Claus le Clown et Simon le lezard sont deux amis voués à une existence miséreuse. Un jour pourtant, un manager leur propose d'intégrer son équipe de rois de l'évasion, leur promettant des milles et des cents. Ils devront alors participer aux épreuves très médiatisées parce que risquées des jeux phares du 22ème siècle. Rapidement les deux héros seront confrontés aux manigances de la Mafia chapotant ces jeux à la recherche de profit.
Ce thème des combats truqués me paraît franchement éculé. Les couleurs sont parfois criardes et le style graphique changeant est désorientant. De plus la fin se termine en eau de boudin et je ne vois vraiment pas où les auteurs ont voulu en venir.
J’ai connu le donjon de Naheulbeuk bien avant sa sortie en bd et j ai adoré. Etant fan de bd en tout genre, j’ai voulu l’acheter, mais je l’ai lue avant, j ai été très déçue et j’ai changé d avis.
Comme certain l’ont déjà dit, les dessins ne correspondent pas assez au personnage, il y a trop de couleurs (ça fait dessin animé) et sans les bruits de fond, la musique et tout ça, c'est beaucoup moins drôle.
Il n'y a absolument rien de nouveau, c’est les mêmes dialogues et les mêmes gags. Il n’y a aucun intérêt à la lire ou à l’acheter si on a écouté les mp3. Mais ceux qui ne les ont jamais écoutés pourraient trouver la bd excellente.
En résumé écoutez les mp3 et laissez la bd de coté.
Avant de sortir sa série Black Hills 1890, Marc Renier avait une spécialité : les contes et légendes de nos contrées. Il a d'ailleurs sorti plusieurs albums sur ce thème et bien sûr, chez plusieurs éditeurs. La Traque est, elle, sortie chez les Editions du Miroir, un petit éditeur, oublié depuis longtemps.
Les différentes histoires racontées ici sont loin d'être exceptionnelles. Le style narratif de l'auteur étant assez classique, on a souvent tendance à s'ennuyer.
Il nous reste le dessin. Celui-ci est très fin, (trop fin, diront certains). A part ça, j'aime beaucoup les couleurs pastelles des planches de "Mandragore".
Ceci dit, vous aurez compris que La Traque n'a que peu d'intérêt à mes yeux.
Les deux premiers tomes d’Extra-muros furent pour moi une lecture fastidieuse et ennuyeuse. Le dessin de Hulet ne me déplait pas, il sait installer une ambiance, c’est clair. Mais c’est surtout le scénario qui m’a très peu captivé, on passe d’une époque à l’autre sans qu’aucune scène ne soit vraiment probante. Le mystère s’épaissit de scène en scène, de tome en tome, le tout sur un fond d’histoires de Templiers et d’ésotérisme moyenâgeux… Tout un charabia auquel je suis devenu totalement allergique, je pense… Les personnages me sont complètement étrangers, je n’ai pu en aimer ou détester aucun, et il y en a tellement dont les motivations sont inconnues. Et puis surtout, il manque un vrai fil conducteur à tout ça! On suit trop cette bd comme une suite d'évènements étranges d'interêt fort variable...
Le troisième tome sort bientôt mais je ne pense pas le lire… J’aurais sans doute tout oublié de ces deux tomes d’ici-là…
Sans transcender les foules, cette petite bd muette parue dans la sympathique collection "patte de mouche" se laisse regarder sans déplaisir. Les dessins de J.C Menu sont en effet bien sympas. Par contre, l’histoire ne casse pas deux pattes à un échassier (quoique ?) mais illustre bien la maxime "on ne fait pas d’omelette sans casser des oeufs". La fin vient heureusement ponctuer ce récit un tantinet trop répétitif. A réserver pour les acharnés de la collection.
MÄR est le sigle de Märchen Awaken Romance, le sous-titre de la série. C'est aussi le début du premier mot, Märchen, terme allemand signifiant "conte de fées", d'après l'auteur.
A la fin du premier tome, les enjeux du manga sont posés : c'est de la fantasy burlesque, enfantine, avec une dose d'auto-dérision. Ginta se plaît assez dans ce nouveau monde, où il est un garçon plein de vitalité, intrépide et généreux. Il rencontre des personnages auxquels il prête main-forte, et qui l'aident à leur tour. Mais il aimerait bien rentrer chez lui, quand même. Le seul moyen serait de retrouver un artefact surpuissant. Dont il ne connaît même pas l'aspect. Il part donc à sa recherche, la fleur au fusil.
Rien d'original dans tout ça. Ma culture manga n'étant pas assez développée, je citerai néanmoins "Dragonball" et tous les mangas s'en rapprochant, pour une partie du concept, et des séries comme Den pour le côté basculement/transformation d'un monde à l'autre. La suite de l'histoire se rapproche, curieusement, des "Chevaliers du Zodiaque".
Le dessin est sympathique, typique du style "grands yeux-grande bouche" auquel on ramène trop souvent le manga.
Mais à manger à tous les râteliers, on finit par ne plus avoir de goût. C'est ce qui pend au nez de cette série, si elle ne fait pas preuve d'originalité.
Pas grand chose à dire sur cette série, c'est du réchauffé niveau scénario, un héros peu charismatique beau gosse, des filles et de l'action...
Le point original est le contexte, dans le milieu de la jet-set à Saint-Tropez, sous le soleil, pour des enquêtes qui sentent les vacances, ce n'est somme toute pas courant en bande dessinée.
Berlion s'en sort bien au niveau du dessin, les personnages sont convaincants et la Côte-d'Azur reconnaissable.
En bref une BD qui n'a rien de transcendant mais qui se laisse lire sans prise de tête ;)
J'ai lu cette BD il y a longtemps et je n'en garde pas un souvenir impérissable. C'est juste que c'est un style qui a mal vieilli à mon goût, ce qui en fait une bande dessinée assez lourde à lire...Le scénario suit une trame classique et le cadrage est convenu, ça se lit mais ce n'est pas transcendant.
Niveau dessin on reconnaît la patte de Jacobs mais il n'est pas encore aussi affirmé que dans Blake et Mortimer, certaines scènes augurent néanmoins de fameux passages de sa série phare ;)
Premier volume paru de la collection DC Heroes chez l'éditeur panini, ce "Batman & Catwoman" ne restera pas dans les mémoires.
Le scénario est des plus plats et manque cruellement d'originalité, les rebondissements tombent à l'eau et même Batman, réduit au rang de simple faire valoir, a l'air de s'ennuyer ferme dans cette histoire.
Reste quelques scènes de bruit et de fureur plutôt réussies et une Catwoman assez sexy.
A réserver aux hardfans de Batman.
Difficile de cataloguer cette bd. Le genre "humour" est celui qui lui conviendrait le mieux même si elle ne m’a pas fait beaucoup rire. Cette petite bd au format italien se focalise sur deux personnages qui dissertent sur des banalités débouchant sur des discussions stériles. Dans la rubrique "tranches de vie de gens qui n’ont rien à dire", cet album tient le haut du pavé. Le graphisme n’est pas sans rappeler un certain Coyote officiant chez Fluide sans en atteindre la même maîtrise.
Bref, voici un album au contenu pauvre et totalement inintéressant.
A lire éventuellement dans une buvette en bord de mer en sirotant une glace à la fraise.
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Claus & Simon - Rois de l'évasion
Claus le Clown et Simon le lezard sont deux amis voués à une existence miséreuse. Un jour pourtant, un manager leur propose d'intégrer son équipe de rois de l'évasion, leur promettant des milles et des cents. Ils devront alors participer aux épreuves très médiatisées parce que risquées des jeux phares du 22ème siècle. Rapidement les deux héros seront confrontés aux manigances de la Mafia chapotant ces jeux à la recherche de profit. Ce thème des combats truqués me paraît franchement éculé. Les couleurs sont parfois criardes et le style graphique changeant est désorientant. De plus la fin se termine en eau de boudin et je ne vois vraiment pas où les auteurs ont voulu en venir.
Le Donjon de Naheulbeuk
J’ai connu le donjon de Naheulbeuk bien avant sa sortie en bd et j ai adoré. Etant fan de bd en tout genre, j’ai voulu l’acheter, mais je l’ai lue avant, j ai été très déçue et j’ai changé d avis. Comme certain l’ont déjà dit, les dessins ne correspondent pas assez au personnage, il y a trop de couleurs (ça fait dessin animé) et sans les bruits de fond, la musique et tout ça, c'est beaucoup moins drôle. Il n'y a absolument rien de nouveau, c’est les mêmes dialogues et les mêmes gags. Il n’y a aucun intérêt à la lire ou à l’acheter si on a écouté les mp3. Mais ceux qui ne les ont jamais écoutés pourraient trouver la bd excellente. En résumé écoutez les mp3 et laissez la bd de coté.
La Traque (Marc-Renier)
Avant de sortir sa série Black Hills 1890, Marc Renier avait une spécialité : les contes et légendes de nos contrées. Il a d'ailleurs sorti plusieurs albums sur ce thème et bien sûr, chez plusieurs éditeurs. La Traque est, elle, sortie chez les Editions du Miroir, un petit éditeur, oublié depuis longtemps. Les différentes histoires racontées ici sont loin d'être exceptionnelles. Le style narratif de l'auteur étant assez classique, on a souvent tendance à s'ennuyer. Il nous reste le dessin. Celui-ci est très fin, (trop fin, diront certains). A part ça, j'aime beaucoup les couleurs pastelles des planches de "Mandragore". Ceci dit, vous aurez compris que La Traque n'a que peu d'intérêt à mes yeux.
Extra-Muros
Les deux premiers tomes d’Extra-muros furent pour moi une lecture fastidieuse et ennuyeuse. Le dessin de Hulet ne me déplait pas, il sait installer une ambiance, c’est clair. Mais c’est surtout le scénario qui m’a très peu captivé, on passe d’une époque à l’autre sans qu’aucune scène ne soit vraiment probante. Le mystère s’épaissit de scène en scène, de tome en tome, le tout sur un fond d’histoires de Templiers et d’ésotérisme moyenâgeux… Tout un charabia auquel je suis devenu totalement allergique, je pense… Les personnages me sont complètement étrangers, je n’ai pu en aimer ou détester aucun, et il y en a tellement dont les motivations sont inconnues. Et puis surtout, il manque un vrai fil conducteur à tout ça! On suit trop cette bd comme une suite d'évènements étranges d'interêt fort variable... Le troisième tome sort bientôt mais je ne pense pas le lire… J’aurais sans doute tout oublié de ces deux tomes d’ici-là…
Omelette
Sans transcender les foules, cette petite bd muette parue dans la sympathique collection "patte de mouche" se laisse regarder sans déplaisir. Les dessins de J.C Menu sont en effet bien sympas. Par contre, l’histoire ne casse pas deux pattes à un échassier (quoique ?) mais illustre bien la maxime "on ne fait pas d’omelette sans casser des oeufs". La fin vient heureusement ponctuer ce récit un tantinet trop répétitif. A réserver pour les acharnés de la collection.
Mär - Märchen Awaken Romance
MÄR est le sigle de Märchen Awaken Romance, le sous-titre de la série. C'est aussi le début du premier mot, Märchen, terme allemand signifiant "conte de fées", d'après l'auteur. A la fin du premier tome, les enjeux du manga sont posés : c'est de la fantasy burlesque, enfantine, avec une dose d'auto-dérision. Ginta se plaît assez dans ce nouveau monde, où il est un garçon plein de vitalité, intrépide et généreux. Il rencontre des personnages auxquels il prête main-forte, et qui l'aident à leur tour. Mais il aimerait bien rentrer chez lui, quand même. Le seul moyen serait de retrouver un artefact surpuissant. Dont il ne connaît même pas l'aspect. Il part donc à sa recherche, la fleur au fusil. Rien d'original dans tout ça. Ma culture manga n'étant pas assez développée, je citerai néanmoins "Dragonball" et tous les mangas s'en rapprochant, pour une partie du concept, et des séries comme Den pour le côté basculement/transformation d'un monde à l'autre. La suite de l'histoire se rapproche, curieusement, des "Chevaliers du Zodiaque". Le dessin est sympathique, typique du style "grands yeux-grande bouche" auquel on ramène trop souvent le manga. Mais à manger à tous les râteliers, on finit par ne plus avoir de goût. C'est ce qui pend au nez de cette série, si elle ne fait pas preuve d'originalité.
Tony Corso
Pas grand chose à dire sur cette série, c'est du réchauffé niveau scénario, un héros peu charismatique beau gosse, des filles et de l'action... Le point original est le contexte, dans le milieu de la jet-set à Saint-Tropez, sous le soleil, pour des enquêtes qui sentent les vacances, ce n'est somme toute pas courant en bande dessinée. Berlion s'en sort bien au niveau du dessin, les personnages sont convaincants et la Côte-d'Azur reconnaissable. En bref une BD qui n'a rien de transcendant mais qui se laisse lire sans prise de tête ;)
Avant Blake et Mortimer (Le Rayon U)
J'ai lu cette BD il y a longtemps et je n'en garde pas un souvenir impérissable. C'est juste que c'est un style qui a mal vieilli à mon goût, ce qui en fait une bande dessinée assez lourde à lire...Le scénario suit une trame classique et le cadrage est convenu, ça se lit mais ce n'est pas transcendant. Niveau dessin on reconnaît la patte de Jacobs mais il n'est pas encore aussi affirmé que dans Blake et Mortimer, certaines scènes augurent néanmoins de fameux passages de sa série phare ;)
Batman & Catwoman - Tu ne tueras point
Premier volume paru de la collection DC Heroes chez l'éditeur panini, ce "Batman & Catwoman" ne restera pas dans les mémoires. Le scénario est des plus plats et manque cruellement d'originalité, les rebondissements tombent à l'eau et même Batman, réduit au rang de simple faire valoir, a l'air de s'ennuyer ferme dans cette histoire. Reste quelques scènes de bruit et de fureur plutôt réussies et une Catwoman assez sexy. A réserver aux hardfans de Batman.
On est tous des touristes quelque part
Difficile de cataloguer cette bd. Le genre "humour" est celui qui lui conviendrait le mieux même si elle ne m’a pas fait beaucoup rire. Cette petite bd au format italien se focalise sur deux personnages qui dissertent sur des banalités débouchant sur des discussions stériles. Dans la rubrique "tranches de vie de gens qui n’ont rien à dire", cet album tient le haut du pavé. Le graphisme n’est pas sans rappeler un certain Coyote officiant chez Fluide sans en atteindre la même maîtrise. Bref, voici un album au contenu pauvre et totalement inintéressant. A lire éventuellement dans une buvette en bord de mer en sirotant une glace à la fraise.