Tiens, la double personnalité mec/fille ça fait encore vendre ???
Bon alors voilà, un enquêteur et sa cousine au gros c** sont obligés de se céder mutuellement la place quand vient le jour/la nuit et résolvent des énigmes dans un univers 'portnawak coloré à l'ordi et aussi à la va-vite......
Voilà, vous êtes au courant que ça existe maintenant, alors vous pouvez très bien vous en passer.
Je suis d'accord avec Spooky, cette BD n'apporte rien au genre si ce n'est le fait de lire une BD quand on n'en a pas d'autres sous la main.
Il y a quelques moments où tu te marres bien, la scène avec le producteur de musique (on se demande même si ce n'est pas Johnny qui a inspiré cette planche).
Je pense que son seul but était de faire rire ; et bah on rit de temps en temps, donc ça va.
Ca se lit en 15 minutes, pas plus. J'aime beaucoup Lautner mais c'est quand même mieux au cinéma.
Du fantastique frôlant l'horreur à la manière d'une histoire d'Alfred Hitchcock. La fin de l'histoire du Verrou et le sort du jeune héros m'avaient marqué après ma première lecture, suffisamment pour me pousser bien plus tard à rechercher la BD pour la relire.
Dans l'ensemble, le dessin n'est pas mauvais quoique pas exceptionnel. Le style est dans la lignée des BDs parues dans Tintin dans les années 80.
Quant à l'histoire, en définitive, elle n'est pas formidable. Elle marque (ou peut marquer) par sa fin bien noire et sadique, mais hormis cela, il n'y a pas beaucoup plus à tirer du scénario.
En gros, une BD à emprunter en bibliothèque mais je ne l'achèterais pas moi-même.
Alors avant toute chose, que ceux qui, alléchés par le titre et la présence en couverture d’une charmante demoiselle dénudée, chercheraient cet album en pensant y admirer moult scènes torrides, calment tout de suite leurs ardeurs : certes, cette BD est émaillée de quelques cases disons "polissonnes", mais il ne s'agit pas pour autant d'une BD érotique.
Là, on peut penser que les 2 ou 3 seules personnes qui étaient en train de lire cet avis se sont déjà barrées pour aller jeter un oeil sur les dernières séries postées par Don Lope (l'homme qui, à ce jour, a posté très exactement LA MOITIÉ des séries érotiques présentes sur ce site... Chapeau bas, Señor, quelle santé !), et donc ça ne vaut plus trop le coup que je continue à écrire, mais bon, allez, soyons pro, poursuivons...
Autre précision nécessaire : ceux qui, à défaut d'une débauche de sexe, espèrent trouver dans ces contes chinois un peu d'exotisme et de dépaysement risquent d'en être pour leurs frais également. En effet, si les noms des lieux et des personnages sont bien chinois, en revanche, sur le plan graphique, ces légendes ont été presque complètement "occidentalisées" : visages, décors, costumes, rien ne fait très chinois visuellement, et tout ça pourrait aussi bien se passer en Sardaigne ou en Picardie.
Tout cela étant dit, qu'ajouter de plus sur "Femmes envoûtées" ? Eh bien que malheureusement, sans être franchement raté, ce n'est pas un album très palpitant. Le genre ''histoires courtes'' est assez casse-gueule en BD (un peu moins dans le cas des BD d'humour) car il est difficile de développer en à peine 5 ou 10 planches quelque chose de vraiment très intéressant : le scénar ne peut être très approfondi, ni les personnalités des protagonistes très travaillées... Et hélas, aucun des contes de "Femmes envoûtées" ne se révèle particulièrement original ou marquant. Les histoires restent assez banales et auraient même tendance à se ressembler un peu entre elles. Reste que les textes sont pas mal torchés et que le dessin, bien que de style très classique et sans génie, est de belle facture. Dans l'ensemble, sans être une lecture à éviter à tout prix, ça reste un titre assez peu indispensable.
Bon, je n'ai pas refermé l'album sur une impression de colère ou un sentiment que l'auteur s'était foutu de ma gueule, mais... Franchement je n'ai pas ri une minute, et souri une unique fois de tout l'album (quand Napoléon s'acharne sur les anglais et qu'on les voit ensuite tous deux déguisés en Beatles et en écossais). Tout le reste, je l'ai trouvé totalement sans intérêt et sans humour.
Et comme le dessin ne me plaît pas plus que ça, je ne vois absolument pas l'intérêt d'une telle BD.
Ben, je suis comme Piehr, en fait. Quand j'ai commencé à lire Les Ineffables, j'ai rigolé sur le premier gag. Le second, j'ai un peu souri. J'ai rigolé ensuite sur le troisième et peut-être le quatrième. Puis ensuite, au fur et à mesure des gags, je ne faisais plus que sourire puis plus rien. Indubitablement, Trondheim déborde encore une fois d'imagination, mais côté humour, la plupart des gags tombent à plat pour moi. Et pourtant j'adore l'humour absurde, et ça partait bien dans le genre. Mais certains gags ensuite ressemblent plus à des blagues typiques et basiques, puis à de simples gags qui tombent à plat.
En résumé, je suis un peu déçu. J'étais heureux de retrouver l'univers de Trondheim, mais... Ca n'a pas marché. Comme Piehr, 95% des gags m'ont laissé froid. Donc je vous conseille la lecture rapide de cet album, mais sûrement pas l'achat.
Le premier cycle (cinq tomes) passe plutôt bien, bien qu'un peu lent.
La suite est longue, chiante, pompeuse...
Au départ, on nous explique les tenants et les aboutissants du bushido, le code d'honneur des samouraïs. Puis on tombe dans une espèce de sophistication à moitié sado-masochiste: "je t'aime, donc je te détruis et j'épouse ton meilleur ami, qui se castre et qui te demande de me tuer pour venger son honneur et le tien, tout en essayant de tuer tête noire, ton ennemi juré, que tu as déja tué et qui devient mon associé pour assouvir sa vegeance...". Et c'est ça pendant 11 albums. Je les ai tous lus, je sais de quoi je parle.
La seule chose intéressante, c'est le contexte politico-historique de l'extrême-orient au moyen-âge.
Une série que j'ai eu du mal à lire : la psychologie du personnage principal, qui soutient toute l'intrigue, m'a parue sans aucun intérêt, ce qui diminue fortement le suspense et l'intérêt de l'histoire. Bon, le début est quand même pas mal, les passages délirants mis à part. Il y a des intrigues, de l'action, et surtout la description minutieuse des moeurs du Japon médiéval, et là ça m'a pas mal interéssée, vu que je ne connais rien sur cette période, très différente au Japon que dans le reste du monde.
Mais le passage en Chine est plutôt raté : alors que la description historique du début de la série est assez subtile, qu'on y découvre la société des samouraïs et ses règles comme "en passant", la fin semble au contraire créer des aventures et des personnages seulement pour pouvoir nous dire "oh, vous voyez, untel à telle époque ben il était là lui aussi, donc tiens on va le rencontrer dans l'histoire". Bref c'est pas génial, et assez soporifique.
Une histoire sans paroles (ou presque) pour une BD qui se veut proche de Tex Avery. Hélas, le talent est le don le moins bien réparti chez les humains. Les histoires manquent de rythme, les rebondissements sont téléphonés... C'est très plat, du fanzinisme assez médiocre...
Sur une idée de départ ma foi sympathique, la revisite des caractères des sept nains, on a là un petit album sans prétention, mais loin d'être inoubliable ; les dessins, grâce à leur diversité, rendent l'ensemble agréable à lire, mais les histoires sont soit trop creuses, soit remplies de clichés.
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Les Arcanes du Midi-minuit
Tiens, la double personnalité mec/fille ça fait encore vendre ??? Bon alors voilà, un enquêteur et sa cousine au gros c** sont obligés de se céder mutuellement la place quand vient le jour/la nuit et résolvent des énigmes dans un univers 'portnawak coloré à l'ordi et aussi à la va-vite...... Voilà, vous êtes au courant que ça existe maintenant, alors vous pouvez très bien vous en passer.
On achève bien les cons !
Je suis d'accord avec Spooky, cette BD n'apporte rien au genre si ce n'est le fait de lire une BD quand on n'en a pas d'autres sous la main. Il y a quelques moments où tu te marres bien, la scène avec le producteur de musique (on se demande même si ce n'est pas Johnny qui a inspiré cette planche). Je pense que son seul but était de faire rire ; et bah on rit de temps en temps, donc ça va. Ca se lit en 15 minutes, pas plus. J'aime beaucoup Lautner mais c'est quand même mieux au cinéma.
Le Verrou
Du fantastique frôlant l'horreur à la manière d'une histoire d'Alfred Hitchcock. La fin de l'histoire du Verrou et le sort du jeune héros m'avaient marqué après ma première lecture, suffisamment pour me pousser bien plus tard à rechercher la BD pour la relire. Dans l'ensemble, le dessin n'est pas mauvais quoique pas exceptionnel. Le style est dans la lignée des BDs parues dans Tintin dans les années 80. Quant à l'histoire, en définitive, elle n'est pas formidable. Elle marque (ou peut marquer) par sa fin bien noire et sadique, mais hormis cela, il n'y a pas beaucoup plus à tirer du scénario. En gros, une BD à emprunter en bibliothèque mais je ne l'achèterais pas moi-même.
Femmes envoûtées
Alors avant toute chose, que ceux qui, alléchés par le titre et la présence en couverture d’une charmante demoiselle dénudée, chercheraient cet album en pensant y admirer moult scènes torrides, calment tout de suite leurs ardeurs : certes, cette BD est émaillée de quelques cases disons "polissonnes", mais il ne s'agit pas pour autant d'une BD érotique. Là, on peut penser que les 2 ou 3 seules personnes qui étaient en train de lire cet avis se sont déjà barrées pour aller jeter un oeil sur les dernières séries postées par Don Lope (l'homme qui, à ce jour, a posté très exactement LA MOITIÉ des séries érotiques présentes sur ce site... Chapeau bas, Señor, quelle santé !), et donc ça ne vaut plus trop le coup que je continue à écrire, mais bon, allez, soyons pro, poursuivons... Autre précision nécessaire : ceux qui, à défaut d'une débauche de sexe, espèrent trouver dans ces contes chinois un peu d'exotisme et de dépaysement risquent d'en être pour leurs frais également. En effet, si les noms des lieux et des personnages sont bien chinois, en revanche, sur le plan graphique, ces légendes ont été presque complètement "occidentalisées" : visages, décors, costumes, rien ne fait très chinois visuellement, et tout ça pourrait aussi bien se passer en Sardaigne ou en Picardie. Tout cela étant dit, qu'ajouter de plus sur "Femmes envoûtées" ? Eh bien que malheureusement, sans être franchement raté, ce n'est pas un album très palpitant. Le genre ''histoires courtes'' est assez casse-gueule en BD (un peu moins dans le cas des BD d'humour) car il est difficile de développer en à peine 5 ou 10 planches quelque chose de vraiment très intéressant : le scénar ne peut être très approfondi, ni les personnalités des protagonistes très travaillées... Et hélas, aucun des contes de "Femmes envoûtées" ne se révèle particulièrement original ou marquant. Les histoires restent assez banales et auraient même tendance à se ressembler un peu entre elles. Reste que les textes sont pas mal torchés et que le dessin, bien que de style très classique et sans génie, est de belle facture. Dans l'ensemble, sans être une lecture à éviter à tout prix, ça reste un titre assez peu indispensable.
Napoléon et Bonaparte
Bon, je n'ai pas refermé l'album sur une impression de colère ou un sentiment que l'auteur s'était foutu de ma gueule, mais... Franchement je n'ai pas ri une minute, et souri une unique fois de tout l'album (quand Napoléon s'acharne sur les anglais et qu'on les voit ensuite tous deux déguisés en Beatles et en écossais). Tout le reste, je l'ai trouvé totalement sans intérêt et sans humour. Et comme le dessin ne me plaît pas plus que ça, je ne vois absolument pas l'intérêt d'une telle BD.
Les Ineffables
Ben, je suis comme Piehr, en fait. Quand j'ai commencé à lire Les Ineffables, j'ai rigolé sur le premier gag. Le second, j'ai un peu souri. J'ai rigolé ensuite sur le troisième et peut-être le quatrième. Puis ensuite, au fur et à mesure des gags, je ne faisais plus que sourire puis plus rien. Indubitablement, Trondheim déborde encore une fois d'imagination, mais côté humour, la plupart des gags tombent à plat pour moi. Et pourtant j'adore l'humour absurde, et ça partait bien dans le genre. Mais certains gags ensuite ressemblent plus à des blagues typiques et basiques, puis à de simples gags qui tombent à plat. En résumé, je suis un peu déçu. J'étais heureux de retrouver l'univers de Trondheim, mais... Ca n'a pas marché. Comme Piehr, 95% des gags m'ont laissé froid. Donc je vous conseille la lecture rapide de cet album, mais sûrement pas l'achat.
Le Vent des Dieux
Le premier cycle (cinq tomes) passe plutôt bien, bien qu'un peu lent. La suite est longue, chiante, pompeuse... Au départ, on nous explique les tenants et les aboutissants du bushido, le code d'honneur des samouraïs. Puis on tombe dans une espèce de sophistication à moitié sado-masochiste: "je t'aime, donc je te détruis et j'épouse ton meilleur ami, qui se castre et qui te demande de me tuer pour venger son honneur et le tien, tout en essayant de tuer tête noire, ton ennemi juré, que tu as déja tué et qui devient mon associé pour assouvir sa vegeance...". Et c'est ça pendant 11 albums. Je les ai tous lus, je sais de quoi je parle. La seule chose intéressante, c'est le contexte politico-historique de l'extrême-orient au moyen-âge.
Le Vent des Dieux
Une série que j'ai eu du mal à lire : la psychologie du personnage principal, qui soutient toute l'intrigue, m'a parue sans aucun intérêt, ce qui diminue fortement le suspense et l'intérêt de l'histoire. Bon, le début est quand même pas mal, les passages délirants mis à part. Il y a des intrigues, de l'action, et surtout la description minutieuse des moeurs du Japon médiéval, et là ça m'a pas mal interéssée, vu que je ne connais rien sur cette période, très différente au Japon que dans le reste du monde. Mais le passage en Chine est plutôt raté : alors que la description historique du début de la série est assez subtile, qu'on y découvre la société des samouraïs et ses règles comme "en passant", la fin semble au contraire créer des aventures et des personnages seulement pour pouvoir nous dire "oh, vous voyez, untel à telle époque ben il était là lui aussi, donc tiens on va le rencontrer dans l'histoire". Bref c'est pas génial, et assez soporifique.
Jim the Wolf
Une histoire sans paroles (ou presque) pour une BD qui se veut proche de Tex Avery. Hélas, le talent est le don le moins bien réparti chez les humains. Les histoires manquent de rythme, les rebondissements sont téléphonés... C'est très plat, du fanzinisme assez médiocre...
B.N. et les sept petits adultes
Sur une idée de départ ma foi sympathique, la revisite des caractères des sept nains, on a là un petit album sans prétention, mais loin d'être inoubliable ; les dessins, grâce à leur diversité, rendent l'ensemble agréable à lire, mais les histoires sont soit trop creuses, soit remplies de clichés.