Cette aventure en deux tomes sent la prétention à plein nez. Dufaux joue les intello et cela ne lui convient guère. Il cherche à transformer en vain un banal thriller en une réflexion sur l'art mais ne parvient qu'à pondre un scénario indigeste et indolent. De l'art conceptuel des années 60 (que je connais bien, je ne critique pas sans savoir) , il ne donne qu'une vision édulcorée, caricaturale, il semble n'avoir même pas pris la peine de se documenter en profondeur sur le sujet.
Le dessin de Joris est irrégulier, certaines planches sont très belles, dans d'autres les fautes de perspectives abondent et les couleurs frisent la faute de goût.
Dans Pavillon Rouge, on pouvait lire "Du Tarantino en BD". Bon, j'ai bien aimé certains de ses films, même si je les trouve un peu vulgaires et idiots. Eh bien, Chewing Gun, ça y ressemble, mais en plus d'être sans réel intérêt scénaristique, le dessin est particulièrement peu léché, un peu comme si on revoyait un épisode de la série animée des Jackson Five. En plus le second tome est particulièrement inepte, on ne comprend rien à ce qu'il se passe. Il débute en 1973, mais les évènements sont postérieurs à ceux du premier, qui se déroule en 1974...
Bref, j'accroche pas, mais c'est peut-être parce que je n'aime pas les années 70 (même si je suis né en plein milieu).
Mouais, j'ai pas trop aimé cette histoire. De plus le dessin de Servais est vraiment "statique", les personnages semblent figés,sans émotion. A priori, aucune suite est prevue et c'est tant mieux !
Je voudrais dans un premier temps ajouter un bémol. Non cette BD n'est pas la meilleure qui soit. Non, elle ne mérite pas d'être acheter dans l'heure. Oui, sa qualité est très inégale. Honte à Pontet et à son nouveau coloriste, tu ruines un rêve, celui qu'on a tous eu en découvrant les magnifiques pages de Ledroit du tome 3 et 4.
Honte à Froideval qui nous propose depuis le numéro 7 un scénario indigne et à rallonge. Grosbills en pagaille, action inexistante, ralliement douteux, l'histoire du tome 9 tiendrait en une ligne!
Le tome 10 se nomme "l'aigle foudroyé", on peut supposer d'ici le piètre denouement de la titanesque bataille qui va être livrée.
Est-ce que ce sera du remplissage une fois de +? ou prendrez vous vos responsabilités en engageant un coloriste digne de ce nom et en nous donnant autant de plaisir qu'autrefois.
J'étais un fan...
vraiment, ya des editeurs qui savent plus quoi sortir.
faut arreter un peu le delir, et reconnaitre que ces petites histoires sont franchement sans interet, sans le moindre dose d'humour. On ne fait que mettre sur du papier les vieilles images nazes des fonctionnaires etc.
et serieux, si ous reussissez à lire tout ce tome, je m'incline bien bas.
C'est vrai que l'humour faussement trash de cette bd frise souvent le déplorable. C'est dommage, le dessin est magnifique. Mais certaines histoires sont tout simplement illisibles. Peut-être est-ce dû à une mauvaise traduction? Certains dialogues parlent de Drucker, j'imagine qu'ils ont été adaptés à la française. Impossible dès lors de savoir ce que valait l'original dans ces conditions.
J'ai lu tout un album et... je n'ai même pas souris une seule fois! Godard est bien meilleur ailleurs (la SF et l'aventure) que dans l'humour. Le dessin est sympa mais face à des gags qui ne décollent pas, cela ne sert pas à grand chose. A éviter! Dans le genre, il y a bien mieux.
Holala ! L'une des BD's les plus ennuyantes de touts les BD's du monde ! Un vrai calvaire cette série, et pourtant j'adorais la lire dans le journal de Spirou...
Pff...qu'est que que c embêtant les avions et tout z'et tout ! C'est même assez soporifique. Des dialogues vaseux !
Des dessins classiques quoi, les bons vieux dessins de la BD belge quoi !
Si vous voulez vous endormir ou même embêter quelqu'un, offrez lui Buck Danny ( c même pire que Michel Vaillant !!, c pour dire !)
Verron, dessinateur de "Odilon Verjus"... Ben... Que dire ? Je n'ai pas aimé ?
Bon, nuançons un peu. Les trois albums qui existent se ressemblent énormément. Un scénario anorexique est prétexte à d'agaçantes aventures sans queue ni tête qui s'empilent les unes sur les autres... (ça c'est de la nuance !)
L'humour, à supposer que ce soit sensé faire rire, est lourd au possible.
Les personnages sont complètement inintéressants.
Les dialogues se résument souvent à des monologues du maltais.
...
Bref : je n'ai pas trouvé grand plaisir à cette lecture. :(
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Chelsy
Cette aventure en deux tomes sent la prétention à plein nez. Dufaux joue les intello et cela ne lui convient guère. Il cherche à transformer en vain un banal thriller en une réflexion sur l'art mais ne parvient qu'à pondre un scénario indigeste et indolent. De l'art conceptuel des années 60 (que je connais bien, je ne critique pas sans savoir) , il ne donne qu'une vision édulcorée, caricaturale, il semble n'avoir même pas pris la peine de se documenter en profondeur sur le sujet. Le dessin de Joris est irrégulier, certaines planches sont très belles, dans d'autres les fautes de perspectives abondent et les couleurs frisent la faute de goût.
Chewing Gun
Dans Pavillon Rouge, on pouvait lire "Du Tarantino en BD". Bon, j'ai bien aimé certains de ses films, même si je les trouve un peu vulgaires et idiots. Eh bien, Chewing Gun, ça y ressemble, mais en plus d'être sans réel intérêt scénaristique, le dessin est particulièrement peu léché, un peu comme si on revoyait un épisode de la série animée des Jackson Five. En plus le second tome est particulièrement inepte, on ne comprend rien à ce qu'il se passe. Il débute en 1973, mais les évènements sont postérieurs à ceux du premier, qui se déroule en 1974... Bref, j'accroche pas, mais c'est peut-être parce que je n'aime pas les années 70 (même si je suis né en plein milieu).
Les Voyages clos
Mouais, j'ai pas trop aimé cette histoire. De plus le dessin de Servais est vraiment "statique", les personnages semblent figés,sans émotion. A priori, aucune suite est prevue et c'est tant mieux !
Chroniques de la lune noire
Je voudrais dans un premier temps ajouter un bémol. Non cette BD n'est pas la meilleure qui soit. Non, elle ne mérite pas d'être acheter dans l'heure. Oui, sa qualité est très inégale. Honte à Pontet et à son nouveau coloriste, tu ruines un rêve, celui qu'on a tous eu en découvrant les magnifiques pages de Ledroit du tome 3 et 4. Honte à Froideval qui nous propose depuis le numéro 7 un scénario indigne et à rallonge. Grosbills en pagaille, action inexistante, ralliement douteux, l'histoire du tome 9 tiendrait en une ligne! Le tome 10 se nomme "l'aigle foudroyé", on peut supposer d'ici le piètre denouement de la titanesque bataille qui va être livrée. Est-ce que ce sera du remplissage une fois de +? ou prendrez vous vos responsabilités en engageant un coloriste digne de ce nom et en nous donnant autant de plaisir qu'autrefois. J'étais un fan...
500 idées pour glander au boulot
vraiment, ya des editeurs qui savent plus quoi sortir. faut arreter un peu le delir, et reconnaitre que ces petites histoires sont franchement sans interet, sans le moindre dose d'humour. On ne fait que mettre sur du papier les vieilles images nazes des fonctionnaires etc. et serieux, si ous reussissez à lire tout ce tome, je m'incline bien bas.
Tank Girl
C'est vrai que l'humour faussement trash de cette bd frise souvent le déplorable. C'est dommage, le dessin est magnifique. Mais certaines histoires sont tout simplement illisibles. Peut-être est-ce dû à une mauvaise traduction? Certains dialogues parlent de Drucker, j'imagine qu'ils ont été adaptés à la française. Impossible dès lors de savoir ce que valait l'original dans ces conditions.
Toupet
J'ai lu tout un album et... je n'ai même pas souris une seule fois! Godard est bien meilleur ailleurs (la SF et l'aventure) que dans l'humour. Le dessin est sympa mais face à des gags qui ne décollent pas, cela ne sert pas à grand chose. A éviter! Dans le genre, il y a bien mieux.
Pierre Tombal
Cela fait des années que Cauvin nous fournit le même gag (et oui, les morts vivent...). Lisez en un, ça suffira.
Buck Danny
Holala ! L'une des BD's les plus ennuyantes de touts les BD's du monde ! Un vrai calvaire cette série, et pourtant j'adorais la lire dans le journal de Spirou... Pff...qu'est que que c embêtant les avions et tout z'et tout ! C'est même assez soporifique. Des dialogues vaseux ! Des dessins classiques quoi, les bons vieux dessins de la BD belge quoi ! Si vous voulez vous endormir ou même embêter quelqu'un, offrez lui Buck Danny ( c même pire que Michel Vaillant !!, c pour dire !)
Le Maltais
Verron, dessinateur de "Odilon Verjus"... Ben... Que dire ? Je n'ai pas aimé ? Bon, nuançons un peu. Les trois albums qui existent se ressemblent énormément. Un scénario anorexique est prétexte à d'agaçantes aventures sans queue ni tête qui s'empilent les unes sur les autres... (ça c'est de la nuance !) L'humour, à supposer que ce soit sensé faire rire, est lourd au possible. Les personnages sont complètement inintéressants. Les dialogues se résument souvent à des monologues du maltais. ... Bref : je n'ai pas trouvé grand plaisir à cette lecture. :(