Alerté par l'enthousiasme debridé des habitués de ce lieu, je m'en suis aller emprunter l'ouvrage à la bibliotheque locale.
Je comprends maintenant pourquoi ce livre m'avait echappé à sa sortie:
C'est tres laid! je ne comprends pas l'engouement pour ce type de graphisme. ok: y a des couleurs chotoyantes, mais quel cache misère! Rien ne tient debout... c'est crasseux, et bancal, limite fanzineux par moment.
L'histoire quant à elle se laisse certe lire, car la narration est proprette, mais je n'ai pas non plus adheré a l'humour "ado".
Oulala, je n'ai pas aimé du tout!
En fait, je crois que ce genre de bédés a un public, et que je n'en fais pas partie.
Ce genre d'histoires familiales m'ennuie profondément. Pas la moindre évasion, pas un seul soupçon de rêve. Rien que du très concret et du très habituel, du banal, du plat... Bref, une histoire qui ne m'a pas du tout intéressé...
Ceci dit, ce n'est pas le genre de bédé que j'aurais achetée, je sais pertinemment bien que je n'aime pas les histoires romantico-bucoliques de Servais...mais bon, on me l'a offerte, alors je l'ai tout de même lue.
Trouvé par hasard chez un bouquiniste, "SOS Météores" me tombe dans les mains. "Chouette, un Blake et Mortimer, je vais enfin en lire un !", me dis-je. Car je ne connaissais jusqu'à présent que l'adaptation en dessin animé (qui me paraît très correcte par rapport à par exemple celle de Tintin).
Eh bien... Comment dire ? J'hésite entre revendre immédiatement ce... truc, ou le garder pour avoir sous la main le parfait exemple de ce qu'il ne faut pas faire en BD.
Attention ! Je ne dis pas que Jacobs n'est pas un grand monsieur, qu'il n'a pas contribué à la Bande Dessinée avec un grand "B" ! Simplement, au regard des productions actuelles (et de mes goûts, bien sûr !), c'est vraiment, mais alors vraiment pas génial...
Le plus frappant, ce sont bien sûr les textes explicatifs, qui doublent l'action et les bulles -- bulles qui soit dit en passant, sont déjà fort conséquentes. Au moins dans Flash Gordon, l'auteur avait eu la décence de ne laisser que les légendes... C'est lourd. Très lourd. En fait, ça enlève toute la subtilité que le dessin aurait pu avoir. Comparer ça à Vagues à l'âme, ou Quelques jours avec un menteur, où les expressions et/ou les silences sont très parlant, n'est décidément pas en faveur de Blake & Mortimer !
Ensuite, le scénario date un peu. Parce que bon, en voyant la couverture et en lisant le début, on a vite compris le fin mot de l'histoire. Et pendant ce temps là, Mortimer patauge lamentablement... Côté suspense, ça n'est donc pas ça.
Les dessins passent encore bien (même s'ils sont très "classiques"), rien à redire.
Bref, vous lisez ça si vous voulez, moi je ne vais certainement pas continuer.
Le principal intérêt de "Liberty, un rêve américain", bien plus que son personnage principal et ses exploits guerriers, était ce terrible monde futur qu'il dépeignait, notamment au travers de faux reportages, faux articles de magazines, fausses pubs... Malheureusement, tout cela disparaît presque totalement dans ce deuxième épisode, pour se focaliser totalement sur le personnage de Martha, et sur ses aventures rocambolesques. Le résultat est une BD ratée au scénario franchement idiot.
Moui... traduction assez pourrie, donc effet déplorable. Le personnage a beaucoup plus de ressource que ça, non ? Je connaissais déjà le film, et je ne sais pas lequel des deux a été adapté, mais le film est nettement mieux, qu'on se le dise. (enfin, dans mon souvenir, il est mieux...) En tout cas vous ne passsez pas à côté d'un chef d'oeuvre si vous faites impasse sur "Tank girl" dans vos achats bds de noël...
Noooooon ! Hérésie ! Blasphème ! Beurk ! Mais quelle déchéance ! F'rait mieux de nous boucler kooka, le Crisse, plutot que de finasser son Atalante et trainer sur son kooka-universe. Mitric au dessin, c'est déplorable, ça retire toute l'ampleur de la série. Et le scénar, parlons-en... qu'est ce que c'est que ce sniper tendre comme une guimauve ? Je rêve... en tout cas c'est laid et décevant.
colt walker c'est : un scénar incompréhensible, presque impossible à suivre, avec un découpage maladroit à l'extrême, et un dessin... d'une immondice crasse et épaisse, rare pourtant mais là, j'avoue qu'ils se sont surpassés. quand je pense qu'il existe des jeunes talents par milliers qui pleurent pour avoir leur planches marquées du sceau de ces éditions, et que c'est cette daube infâme qu'ils choisissent ! là c'est plus de l'inconscience, c'est de l'aveu d'alcoolisme...
J'avais acheté les quatres premiers tomes à leur sortie. Je me souviens qu'ils étaient même pas cartonnés. D'ailleurs les albums brochés de cette époque étaient moins chers. C'était intéressant pour les gens qui n'avaient pas beaucoup de moyens. Enfin soit, revenons à notre flic 212. Et bien, il n'y a pas grand chose à dire, c'est de l'humour de grande surface. Le dessin est impersonnel et les gags sont prévisibles. Une machine à fric comme Dupuis aime les faire. "Tiens ! Je me lancerais bien dans la bd, moi. Je sens qu'il a moyen que je gagne beaucoup des sousous. je suis peut-être pas compétent mais apparemment c'est pas un critère. Maman va être contente, elle qui me traîte toujours de bon-à-rien." Pfff !
C'est pas drôle, ça sent la naphtaline, ça tourne désespérement en rond.
En voilà, une bd qui reflète une agréable image des étudiantes en fac... Hélène et les garçons une génération au dessus. Ca n'arrange rien.
Niaiserie assurée.
Il y a des forts échos d'Aldébaran, là dedans... je ne parle évidemment pas du dessin, mais bien du scénario. Ça se joue sur les mêmes critères : la découverte de bestiaux inconnus, oho, y'aurait-il un autre monde à portée de main ? Et bien moi, c'est justement parce que j'aime Aldébaran que je n'aime pas "kenya". Il faudrait penser à changer de registre.
Si on rajoute à cela la laideur des personnages, défaut caractéristique de Léo, on obtient un ensemble plat, fade, dont on décroche facilement.
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Spoogue
Alerté par l'enthousiasme debridé des habitués de ce lieu, je m'en suis aller emprunter l'ouvrage à la bibliotheque locale. Je comprends maintenant pourquoi ce livre m'avait echappé à sa sortie: C'est tres laid! je ne comprends pas l'engouement pour ce type de graphisme. ok: y a des couleurs chotoyantes, mais quel cache misère! Rien ne tient debout... c'est crasseux, et bancal, limite fanzineux par moment. L'histoire quant à elle se laisse certe lire, car la narration est proprette, mais je n'ai pas non plus adheré a l'humour "ado".
Fanchon
Oulala, je n'ai pas aimé du tout! En fait, je crois que ce genre de bédés a un public, et que je n'en fais pas partie. Ce genre d'histoires familiales m'ennuie profondément. Pas la moindre évasion, pas un seul soupçon de rêve. Rien que du très concret et du très habituel, du banal, du plat... Bref, une histoire qui ne m'a pas du tout intéressé... Ceci dit, ce n'est pas le genre de bédé que j'aurais achetée, je sais pertinemment bien que je n'aime pas les histoires romantico-bucoliques de Servais...mais bon, on me l'a offerte, alors je l'ai tout de même lue.
Blake et Mortimer
Trouvé par hasard chez un bouquiniste, "SOS Météores" me tombe dans les mains. "Chouette, un Blake et Mortimer, je vais enfin en lire un !", me dis-je. Car je ne connaissais jusqu'à présent que l'adaptation en dessin animé (qui me paraît très correcte par rapport à par exemple celle de Tintin). Eh bien... Comment dire ? J'hésite entre revendre immédiatement ce... truc, ou le garder pour avoir sous la main le parfait exemple de ce qu'il ne faut pas faire en BD. Attention ! Je ne dis pas que Jacobs n'est pas un grand monsieur, qu'il n'a pas contribué à la Bande Dessinée avec un grand "B" ! Simplement, au regard des productions actuelles (et de mes goûts, bien sûr !), c'est vraiment, mais alors vraiment pas génial... Le plus frappant, ce sont bien sûr les textes explicatifs, qui doublent l'action et les bulles -- bulles qui soit dit en passant, sont déjà fort conséquentes. Au moins dans Flash Gordon, l'auteur avait eu la décence de ne laisser que les légendes... C'est lourd. Très lourd. En fait, ça enlève toute la subtilité que le dessin aurait pu avoir. Comparer ça à Vagues à l'âme, ou Quelques jours avec un menteur, où les expressions et/ou les silences sont très parlant, n'est décidément pas en faveur de Blake & Mortimer ! Ensuite, le scénario date un peu. Parce que bon, en voyant la couverture et en lisant le début, on a vite compris le fin mot de l'histoire. Et pendant ce temps là, Mortimer patauge lamentablement... Côté suspense, ça n'est donc pas ça. Les dessins passent encore bien (même s'ils sont très "classiques"), rien à redire. Bref, vous lisez ça si vous voulez, moi je ne vais certainement pas continuer.
Martha Washington - Temps de guerre (Goes to War)
Le principal intérêt de "Liberty, un rêve américain", bien plus que son personnage principal et ses exploits guerriers, était ce terrible monde futur qu'il dépeignait, notamment au travers de faux reportages, faux articles de magazines, fausses pubs... Malheureusement, tout cela disparaît presque totalement dans ce deuxième épisode, pour se focaliser totalement sur le personnage de Martha, et sur ses aventures rocambolesques. Le résultat est une BD ratée au scénario franchement idiot.
Tank Girl
Moui... traduction assez pourrie, donc effet déplorable. Le personnage a beaucoup plus de ressource que ça, non ? Je connaissais déjà le film, et je ne sais pas lequel des deux a été adapté, mais le film est nettement mieux, qu'on se le dise. (enfin, dans mon souvenir, il est mieux...) En tout cas vous ne passsez pas à côté d'un chef d'oeuvre si vous faites impasse sur "Tank girl" dans vos achats bds de noël...
Kookaburra Universe
Noooooon ! Hérésie ! Blasphème ! Beurk ! Mais quelle déchéance ! F'rait mieux de nous boucler kooka, le Crisse, plutot que de finasser son Atalante et trainer sur son kooka-universe. Mitric au dessin, c'est déplorable, ça retire toute l'ampleur de la série. Et le scénar, parlons-en... qu'est ce que c'est que ce sniper tendre comme une guimauve ? Je rêve... en tout cas c'est laid et décevant.
Colt Walker
colt walker c'est : un scénar incompréhensible, presque impossible à suivre, avec un découpage maladroit à l'extrême, et un dessin... d'une immondice crasse et épaisse, rare pourtant mais là, j'avoue qu'ils se sont surpassés. quand je pense qu'il existe des jeunes talents par milliers qui pleurent pour avoir leur planches marquées du sceau de ces éditions, et que c'est cette daube infâme qu'ils choisissent ! là c'est plus de l'inconscience, c'est de l'aveu d'alcoolisme...
L'Agent 212
J'avais acheté les quatres premiers tomes à leur sortie. Je me souviens qu'ils étaient même pas cartonnés. D'ailleurs les albums brochés de cette époque étaient moins chers. C'était intéressant pour les gens qui n'avaient pas beaucoup de moyens. Enfin soit, revenons à notre flic 212. Et bien, il n'y a pas grand chose à dire, c'est de l'humour de grande surface. Le dessin est impersonnel et les gags sont prévisibles. Une machine à fric comme Dupuis aime les faire. "Tiens ! Je me lancerais bien dans la bd, moi. Je sens qu'il a moyen que je gagne beaucoup des sousous. je suis peut-être pas compétent mais apparemment c'est pas un critère. Maman va être contente, elle qui me traîte toujours de bon-à-rien." Pfff !
Julie, Claire, Cécile
C'est pas drôle, ça sent la naphtaline, ça tourne désespérement en rond. En voilà, une bd qui reflète une agréable image des étudiantes en fac... Hélène et les garçons une génération au dessus. Ca n'arrange rien. Niaiserie assurée.
Kenya
Il y a des forts échos d'Aldébaran, là dedans... je ne parle évidemment pas du dessin, mais bien du scénario. Ça se joue sur les mêmes critères : la découverte de bestiaux inconnus, oho, y'aurait-il un autre monde à portée de main ? Et bien moi, c'est justement parce que j'aime Aldébaran que je n'aime pas "kenya". Il faudrait penser à changer de registre. Si on rajoute à cela la laideur des personnages, défaut caractéristique de Léo, on obtient un ensemble plat, fade, dont on décroche facilement.