Ce manga m'a accroché par deux points bien précis : sa couverture, assez fascinante (je trouve la couleur pas terrible, mais bon...), et quelques répliques, où l'on s'aperçoit que le jeune homme (Shûji) engueule carrément sa copine (Chise).
A la lecture, on ne comprend pas bien ce qui se passe, et de fait le cadre général de l'histoire brille par son absence. Les suggestions sont omniprésentes, mais le lecteur est obligé de reconstituer par ces indices finalement ténus, l'univers dans lequel se déroule l'action (et c'est un compliment ! :)).
De même, Chise est censée être une arme terrifiante, mener de nombreux combats, mais on n'en voit presque rien.
Toute l'histoire est en fait centrée sur le rapport amoureux (et très maladroit) de ces deux personnages, leur difficulté à se comprendre, à surmonter leurs différences, leur timidité.
Elément intéressant, la mise en page est parfois très très bien faite, de façon agréable et originale. Le dessin dans l'ensemble est relativement simple, quoiqu'assez joli (j'ai récupéré le poster, et même si je n'apprécie que peu ce manga, j'avoue trouver l'image assez fascinante...), et le dessin reprend parfois des photos de zones urbaine. Le mélange est vraiment pas mal, et intéressant.
En résumé, ce manga comporte une indéniable touche poétique et de ce fait me plaît; mais en même temps il reste très fleur bleue -- trop à mon goût ! -- et devrait plaire à un public un peu plus jeune, d'où ma note peu élevée.
Tome 2
Confirmation de l'impression laissée par le tome 1. L'histoire reste dans la même tonalité mièvre, mais on découvre un peu le "travail" de Chise, avec quelques passages mettant en scène sa vie sur le champ de bataille.
A noter que l'auteur a trouvé un moyen efficace de travailler rapidement : 4 des pages sont entièrement noires (Akata/Delcourt signale à la fin que ce n'est pas une erreur d'impression :)). Pas mal, surtout qu'une ou deux auraient largement suffit, mais bon, c'est un détail.
L'histoire progresse à peine, on reste toujours autant englué dans la sauce de sentiments qui fait la base de "Larme Ultime", et c'est bien dommage. En plus j'ai eu parfois l'impression de lire un guide de comportement amoureux à l'usage du pré-adolescent, je trouve ça un peu lourd.
Bref, 2/5 confirmé... :(
J'ai lu cette bd sous l'influence de son illustration que je trouve vraiment de bonne qualité...
Le graphisme est plutot moderne et assez "rond" mais sert efficacement un scénario assez interessant qui a le mérite de traiter d'un sujet inédit (enfin, je pense).
Pour un premier tome, l'histoire est plutot encourageante, et pose les bases de ce qui peut s'annoncer être une bonne série...Les personnages sont bien présentés, mais un peu trop carricaturaux. Cependant, l'ensemble reste agréable à lire, mais pour le moment ne laisse pas un souvenir imperissable.
Désolé de faire baisser la moyenne de cette série mais de toute façon un jour ou l'autre je l'aurai fait. Je n'ai VRAIMENT pas aimé cette BD : mon 2/5 est principalement basé sur le dessin (qui est vraiment tres beau) mais le reste... J'ai eu beaucoup de mal a finir cette BD car je trouve le scénario long et pénible a lire. Je n'aime pas le mélanges antiquité/moderne et c'est sans doute cela qui me procure aucun plaisir en la lisant. Bref, Soleil est encore tres decevant...
Oulà, grosse déception que ce manga. Il faut dire que dans le domaine, ma culture est assez limitée. Encouragé à explorer plus loin ce domaine par la vision de quelques excellents films d'animation japonais (Princesse Mononoke, le Voyage de Chihiro, Ghost in the Shell,...) j'ai eu envie de découvrir d'autres mangas. Autant j'avais beaucoup apprécié Akira, et son ambiance très particulière, autant ici, j'ai vraiment eu l'impression que toute l'histoire n'était qu'un prétexte pour envoyer l'héroïne (au demeurant très jolie, j'en conviens) de combat en combat. Et moi, les combats...bof (surtout sur papier, où ça passe assez mal je trouve).
C'est vrai que l'univers qui entoure Gally a un fort potentiel, et l'on ne cesse de se poser des questions sur l'intrigante Zalem, mais bon, cela ne va pas bien loin... Sur un tome, la proportion de pages consacrées à ce qui m'intéresse dans cette histoire est bien maigre... le reste n'est que baston. Certes, Gunnm est un manga joliment dessiné, mais sa lecture ne m'a pas du tout passionné, et j'ai dû un brin forcer pour le terminer.
Une petite note defavorable pour cette serie que je trouve trop confuse a mon gout... J ai du mal a suivre la trame de l histoire et je decroche au fur et a mesure que les planches s ecoulent.
Dommage, car c est une bd esthetiquement tres agreable...
Bon, entendons-nous bien, j'aime beaucoup Nicolas Poupon, aussi bien le mec que son oeuvre, mais "Noémie", c'est pas celui de ses bouquins que je préfère. Et c'est un peu normal, d'ailleurs, parce que c'est un livre pour enfants, et que j'ai un peu passé l'âge. C'est joli, c'est sympa, le message est tout simple mais pas bête, mais c'est super court et ça ne s'adresse vraiment qu'aux gosses.
Que voilà un album étrange... Déjà, son look, qui rappelle à la fois McKean pour les décors et surtout, pour les personnages, "The Dark Eye" (un vieux jeu méconnu sur PC, inspiré des textes d'Edgar Poe) ou encore le clip "Sober" de Tool (bref, c'est vous dire si c'est gai et mignon), peut en rebuter plus d'un. Mais surtout, il m'a fallu la lire deux fois avant d'avoir l'impression de comprendre à peu près ce que ça racontait... c'est-à-dire pas grand chose. Or, moi, je suis sans doute vieux jeu, mais j'aime bien quand il y a une histoire, même basique, dans une BD, et pas seulement une succession de textes abscons. Là, à force de jouer la carte du mystère, du non-dit, l'auteur donne finalement l'impression qu'il n'avait rien à raconter. Alors, c'est pas que son bouquin soit inintéressant ; le mélange dessin+photos de figurines en pâte à modeler en fait une curiosité sur laquelle il vaut le coup de jeter un oeil, mais honnêtement, je n'ai pas du tout, du tout accroché.
Signalons que le bouquin est fourni avec un CD-Rom de "making of" réalisé par La Berlue. La présentation est sobre mais élégante ; le contenu est un peu décevant (il n'y a aucune vidéo, pas d'interview des auteurs, que des photos et des dessins). La piste audio du CD, signée Tez und Jonaz Bering, est un morceau genre techno-indus assez naze.
Rien à redire sur le dessin de Pellejero, même si je le préfère en couleurs, son noir et blanc est beau, intense, sensuel et généreux. Les ambiances nocturnes sont très réussies.
Mais le scénario de cet album m’a franchement laissé sur ma faim. Sur cet album, Zentner a manqué un peu d’ambition je trouve. Son histoire de meurtres en série démarre sur les clichés du genre et se termine d’une manière assez peu passionnante. Tout au long de l’album, l’intrigue se perd dans des digressions assez peu intéressantes qui alourdissent l’histoire plutôt qu’elles ne l’enrichissent : la vie conjugale de l’inspecteur, par exemple. L’enquête se résout presque d’elle-même sans grand suspens. Le scénariste a visiblement voulu s’écarter de tous les schémas narratifs classiques. Pourquoi pas, je suis le premier à souhaiter la redécouverte d’autres styles narratifs, mais ici, je vois mal ce qu’on y gagne, cela manque un peu d’émotion et de propos, tout simplement.
C'est bizarre, ma première lecture, il y a trois ans d'ici, avait été plus enthousiaste, comme en témoigne l'avis que j'avais posté sur Bd paradisio, mais aujourd'hui, à la relecture, je trouve l'album assez faible.
P.S. : Un mauvais point pour l'éditeur, si la traduction s'avère à la hauteur, on ne peut pas en dire autant du lettrage, souvent mal centré dans les phylactères (de quoi défigurer les belles planches de Pellejero) et d'autres erreurs assez génantes : les paroles d'un personnage atribuées à un autre, par exemple.
Cette collec patte de mouche m'intrigue toujours autant.
Là encore, on trouve un album assez différent de ce qu'on peut lire d'habitude, mais qui n'est pas du tout creusé, comme si l'auteur jetait ses idée sans vouloir les exploiter.
C’est dommage, parce que l'idée de départ aurait mérité d'être fouillée beaucoup plus.
Même le dessin semble assez léger, sans forcer.
Bref, vu le prix, le temps de lecture, et le plaisir apporté, je trouve cet album assez ridicule.
Tome 1 : 0.5 /5.
Y'a vraiment rien d'intéressant dans le T1. A la limite ce serait du 3° degré, ça aurait pu être marrant mais là même pas. L'histoire est complètement grotesque, le personnage de Placido ne sert à rien du tout (il ne dit rien pendant toute la BD !), le personnage de Hiram n'est guère mieux. Le scénario semble avoir été écrit un soir de fête juste avant d'aller se coucher et les persos sont baclés. Le dessin est vraiment très très moyen, pour ne pas dire pire. Bref : a oublier.
Tome 2 : 2/5.
Je sais c'est pas bon comme note mais comme le T1 valait à peine 1/5, le T2 semble être un chef d'oeuvre à côté! Le dessin est largement meilleur, Placido parle (si si, 1 fois!). Et pourtant ! Y'a encore des ficelles énormes même si le scénario n'est pas du 100% n'importe quoi comme dans le T1. Là on se doute de quelques trucs, on n'est jamais surpris en fait. Mais bon, "Les ogres", ce tome 2, tout en restant une BD vraiment moyenne, est bien au dessus du T1!
Au final, une série à réserver aux fans inconditionnels de David B. ou de C. Blain (voir des 2) parce que franchement, moi ça m'a plutôt fait suer :(
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Larme Ultime
Les Eternels
J'ai lu cette bd sous l'influence de son illustration que je trouve vraiment de bonne qualité... Le graphisme est plutot moderne et assez "rond" mais sert efficacement un scénario assez interessant qui a le mérite de traiter d'un sujet inédit (enfin, je pense). Pour un premier tome, l'histoire est plutot encourageante, et pose les bases de ce qui peut s'annoncer être une bonne série...Les personnages sont bien présentés, mais un peu trop carricaturaux. Cependant, l'ensemble reste agréable à lire, mais pour le moment ne laisse pas un souvenir imperissable.
Le Fléau des Dieux
Désolé de faire baisser la moyenne de cette série mais de toute façon un jour ou l'autre je l'aurai fait. Je n'ai VRAIMENT pas aimé cette BD : mon 2/5 est principalement basé sur le dessin (qui est vraiment tres beau) mais le reste... J'ai eu beaucoup de mal a finir cette BD car je trouve le scénario long et pénible a lire. Je n'aime pas le mélanges antiquité/moderne et c'est sans doute cela qui me procure aucun plaisir en la lisant. Bref, Soleil est encore tres decevant...
Gunnm
Oulà, grosse déception que ce manga. Il faut dire que dans le domaine, ma culture est assez limitée. Encouragé à explorer plus loin ce domaine par la vision de quelques excellents films d'animation japonais (Princesse Mononoke, le Voyage de Chihiro, Ghost in the Shell,...) j'ai eu envie de découvrir d'autres mangas. Autant j'avais beaucoup apprécié Akira, et son ambiance très particulière, autant ici, j'ai vraiment eu l'impression que toute l'histoire n'était qu'un prétexte pour envoyer l'héroïne (au demeurant très jolie, j'en conviens) de combat en combat. Et moi, les combats...bof (surtout sur papier, où ça passe assez mal je trouve). C'est vrai que l'univers qui entoure Gally a un fort potentiel, et l'on ne cesse de se poser des questions sur l'intrigante Zalem, mais bon, cela ne va pas bien loin... Sur un tome, la proportion de pages consacrées à ce qui m'intéresse dans cette histoire est bien maigre... le reste n'est que baston. Certes, Gunnm est un manga joliment dessiné, mais sa lecture ne m'a pas du tout passionné, et j'ai dû un brin forcer pour le terminer.
Les Gardiens du Maser
Une petite note defavorable pour cette serie que je trouve trop confuse a mon gout... J ai du mal a suivre la trame de l histoire et je decroche au fur et a mesure que les planches s ecoulent. Dommage, car c est une bd esthetiquement tres agreable...
Noémie contre la Rumeur
Bon, entendons-nous bien, j'aime beaucoup Nicolas Poupon, aussi bien le mec que son oeuvre, mais "Noémie", c'est pas celui de ses bouquins que je préfère. Et c'est un peu normal, d'ailleurs, parce que c'est un livre pour enfants, et que j'ai un peu passé l'âge. C'est joli, c'est sympa, le message est tout simple mais pas bête, mais c'est super court et ça ne s'adresse vraiment qu'aux gosses.
Hôtel Noir
Que voilà un album étrange... Déjà, son look, qui rappelle à la fois McKean pour les décors et surtout, pour les personnages, "The Dark Eye" (un vieux jeu méconnu sur PC, inspiré des textes d'Edgar Poe) ou encore le clip "Sober" de Tool (bref, c'est vous dire si c'est gai et mignon), peut en rebuter plus d'un. Mais surtout, il m'a fallu la lire deux fois avant d'avoir l'impression de comprendre à peu près ce que ça racontait... c'est-à-dire pas grand chose. Or, moi, je suis sans doute vieux jeu, mais j'aime bien quand il y a une histoire, même basique, dans une BD, et pas seulement une succession de textes abscons. Là, à force de jouer la carte du mystère, du non-dit, l'auteur donne finalement l'impression qu'il n'avait rien à raconter. Alors, c'est pas que son bouquin soit inintéressant ; le mélange dessin+photos de figurines en pâte à modeler en fait une curiosité sur laquelle il vaut le coup de jeter un oeil, mais honnêtement, je n'ai pas du tout, du tout accroché. Signalons que le bouquin est fourni avec un CD-Rom de "making of" réalisé par La Berlue. La présentation est sobre mais élégante ; le contenu est un peu décevant (il n'y a aucune vidéo, pas d'interview des auteurs, que des photos et des dessins). La piste audio du CD, signée Tez und Jonaz Bering, est un morceau genre techno-indus assez naze.
Tabou
Rien à redire sur le dessin de Pellejero, même si je le préfère en couleurs, son noir et blanc est beau, intense, sensuel et généreux. Les ambiances nocturnes sont très réussies. Mais le scénario de cet album m’a franchement laissé sur ma faim. Sur cet album, Zentner a manqué un peu d’ambition je trouve. Son histoire de meurtres en série démarre sur les clichés du genre et se termine d’une manière assez peu passionnante. Tout au long de l’album, l’intrigue se perd dans des digressions assez peu intéressantes qui alourdissent l’histoire plutôt qu’elles ne l’enrichissent : la vie conjugale de l’inspecteur, par exemple. L’enquête se résout presque d’elle-même sans grand suspens. Le scénariste a visiblement voulu s’écarter de tous les schémas narratifs classiques. Pourquoi pas, je suis le premier à souhaiter la redécouverte d’autres styles narratifs, mais ici, je vois mal ce qu’on y gagne, cela manque un peu d’émotion et de propos, tout simplement. C'est bizarre, ma première lecture, il y a trois ans d'ici, avait été plus enthousiaste, comme en témoigne l'avis que j'avais posté sur Bd paradisio, mais aujourd'hui, à la relecture, je trouve l'album assez faible. P.S. : Un mauvais point pour l'éditeur, si la traduction s'avère à la hauteur, on ne peut pas en dire autant du lettrage, souvent mal centré dans les phylactères (de quoi défigurer les belles planches de Pellejero) et d'autres erreurs assez génantes : les paroles d'un personnage atribuées à un autre, par exemple.
Le coeur des ombres
Cette collec patte de mouche m'intrigue toujours autant. Là encore, on trouve un album assez différent de ce qu'on peut lire d'habitude, mais qui n'est pas du tout creusé, comme si l'auteur jetait ses idée sans vouloir les exploiter. C’est dommage, parce que l'idée de départ aurait mérité d'être fouillée beaucoup plus. Même le dessin semble assez léger, sans forcer. Bref, vu le prix, le temps de lecture, et le plaisir apporté, je trouve cet album assez ridicule.
Hiram Lowatt & Placido
Tome 1 : 0.5 /5. Y'a vraiment rien d'intéressant dans le T1. A la limite ce serait du 3° degré, ça aurait pu être marrant mais là même pas. L'histoire est complètement grotesque, le personnage de Placido ne sert à rien du tout (il ne dit rien pendant toute la BD !), le personnage de Hiram n'est guère mieux. Le scénario semble avoir été écrit un soir de fête juste avant d'aller se coucher et les persos sont baclés. Le dessin est vraiment très très moyen, pour ne pas dire pire. Bref : a oublier. Tome 2 : 2/5. Je sais c'est pas bon comme note mais comme le T1 valait à peine 1/5, le T2 semble être un chef d'oeuvre à côté! Le dessin est largement meilleur, Placido parle (si si, 1 fois!). Et pourtant ! Y'a encore des ficelles énormes même si le scénario n'est pas du 100% n'importe quoi comme dans le T1. Là on se doute de quelques trucs, on n'est jamais surpris en fait. Mais bon, "Les ogres", ce tome 2, tout en restant une BD vraiment moyenne, est bien au dessus du T1! Au final, une série à réserver aux fans inconditionnels de David B. ou de C. Blain (voir des 2) parce que franchement, moi ça m'a plutôt fait suer :(