Les derniers avis (7457 avis)

Couverture de la série Gaston Lagaffe
Gaston Lagaffe

Que dire de plus ? Si vous ne la connaissez pas, lisez-la ! Incontournable, bourré d'idées, d'inventivité, de personnages cultes, drôlissime... Si seulement on avait plus de scénaristes comme Franquin ! (peut-être en moins dépressif quand même ?)

30/04/2002 (modifier)
Couverture de la série Calvin et Hobbes
Calvin et Hobbes

Non mais vous vous rendez compte ? Jusqu'à il y a à peine un mois, je n'en avais jamais lu !!! Eh ben c'est génial ! Il y a plein plein plein de bonnes idées, plus ou moins déjantées (j'adore les strips concernant la gravité !). Les dessins sont incroyables, comment peut-on dessiner de pareilles expressions sans être mort de rire ?! J'adore !

30/04/2002 (modifier)
Par SuperFox
Note: 5/5
Couverture de la série Kaleunt
Kaleunt

Une BD surprenante, tout d’abord, par son point de vue peu classique : celui de soldats allemands de la Seconde Guerre – des inféodés aux nazis, donc… Évidemment, pas la moindre idéologie nauséabonde là-dedans : il s’agit juste d’un parti-pris de l’auteur, qui manifestement désire ainsi montrer que la guerre était dure pour tout le monde, que ces marins étaient là et tâchaient d’accomplir leur devoir, même s’ils ne se trouvaient pas dans le bon camp. Mais ça, c’est encore secondaire… Cette BD est glauque à souhait, et insiste, à travers un mode de narration qui se veut légèrement désuet mais renforce l’atmosphère, sur les atrocités, l’éprouvante oppression occasionnée par ces conditions terribles. Solidarité entre les hommes, personnage réfléchi et impassible quoique charismatique de l’officier (Kaleunt), âpreté de la vie de ces sous-mariniers, cette BD est tout ça à la fois… Des esprits un peu chagrins y pourront voir, en plus, une allégorie de la condition humaine, à mon sens digne des grandes tragédies de l’Histoire. Sublime - même si on ne doit plus la trouver que chez les bouquinistes.

30/04/2002 (modifier)
Couverture de la série Les Cités obscures
Les Cités obscures

"La tour" m'a fait découvrir cette série étrange et atypique que sont "Les cités obscures", et j'ai été immédiatement conquis. Si certains albums, comme "L'enfant penchée" ont un scénario peut-être moins élaboré que d'autres ("La tour", "Brüssel", "La fièvre d'Urbicande"), la variété est toujours au rendez-vous; on ne peut ainsi que difficilement comparer "L'archiviste" à "L'écho des cités" ou à "La frontière invisible". A propos de ce dernier album, je vous le recommande vivement : on y trouve le même sens du mystère et de la découverte - voire de l'absurde - que dans "La tour". Culte, sans aucun doute, mais ça ne plaira pas à tout le monde.

29/04/2002 (modifier)
Couverture de la série Le Sommeil du Monstre
Le Sommeil du Monstre

Tome 1 : Le sommeil du monstre
C'est nul !!! Seul le 1er tome de cette trilogie est disponible !!! Et il est tellement bien (même s'il est au départ un peu difficile de rentrer dans l'intrigue) que maintenant je reste sur ma faim ! Allez, m'sieur Bilal, la suite, s'il vous plaît !!! (N.B. : avis particulèrement débile illustrant très bien ce que je dis dans le dernier paragraphe de mon avis sur le tome 2...)
Tome 2 : 32 décembre
Après avoir relu « Le sommeil du monstre », c’est avec ardeur que je me suis jeté sur « 32 décembre ». Et je n’ai pas été déçu… Le graphisme si particulier de Bilal atteint ici des sommets, bien qu’on puisse le trouver assez peu dynamique et plutôt figé, exprimant peu le mouvement, mais le moins que l’on puisse dire est qu’il est superbe, à la fois extrêmement travaillé et donnant une impression de croquis, certainement original, et parfois très lourd de symboles (trop lourd, pense-t-on parfois). La narration de l’album est – comme son prédécesseur – très particulière. Aux phylactères des personnages, parfois presque anecdotiques, s’ajoute une narration très dense, jamais redondante, qui fait très roman. Comme si cela ne suffisait pas, le découpage en trois points de vue (Nike, Amir et Leyla), complètement maîtrisé lui aussi, est original dans sa forme à défaut de l’être dans son principe. Saupoudrez le tout de quelques coupures de journaux, et vous aurez une narration originale, mais surtout complètement déterminée par l’auteur. En effet, cet ouvrage est d’une complexité dans les thèmes abordés qui se révèle stupéfiante. Je prendrai pour exemple le thème de l’identité : deux doubles de Nike ont été créés, tous deux se croient être le seul et véritable Nike, et lui-même doute d’être l’original… Cette thématique (également abordée de manière plus anecdotique et poétique dans « Naciré et les machines », de Pontarolo) est traitée ici avec une telle virtuosité qu’elle m’en a laissé la gorge serrée, sans voix aucune. Mais elle est loin d’être la seule : Bilal pioche parmi ce dont il a besoin et créé un tout extrêmement riche et dense, tout en conservant une lecture très fluide et agréable. Ce deuxième tome révèle malgré tout quelques petites… choses qui tempèrent (légèrement !) mon enthousiasme… Comme le docteur Warhole, qui de méchant sinistre, calculateur, inquiétant et mystérieux dans le précédent tome, passe ici plutôt pour un fou, un méchant un peu caricatural façon comics…Comme l’intrigue du site de l’Aigle, qui – en attendant bien sûr la suite qui confirmera ou infirmera cette impression – s’avère être très classique dans sa forme… Comme encore le côté « mémoire absolue » de Nike, qui ici disparaît alors qu’il fondait « Le sommeil du monstre »… Enfin… Cette série d’une grande densité, d’une qualité réelle, d’un graphisme superbe, me semble pour l’instant absolument incontournable. Par contre, sa complexité et sa maîtrise même me semblent ne pas la destiner à l’amateur occasionnel qui ne pourra en apprécier qu’une petite partie. (… comme moi à la lecture du tome 1…)

29/04/2002 (modifier)
Par sousoune
Note: 5/5
Couverture de la série Garfield
Garfield

Merveilleux !!! Combien de fou rires j'ai eu à cause de ce c** de chat !!! Il me ressemble sur pleins de choses et il est super !!! A connaitre absolument !!!

28/04/2002 (modifier)
Par sousoune
Note: 5/5
Couverture de la série GTO - Great Teacher Onizuka
GTO - Great Teacher Onizuka

j'ai tous les tomes sortis et je ne demande qu'une chose, la suite !!! ce prof est génial et derrière son coté de looser, on l'aime !!! Eikichi Onizuka, 22 ans, est vraiment un great teacher !!!

28/04/2002 (modifier)
Couverture de la série Le réducteur de vitesse
Le réducteur de vitesse

L'ambiance qui se dégage de cette bd est indescriptible de force et d'émotion. Les héros se déplacent dans le bateau comme dans les entrailles d'un monstre de fer terrifiant. C'est ce bateau le personnage principal. Les dessins de Blain sont en parfait accord avec cette avancée dans les abimes du monstre de fer. La narration est d'un efficacité imparable. Un chef d'oeuvre

27/04/2002 (modifier)
Couverture de la série Donjon Zenith
Donjon Zenith

Je mets encore une bonne note, mais j'ai tendance à noter ce que j'aime. L'humour est omniprésent dans cette série, que ce soit du très fin ou du quasi-scatologique. En tout cas Sfar et Trondheim ne se prennent pas au sérieux, et nous emmènent dans leurs délires.En plus, l'univers créer dans les multiples branches de la série, rest très cohérent. Alors on prend un grand plaisir à suivre les différents personnages dans toutes ces aventures. C'est à consommer sans modération.

27/04/2002 (modifier)
Couverture de la série Sillage
Sillage

Cette série est superbe, Navis est un personnage plein de caractère, avec des hauts et des bas, mais toujours plein de volonté et c'est ce qui fait son charme. Le dessin est génial, avec des couleurs au top. Le changement de style (s-f, steam-punk, heroic-fantasy...) apporte une diversité positive. Mon album préféré est le tome 3 dans l'univers steam-punk, l'ambiance et l'histoire sont scotchantes. Les autres n'en restent pas moins excellentissimes. Le tome 5 reste aussi bon, avec un sujet d'actualité traité par de la science-fiction. L'histoire est vraiment très prenante et dense. Par contre il y a des problèmes sur quelques cases de taille pour Navis, qui change de physionomie, mais rien cependant qui gache le plaisir.

27/04/2002 (modifier)