais marrants et intéressants à la fois. Mais hélas, je me suis très vite lassé. Je ne suis pas un pessimiste du tout par nature, et les rares fois où je l'ai été et où j'ai produit quelque chose dans cet état (un poème en l'occurrence), une fois la déprime passée, je l'ai trouvé ridicule et s'enfonçant artificiellement dans une déprime auto-produite. Et c'est hélas un peu l'impression que j'ai eue dans la grosse première moitié de ces strips car je trouvais les strips assez répétitifs dans le thème "la vie est une chienne mais au final, dites-vous que ça ne peut qu'empirer". Ces strips là ne me faisaient plus rire, je n'arrivais plus à accrocher et j'ai même dû relire quelques cases quelques fois tant mon attention décrochait.
Mais l'intérêt est revenu avec un rire quand Larcenet parle de son "armure de séduction" passée la moitié de l'album. Le rire venait non pas du texte, toujours sérieux, noir mais sincère, mais du décalage avec la représentation graphique qu'il a choisi d'en faire dans le strip associé.
C'est cette association de dessins "rigolos" avec un sujet franchement noir qui a fini par me convaincre à apprécier cette BD, du moins en partie.
Et en effet, j'ai trouvé quelques strips vraiment forts et touchants, presque tous sur la fin, notamment ceux où il parle de ses parents, des fantômes de l'existence, etc... Et j'ai également bien apprécié le final et son "On fera avec...".
En résumé, un sentiment en demi-teinte pour moi pour cet album puisque je n'ai pas vraiment aimé sa première moitié mais que j'ai été touché par une bonne dizaine de strips, voire un peu plus.
Voici une énième série de fantasy estampillée Arlseton (ni franchement bonne, ni fondamentalement mauvaise) qui présente un nouvel univers : celui du monde d’Amphel, ne devant son existence matérielle qu’aux élixirs des mages. Nouvel univers ? pas vraiment puisque Scotch reprend bon nombre d’éléments déjà vus dans Lanfeust ou encore les forêts d’Opale pour ne citer qu’eux.
C’est clairement une bd destinée à divertir, mais y parvient-elle ? oui et non.
Cet album bénéficie du talent narratif de Scotch et de sa faculté à créer des univers cohérents (quoique, c’est souvent les mêmes ficelles qu’il utilise). En revanche, cette série hérite aussi de son humour parfois poussif et répétitif (ça, c’est moins heureux). De même, le côté libidineux du personnage principal, un peu à la Nicky Larson, est franchement dispensable.
Bref, une bd de fantasy qui peut divertir pour autant qu’on ne soit pas trop exigeant . . .
C'est un petit trois à mon sens.
Les dessins sont pas super jolis mais collent pas mal avec le côté décalé et naïf de la BD. Mais je trouve qu'il reste un côté brouillon sur de dessin qui ne pousse pas à la lecture.
L'humour m'a pas fait poussé des grands glapissements d'hilarité, mais seulement des sourires. Des gagas sont assez marrants mais on a un côté répétitif surtout sur le plan culinaire et animalier, malgré mon respect pour les corbeaux et les cochons. J'ai bien aimé par contre l'espèce d'épopée à travers les modes religieux que peut faire Alban et les petites touches de critiques ironiques sur les pratiques religieuses.
C'est donc à parcourir quand on a du temps et l'envie de se prendre la tête. Je trouve que ça rentre pas pas mal dans la catégorie "empruntable à la médiathèque"
Tout d’abord voir un Superman vieux ça m’a choqué, tout comme Batman avec un exosquelette histoire de pas tomber par terre au premier coup de vent…
Une fois remis de mes émotions j’ai vraiment apprécié le dessin et le scénario. On retrouve tous les ingrédients indispensables à un bon comics, des méchants des gentils, des gentils et fourbes, des méchants super méchant, etc. J’ai tout particulièrement aimé le personnage du révèrent témoin privilégié du combat de Superman pour sauver le monde et les supers héros et celui de Batman plus retord que jamais.
En conclusion pas mal du tout, et heureusement que les USA sont là sinon nous pov’ terriens on serait dans une m..de noire….
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Médecins sans Frontières
J'ai hésité à poster cette série, vu que j'ai lu les histoires 3,4 et 5, et que seules les trois premières sont sorties en albums, plus édités qui plus est. Mais bon, le dessinateur n'est pas n'importe qui, et puis j'avais vraiment aimé quand je lisais ça dans Okapi. Christinne est une héroïne sympathique, toujours prête à secourir ceux qui ont besoin d'elle, tout en restant assez humaine, crevée et effrayée quand ça tourne mal. Bref, elle est presque parvenue à me donner la vocation pour être médecin. Dans les deux dernières histoires (celles qui n'ont pas été publiées donc), il y a une dimension romantique que je trouve trop naïve aujourd'hui mais qui m'avait bien plu quand j'étais ado. Le dessin de Gibrat, s'il rappelle inévitablement le Sursis, n'est que l'ébauche de ce qu'il deviendra. Les proportions des personnages en particulier sont parfois un peu étranges. C'est une série sympa, un peu naïve et pédagogique mais qui se lit sans problème, et dont le dessin amusera les fans de Gibrat. Plutôt pour pré-ados quand même.
Névé
Une série attachante, qui nous permet de suivre l'apprentissage de la vie d'un jeune homme pas épargné par les aléas de celle-ci. Attention, il ne se passe pas grand-chose dans Névé. Il y a de longs silences, des moments contemplatifs. Le scénariste démontre une vraie tendresse pour son personnage. Le (seul) gros défaut vient en fait des couleurs, que je trouve ternes, alors qu'une telle série, identifiée par des associations de couleurs, aurait eu besoin de teintes plus vives, plus pétantes.
Yvanaëlle - La Dame de Mordorez
Pour une fois que Weyland sort de sa série-phare Aria, il fait… du sous-Aria ! Ou plutôt du Aria sans le dire. Car l’univers, les décors, voire les personnages, tout est pareil. L’héroïne, même si elle est –légèrement- plus pantouflarde qu’Aria, possède des traits de caractère très proches : de la détermination, une certaine forme de romantisme… Physiquement, elle en est d’ailleurs assez proche : blonde, pulpeuse, visage enfantin… Je ne taxerai pas Weyland –dont j’aime beaucoup l’œuvre- d’hypocrisie, de nous vendre sous un autre nom une aventure sans doute banale de son héroïne fétiche ; je parlerai plutôt d’une incapacité de l’auteur à sortir de l’univers qu’il a créé et décliné à l’infini. Pour le reste, cela reste divertissant et plaisant à lire.
Labyrinthes
Voilà une série qui s’annonçait sous de bons auspices ! Deux scénaristes talentueux, un dessinateur plus qu’honnête… A l’arrivée Labyrinthes ressemble à un assemblage hétéroclite sans vraiment de qualité. Certes, la variété des labyrinthes explorés est intéressante, mais mal exploitée à mon sens. Le personnage du Professeur Ariane évolue hors des sentiers battus (notamment au tome 3), mais on a du mal à s’y intéresser. Reste une série courte (c’est mieux quand la qualité est moyenne, comme c’est le cas ici…) ; plutôt pas mal dessinée, mais qui ne laisse pas un souvenir impérissable.
Enfants c'est l'Hydragon qui passe
Une curiosité cette BD. Fusion de l’une des passions de Forest, les péniches, et d’une envie d’écrire une histoire sans véritable fin, elle nous emmène sur les pas de Jules, enfant à la fois candide et intelligent, dans une aventure avec un grand A, dans un style à la fois vernien et Club des Cinq. même si ce n’est pas trépidant, ça se suit sans déplaisir, tellement le plaisir –justement- de Forest transparaît de chaque case.
Hulk - Futur imparfait
Marrante cette histoire du géant vert se passant dans un futur alternatif. Les auteurs ne s’embarrassent pas trop de réflexions sur les paradoxes temporels et c’est tant mieux, car on a hâte de voir Hulk en action (non, on ne le verra pas faire caca, même s’il est très en colère). Ceci dit, même si l’histoire est assez fun, l’intrigue ne brille pas par son originalité ; on voit venir les rebondissements d’assez loin. Le dessin de Perez est assez bon, très bon même par moments. Cela procure un assez bon moment de lecture, qui ravira probablement les fans du personnage.
On fera avec
Pour commencer, voilà un bel album au format original (et inrangeable dans une bibliothèque commune ;) ) et à la couverture que je trouve bien jolie. Ayant lu Dallas Cowboy et Presque, je m'attendais au même graphisme et à la même structure de récit intimiste. J'ai donc été surpris (pas désagréablement) par cette narration sous forme de strip, avec une chute à chacun, chute moitié comique moitié noire. J'aime le dessin simple et "rigolo" à la fois, tout en étant esthétique et si typique de ce dessin que je connais de Larcenet. C'est un dessin qui est beaucoup moins sombre que dans les autres albums de Larcenet chez les Rêveurs et par goût il est plus à même de me plaire. Et effectivement, j'ai bien accroché aux premiers strips que je trouvais marrants et intéressants à la fois. Mais hélas, je me suis très vite lassé. Je ne suis pas un pessimiste du tout par nature, et les rares fois où je l'ai été et où j'ai produit quelque chose dans cet état (un poème en l'occurrence), une fois la déprime passée, je l'ai trouvé ridicule et s'enfonçant artificiellement dans une déprime auto-produite. Et c'est hélas un peu l'impression que j'ai eue dans la grosse première moitié de ces strips car je trouvais les strips assez répétitifs dans le thème "la vie est une chienne mais au final, dites-vous que ça ne peut qu'empirer". Ces strips là ne me faisaient plus rire, je n'arrivais plus à accrocher et j'ai même dû relire quelques cases quelques fois tant mon attention décrochait. Mais l'intérêt est revenu avec un rire quand Larcenet parle de son "armure de séduction" passée la moitié de l'album. Le rire venait non pas du texte, toujours sérieux, noir mais sincère, mais du décalage avec la représentation graphique qu'il a choisi d'en faire dans le strip associé. C'est cette association de dessins "rigolos" avec un sujet franchement noir qui a fini par me convaincre à apprécier cette BD, du moins en partie. Et en effet, j'ai trouvé quelques strips vraiment forts et touchants, presque tous sur la fin, notamment ceux où il parle de ses parents, des fantômes de l'existence, etc... Et j'ai également bien apprécié le final et son "On fera avec...". En résumé, un sentiment en demi-teinte pour moi pour cet album puisque je n'ai pas vraiment aimé sa première moitié mais que j'ai été touché par une bonne dizaine de strips, voire un peu plus.
Elixirs
Voici une énième série de fantasy estampillée Arlseton (ni franchement bonne, ni fondamentalement mauvaise) qui présente un nouvel univers : celui du monde d’Amphel, ne devant son existence matérielle qu’aux élixirs des mages. Nouvel univers ? pas vraiment puisque Scotch reprend bon nombre d’éléments déjà vus dans Lanfeust ou encore les forêts d’Opale pour ne citer qu’eux. C’est clairement une bd destinée à divertir, mais y parvient-elle ? oui et non. Cet album bénéficie du talent narratif de Scotch et de sa faculté à créer des univers cohérents (quoique, c’est souvent les mêmes ficelles qu’il utilise). En revanche, cette série hérite aussi de son humour parfois poussif et répétitif (ça, c’est moins heureux). De même, le côté libidineux du personnage principal, un peu à la Nicky Larson, est franchement dispensable. Bref, une bd de fantasy qui peut divertir pour autant qu’on ne soit pas trop exigeant . . .
Alban
C'est un petit trois à mon sens. Les dessins sont pas super jolis mais collent pas mal avec le côté décalé et naïf de la BD. Mais je trouve qu'il reste un côté brouillon sur de dessin qui ne pousse pas à la lecture. L'humour m'a pas fait poussé des grands glapissements d'hilarité, mais seulement des sourires. Des gagas sont assez marrants mais on a un côté répétitif surtout sur le plan culinaire et animalier, malgré mon respect pour les corbeaux et les cochons. J'ai bien aimé par contre l'espèce d'épopée à travers les modes religieux que peut faire Alban et les petites touches de critiques ironiques sur les pratiques religieuses. C'est donc à parcourir quand on a du temps et l'envie de se prendre la tête. Je trouve que ça rentre pas pas mal dans la catégorie "empruntable à la médiathèque"
Kingdom Come
Tout d’abord voir un Superman vieux ça m’a choqué, tout comme Batman avec un exosquelette histoire de pas tomber par terre au premier coup de vent… Une fois remis de mes émotions j’ai vraiment apprécié le dessin et le scénario. On retrouve tous les ingrédients indispensables à un bon comics, des méchants des gentils, des gentils et fourbes, des méchants super méchant, etc. J’ai tout particulièrement aimé le personnage du révèrent témoin privilégié du combat de Superman pour sauver le monde et les supers héros et celui de Batman plus retord que jamais. En conclusion pas mal du tout, et heureusement que les USA sont là sinon nous pov’ terriens on serait dans une m..de noire….