J'ai trouvé cet album dans le bac des occasions. Intrigué par sa couverture, je l'ouvre, et là, c'est le coup de coeur pour le dessin de cet américain ! Un dessin particulier, inclassable et virtuose. L’album date de 1986, à l’époque, Glénat présentait le dessinateur comme une étoile montante de la bd US, on veut bien le croire, à la lecture de ces splendides planches. Malheureusement l'auteur semble avoir été oublié depuis (dans le marché français, en tout cas).
Côté scénario, c'est moins génial, mais plaisant. Les trois histoires qui composent cet album sont en fait assez simples, trop simples peut-être, mais la tendresse que l'auteur voue à son personnage, la belle absurdité de certaines situations (Mudwog est amoureux d'une femme 10 X plus grande que lui) font le reste. Une curiosité que je suis content d'avoir dans ma bibliothèque.
Une série tres prometteuse que nous offre là Soleil, qui sort des autres productions de cet éditeurs.
Tout d'abord je trouve le dessin très beau, la plupart des planches sont tres belles et quelques unes magnifiques. Seul bémol dans le tome 1 les visages dans les scènes de nuit sont assez laid. Dans le tome 2 le dessin est encore meilleur, Briones tient bien en main ses persos et nous fait des décors très beaux.
Les couleurs sont tres bien choisies et nous offre une atmosphère étrange, les effets de lumière sont de toute beauté.
L'Histoire commence tres fort, on ne s'ennuie que rarement et tout est là pour nous offrir un tome de qualité . C'est tres original et assez innatendu par moment ce qui est un point fort dans une BD ! L'histoire de famille mouvementée et liée au monde d'Agartha est passionante et on veut connaitre la suite dés la fin des tomes
Les deux premiers tomes m'ont beaucoup plus et j'espere avoir prochainement la suite de cette série vraiment très bonne ! A Lire !
Cette série, plutôt tristounette, est à mi-chemin entre le conte féerique et le fantastique. Les idées se bouscules aux portes de cet univers qui s’ouvre à nous. La trame, bien que classique pour ce genre de bd s’inspirant de contes et légendes, reste toutefois bien mince. Cependant, le dessin et les couleurs sont plaisants, bien que parfois de qualité inégale. L’ensemble semble donc assez bien travaillé mais il manque le petit quelque chose qui fait d’une série un incontournable du genre (comme c’est la cas avec Garulfo). J’ai cherché cette petite lueur qui fait toute la différence... en vain !
De plus, le deuxième tome ne fait que de conforter ce constat et n’apporte donc rien de plus à ce « monde féerique ».
Lecture agréable mais pas de quoi faire de FOLie non plus !
On retrouve dans cette mini BD le style de M-A Mathieu : un dessin assez statique, et très sombre (ses encrages sont nets et précis, c'est étonnant, mais le rendu est plutôt bon)
L’histoire, bien que très courte (trop ?) est elle aussi assez typique de ce que fait MAM.
Ce que je ne m'explique pas, c'est le format choisi. Il aurait tout à fait pu en faire un véritable album, et non pas ce petit "truc", je crois que la matière était là.
Tant pis.
(Ceci dit, c'est carrément cher pour ce que c'est ! ça se lit en 5 minutes quand on prend bien son temps !)
Je n'ai pas eu le courage de lire le second !
Fol est un mode féérique, enfin c'est comme tel que le présente son auteur, et c'est vrai !
Le petit monde est intéressant, une série de croquis en début d'album explique les personnages et le monde dans lequel on est projeté, l'idée est bonne et le travail est conséquent, Prugne a mis plus de 3 ans pour la conception de son univers. J'ai une dédicace qu'il faudra que je mette en lien dans cet avis.
Le dessin est doux, limite poétique et les détails sont présents. En revanche le scénario est musclé, sans répit jusqu'à la dernière page ou je n'ai rien compris, Gepeto est nommé (c'est l'ogre), le petit homme est Pinocchio mais je n'ai rien compris.
Bref cela reste une histoire qui fait rêver, une évasion de quelques dizaines de minutes, le temps de la lecture. Pour finir je pense que le dessin a malheureusement un peu vieilli, c'est pour cela que je ne recommande pas cet album à la lecture bien que si, un jour, on me prête le second volume je le lirai :).
Cette serie me bottait bien, malgré l'espece de moue de mon libraire, ça m'avait l'air vraiment bien.
En fait, je fais la moue moi aussi.
Certes, le dessin est vraiment agréable, puisqu'il est assez personnel mais pas trop original. Ainsi, la lecture ne bloque pas sur le dessin, et on a plaisir à decouvrir chaque page.
En revanche, le scenario est bien plus pénible. Je me suis presque endormi sur le 2e album (en même temps, j'etais au bureau, ça aide pas) et finalement, je n'ai pas réussi à le finir.
Je trouve l'histoire presque sans le moindre intérêt.
Ca se laisse à peine lire au debut, mais ça ne décolle jamais vraiment.
Dans le genre "démythification du Far-West et de ses glorieux cow-boys", je trouve ça aussi réussi que "Impitoyable" de Clint Eastwood. Les gags font mouche, le trait colle bien à l'humour noir. Si vous aimez les histoires cruelles et le western, "Rancho Bravo" est fait pour vous.
Amitié entre un humain et un animal, au-delà de la raison, conditions climatiques épouvantables, époque et hommes sans concession, morale omniprésente... Pas de doute, voici une BD véhiculant un certain nombre d'idéaux et de clichés un peu dépassés, même à l'époque de sa publication (1983). Le dessin est très très moyen, il n'y a pas de rythme... Et comment croire à cette petite fille qui a pu aller au bout du Yukon ?
A oublier vite fait.
Au bout de 15 ans que je connais ce truc, je ne comprends toujours pas pourquoi cela n'a pas marché. Paru en 1965, cet album fait preuve d'une étonnante modernité.
Difficile en effet de passer sous silence la vigueur incroyable du dessin de Cuvelier, qui rend les mouvements extrêmement vivants, mais aussi le scénario de Greg, avec lequel on ne s'ennuie pas une seconde !
Paul Cuvelier était un géant de la bande dessinée. Il est grand temps de le (re-)découvrir.
L’album repose sur une idée intéressante mais sa réalisation est un peu plate. Seul le personnage principal a un peu d’épaisseur, le reste n’est qu’artificiel, rempli d’images d’Épinal de la colonisation anglaise. Bien sûr, toute cette artificialité a un sens, que je ne vous révélerais pas ici, mais cela donne un album parfois ennuyeux à lire qui ressemble trop à une accumulation d’anecdotes peu passionnantes. Je pense que ce récit aurait pu faire une bonne histoire courte. Etirer l’idée sur tout un album la dilue inutilement. Le dessin de Goetzinger ne m’emballe pas vraiment, des couleurs trop pastelles, des attitudes figées, qui ne me font pas spécialement rêver.
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Mudwog
J'ai trouvé cet album dans le bac des occasions. Intrigué par sa couverture, je l'ouvre, et là, c'est le coup de coeur pour le dessin de cet américain ! Un dessin particulier, inclassable et virtuose. L’album date de 1986, à l’époque, Glénat présentait le dessinateur comme une étoile montante de la bd US, on veut bien le croire, à la lecture de ces splendides planches. Malheureusement l'auteur semble avoir été oublié depuis (dans le marché français, en tout cas). Côté scénario, c'est moins génial, mais plaisant. Les trois histoires qui composent cet album sont en fait assez simples, trop simples peut-être, mais la tendresse que l'auteur voue à son personnage, la belle absurdité de certaines situations (Mudwog est amoureux d'une femme 10 X plus grande que lui) font le reste. Une curiosité que je suis content d'avoir dans ma bibliothèque.
Les Seigneurs d'Agartha
Une série tres prometteuse que nous offre là Soleil, qui sort des autres productions de cet éditeurs. Tout d'abord je trouve le dessin très beau, la plupart des planches sont tres belles et quelques unes magnifiques. Seul bémol dans le tome 1 les visages dans les scènes de nuit sont assez laid. Dans le tome 2 le dessin est encore meilleur, Briones tient bien en main ses persos et nous fait des décors très beaux. Les couleurs sont tres bien choisies et nous offre une atmosphère étrange, les effets de lumière sont de toute beauté. L'Histoire commence tres fort, on ne s'ennuie que rarement et tout est là pour nous offrir un tome de qualité . C'est tres original et assez innatendu par moment ce qui est un point fort dans une BD ! L'histoire de famille mouvementée et liée au monde d'Agartha est passionante et on veut connaitre la suite dés la fin des tomes Les deux premiers tomes m'ont beaucoup plus et j'espere avoir prochainement la suite de cette série vraiment très bonne ! A Lire !
Fol
Cette série, plutôt tristounette, est à mi-chemin entre le conte féerique et le fantastique. Les idées se bouscules aux portes de cet univers qui s’ouvre à nous. La trame, bien que classique pour ce genre de bd s’inspirant de contes et légendes, reste toutefois bien mince. Cependant, le dessin et les couleurs sont plaisants, bien que parfois de qualité inégale. L’ensemble semble donc assez bien travaillé mais il manque le petit quelque chose qui fait d’une série un incontournable du genre (comme c’est la cas avec Garulfo). J’ai cherché cette petite lueur qui fait toute la différence... en vain ! De plus, le deuxième tome ne fait que de conforter ce constat et n’apporte donc rien de plus à ce « monde féerique ». Lecture agréable mais pas de quoi faire de FOLie non plus !
La mutation
On retrouve dans cette mini BD le style de M-A Mathieu : un dessin assez statique, et très sombre (ses encrages sont nets et précis, c'est étonnant, mais le rendu est plutôt bon) L’histoire, bien que très courte (trop ?) est elle aussi assez typique de ce que fait MAM. Ce que je ne m'explique pas, c'est le format choisi. Il aurait tout à fait pu en faire un véritable album, et non pas ce petit "truc", je crois que la matière était là. Tant pis. (Ceci dit, c'est carrément cher pour ce que c'est ! ça se lit en 5 minutes quand on prend bien son temps !)
Fol
Je n'ai pas eu le courage de lire le second ! Fol est un mode féérique, enfin c'est comme tel que le présente son auteur, et c'est vrai ! Le petit monde est intéressant, une série de croquis en début d'album explique les personnages et le monde dans lequel on est projeté, l'idée est bonne et le travail est conséquent, Prugne a mis plus de 3 ans pour la conception de son univers. J'ai une dédicace qu'il faudra que je mette en lien dans cet avis. Le dessin est doux, limite poétique et les détails sont présents. En revanche le scénario est musclé, sans répit jusqu'à la dernière page ou je n'ai rien compris, Gepeto est nommé (c'est l'ogre), le petit homme est Pinocchio mais je n'ai rien compris. Bref cela reste une histoire qui fait rêver, une évasion de quelques dizaines de minutes, le temps de la lecture. Pour finir je pense que le dessin a malheureusement un peu vieilli, c'est pour cela que je ne recommande pas cet album à la lecture bien que si, un jour, on me prête le second volume je le lirai :).
Fol
Cette serie me bottait bien, malgré l'espece de moue de mon libraire, ça m'avait l'air vraiment bien. En fait, je fais la moue moi aussi. Certes, le dessin est vraiment agréable, puisqu'il est assez personnel mais pas trop original. Ainsi, la lecture ne bloque pas sur le dessin, et on a plaisir à decouvrir chaque page. En revanche, le scenario est bien plus pénible. Je me suis presque endormi sur le 2e album (en même temps, j'etais au bureau, ça aide pas) et finalement, je n'ai pas réussi à le finir. Je trouve l'histoire presque sans le moindre intérêt. Ca se laisse à peine lire au debut, mais ça ne décolle jamais vraiment.
Rancho Bravo
Dans le genre "démythification du Far-West et de ses glorieux cow-boys", je trouve ça aussi réussi que "Impitoyable" de Clint Eastwood. Les gags font mouche, le trait colle bien à l'humour noir. Si vous aimez les histoires cruelles et le western, "Rancho Bravo" est fait pour vous.
Ayak
Amitié entre un humain et un animal, au-delà de la raison, conditions climatiques épouvantables, époque et hommes sans concession, morale omniprésente... Pas de doute, voici une BD véhiculant un certain nombre d'idéaux et de clichés un peu dépassés, même à l'époque de sa publication (1983). Le dessin est très très moyen, il n'y a pas de rythme... Et comment croire à cette petite fille qui a pu aller au bout du Yukon ? A oublier vite fait.
Flamme d'Argent
Au bout de 15 ans que je connais ce truc, je ne comprends toujours pas pourquoi cela n'a pas marché. Paru en 1965, cet album fait preuve d'une étonnante modernité. Difficile en effet de passer sous silence la vigueur incroyable du dessin de Cuvelier, qui rend les mouvements extrêmement vivants, mais aussi le scénario de Greg, avec lequel on ne s'ennuie pas une seconde ! Paul Cuvelier était un géant de la bande dessinée. Il est grand temps de le (re-)découvrir.
La sultane blanche
L’album repose sur une idée intéressante mais sa réalisation est un peu plate. Seul le personnage principal a un peu d’épaisseur, le reste n’est qu’artificiel, rempli d’images d’Épinal de la colonisation anglaise. Bien sûr, toute cette artificialité a un sens, que je ne vous révélerais pas ici, mais cela donne un album parfois ennuyeux à lire qui ressemble trop à une accumulation d’anecdotes peu passionnantes. Je pense que ce récit aurait pu faire une bonne histoire courte. Etirer l’idée sur tout un album la dilue inutilement. Le dessin de Goetzinger ne m’emballe pas vraiment, des couleurs trop pastelles, des attitudes figées, qui ne me font pas spécialement rêver.