Voici un patte de mouche qui colle bien à l'idée qu'on peut se faire de la collection! Le dessin de Sardon est très particulier, notamment au niveau des perspectives où les décors semblent figés dans un plan unique avec les personnages. Cet album présente bien des similitudes dans sa conception avec "la crevure", outre le fait que le dessin soit identique. En effet, il ne se passe pas grand chose durant tout l'album. Il faut attendre le final pour que l'histoire prenne toute sa dimension. Bref, une bonne "chute" est primordiale dans ce genre d'essai, ce dont nous gratifie "la valise envolée". :)
Le type même de série de qualité qui n'a pas eu le succès qu'elle mérite. Le trait d'Eric Maltaite est très plaisant et met en valeur le personnage, un agent secret très british dans sa manière d'être. Cela donne un résultat fort agréable avec des sénarii de qualité pour de bons albums qu'il faut découvrir...
C'est une belle série d'aventures qui nous fait faire le tour du monde au fil des albums. Grande évasion à l'époque ou Internet et l'information n'était pas si facile d'accès ou si facilement consultable. Toutefois, je préfère Eddy Paape dans le rôle d'auteur de science fiction et donc dans la série Luc Orient. Marc Dacier reste une référence parmi les héros reporter de la Bande Dessinée.
Ce n’est pas vraiment une bd mais cela reste intéressant à lire. J’apprécie beaucoup la maîtrise du N&B par M-A Mathieu qui flatte l’oeil pour le plus grand plaisir du lecteur ! Le manque d’originalité du récit est compensé par une narration soignée qui s’attarde sur des gens évoluant dans un quartier aux ruelles étranges. C’est joliment traité mais pourtant force est de reconnaître que l’histoire est un peu juste, même pour un patte de mouche !
A réserver aux inconditionnels de M-A Mathieu . . .
Le western cinématographique en BD. Les scénarios du western hollywoodien gentils/méchants (sans surprises), et l'esthétique du western spaghetti, avec un héro qui ressemble à s'y méprendre à l'homme sans nom de Sergio Leone. De nombreux clins d'oeil, et un dessin réaliste de grande qualité. Quelques amorces de tentatives de creuser la psychologie du héros (à première vue un peu stéréotypé), mais sans suites, dommage.
Agréable, mais ne laissera pas de souvenir impérissable.
Soleil Manga. A priori, pour le lecteur moyen, cette appellation peut faire sourire. C'est avec une certaine méfiance que j'ai ouvert cette histoire, présentée comme le nouveau phénomène de terreur dans le pays du Soleil Levant. Un film serait même en cours d'adaptation. Finalement, c'est une assez bonne surprise. Il est trop tôt pour dire si c'est vraiment intéressant (seuls 24 tomes -série en cours- sont sortis au Japon), mais ça vaut le coup d'être lu, d'autant plus que Soleil a soigné la maquette du manga.
L'histoire nous fait suivre le chemin d'Aki, un lycéen qui s'éveille à la sexualité, aux prises avec d'étranges créatures liées à la disparition de son frère. Aki est un conteur incroyable, un garçon très inventif qui a des visions très souvent. L'une d'elles, récurrente, nous montre Yuki, son amie d'enfance, en tentatrice nue. Aki a du mal à se contrôler, d'autant plus que Yuki sort avec Ken, son meilleur ami. L'idée de faire d'Aki un espèce de medium se révèle intéressante sur la longueur, mais on ne comprend pas trop l'intérêt de nous montrer ses fantasmes avec son "amie", si ce n'est pour expliquer qu'il est amoureux d'elle. Un peu superflu.
Matsumoto nous dépeint des vampires myopes, que l'on peut duper facilement avec un certain stratagème, plutôt pas mal vu par rapport à d'autres. L'écriture est un peu chaotique dans le tome 1, pour se fluidifier par la suite, en adéquation avec le dessin, qui gagne nettement en rigueur. Restent cependant des effets un peu faciles, comme les yeux de certains personnages, tels Aki, gommant presque complètement le sérieux de la situation. Quelques interludes grotesques (à la City Hunter) anéantissent -par moments- la tension dramatique que peuvent avoir certains passages. C'est dommage, car l'histoire est plutôt intéressante. Espérons que la suite gagnera en rigueur graphique et scénaristique.
Je ne parle ici que du premier cycle.
J’ai trouvé le concept de l’histoire plutôt intéressant : La rencontre de deux époques : 21°siècle et Moyen-Âge. Cette idée est à mon avis pas assez développée (manque d’interaction entre les civilisations) mais c'est original, car l'auteur n'a pas recourt à des voyages dans le temps. Le 4ieme volume de ce cycle à un brin de « folie », qui dévalorise l’ensemble de l’histoire. Mais bon le tout, n'est pas si mal. A lire une ou deux fois.
2ème série du duo Weber-Puech, après Exit, Les Enfants d'Eve est une histoire de science fiction post-apocalyptique.
C'est assez impressionnant la différence de dessin entre le troisième album d'Exit et cet album-ci. C'est carrément mieux, plus maîtrisé, avec de très jolies couleurs, non vraiment ça n'a rien à voir et on peut regretter que le nom de Puech n'apparaisse qu'en tout petit par rapport à celui de Weber sur la couverture de l'album.
Après c'est un peu tôt pour juger cet histoire, en fait il ne se passe pas grand-chose dans ce premier tome, ça commence à devenir réellement intéressant vers la fin, avec les quelques révélations qu'on a ; tout le long on suit l'héroïne dans sa vie professionnelle et privée, découvrant une société nouvelle, exclusivement féminine et régit par un état fort et une police religieuse sévère sur les découvertes concernant la vie d'avant "l'apocalypse".
Ca a des côtes fantasy parfois, dans les vêtements et les couleurs et puis surtout dans le fait que cette civilisation n'utilise par de métal et donc pas d'armes à feu. C'est presque un mélange de deux genres.
Une bonne idée de Weber donc, bien illustrée, je suis curieux de voir ce que ça donnera par la suite.
Il est certain qu'une femme comme la mienne ou comme Altaïr ci-dessous a toutes les chances de bondir et de détester cette série car l'héroïne, Aoi, y est l'exemple typique et presque caricatural de la femme soumise, docile, implorante, bonne cuisinière, bonne femme au foyer, etc... la femme idéale Japonaise archaïque et typique, quoi. Elle est parfois tellement soumise que cela prête à rire, et d'ailleurs j'en suis à me demander si ce n'est pas voulu...
Mais revenons-en au manga lui-même.
Le dessin est tout à fait correct et sympa, j'aime bien même s'il n'y a rien de spécial à en dire.
Et l'histoire commence de manière toute simple avec une jolie fille, Aoi, qui débarque de sa campagne pour annoncer à un gentil garçon, Kaoru, qu'elle l'aime depuis son enfance, qu'elle veut l'épouser et qu'elle fera tout pour lui plaire : le fantasme total pour un jeune puceau comme Kaoru, donc, et pour nombre de lecteurs mâles, je parie aussi d'ailleurs. ;)
Ca a l'air caricatural comme scénario, ça a même l'air un peu con et c'est cela que j'ai ressenti en début de lecture.
Mais finalement, happé par une lecture facile et agréable, je suis assez vite entré dans l'histoire. Le fait que Kaoru soit un gentil garçon compense la docilité maladive d'Aoi : après tout, s'il est gentil avec elle, cela peut compenser un peu le fait qu'elle soit HYPER-gentille avec lui. Et ensuite, l'histoire se complexifie juste ce qu'il faut au niveau des historiques de nos deux héros et de leur entourage, au niveau de la relation entre eux, de ce qui leur arrive, etc... Bref, la naïveté est toujours présente mais quelques thématiques intéressantes s'y ajoutent pour un peu plus de profondeur.
Et surtout il y a une part d'humour et un scénario que j'ai trouvé bien agréable à suivre et à lire.
Une part d'humour, une dose de romantisme, un zeste d'érotisme, voilà qui donne une lecture plaisante même si lire une histoire avec une jolie fille aussi docile, c'est presque une lecture honteuse qu'il faut que je cache à ma femme ! ;)
Voici le deuxième album de Jousselin que je lis.
Comme le souligne ThePatrick, cet album est composé de deux récits centrés sur l’imaginaire. La première histoire, où le rêve se mélange intimement à une part d’aliénation, m’a beaucoup plue. Quand à la deuxième, elle est trop convenue que pour me toucher vraiment. L’ensemble reste toutefois fort agréable pour celui que l’onirisme n’indiffère pas !
A découvrir, effectivement . . . :)
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La Valise envolée
Voici un patte de mouche qui colle bien à l'idée qu'on peut se faire de la collection! Le dessin de Sardon est très particulier, notamment au niveau des perspectives où les décors semblent figés dans un plan unique avec les personnages. Cet album présente bien des similitudes dans sa conception avec "la crevure", outre le fait que le dessin soit identique. En effet, il ne se passe pas grand chose durant tout l'album. Il faut attendre le final pour que l'histoire prenne toute sa dimension. Bref, une bonne "chute" est primordiale dans ce genre d'essai, ce dont nous gratifie "la valise envolée". :)
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Le type même de série de qualité qui n'a pas eu le succès qu'elle mérite. Le trait d'Eric Maltaite est très plaisant et met en valeur le personnage, un agent secret très british dans sa manière d'être. Cela donne un résultat fort agréable avec des sénarii de qualité pour de bons albums qu'il faut découvrir...
Marc Dacier
C'est une belle série d'aventures qui nous fait faire le tour du monde au fil des albums. Grande évasion à l'époque ou Internet et l'information n'était pas si facile d'accès ou si facilement consultable. Toutefois, je préfère Eddy Paape dans le rôle d'auteur de science fiction et donc dans la série Luc Orient. Marc Dacier reste une référence parmi les héros reporter de la Bande Dessinée.
Le coeur des ombres
Ce n’est pas vraiment une bd mais cela reste intéressant à lire. J’apprécie beaucoup la maîtrise du N&B par M-A Mathieu qui flatte l’oeil pour le plus grand plaisir du lecteur ! Le manque d’originalité du récit est compensé par une narration soignée qui s’attarde sur des gens évoluant dans un quartier aux ruelles étranges. C’est joliment traité mais pourtant force est de reconnaître que l’histoire est un peu juste, même pour un patte de mouche ! A réserver aux inconditionnels de M-A Mathieu . . .
Durango
Le western cinématographique en BD. Les scénarios du western hollywoodien gentils/méchants (sans surprises), et l'esthétique du western spaghetti, avec un héro qui ressemble à s'y méprendre à l'homme sans nom de Sergio Leone. De nombreux clins d'oeil, et un dessin réaliste de grande qualité. Quelques amorces de tentatives de creuser la psychologie du héros (à première vue un peu stéréotypé), mais sans suites, dommage. Agréable, mais ne laissera pas de souvenir impérissable.
Higanjima - L'Île des vampires
Soleil Manga. A priori, pour le lecteur moyen, cette appellation peut faire sourire. C'est avec une certaine méfiance que j'ai ouvert cette histoire, présentée comme le nouveau phénomène de terreur dans le pays du Soleil Levant. Un film serait même en cours d'adaptation. Finalement, c'est une assez bonne surprise. Il est trop tôt pour dire si c'est vraiment intéressant (seuls 24 tomes -série en cours- sont sortis au Japon), mais ça vaut le coup d'être lu, d'autant plus que Soleil a soigné la maquette du manga. L'histoire nous fait suivre le chemin d'Aki, un lycéen qui s'éveille à la sexualité, aux prises avec d'étranges créatures liées à la disparition de son frère. Aki est un conteur incroyable, un garçon très inventif qui a des visions très souvent. L'une d'elles, récurrente, nous montre Yuki, son amie d'enfance, en tentatrice nue. Aki a du mal à se contrôler, d'autant plus que Yuki sort avec Ken, son meilleur ami. L'idée de faire d'Aki un espèce de medium se révèle intéressante sur la longueur, mais on ne comprend pas trop l'intérêt de nous montrer ses fantasmes avec son "amie", si ce n'est pour expliquer qu'il est amoureux d'elle. Un peu superflu. Matsumoto nous dépeint des vampires myopes, que l'on peut duper facilement avec un certain stratagème, plutôt pas mal vu par rapport à d'autres. L'écriture est un peu chaotique dans le tome 1, pour se fluidifier par la suite, en adéquation avec le dessin, qui gagne nettement en rigueur. Restent cependant des effets un peu faciles, comme les yeux de certains personnages, tels Aki, gommant presque complètement le sérieux de la situation. Quelques interludes grotesques (à la City Hunter) anéantissent -par moments- la tension dramatique que peuvent avoir certains passages. C'est dommage, car l'histoire est plutôt intéressante. Espérons que la suite gagnera en rigueur graphique et scénaristique.
Balade au bout du monde
Je ne parle ici que du premier cycle. J’ai trouvé le concept de l’histoire plutôt intéressant : La rencontre de deux époques : 21°siècle et Moyen-Âge. Cette idée est à mon avis pas assez développée (manque d’interaction entre les civilisations) mais c'est original, car l'auteur n'a pas recourt à des voyages dans le temps. Le 4ieme volume de ce cycle à un brin de « folie », qui dévalorise l’ensemble de l’histoire. Mais bon le tout, n'est pas si mal. A lire une ou deux fois.
Les Enfants d'Eve
2ème série du duo Weber-Puech, après Exit, Les Enfants d'Eve est une histoire de science fiction post-apocalyptique. C'est assez impressionnant la différence de dessin entre le troisième album d'Exit et cet album-ci. C'est carrément mieux, plus maîtrisé, avec de très jolies couleurs, non vraiment ça n'a rien à voir et on peut regretter que le nom de Puech n'apparaisse qu'en tout petit par rapport à celui de Weber sur la couverture de l'album. Après c'est un peu tôt pour juger cet histoire, en fait il ne se passe pas grand-chose dans ce premier tome, ça commence à devenir réellement intéressant vers la fin, avec les quelques révélations qu'on a ; tout le long on suit l'héroïne dans sa vie professionnelle et privée, découvrant une société nouvelle, exclusivement féminine et régit par un état fort et une police religieuse sévère sur les découvertes concernant la vie d'avant "l'apocalypse". Ca a des côtes fantasy parfois, dans les vêtements et les couleurs et puis surtout dans le fait que cette civilisation n'utilise par de métal et donc pas d'armes à feu. C'est presque un mélange de deux genres. Une bonne idée de Weber donc, bien illustrée, je suis curieux de voir ce que ça donnera par la suite.
Bleu indigo - Ai yori aoshi
Il est certain qu'une femme comme la mienne ou comme Altaïr ci-dessous a toutes les chances de bondir et de détester cette série car l'héroïne, Aoi, y est l'exemple typique et presque caricatural de la femme soumise, docile, implorante, bonne cuisinière, bonne femme au foyer, etc... la femme idéale Japonaise archaïque et typique, quoi. Elle est parfois tellement soumise que cela prête à rire, et d'ailleurs j'en suis à me demander si ce n'est pas voulu... Mais revenons-en au manga lui-même. Le dessin est tout à fait correct et sympa, j'aime bien même s'il n'y a rien de spécial à en dire. Et l'histoire commence de manière toute simple avec une jolie fille, Aoi, qui débarque de sa campagne pour annoncer à un gentil garçon, Kaoru, qu'elle l'aime depuis son enfance, qu'elle veut l'épouser et qu'elle fera tout pour lui plaire : le fantasme total pour un jeune puceau comme Kaoru, donc, et pour nombre de lecteurs mâles, je parie aussi d'ailleurs. ;) Ca a l'air caricatural comme scénario, ça a même l'air un peu con et c'est cela que j'ai ressenti en début de lecture. Mais finalement, happé par une lecture facile et agréable, je suis assez vite entré dans l'histoire. Le fait que Kaoru soit un gentil garçon compense la docilité maladive d'Aoi : après tout, s'il est gentil avec elle, cela peut compenser un peu le fait qu'elle soit HYPER-gentille avec lui. Et ensuite, l'histoire se complexifie juste ce qu'il faut au niveau des historiques de nos deux héros et de leur entourage, au niveau de la relation entre eux, de ce qui leur arrive, etc... Bref, la naïveté est toujours présente mais quelques thématiques intéressantes s'y ajoutent pour un peu plus de profondeur. Et surtout il y a une part d'humour et un scénario que j'ai trouvé bien agréable à suivre et à lire. Une part d'humour, une dose de romantisme, un zeste d'érotisme, voilà qui donne une lecture plaisante même si lire une histoire avec une jolie fille aussi docile, c'est presque une lecture honteuse qu'il faut que je cache à ma femme ! ;)
Insomnies
Voici le deuxième album de Jousselin que je lis. Comme le souligne ThePatrick, cet album est composé de deux récits centrés sur l’imaginaire. La première histoire, où le rêve se mélange intimement à une part d’aliénation, m’a beaucoup plue. Quand à la deuxième, elle est trop convenue que pour me toucher vraiment. L’ensemble reste toutefois fort agréable pour celui que l’onirisme n’indiffère pas ! A découvrir, effectivement . . . :)