C'est mon premier Tacito sur les conseils d'Aekold. Je n'ai vraiment pas était déçue, les dessins sont assez bourrins mais c'est du Tacito. Le scénar m'a beaucoup plu.
Vraiment pas mal!
A voir pour la suite...
Oeuvre divertissante mais sans le petit je ne sais quoi qui fait qu'on adore une bd... Pourtant les dessins sont jolis. L'histoire en elle-même, enfin les histoires en elles mêmes, sont originales et sympathiques.
La trame : le vieux de je ne sais combien d'années qui n'a pas changé d'aspect physique depuis ses douze ans, je trouve ça tordant. Enfin je ne suis pas super acro des histoires courtes, je reste trop sur ma faim.
Après "le corbac aux baskets" et "le conteur éléctrique", Fred propose un troisième album, toujours aussi absurde et farfelu. Le scénario est toujours autant jubilatoire et les dessins toujours aussi mauvais. Les textes sont beaux (rapellant parfois Raymond Devos), les situations loufoques et les personnages complétement fous.
Mais si la magie du premier avait déjà été un peu perdue avec "le conteur éléctrique", elle est encore plus absente dans ce troisième tome (toujours 100% indépendant). C'est long, c'est lourd... Le début et la fin sont excellents mais il y a un grand vide au milieu. Et c'est dommage.
Mais ça reste quand même l'une des références dans le domaine de l'absurde et de la poésie.
Voici la troisième intégrale de la très intéressante collection Best seller de chez Glénat, et encore une fois j’ai été plutôt conquis : les dessins sont simples mais très efficace, le scénario est très dynamique (peut-être même trop), et les personnages attachants (surtout Djida).
Mais je rejoins les autres avis disant que ce n’est pas une BD que l’on relit avec plaisir : on passe un bon moment à la lire, mais c’est tout ! Par contre, je conseille vraiment l’achat car pour 10 €, c’est vraiment une affaire.
Bon, j'adore Coyote, c'est un fait. J'adore "Litteul Kevin" et c'est donc tout naturel que j'apprécie également beaucoup "Mammouth et Piston". Bon, ok, c'est moins poétique, et forcément, y a pas Chacal et Kevin.
Mais les dessins sont toujours aussi fabuleux et les dialogues toujours autant "à la Frédéric Dard". C'est peut-être moins dédié aux très jeunes que "Litteul Kevin", mais ça reste tout de même de bon goût (si,si).
Bon, les chutes ne sont toujours pas formidables, mais c'est drôle quand même. J'adore Kevin, j'adore Mammouth, j'adore Coyote.
Houuuulà... au risque de faire grincer quelques dents, je me lance.
Alors, "Gaston Lagaffe", c'est vraiment le genre de BD que l'on a envie de qualifier de "culte" avant même de l'avoir lue, tant cette série a révolutionné la BD d'humour à l'époque. Et c'est vrai que, encore aujourd'hui, cette longue saga reste une référence dans le genre. Donc, rien que pour ça, il faut les avoir tous lu au moins une fois.
Maintenant, si Gaston était encore l'une des plus grandiose BD du genre il y a 20 ans, aujourd'hui, si on la compare avec d'autres séries d'humour Dupuis parues depuis, on se dit que si certains disent que le gaffeur aux pantoufles (N.d.Modo : espadrilles !) n'a pas pris une ride, d'autres penseront au contraire qu'il a pris un sacré coup de vieux.
Ok, l'histoire de base ainsi que les dessins restent parmi les meilleurs du genre. Mais les textes ainsi que les chutes ne sont pas tous fabuleux. Et si certains gags sont vraiment poilants, ce n'est malheureusement pas le cas de la majorité.
Donc, si cette série reste, comme je l'ai déjà dit plus haut, l'une des principales références de la BD d'humour, ce n'est tout de même pas, et de loin pas, la meilleure série du genre. Mais ça reste un classique à lire absolument.
Encore une fois, énième BD d'humour du journal Spirou et encore une fois, un Raoul Cauvin déchaîné aux commandes.
Bon, c'est vrai que "Les femmes en Blanc" fait sans doute partie de ses plus médiocres séries, mais elle reste quand même l'une des plus réussies du journal. Les dessins sont bons (j'aime bien Bercovici, notamment son lettrage particulier), les situations rocambolesques et les gags souvent réussis. Bref, de l'excellent Cauvin (bon, à cent lieues de "Cédric").
Je ne dirai rien de plus car c'est une série que tout le monde doit déjà avoir lue au moins une fois. Ne serait-ce que dans un journal de Spirou. Donc, rien d'exceptionnel.
C'est clair que "Blacksad" aura marqué ce début de siècle. Mais après une lecture plus approfondie, je dois dire que cet engouement me laisse un peu perplexe car si j'ai, moi aussi, succombé à son charme, j'ai du mal a comprendre les raisons de ce succès.
Le scénario de Diaz Canales est, certes, très bien écrit mais terriblement classique dans sa structure et son approche. En résumé, on nous raconte les aventures d'un détective privé qui mène ses enquêtes dans l'amérique des années 50.
Que dire de plus, moi j'aime beaucoup mais bon... cela n'a rien d'original !
Alors cette réussite serait dûe uniquement au fait que les acteurs du récit soient des animaux ? Mouais...
Un autre point qui m'a étonné, c'est le scénario du tome 1 : il est bien fait, mais il m'a semblé que l'intrigue manquait de densité et que les aboutissants étaient assez prévisibles. D'ailleurs, on sait déjà plus ou moins qui est le coupable à la moitié de l'album. Bon, c'est dans l'ensemble assez sympa mais sans plus.
Par contre, c'est vrai que tome 2 mérite largement les louanges accordées à cette série. La trame du récit est intelligemment amenée et l'histoire est brillamment développée. De plus, les différents protagonistes sont présentés avec une forte personnalité. Ce qui donne plus de crédibilité au scénario. Sans oublier la manière avec laquelle le scénariste nous parle du racisme qui est à la fois subtile et directe. C'est là que l'on reconnaît le professionnalisme d'un auteur.
Le dessin de Guarnido est, lui, d'une grande beauté. Son trait est fluide et son graphisme ne manque pas de détails. Les vues plongeantes sont impressionantes surtout celle de la page 38 du tome 1 qui met vraiment en valeur la qualité de son travail.
Les couleurs sont quant à elles dans la lignée du dessin. Celles-ci sont faites dans des nuances pastelles. Ce qui donne un petit côté appaisant à la lecture.
Voila donc une bonne série policière qui devrait encore connaître des jours heureux mais qui me laisse toujours aussi interrogateur sur les raisons de ce succès.
Ceci dit... c'est à suivre !
Plein d'humour, tout au long de cette BD, Les magouilles du cyclisme comme celles de la boxe sont ici parfaitement décrites, alors que la BD date de 1971 pour El Afrit roi du sprint la première histoire et de 1972 pour El Afrit contre Jojo Frazette, ici il s'agit d'une réédition de 1984.
De plus à la fin de ces deux histoires on retrouve un bon nombre de caricatures du monde du sport qui sont bien plaisantes à lire.
Je suis vraiment mitigé vis à vis de cette série. D'un côté, il faut reconnaître les qualités évidentes du scénario. L'univers est très bien décrit, les personnages sont très forts et leurs motivations parfaitement bien identifiables et cohérentes, l'imagination est partout présente tout au long de l'histoire, mais d'un autre côté, je dois avouer que j'ai été désorienté par l'univers graphique.
De minuscules vignettes sont en effet envahies d'un texte dense et omniprésent. Si la pertinence du texte n'est selon moi, pas à remettre en question, par contre un découpage différent, une mise en planche plus aérée aurait été préférable. Vu sous cet angle, il est clair que cette série aurait comporté plus de trois tomes. Mais je pense que cela aurait changé beaucoup l'impact de cette bd. On aurait pu par exemple, avoir une description graphique de l'univers de Pan plus pointue, plus détaillée, plus lisible.
Le noir et blanc des premiers albums est quant à lui un choix tout aussi discutable que la mise en page. Je ne vois pas ce qu'il ajoute à l'histoire. Je suis sûr qu'une mise en couleur chiadée aurait été un plus important dans la manière d'appréhender ce fascinant monde de Pan.
Ceci dit, cette bd vaut trés, trés largement le détour.
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Magika
C'est mon premier Tacito sur les conseils d'Aekold. Je n'ai vraiment pas était déçue, les dessins sont assez bourrins mais c'est du Tacito. Le scénar m'a beaucoup plu. Vraiment pas mal! A voir pour la suite...
Sir Pyle
Oeuvre divertissante mais sans le petit je ne sais quoi qui fait qu'on adore une bd... Pourtant les dessins sont jolis. L'histoire en elle-même, enfin les histoires en elles mêmes, sont originales et sympathiques. La trame : le vieux de je ne sais combien d'années qui n'a pas changé d'aspect physique depuis ses douze ans, je trouve ça tordant. Enfin je ne suis pas super acro des histoires courtes, je reste trop sur ma faim.
L'Histoire de la dernière image
Après "le corbac aux baskets" et "le conteur éléctrique", Fred propose un troisième album, toujours aussi absurde et farfelu. Le scénario est toujours autant jubilatoire et les dessins toujours aussi mauvais. Les textes sont beaux (rapellant parfois Raymond Devos), les situations loufoques et les personnages complétement fous. Mais si la magie du premier avait déjà été un peu perdue avec "le conteur éléctrique", elle est encore plus absente dans ce troisième tome (toujours 100% indépendant). C'est long, c'est lourd... Le début et la fin sont excellents mais il y a un grand vide au milieu. Et c'est dommage. Mais ça reste quand même l'une des références dans le domaine de l'absurde et de la poésie.
Gil St André
Voici la troisième intégrale de la très intéressante collection Best seller de chez Glénat, et encore une fois j’ai été plutôt conquis : les dessins sont simples mais très efficace, le scénario est très dynamique (peut-être même trop), et les personnages attachants (surtout Djida). Mais je rejoins les autres avis disant que ce n’est pas une BD que l’on relit avec plaisir : on passe un bon moment à la lire, mais c’est tout ! Par contre, je conseille vraiment l’achat car pour 10 €, c’est vraiment une affaire.
Mammouth et Piston
Bon, j'adore Coyote, c'est un fait. J'adore "Litteul Kevin" et c'est donc tout naturel que j'apprécie également beaucoup "Mammouth et Piston". Bon, ok, c'est moins poétique, et forcément, y a pas Chacal et Kevin. Mais les dessins sont toujours aussi fabuleux et les dialogues toujours autant "à la Frédéric Dard". C'est peut-être moins dédié aux très jeunes que "Litteul Kevin", mais ça reste tout de même de bon goût (si,si). Bon, les chutes ne sont toujours pas formidables, mais c'est drôle quand même. J'adore Kevin, j'adore Mammouth, j'adore Coyote.
Gaston Lagaffe
Houuuulà... au risque de faire grincer quelques dents, je me lance. Alors, "Gaston Lagaffe", c'est vraiment le genre de BD que l'on a envie de qualifier de "culte" avant même de l'avoir lue, tant cette série a révolutionné la BD d'humour à l'époque. Et c'est vrai que, encore aujourd'hui, cette longue saga reste une référence dans le genre. Donc, rien que pour ça, il faut les avoir tous lu au moins une fois. Maintenant, si Gaston était encore l'une des plus grandiose BD du genre il y a 20 ans, aujourd'hui, si on la compare avec d'autres séries d'humour Dupuis parues depuis, on se dit que si certains disent que le gaffeur aux pantoufles (N.d.Modo : espadrilles !) n'a pas pris une ride, d'autres penseront au contraire qu'il a pris un sacré coup de vieux. Ok, l'histoire de base ainsi que les dessins restent parmi les meilleurs du genre. Mais les textes ainsi que les chutes ne sont pas tous fabuleux. Et si certains gags sont vraiment poilants, ce n'est malheureusement pas le cas de la majorité. Donc, si cette série reste, comme je l'ai déjà dit plus haut, l'une des principales références de la BD d'humour, ce n'est tout de même pas, et de loin pas, la meilleure série du genre. Mais ça reste un classique à lire absolument.
Les Femmes en blanc
Encore une fois, énième BD d'humour du journal Spirou et encore une fois, un Raoul Cauvin déchaîné aux commandes. Bon, c'est vrai que "Les femmes en Blanc" fait sans doute partie de ses plus médiocres séries, mais elle reste quand même l'une des plus réussies du journal. Les dessins sont bons (j'aime bien Bercovici, notamment son lettrage particulier), les situations rocambolesques et les gags souvent réussis. Bref, de l'excellent Cauvin (bon, à cent lieues de "Cédric"). Je ne dirai rien de plus car c'est une série que tout le monde doit déjà avoir lue au moins une fois. Ne serait-ce que dans un journal de Spirou. Donc, rien d'exceptionnel.
Blacksad
C'est clair que "Blacksad" aura marqué ce début de siècle. Mais après une lecture plus approfondie, je dois dire que cet engouement me laisse un peu perplexe car si j'ai, moi aussi, succombé à son charme, j'ai du mal a comprendre les raisons de ce succès. Le scénario de Diaz Canales est, certes, très bien écrit mais terriblement classique dans sa structure et son approche. En résumé, on nous raconte les aventures d'un détective privé qui mène ses enquêtes dans l'amérique des années 50. Que dire de plus, moi j'aime beaucoup mais bon... cela n'a rien d'original ! Alors cette réussite serait dûe uniquement au fait que les acteurs du récit soient des animaux ? Mouais... Un autre point qui m'a étonné, c'est le scénario du tome 1 : il est bien fait, mais il m'a semblé que l'intrigue manquait de densité et que les aboutissants étaient assez prévisibles. D'ailleurs, on sait déjà plus ou moins qui est le coupable à la moitié de l'album. Bon, c'est dans l'ensemble assez sympa mais sans plus. Par contre, c'est vrai que tome 2 mérite largement les louanges accordées à cette série. La trame du récit est intelligemment amenée et l'histoire est brillamment développée. De plus, les différents protagonistes sont présentés avec une forte personnalité. Ce qui donne plus de crédibilité au scénario. Sans oublier la manière avec laquelle le scénariste nous parle du racisme qui est à la fois subtile et directe. C'est là que l'on reconnaît le professionnalisme d'un auteur. Le dessin de Guarnido est, lui, d'une grande beauté. Son trait est fluide et son graphisme ne manque pas de détails. Les vues plongeantes sont impressionantes surtout celle de la page 38 du tome 1 qui met vraiment en valeur la qualité de son travail. Les couleurs sont quant à elles dans la lignée du dessin. Celles-ci sont faites dans des nuances pastelles. Ce qui donne un petit côté appaisant à la lecture. Voila donc une bonne série policière qui devrait encore connaître des jours heureux mais qui me laisse toujours aussi interrogateur sur les raisons de ce succès. Ceci dit... c'est à suivre !
El Afrit sportif
Plein d'humour, tout au long de cette BD, Les magouilles du cyclisme comme celles de la boxe sont ici parfaitement décrites, alors que la BD date de 1971 pour El Afrit roi du sprint la première histoire et de 1972 pour El Afrit contre Jojo Frazette, ici il s'agit d'une réédition de 1984. De plus à la fin de ces deux histoires on retrouve un bon nombre de caricatures du monde du sport qui sont bien plaisantes à lire.
Le Mur de Pan
Je suis vraiment mitigé vis à vis de cette série. D'un côté, il faut reconnaître les qualités évidentes du scénario. L'univers est très bien décrit, les personnages sont très forts et leurs motivations parfaitement bien identifiables et cohérentes, l'imagination est partout présente tout au long de l'histoire, mais d'un autre côté, je dois avouer que j'ai été désorienté par l'univers graphique. De minuscules vignettes sont en effet envahies d'un texte dense et omniprésent. Si la pertinence du texte n'est selon moi, pas à remettre en question, par contre un découpage différent, une mise en planche plus aérée aurait été préférable. Vu sous cet angle, il est clair que cette série aurait comporté plus de trois tomes. Mais je pense que cela aurait changé beaucoup l'impact de cette bd. On aurait pu par exemple, avoir une description graphique de l'univers de Pan plus pointue, plus détaillée, plus lisible. Le noir et blanc des premiers albums est quant à lui un choix tout aussi discutable que la mise en page. Je ne vois pas ce qu'il ajoute à l'histoire. Je suis sûr qu'une mise en couleur chiadée aurait été un plus important dans la manière d'appréhender ce fascinant monde de Pan. Ceci dit, cette bd vaut trés, trés largement le détour.