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Par Présence
Note: 4/5
Couverture de la série Green Witch Village
Green Witch Village

Voilà. Il vivra trahi au lieu de mourir dans la confiance. - Ce tome contient une histoire complète indépendante de toute autre. Son édition originale date de 2025. Il a été réalisé par Franck Biancarelli pour les dessins, Lewis Trondheim pour le scénario et Jérôme Maffre pour les couleurs. Il comprend quatre-vingt-quatorze pages de bande dessinée. Il se termine avec un court paragraphe des auteurs expliquant en quoi leur ouvrage a été conçu comme un hommage aux comics des années 50, suivi par une page comprenant neuf recherches de couverture, trois pages de recherches graphiques sur le personnage, plus une page de présentation des auteurs. Dans un appartement en colocation à Greenwich Village, un quartier de Manhattan, une jeune femme reprend connaissance. Ses deux colocatrices, Érika Grönberg & Gwen Ford, sont penchées sur elle, inquiètes de son malaise, l’appelant Tabatha. Cette dernière ouvre les yeux, totalement hébétée. Elle leur demande qui elles sont, où elle se trouve, qu’est-ce que c’est que cette tenue qu’elle porte et où se trouve son portable. Les trois amies s’assoient sur le canapé, et ses copines expliquent à la troisième qu’elle s’appelle Tabatha Sands, qu’elle est libraire et que la date est octobre 1959. Elle leur répond qu’elle est sûre d’avoir trente ans et d’être en 2025. Érika dit qu’il est temps pour Tabatha d’aller travailler, car elles ont besoin de ses rentrées d’argent pour le loyer. Comme Tabatha ne sait pas où aller, Érika l’accompagne, car elle a un casting pas loin. Une fois à l’extérieur, la trentenaire indique que pour l’instant elle tient le coup, mais qu’elle ne sait pas ce qui se passera si elle croise un des Beatles. En marchant dans la rue, la libraire constate que c’est bizarre, il y a aussi des vieilles voitures des années trente ou quarante. Pour elle, dans les films sur les années cinquante, on ne voit que des voitures des années cinquante. Elle se fait la même remarque sur les vêtements et les boutiques, certaines très vieillottes. Son ami lui demande si en 2025 il y a bien des voitures volantes. Finalement, Tabatha décide de ne pas aller travailler et plutôt d’accompagner son amie Érika pour son casting. En sortant du métro, elles retrouvent Winfield Wayne l’agent de l’actrice, puis ensemble, ils pénètrent dans le bâtiment où se tiennent les auditions. Immédiatement, Ralph Damara repère Tabatha et énonce qu’elle est parfaite et que c’est elle qu’il veut pour incarner la sorcière verte, et elle se retrouve dans une position où elle ne peut qu’accepter de prendre Wayne comme agent pour négocier le contrat séance tenante. Plus tard, alors que la nuit est tombée, sur les quais, un groupe d’individus prend en charge une bombe livrée par d’autres, qu’ils abattent pour les faire taire, une fois l’acquisition complétée. Tabatha est rentrée dans sa colocation, et ses amies se tournent en dérision certains des termes qu’elle emploie, comme playlist, numérique, internet, wifi. Le lendemain, Tabatha se promène dans la rue et elle avise l’échoppe d’une diseuse de bonne aventure. Elle décide d’y entrer pour savoir ce qu’elle fabrique en 1959. Elle est accueillie dans une pièce plongée dans la pénombre, où une jeune femme de son âge débite quelques phrases génériques. Tabatha comprend immédiatement et lui demande si c’est la première fois qu’elle fait médium. Dès le début, cette bande dessinée présente une saveur particulière, le lecteur éprouvant des difficultés à la définir précisément. Cela commence avec le genre dans lequel s’inscrit le récit : anticipation ou fantastique, avec cette histoire d’âme revenue dans le passé pour habiter le corps d’une autre femme. Ou peut-être même spiritualité avec cette séance chez la diseuse de bonne aventure, quand la mère de Gabriella arrive, chasse Tabatha de son parloir, puis accepte de la revoir à l’extérieur et évoque une présence, un esprit invisible à ses côtés. D’ailleurs celui-ci apparaît à l’héroïne et lui parle, lui donnant des informations accessibles en 2025. Mais voilà qu’en page quinze, le récit semble encore changer de registre, avec l‘introduction de Spiridon Ivanov, pour lequel tout porte à croire qu’il s’agit d’un espion russe, plutôt que d’un simple journaliste pour le quotidien Izvestia. À moins que l’histoire ne bifurque vers une forme de romance, avec la relation naissante entre le Russe et la déplacée temporelle. En fonction de chaque séquence, le cœur du lecteur balance entre l’un ou l’autre de ces genres, ne sachant plus trop auquel il doit accorder sa priorité, entre l’histoire d’un attentat à la bombe atomique à New York, ou l’identité réelle de Tabatha. Il faut peut-être un peu de temps au lecteur pour ressentir la structure très particulière de cette bande dessinée, un rythme un peu saccadé, une sensation un peu hachée. En fin de tome, il découvre un texte explicitant les intentions des auteurs : ils ont souhaité réaliser un hommage aux comics des années 1950. Pour ce faire, ils se sont imposé quatre règles. Un : La première case sera toujours une grande image. Deux : La dernière case sera toujours une chute. Trois : Chaque planche doit pouvoir être lue de façon autonome, une ellipse la séparant de la précédente. Quatre : Les pages sont découpées de façon à pouvoir être montées en quatre ou trois strips. Ce cadre structurant leur a permis de jouer avec la narration et le rythme, fidèles à l’esprit de ces pages dominicales d’outre-mer qui les ont tant inspirés. En fonction de son degré d’attention, le lecteur a la confirmation de la démarche intentionnelle qu’il avait bien vue, ou bien il en fait la découverte. En effet, cette forme de composition de la narration donne une sensation très particulière à la lecture, chaque page formant une unité narrative presque autonome. Cette caractéristique renforce la sensation d’une intrigue un peu éparpillée, éclatée entre plusieurs genres d’une page à l’autre. Dans le même temps, les pages présentent une apparence très classique et sage : des cases rectangulaires avec une bordure bien nette, disposée en bandes. Des dessins dans un registre descriptif et réaliste, avec un discret degré de simplification pour les personnages et les visages, et de solides décors. La plupart des personnages bénéficient d’une discrète élégance, une silhouette svelte sans être athlétique, des tenues vestimentaires normales et diversifiées, ils sont bien habillés sans luxe ostentatoire. Avec une exception pour l’agent Winfield Wayne avec un manteau tape-à-l’œil peu raffiné. Les quatre femmes, personnages principaux, sont traitées avec respect par les auteurs, sans situation dégradante, sans voyeurisme de quelque sorte. Les principaux personnages masculins apparaissent un peu plus convenus et moins développés : l’agent grossier, machiste et usant de méthodes de voyou, l’agent du KGB élégant, respectueux et très bien élevé, Terrence Taylor agent de la C.I.A. plus rustaud habitué à être obéi et à rudoyer ceux qui lui résistent. En fin de tome apparaît le temps d’une séquence, Frank un touriste venu de Hongrie tout aussi élégant et parfaitement antipathique non sans raison. Outre l’attention apportée aux tenues vestimentaires, le plaisir de représenter Manhattan saute aux yeux du lecteur. Les auteurs ont choisi cette localisation avec la ferme intention de lui rendre hommage. Au travers de ces dessins soignés et précis, le lecteur peut apprécier la promenade dont il bénéficie en filigrane : les immeubles typiques du quartier de Greenwich Village, le Washington Square Arch (arc de triomphe en marbre à Washington Square Park, en commémoration du centenaire de l'inauguration de la présidence de George Washington en 1789), Central Park, ses ponts et ses allées, Coney Island sa plage et son parc d’attractions, le Seagram Building réalisé par l'architecte allemand Ludwig Mies van der Rohe (1886-1969). C’est une très belle balade, grâce certainement à des recherches rigoureuses, rayonnant du plaisir des auteurs lors de la réalisation des planches. Totalement sous le charme de la narration visuelle, le lecteur se laisse donc porter par les nombreux événements et rebondissements. Le spectre du neveu de 2025, les rapports de force entre les hommes comme Winfield Wayne ou Terrence Taylor et les trois femmes, la présence impalpable du KGB et des Nazis, l’attentat visant à faire exploser une bombe nucléaire à New York, un enlèvement pour exécuter la victime sur les quais, l’élimination de cadavres, des paris de courses hippiques en connaissant le gagnant, un antiquaire receleur et trafiquant, un Hongrois nazi, un assassinat en pleine voie publique, etc. Il relève en passant quelques références historiques et culturelles comme celle à Arthur Q. Bryan (1899-1959, acteur, voix de Elmer Fudd), ou l’utilisation de la perte d’une bombe atomique dans un accident par l’armée américaine (authentique, une bombe Tybee, délestée pendant un exercice militaire où un bombardier B-47B est entré en collision avec un avion de chasse F-86). Il s’amuse des anachronismes occasionnés par la connaissance du futur qu’à Tabatha Sands et son neveu : les Beatles, les comportements phallocrates et le patriarcat, l’absence de réseaux sociaux et de téléphones portables, l’usage d’un Smiley, l’absence de ceinture de sécurité dans les voitures, les jolies blondes faisant les carreaux à la station-service, une location de coffre bancaire pendant soixante-dix ans, et l’énoncé de drôles de noms pour choisir celui d’une agence d’actrices (Drôles de dames, Catseyes, Me Too, Pikachu, Daft Punk, Google Instagram, Microsoft, Amazon, Paypal, Tik Tok). Il est presque surpris de découvrir que les auteurs résolvent leur intrigue en bonne et due forme, y compris l’identité véritable de Tabatha Sands. Une bande dessinée des plus classiques en apparence : des dessins soignés et descriptifs, une aventure fantastique d’une jeune femme se retrouvant en 1959 dans le corps d’une autre femme, et des enjeux divers allant de comprendre ce qui est arrivé à l’héroïne à la menace d’un acte terroriste visant à faire exploser une bombe atomique en plein Manhattan. Le lecteur tombe vite sous le charme de ce récit à l’intrigue protéiforme, sans trop savoir quel est l’enjeu dominant. La reconstitution de Manhattan est formidable, le récit est plein de rebondissement, la forme constitue un hommage sophistiqué aux Sunday pages des années 1950. L’aventure rocambolesque est finement dosée. Un divertissement sophistiqué et élégant.

27/12/2025 (modifier)
Couverture de la série Nimuë
Nimuë

Nimuë (ou Viviane, parfois) est le nom de la dame du lac, figure iconique de la légende arthurienne. J'avoue ne connaître les légendes arthuriennes que de loin mais comme j'aime beaucoup les figures de fées et de sorcières dans les mythes et légendes je suis régulièrement attirée par des histoires tournant autour des figures de Morgane et de Nimuë, alors quand j'ai vu la couverture passer un jour sur le site (lors d'une énième chasse à la couverture mystère) je me suis dit que le style de dessin méritait au moins le coup d'oeil. Ici on suit Nimuë, une jeune fille albinos (en tout cas à la peau et aux cheveux parfaitement blancs) amnésique qui fut recueillie il y a quelques années par une famille humaine. Je précise "humaine" car, comme on se doute très rapidement, Nimuë n'est pas humaine et son lien avec le monde magique va très rapidement la rattraper. C'est une histoire très classique sur la destinée, sur une quête des origines, sur la famille un peu aussi. Ce côté trop classique est malheureusement le dêfaut du récit, car je n'aurais pas dit non à ce que l'histoire aille un peu plus loin, tente plus de choses. Je ne sais pas quoi, mais il n'empêche que l'histoire me parait un peu trop convenue une fois l'oeuvre refermée. Si l'histoire est on ne peut plus classique elle n'en reste pas moins agréable à lire, et c'est en grande partie dû au dessin, qui sans être révolutionnaire est assez joli. J'apprécie notamment le travail des visages et les touches de bleu et de rouge traversant les cases dès lors que la magie entre en jeu, contrastant alors avec les teintes de marron et de gris qui habillent la majorité de l'oeuvre. L'oeuvre est simple mais je ne regrette pas de l'avoir lue. Je n'aurais pas dit non à un propos sur la figure de la sorcière, surtout pour un récit souhaitant aborder le lien entre le monde humain et le monde magique, mais comme l'histoire souhaite plus se concentrer davantage sur le monde magique je comprends le choix.

26/12/2025 (modifier)
Par Lodi
Note: 3/5
Couverture de la série Bilbo le Hobbit
Bilbo le Hobbit

Une BD soit pour entrer dans Bilbo le Hobbit, par exemple pour un enfant, soit pour dériver rêveusement dessus quand on connaît l'histoire.. Bd peu dramatique ? Et alors ? Comme le montre le choix du pastel, la narration distancée, on est là pour rêver. Tolkien est si grand ! Parfois, en l'adaptant, certains n4en retiennent guère que le côté dramatique comme Peter Jackson, parfois, comme ici, que le côté rêveur. Oui, cette bd ressemble à un livre illustré dont elle a l'aspect ornemental, en tout de même un peu plus dramatique. Cela me convient, ceci dit le meilleur illustrateur de Tolkien me parait être l'inégalé Alan Lee, dont je garde précieusement le Seigneur des Anneaux qu'il a illustré.

26/12/2025 (modifier)
Par Gaston
Note: 2/5
Couverture de la série Spy Superb - L'Espion Ultime
Spy Superb - L'Espion Ultime

Un album franchement dispensable. La grosse qualité de ce one-shot est son dessin qui est sympathique et notamment les couleurs que je trouve accueillante. Le problème vient du scénario qui n'ont seulement ne m'a pas convaincu, mais est en plus très cliché. C'est encore une fois l'histoire d'un abruti qui se retrouve malgré lui dans une histoire d'espionnage. Des agents ennemis le prennent pour un super-espion et on va tenter de l'éliminer pendant que lui ne va pas trop comprendre ce qui se passe. Le coté banale du récit ne m'aurait pas dérangé si au moins c'était bien fait, mais ce n'est pas le cas. Le scénario m'a vite ennuyé et le personnage principal est vite horripilant, j'avais juste envie que les méchants gagnent et le tue ! En gros, allez regarder le film Le Grand Bond avec une chaussure noire au lieu de lire cet album.

26/12/2025 (modifier)
Par Gaston
Note: 3/5
Couverture de la série Le Meilleur des deux mondes
Le Meilleur des deux mondes

2.5 À force de lire des documentaires traitant de l'écologie, j'ai l'impression que je commence à faire le tour du sujet. Je n'ai pas l'impression d'avoir appris grand chose de nouveau (saviez-vous que les colons européens ont fait disparaitre le dodo ?) hormis dans la partie qui montre des projets utilisant la technologie pour sauver l'écologie. J'avoue que je suis toujours sceptique lorsqu'on nous vend des projets futuristes censés régler des problèmes, il faudrait carrément qu'on les bâtit et qu'on voit des résultats positifs pour que je sois enfin convaincu ! Au moins ce que l'on propose me semble un peu plus réaliste que certains projets de gros patron de Silicon Valley qui ont l'air de croire que Star Trek était une série documentaire. Il y a une idée que j'ai bien aimé: Alice Desbiolles, qui a développé le concept d'éco-anxiété, se promène dans un musée avec son fils et se remémore lorsqu'enfant elle a pris conscience des problèmes écologiques lors d'une visite dans un musée. Sinon, cet album est un peu trop décousu pour moi et aussi le ton est un peu étrange. Parfois, c'est un peu enfantin comme si on s'adressait aux jeunes, mais il y a tellement de textes que je pense qu'un enfant risque de s'ennuyer et surtout de ne pas tout comprendre.

26/12/2025 (modifier)
Couverture de la série Poussière d'os
Poussière d'os

On a là un univers post apocalypse brut de décoffrage, terriblement déprimant. Décors et action sont prenants, on entre de plain pied dans l'intrigue, qui mêle struggle for life sanglant (avec quelques groupes d'humains cannibales) et robots/IA, au milieu de ruines infinies. Mais voilà, si la lecture est rapide et fluide, elle manque aussi de consistance. J'aurais voulu voir cet univers davantage développé ou expliqué, et l'intrigue moins linéaire. A emprunter à l'occasion.

26/12/2025 (modifier)
Couverture de la série Le Meilleur Job du Monde
Le Meilleur Job du Monde

Mouais. Si j'ai été au bout des trois albums c'est parce que ça se laisse lire et que cette lecture est très rapide - non pas parce que c'est hyper prenant, mais parce que l'intrigue n'est pas très étoffée et qu'il n'y a pas beaucoup de texte. Pas trop de surprises non plus, malgré les efforts de Bec pour multiplier - vainement - les artifices scénaristiques (de l'apparition de requins à celles de femmes nues dehors au milieu de la nuit). Le premier tome livre l'essentiel des informations, et on attend ensuite vainement ce qui va nous surprendre. Et puis, il faut le dire, trop de choses manquent de crédibilité. Bec à utilisé un évènement qui avait fait le buzz autour de ce job de gardien d'île de milliardaire. Mais je n'ai pas du tout cru qu'un trader égoïste et riche héritier postule à ce type de boulot, dont il n'a que faire. Quant aux machinations des Nazis, aux apparitions des femmes sur l'île, la présence du chien, les rêves de Doug à propos de son frère jumeau, pas mal de choses m'ont échappé. Sans compter que surmédiatiser l'arrivée de Doug est débile pour le plan des Nazis. Bref, un produit pop corn mal fagoté, certes plutôt bien emballé question dessin, mais qui est bourré de clichés et de défauts.

26/12/2025 (modifier)
Couverture de la série Whisky (Duhamel/Ratte)
Whisky (Duhamel/Ratte)

On a là une intrigue minimaliste, et des personnages, qui auraient sans doute gagné à être davantage creusés. De même, le manque de nuance, un certain manichéisme (en particulier autour de la bande de jeunes loubards, très « bêtes et méchants »), peuvent limiter quelque peu l’enthousiasme des lecteurs. Mais, cela étant dit, c’est un album feel good qui se laisse lire, le sourire aux lèvres. Les deux SDF sont attachants, y compris quand ils s’engueulent, et on est prêt à accepter certaines facilités (voir la course poursuite avec les flics après le vol du poulet, ou le happy-end final), tant la narration – très aérée – nous transporte sur du positif. Le dessin de Ratte est aussi pour beaucoup dans le ressenti général. Dynamique et fluide, agréable, il colle parfaitement au ton joyeux et sucré de l’ensemble.

26/12/2025 (modifier)
Par Lodi
Note: 4/5
Couverture de la série Félin pour l'autre !
Félin pour l'autre !

La BD qui ne fait pas dans la facilité en nous montrant un humain et son chat : miroir pour qui en a, compensation pour qui aimerait avoir un chat ! Non, il y a de l'aventure. Et pas fantastique, alors que le chat est un plus dans les aventures un peu étranges… Non, non et non, ici on est dans la quête de la compréhension des chats ! Et on va sur leur terrain, dans la rue, pour les découvrir, et éventuellement, les aider. Il y a aussi un dessin qui prend le chat au sérieux. Oyez, les gens ! Si on veut représenter un chat, c'est à ses risques et périls, les plus grands peintres n'ayant pas trouvé la chose facile. Ici, les chats sont vraiment des chats, pas des espèces de quadrupèdes style baudruche pour faire chat, avec des humains aussi approximatifs. L'humour est mieux que dans certaines séries qui se veulent humoristiques. Si j'étais un chat, je noterais plus haut, mais je suis un humain.

25/12/2025 (modifier)
Par Lodi
Note: 1/5
Couverture de la série Le Vieil Homme et son chat
Le Vieil Homme et son chat

Le dessin est vraiment nul : pauvre et moche à la fois ! Dire qu'on trouve une tonne de meilleures bd avec des chats ! Si aucun chat ou quelque autre animal ne doit être abandonné, on peut se dispenser de cette lecture.

25/12/2025 (modifier)