Fanny Vella parvient assez bien à s’accommoder des contraintes importantes du support (très petit format, faible pagination), pour développer un petit récit intéressant. Certes pas très dense, mais qui finit par faire réfléchir, avec la chute – attendue il est vrai – autour de ce que peut ressentir un gamin lorsqu’il est trimbalé par ses parents et vécu ou présenté comme une contrainte.
Rien d’extraordinaire, mais c’est le type de récit qui convient à ce genre de collection (comme les Patte de Mouche aussi).
A découvrir à l’occasion.
Un bon moment pas compliqué !
De très belles couleurs sur un dessin sympathique mettent en scène l'histoire d'une adolescente nord américaine, Almudena qui va passer deux mois de vacances chez son père guatémaltèque, qu'elle n'a jamais rencontré jusque-là, pendant que sa mère, danseuse, fait une tournée.
Ce n'est pas profond, ce n'est pas subtile, mais c'est agréable à regarder, c'est plein de bons sentiments. Son père habite un quartier pauvre, plein de violence mais aussi de liens sociaux variés et interdépendants. Il ne parle pas anglais : le père et la fille passent deux mois à faire des travaux dans la maison et à s'apprivoiser.
Les seconds rôles nous distraient et font avancer la jeune fille vers une meilleure compréhension de sa culture : Parfait cadeau pour un.e pré-ado ! (parents divorcés, ou à la recherche de ses origines culturelles, ou en quête de dépaysement ...)
Un beau récit sur la misère et l'exploitation des pêcheurs gambiens qui doivent courber l'échine sous la férule d'un capitalisme effréné et mortifère. Les planches de Pendanx nous transportent dans ce pays méconnu d'Afrique de l'ouest et sont toujours aussi réussies, l'auteur lui évoque la situation catastrophique de ces habitants avec pudeur et sincérité, le récit est presque un peu trop sage, évite parfois de justesse le manichéisme et la comparaison avec le superbe Kililana Song est presque inévitable, on ne retrouve ni la galerie de personnages savoureux et hauts en couleur ni la poésie de Flao, même si Laurent Galandon tente une incursion bienvenue dans l'imaginaire à l'image des volutes de fumée qui font penser à l'inquiétant upside down de Stranger things. Cela reste une lecture de qualité, tout à fait recommandable. Et savoir que cet ouvrage a été distribué à une centaine d'enfants gambiens qui reconnaîtront très certainement leur quotidien ne peut que toucher le lecteur et souligner la démarche authentique des auteurs.
3,5/5
On est effectivement loin des standards du " Serpent et du coyote ", pas désagréable, mais bancal à plusieurs reprises et des personnages loin d'être aussi futés que dans le premier opus (doux euphémisme). Des séquences parfois artificielles et en terme de fin ouverte (pour ne pas dire bâclée), celle de " L'or du spectre " laisse un peu perplexe...
Un clin d'œil au " Spectre aux balles d'or " du duo mythique de Blueberry, mais ce n'est pas suffisant. Un emprunt suffit amplement.
Une lecture apéro rapide et pas désagréable, mais qui laisse un goût de trop peu.
La lecture est très rapide – format oblige – mais Jika cherche à maintenir un certain suspens jusqu’à la chute. C’est à la fois trop étiré et trop rapide globalement, mais ça se laisse lire (le dessin, simple et aéré est plaisant).
Une petite remise en cause de certains clichés autour du rôle de la femme.
Note réelle 2,5/5.
Difficile de développer quelque chose sur un si petit format. Mais cette collection sert aussi à faire découvrir certains auteurs – et c’est le cas ici.
Tout est dans le titre en fait en matière d’histoire ! L’auteur – dont c’est la première et unique publication à ce jour – a commencé comme stagiaire chez Rouquemoute, pour accompagner les auteurs au Hellfest. On y voit donc l’auteur lui-même qui se met en scène, mais aussi Pixel Vengeur en dédicace.
L’intrigue est minimaliste, avec un peu d’humour et d’auto-dérision. Si Baptiste Tanguy poursuit dans la BD, on peut déjà lui reconnaître un talent de dessinateur. Son trait est agréable et dynamique, et le stagiaire a ici fait ses preuves.
Pour ce qui est de la lecture, elle est évidemment très rapide, et il manque un je ne sais quoi pour la rendre plus caustique. Mais ma note tient compte des contraintes du format. C’est une collection apéro.
Note réelle 2,5/5.
Ma note tient compte des contraintes liées au format(très petit), et à la faible pagination, car c’est très très vite lu, et les auteurs ne développent pas grand-chose finalement.
Mais cette lecture est plutôt plaisante. Le dessin de Witko, caricatural, est agréable, et le scénario de Nena joue sur un humour bon enfant, en ménageant une chute rigolote. Le personnage du roi, totalement désinvolte face à ses devoirs de père, est plutôt amusant.
Comme les autres opus des Bandes Dessinées à Poster, c’est une lecture apéro, dans une collection qui globalement est intéressante.
La principale frustration réside dans les contraintes inhérentes à cette collection (très petit format, seulement 16 pages), pas forcément adaptée pour développer une histoire consistante. A cela s’ajoute ici le choix de Jake Raynal de raconter un souvenir d’enfance – ou d’adolescence – marquant mais qui ne fait que questionner.
En effet, suite à quelques jeux avec des copains, il s’est introduit chez quelqu’un en banlieue parisienne (au Vésinet), et y a vu une flopée d’objets, vêtements nazis. Raynal questionne ensuite ce souvenir, cherche à comprendre comment cela pouvait se trouver à cette époque (années 1980) et en ce lieu.
Ça n'est pas en soi inintéressant, mais on reste sur les questions de l’auteur, puisqu’aucune réponse n’est vraiment donnée. Reste donc une anecdote intrigante…
Le dessin de Raynal, très classique et réaliste, est très bon, comme son utilisation du Noir et Blanc.
Note réelle 2,5/5.
Avec son compère Jake Raynal – qui a d’ailleurs simultanément publié un opus dans la même collection – Claire Bouilhac nous propose depuis quelques années chez Cornélius les histoires désopilantes de Francis.
On la retrouve ici en auteure complète. Avec ses contraintes (tout petit format, seulement 16 pages !), il est bien évidemment difficile de développer une histoire. Mais Bouilhac y parvient quand même – même si forcément, c’est lapidaire.
Jamais réellement située, l’intrigue se déroule probablement à la charnière des XVIème et XVIIème siècles. Une histoire hélas bien connue de superstitions, d’hypocrisie, avec une femme accusée sans pouvoir se défendre par des hommes, et qui finit sur le bûcher.
Un petit amuse-gueule réussi, avec un dessin classique et agréable, mais quelque peu frustrant, format oblige.
J’ai d’emblée été gêné par le style graphique utilisé par l’auteure, pas vraiment mon truc – mais c’est affaire de goût et d’autres peuvent davantage accrocher. Mais cet apriori négatif et la lecture ultra rapide et une intrigue très peu développée me faisaient aller doucement vers deux étoiles.
Mais finalement je vais mieux noter cet album. Passons sur le dessin et ces visages sans trait (ce que je n’aime pas) et une esthétique plus décorative qu’autre chose. Mais Marie Baudet, par petites touches et sans hélas densifier trop son histoire, parvient tout de même à brosser le portrait d’un pauvre type, Sylvain Fardot, acteur de feuilleton télévisé dont le personnage – seul titre de gloire et de rémunération – disparait brutalement de la série.
Fardot se réfugie chez ses parents – et sa frangine – pour se ressourcer. C’est en fait est un personnage insupportable. Seuls ses parents, anesthésiés par jeux et séries télévisées débiles semblent ne pas en souffrir. Mais sa sœur pète régulièrement un câble face au mollusque geignant qui squatte les toilettes et parasite ses proches.
Fardot est un gros loser, qui pète bien plus haut que son cul, et ses rêves de renaissance médiatique finissent pitoyablement dans le rayon charcuterie du supermarché du coin. Il y a quelques moments savoureux, un humour noir, un peu absurde et cynique autour de Fardot, mais si ça sauve la lecture, celle-ci est trop rapide, et Marie Baudet aurait pu davantage développer l’histoire, comme Fabrice Caro sait le faire sur des sujets proches et sur un ton lui aussi caustique dans ses derniers romans.
Note réelle 2,5/5.
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Fanny Vella parvient assez bien à s’accommoder des contraintes importantes du support (très petit format, faible pagination), pour développer un petit récit intéressant. Certes pas très dense, mais qui finit par faire réfléchir, avec la chute – attendue il est vrai – autour de ce que peut ressentir un gamin lorsqu’il est trimbalé par ses parents et vécu ou présenté comme une contrainte. Rien d’extraordinaire, mais c’est le type de récit qui convient à ce genre de collection (comme les Patte de Mouche aussi). A découvrir à l’occasion.
Almudena - Le Temps d'un été
Un bon moment pas compliqué ! De très belles couleurs sur un dessin sympathique mettent en scène l'histoire d'une adolescente nord américaine, Almudena qui va passer deux mois de vacances chez son père guatémaltèque, qu'elle n'a jamais rencontré jusque-là, pendant que sa mère, danseuse, fait une tournée. Ce n'est pas profond, ce n'est pas subtile, mais c'est agréable à regarder, c'est plein de bons sentiments. Son père habite un quartier pauvre, plein de violence mais aussi de liens sociaux variés et interdépendants. Il ne parle pas anglais : le père et la fille passent deux mois à faire des travaux dans la maison et à s'apprivoiser. Les seconds rôles nous distraient et font avancer la jeune fille vers une meilleure compréhension de sa culture : Parfait cadeau pour un.e pré-ado ! (parents divorcés, ou à la recherche de ses origines culturelles, ou en quête de dépaysement ...)
Les Poissons, eux, ne pleurent pas
Un beau récit sur la misère et l'exploitation des pêcheurs gambiens qui doivent courber l'échine sous la férule d'un capitalisme effréné et mortifère. Les planches de Pendanx nous transportent dans ce pays méconnu d'Afrique de l'ouest et sont toujours aussi réussies, l'auteur lui évoque la situation catastrophique de ces habitants avec pudeur et sincérité, le récit est presque un peu trop sage, évite parfois de justesse le manichéisme et la comparaison avec le superbe Kililana Song est presque inévitable, on ne retrouve ni la galerie de personnages savoureux et hauts en couleur ni la poésie de Flao, même si Laurent Galandon tente une incursion bienvenue dans l'imaginaire à l'image des volutes de fumée qui font penser à l'inquiétant upside down de Stranger things. Cela reste une lecture de qualité, tout à fait recommandable. Et savoir que cet ouvrage a été distribué à une centaine d'enfants gambiens qui reconnaîtront très certainement leur quotidien ne peut que toucher le lecteur et souligner la démarche authentique des auteurs. 3,5/5
L'Or du spectre
On est effectivement loin des standards du " Serpent et du coyote ", pas désagréable, mais bancal à plusieurs reprises et des personnages loin d'être aussi futés que dans le premier opus (doux euphémisme). Des séquences parfois artificielles et en terme de fin ouverte (pour ne pas dire bâclée), celle de " L'or du spectre " laisse un peu perplexe... Un clin d'œil au " Spectre aux balles d'or " du duo mythique de Blueberry, mais ce n'est pas suffisant. Un emprunt suffit amplement.
Un heureux événement
Une lecture apéro rapide et pas désagréable, mais qui laisse un goût de trop peu. La lecture est très rapide – format oblige – mais Jika cherche à maintenir un certain suspens jusqu’à la chute. C’est à la fois trop étiré et trop rapide globalement, mais ça se laisse lire (le dessin, simple et aéré est plaisant). Une petite remise en cause de certains clichés autour du rôle de la femme. Note réelle 2,5/5.
Un stagiaire au Hellfest
Difficile de développer quelque chose sur un si petit format. Mais cette collection sert aussi à faire découvrir certains auteurs – et c’est le cas ici. Tout est dans le titre en fait en matière d’histoire ! L’auteur – dont c’est la première et unique publication à ce jour – a commencé comme stagiaire chez Rouquemoute, pour accompagner les auteurs au Hellfest. On y voit donc l’auteur lui-même qui se met en scène, mais aussi Pixel Vengeur en dédicace. L’intrigue est minimaliste, avec un peu d’humour et d’auto-dérision. Si Baptiste Tanguy poursuit dans la BD, on peut déjà lui reconnaître un talent de dessinateur. Son trait est agréable et dynamique, et le stagiaire a ici fait ses preuves. Pour ce qui est de la lecture, elle est évidemment très rapide, et il manque un je ne sais quoi pour la rendre plus caustique. Mais ma note tient compte des contraintes du format. C’est une collection apéro. Note réelle 2,5/5.
La pas trop bonne Fée
Ma note tient compte des contraintes liées au format(très petit), et à la faible pagination, car c’est très très vite lu, et les auteurs ne développent pas grand-chose finalement. Mais cette lecture est plutôt plaisante. Le dessin de Witko, caricatural, est agréable, et le scénario de Nena joue sur un humour bon enfant, en ménageant une chute rigolote. Le personnage du roi, totalement désinvolte face à ses devoirs de père, est plutôt amusant. Comme les autres opus des Bandes Dessinées à Poster, c’est une lecture apéro, dans une collection qui globalement est intéressante.
La Maison des Damnés
La principale frustration réside dans les contraintes inhérentes à cette collection (très petit format, seulement 16 pages), pas forcément adaptée pour développer une histoire consistante. A cela s’ajoute ici le choix de Jake Raynal de raconter un souvenir d’enfance – ou d’adolescence – marquant mais qui ne fait que questionner. En effet, suite à quelques jeux avec des copains, il s’est introduit chez quelqu’un en banlieue parisienne (au Vésinet), et y a vu une flopée d’objets, vêtements nazis. Raynal questionne ensuite ce souvenir, cherche à comprendre comment cela pouvait se trouver à cette époque (années 1980) et en ce lieu. Ça n'est pas en soi inintéressant, mais on reste sur les questions de l’auteur, puisqu’aucune réponse n’est vraiment donnée. Reste donc une anecdote intrigante… Le dessin de Raynal, très classique et réaliste, est très bon, comme son utilisation du Noir et Blanc. Note réelle 2,5/5.
Maleficarum
Avec son compère Jake Raynal – qui a d’ailleurs simultanément publié un opus dans la même collection – Claire Bouilhac nous propose depuis quelques années chez Cornélius les histoires désopilantes de Francis. On la retrouve ici en auteure complète. Avec ses contraintes (tout petit format, seulement 16 pages !), il est bien évidemment difficile de développer une histoire. Mais Bouilhac y parvient quand même – même si forcément, c’est lapidaire. Jamais réellement située, l’intrigue se déroule probablement à la charnière des XVIème et XVIIème siècles. Une histoire hélas bien connue de superstitions, d’hypocrisie, avec une femme accusée sans pouvoir se défendre par des hommes, et qui finit sur le bûcher. Un petit amuse-gueule réussi, avec un dessin classique et agréable, mais quelque peu frustrant, format oblige.
Eyes without a face
J’ai d’emblée été gêné par le style graphique utilisé par l’auteure, pas vraiment mon truc – mais c’est affaire de goût et d’autres peuvent davantage accrocher. Mais cet apriori négatif et la lecture ultra rapide et une intrigue très peu développée me faisaient aller doucement vers deux étoiles. Mais finalement je vais mieux noter cet album. Passons sur le dessin et ces visages sans trait (ce que je n’aime pas) et une esthétique plus décorative qu’autre chose. Mais Marie Baudet, par petites touches et sans hélas densifier trop son histoire, parvient tout de même à brosser le portrait d’un pauvre type, Sylvain Fardot, acteur de feuilleton télévisé dont le personnage – seul titre de gloire et de rémunération – disparait brutalement de la série. Fardot se réfugie chez ses parents – et sa frangine – pour se ressourcer. C’est en fait est un personnage insupportable. Seuls ses parents, anesthésiés par jeux et séries télévisées débiles semblent ne pas en souffrir. Mais sa sœur pète régulièrement un câble face au mollusque geignant qui squatte les toilettes et parasite ses proches. Fardot est un gros loser, qui pète bien plus haut que son cul, et ses rêves de renaissance médiatique finissent pitoyablement dans le rayon charcuterie du supermarché du coin. Il y a quelques moments savoureux, un humour noir, un peu absurde et cynique autour de Fardot, mais si ça sauve la lecture, celle-ci est trop rapide, et Marie Baudet aurait pu davantage développer l’histoire, comme Fabrice Caro sait le faire sur des sujets proches et sur un ton lui aussi caustique dans ses derniers romans. Note réelle 2,5/5.