Cet album commence très joliment, à la façon d’un petit conte tout à fait charmant. Le ton y est naïf est plaisant, et on se demande ce qui va bien pouvoir arriver. En plus la couverture est très belle, épaisse, et la troisième de couverture fait un peu penser à « Jimmy Corrigan ».
La première transition, c’est la page du catalogue, assez plaisante, et le ton change résolument avec l’apparition du diablotin (un peu l’équivalent du grand chancelier de « La Nef des Fous »), donnant à l’ensemble l’aspect d’une aventure au déroulement assez lâche.
Je suis en fait assez déçu par les nombreux (et longs !) passages qui ne font rien avancer, et par la fin, très abrupte.
Il y avait matière à faire quelque chose de frais, ou une jolie petite aventure, ou encore un livre d’humour léger, mais au final, si le début me plaît beaucoup, je me retrouve avec l’impression d’avoir lu quelque chose de beaucoup trop long en regard du contenu, de pas amusant, et légèrement ennuyant.
Bref, moi qui n’ai pas aimé « La Nef des Fous », je n’ai pas aimé non plus beaucoup aimé « Gribouillis ». Reste à espérer que vous qui avez aimé la nef aimerez cet album.
Un ch'tit peu décevant, tout de même.... L'histoire commence pourtant bien, le thème choisi est vraiment original: un ch'tit gribouillage dans le grand catalogue des Merveilleuses Usines Mécaniques Modernes qui s'éveille et qui se promène dans ses pages. C'est gentil, c'est mignon tout plein. Mais bon, les 120 pages de l'album comportent de solides longueurs, on a parfois l'impression que l'histoire tourne en rond: le cadre qu'a choisi l'auteur est forcément restrictif, et ça se sent. Et puis, cette fin, abrupte et recourant à une figure de style trop souvent rencontrée, m'a un peu laissé sur ma faim. Bref, si malgré tout, j'ai lu cet album avec un certain plaisir, je ne peux m'empêcher de rester sur un ptit "bof".
En lisant ces deux albums, mais déjà après avoir refermé le premier, j'ai eu une impression de vide, de creux... En fait le mot parfait pour décrire mon sentiment sur ces albums est vain.
L'histoire ne m'a en effet à aucun moment séduit, elle me semble artificielle et totalement inutile, n'apportant rien au lecteur. Pourtant ce conte aurait pu être charmant, mais sans pouvoir plus l'expliquer, il ne fonctionne pas.
Et ce n'est en aucun cas le superbe dessin de Boiscommun qui rattrape quoi que ce soit. Au contraire, certaines planches (panoramique sur les toits par exemple) sont certes très belles, mais rigoureusement inutiles ; elles donnent tout juste l'impression d'essayer de combler un manque cruel, mais sans y parvenir.
"Le livre de Sam" est quelque peu différent, puisque là où le précédent était plutôt du fantastique au sens classique du terme, on voit ici l'envers du décor. Le récit est quelque peu ennuyeux, somme toute très peu original, et souffre comme le précédent de longueurs superflues.
Le dessin est différent, à mon avis nettement moins beau, tout spécialement au niveau des visages, qui sont parfois carrément laids.
Bref, deux albums très ennuyeux et complètement inutiles.
Voilà un album qui ne plaira pas à tout le monde. A cause du dessin tout d'abord, proche de la caricature, avec ces personnages aux têtes énormes, aux membres trop maigres et aux expressions faciales violentes. Le trait en noir et blanc est étrange : il est fin mais décrit le plus souvent des situations grossières et ne fait pas dans la demi mesure.
J'en viens donc tout naturellement à la deuxième raison qui pourrait ne pas faire aimer cette BD : l'ambiance. Glauque, malsaine, elle remue les tripes et donne vraiment la nausée dès lors qu'on entre dans l'histoire. Les personnages sont très forts, peut être trop mais malgré tout l'alchimie fonctionne, la mayonnaise prend, appelez ça comme vous voulez en tous les cas on se laisse happer par cet album.
Pourtant, passé le deuxième tiers, le scénario part vraiment en vrac, et la dimension fantastico-SF que Corona donne à son récit met en péril tout le travail qu'il a mené jusqu'alors. Ce "thriller campagnard psychologique" prend alors des dimensions grandiloquentes qui m'ont personnellement très peu convaincu, pour ne pas dire carrément fait décrocher. A trop vouloir en faire, Marco Corona perd de sa crédibilité. La morale finale reste ambiguë et il est décevant de constater que l'auteur ne prend pas plus de responsabilités en mettant plus en avant son opinion sur les questions qu'il soulève tout au long de la BD. Je serais donc tenté de mettre en garde ceux qui se lanceront dans la lecture de ce Bestiaire en pensant y trouver une histoire, une morale : il ne s'agit comme son nom l'indique que d'un catalogue de personnalités plus ou moins déviantes. Tout ce qui est autour n'est jamais que littérature de comptoir.
Je pense qu'il s'agit là de la série la plus faible du label "Troisième vague" chez le Lombard...
Certes, les intrigues sont musclées, il y a beaucoup d'action, le héros est un dur qui tombe les filles... Cependant Largo Winch est plus convaincant...
L'originalité vient du sujet, les enquêtes d'un agent du fisc américain, incorruptible et quasi infaillible.
Ben c'est raté hein. Le dessin est léger et n'arrive pas à hisser la série au niveau "intéressant".
Il faut dire que devant tant de critiques si élogieuses mes attentes étaient grandes.
Finalement, je n'ai pas aimé du tout. J'ai tout de même côté 2 sur 5, car les dessins sont très agréables à regarder.
Dans sa préface, Crisse dit qu'il est rare que des auteurs de BD parviennent à exprimer des sentiments et susciter des émotions. Il déclare que cet album est une perle de tendresse et d'amour.
Tout ceux qui ont fait une critique sur cet album, jusqu'à maintenant, semblent d'accord avec Crisse, mais pas moi.
Comme tout le monde je trouve que c'est dispendieux, court (10 minutes de lecture), mais en plus c'est banal et ça n'a suscité aucune émotion chez moi.
ATTENTION ! CEUX QUI NE VEULENT PAS TROP EN SAVOIR, NE LISEZ PAS CE QUI SUIT.
Un homme de 37 ans, qui est marié et qui a des enfants, a une aventure avec une jeune poulette de 22 ans. La narratrice de cette histoire est cette jeune femme, qui se retrouve dans le coma à la suite d'un accident de voiture. Elle raconte sa merveilleuse histoire d'amour à un lapin blanc (sa conscience ???). Puis... elle meurt à la fin.
J'ai souvent été ému et touché par une BD et ça va continuer de m'arriver régulièrement, mais là .... La magie n'a pas fonctionné du tout.
Ben voila, moi et le shojo ca fait deux... Mais j'avais décidé de laisser une deuxième chance à ce genre adulé par des tonnes de fans.
Alors je suis tombé sur "Larme ultime", dont le scénario était celui qui "m'attirait" le plus.
Je dois bien avouer que pendant quelques dizaines de pages j'étais pas mal dedans, et malgré les affreuses mimiques et répliques récurrentes au genre, j'avais envie de découvrir la suite... Mais j'ai compris que comme je le craignais, ce manga était uniquement axé sur l'histoire d'amour des deux héros, au détriment du scénario.
De plus, les dessins, s'ils semblent originaux au début, donnent bien vite une impression de brouillon.
Je conseille toutefois l'achat, car je pense que les amateurs s'y retrouveront...
Mouais... C'est sûrement le seul truc de Luz que je n'ai pas aimé.
Il reprend la principe des chroniques de "Cambouis" mais sur un sujet bien moins intéressant.
Résultat, ça se laisse lire, mais sans grand plaisir. Il y a bien quelques passages très bons, plutôt amusants, mais dans l'ensemble c'est pas du grand art.
Je dois avouer que je suis plus que décu...
J'ai lu ce bouquin en me disant que ça avait l'air bien mauvais (alors question : pourquoi l'ai-je lu ? euh... bonne question tiens) mais finalement, c'est n'est pas si nul (un peu quand même).
Le dessin est loin de m'être agréable. Ok, la dessinatrice a son propre style et c'est plutôt régulier, mais franchement, le résultat est vraiment moyen. Un peu comme l'histoire en fait.
C'est vachement creux comme bd, le fond est une calamité sans nom, c'est mauvais.
J'avoue avoir été amusé par certains passages (ceux des noyades pour être précis) mais le reste est sans intérêt.
En fait, je pense que ça n'aurait pas pu être édité si le scénariste n'avait pas été si connu...
Mieux dessiné qu'"Eloims", mais pourtant je n'ai pas accroché. Il y a toujours quelques erreurs (les visages >_< ) et le background est assez classique (les cités futuristes).
L' histoire est sympathique et met bien les personnages en place ^^ bref une bd qui se vendra sûrement bien, mais que je n' achèterai pas. Lisez pour vous faire votre propre avis. ^^
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Les Incroyables Aventures de Gribouillis
Cet album commence très joliment, à la façon d’un petit conte tout à fait charmant. Le ton y est naïf est plaisant, et on se demande ce qui va bien pouvoir arriver. En plus la couverture est très belle, épaisse, et la troisième de couverture fait un peu penser à « Jimmy Corrigan ». La première transition, c’est la page du catalogue, assez plaisante, et le ton change résolument avec l’apparition du diablotin (un peu l’équivalent du grand chancelier de « La Nef des Fous »), donnant à l’ensemble l’aspect d’une aventure au déroulement assez lâche. Je suis en fait assez déçu par les nombreux (et longs !) passages qui ne font rien avancer, et par la fin, très abrupte. Il y avait matière à faire quelque chose de frais, ou une jolie petite aventure, ou encore un livre d’humour léger, mais au final, si le début me plaît beaucoup, je me retrouve avec l’impression d’avoir lu quelque chose de beaucoup trop long en regard du contenu, de pas amusant, et légèrement ennuyant. Bref, moi qui n’ai pas aimé « La Nef des Fous », je n’ai pas aimé non plus beaucoup aimé « Gribouillis ». Reste à espérer que vous qui avez aimé la nef aimerez cet album.
Les Incroyables Aventures de Gribouillis
Un ch'tit peu décevant, tout de même.... L'histoire commence pourtant bien, le thème choisi est vraiment original: un ch'tit gribouillage dans le grand catalogue des Merveilleuses Usines Mécaniques Modernes qui s'éveille et qui se promène dans ses pages. C'est gentil, c'est mignon tout plein. Mais bon, les 120 pages de l'album comportent de solides longueurs, on a parfois l'impression que l'histoire tourne en rond: le cadre qu'a choisi l'auteur est forcément restrictif, et ça se sent. Et puis, cette fin, abrupte et recourant à une figure de style trop souvent rencontrée, m'a un peu laissé sur ma faim. Bref, si malgré tout, j'ai lu cet album avec un certain plaisir, je ne peux m'empêcher de rester sur un ptit "bof".
Les Livres de Vie (Le Livre de Jack / Sam)
En lisant ces deux albums, mais déjà après avoir refermé le premier, j'ai eu une impression de vide, de creux... En fait le mot parfait pour décrire mon sentiment sur ces albums est vain. L'histoire ne m'a en effet à aucun moment séduit, elle me semble artificielle et totalement inutile, n'apportant rien au lecteur. Pourtant ce conte aurait pu être charmant, mais sans pouvoir plus l'expliquer, il ne fonctionne pas. Et ce n'est en aucun cas le superbe dessin de Boiscommun qui rattrape quoi que ce soit. Au contraire, certaines planches (panoramique sur les toits par exemple) sont certes très belles, mais rigoureusement inutiles ; elles donnent tout juste l'impression d'essayer de combler un manque cruel, mais sans y parvenir. "Le livre de Sam" est quelque peu différent, puisque là où le précédent était plutôt du fantastique au sens classique du terme, on voit ici l'envers du décor. Le récit est quelque peu ennuyeux, somme toute très peu original, et souffre comme le précédent de longueurs superflues. Le dessin est différent, à mon avis nettement moins beau, tout spécialement au niveau des visages, qui sont parfois carrément laids. Bref, deux albums très ennuyeux et complètement inutiles.
Bestiaire
Voilà un album qui ne plaira pas à tout le monde. A cause du dessin tout d'abord, proche de la caricature, avec ces personnages aux têtes énormes, aux membres trop maigres et aux expressions faciales violentes. Le trait en noir et blanc est étrange : il est fin mais décrit le plus souvent des situations grossières et ne fait pas dans la demi mesure. J'en viens donc tout naturellement à la deuxième raison qui pourrait ne pas faire aimer cette BD : l'ambiance. Glauque, malsaine, elle remue les tripes et donne vraiment la nausée dès lors qu'on entre dans l'histoire. Les personnages sont très forts, peut être trop mais malgré tout l'alchimie fonctionne, la mayonnaise prend, appelez ça comme vous voulez en tous les cas on se laisse happer par cet album. Pourtant, passé le deuxième tiers, le scénario part vraiment en vrac, et la dimension fantastico-SF que Corona donne à son récit met en péril tout le travail qu'il a mené jusqu'alors. Ce "thriller campagnard psychologique" prend alors des dimensions grandiloquentes qui m'ont personnellement très peu convaincu, pour ne pas dire carrément fait décrocher. A trop vouloir en faire, Marco Corona perd de sa crédibilité. La morale finale reste ambiguë et il est décevant de constater que l'auteur ne prend pas plus de responsabilités en mettant plus en avant son opinion sur les questions qu'il soulève tout au long de la BD. Je serais donc tenté de mettre en garde ceux qui se lanceront dans la lecture de ce Bestiaire en pensant y trouver une histoire, une morale : il ne s'agit comme son nom l'indique que d'un catalogue de personnalités plus ou moins déviantes. Tout ce qui est autour n'est jamais que littérature de comptoir.
I.R.$.
Je pense qu'il s'agit là de la série la plus faible du label "Troisième vague" chez le Lombard... Certes, les intrigues sont musclées, il y a beaucoup d'action, le héros est un dur qui tombe les filles... Cependant Largo Winch est plus convaincant... L'originalité vient du sujet, les enquêtes d'un agent du fisc américain, incorruptible et quasi infaillible. Ben c'est raté hein. Le dessin est léger et n'arrive pas à hisser la série au niveau "intéressant".
K une jolie comète
Il faut dire que devant tant de critiques si élogieuses mes attentes étaient grandes. Finalement, je n'ai pas aimé du tout. J'ai tout de même côté 2 sur 5, car les dessins sont très agréables à regarder. Dans sa préface, Crisse dit qu'il est rare que des auteurs de BD parviennent à exprimer des sentiments et susciter des émotions. Il déclare que cet album est une perle de tendresse et d'amour. Tout ceux qui ont fait une critique sur cet album, jusqu'à maintenant, semblent d'accord avec Crisse, mais pas moi. Comme tout le monde je trouve que c'est dispendieux, court (10 minutes de lecture), mais en plus c'est banal et ça n'a suscité aucune émotion chez moi. ATTENTION ! CEUX QUI NE VEULENT PAS TROP EN SAVOIR, NE LISEZ PAS CE QUI SUIT. Un homme de 37 ans, qui est marié et qui a des enfants, a une aventure avec une jeune poulette de 22 ans. La narratrice de cette histoire est cette jeune femme, qui se retrouve dans le coma à la suite d'un accident de voiture. Elle raconte sa merveilleuse histoire d'amour à un lapin blanc (sa conscience ???). Puis... elle meurt à la fin. J'ai souvent été ému et touché par une BD et ça va continuer de m'arriver régulièrement, mais là .... La magie n'a pas fonctionné du tout.
Larme Ultime
Ben voila, moi et le shojo ca fait deux... Mais j'avais décidé de laisser une deuxième chance à ce genre adulé par des tonnes de fans. Alors je suis tombé sur "Larme ultime", dont le scénario était celui qui "m'attirait" le plus. Je dois bien avouer que pendant quelques dizaines de pages j'étais pas mal dedans, et malgré les affreuses mimiques et répliques récurrentes au genre, j'avais envie de découvrir la suite... Mais j'ai compris que comme je le craignais, ce manga était uniquement axé sur l'histoire d'amour des deux héros, au détriment du scénario. De plus, les dessins, s'ils semblent originaux au début, donnent bien vite une impression de brouillon. Je conseille toutefois l'achat, car je pense que les amateurs s'y retrouveront...
The Joke
Mouais... C'est sûrement le seul truc de Luz que je n'ai pas aimé. Il reprend la principe des chroniques de "Cambouis" mais sur un sujet bien moins intéressant. Résultat, ça se laisse lire, mais sans grand plaisir. Il y a bien quelques passages très bons, plutôt amusants, mais dans l'ensemble c'est pas du grand art. Je dois avouer que je suis plus que décu...
Fanfreluches pour une sirène
J'ai lu ce bouquin en me disant que ça avait l'air bien mauvais (alors question : pourquoi l'ai-je lu ? euh... bonne question tiens) mais finalement, c'est n'est pas si nul (un peu quand même). Le dessin est loin de m'être agréable. Ok, la dessinatrice a son propre style et c'est plutôt régulier, mais franchement, le résultat est vraiment moyen. Un peu comme l'histoire en fait. C'est vachement creux comme bd, le fond est une calamité sans nom, c'est mauvais. J'avoue avoir été amusé par certains passages (ceux des noyades pour être précis) mais le reste est sans intérêt. En fait, je pense que ça n'aurait pas pu être édité si le scénariste n'avait pas été si connu...
Les Poussières de l'infini
Mieux dessiné qu'"Eloims", mais pourtant je n'ai pas accroché. Il y a toujours quelques erreurs (les visages >_< ) et le background est assez classique (les cités futuristes). L' histoire est sympathique et met bien les personnages en place ^^ bref une bd qui se vendra sûrement bien, mais que je n' achèterai pas. Lisez pour vous faire votre propre avis. ^^