Une série que j'ai eu du mal à lire : la psychologie du personnage principal, qui soutient toute l'intrigue, m'a parue sans aucun intérêt, ce qui diminue fortement le suspense et l'intérêt de l'histoire. Bon, le début est quand même pas mal, les passages délirants mis à part. Il y a des intrigues, de l'action, et surtout la description minutieuse des moeurs du Japon médiéval, et là ça m'a pas mal interéssée, vu que je ne connais rien sur cette période, très différente au Japon que dans le reste du monde.
Mais le passage en Chine est plutôt raté : alors que la description historique du début de la série est assez subtile, qu'on y découvre la société des samouraïs et ses règles comme "en passant", la fin semble au contraire créer des aventures et des personnages seulement pour pouvoir nous dire "oh, vous voyez, untel à telle époque ben il était là lui aussi, donc tiens on va le rencontrer dans l'histoire". Bref c'est pas génial, et assez soporifique.
J'ai lu ces mangas chez un copain qui les avait achetés à 1€ pièce. Ben même pour ce prix là je n'en voudrais pas :(
C'est très moyen, très prévisible. Le jeune garçon se dit détective, mais en fait il s'agit plutôt d'un combattant qui affronte des monstres divers, à l'aide de son propre robot géant, c'est bien pratique.
Cette histoire est une accumulation de clichés et de "rebondissements" plus qu'attendus. Certes les dessins sont corrects, mais là encore j'ai l'impression d'avoir déjà vu ces têtes là un peu partout.
Je me demande pourquoi un éditeur à pris la peine de traduire ça...
Une histoire sans paroles (ou presque) pour une BD qui se veut proche de Tex Avery. Hélas, le talent est le don le moins bien réparti chez les humains. Les histoires manquent de rythme, les rebondissements sont téléphonés... C'est très plat, du fanzinisme assez médiocre...
Sur une idée de départ ma foi sympathique, la revisite des caractères des sept nains, on a là un petit album sans prétention, mais loin d'être inoubliable ; les dessins, grâce à leur diversité, rendent l'ensemble agréable à lire, mais les histoires sont soit trop creuses, soit remplies de clichés.
Certaines des histoires de ce recueil sont très sympathiques : les deux histoires de Peyo (Johan et Pirlouit), le conte de Tillieux intitulé La Porteuse de Dinde, Un Etrange paquet, de Fournier...
D'une longueur variable (d'une à dix pages), ces récits pourraient paraître niais au XXIème siècle, de prime abord. Mais si l'on regarde de plus près, il n'en n'est rien, car les thèmes sont intemporels, et contés par des auteurs de grand talent. L'occasion de (re)découvrir des séries fantastiques !
Ouaip c'est vraiment pas mal. J'avais entendu pas mal d'éloges sur cet album, je l'ai donc lu. Je n'ai vraiment pas été déçue. Les dessins sont assez banals, bien faits, sans plus, le graphisme ne sort pas vraiment des sentiers battus donc, mais il est néanmoins très sympa.
A côté de ça, on a une histoire pas très approfondie, il faut bien l'avouer, de sorte qu'on reste un peu sur notre faim. Mais la grande force de cette bd, c'est qu'elle fascine. Tout ce petit monde fascine réellement, les personnages sont très attachants, c'est de la poésie à l'état pur.
Donc même si à la base l'histoire est très classique, la façon dont elle est développée, la rend vraiment intéressante...
Vivement le tome 2 !
Je suis surprise de voir autant d'avis positifs sur cette BD. Comme l'indique ma note, je n'ai pas vraiment aimé...
Le scénario ne m'a pas emballé, c'est une sorte de mélange de contes divers et variés pas franchement original ni très enthousiasmant. Et puis le caractère des personnages est à peine esquissé et les dialogues sont souvent très théâtraux. C'est dommage, il y avait matière à faire des caractères ambigüs très intéressants, mais l'auteur(e) est passée à côté de l'opportunité.
Le graphisme est inégal. Certaines cases sont vraiment très réussies, mais d'autres semblent plus bâclées et le tout laisse une sensation de vide pas très agréable. Les couleurs sont jolies, en revanche.
Mais ce qui m'a le plus dérangée c'est la narration, très mauvaise. Il n'y a aucune structure dans le récit, les rebondissements ne sont pas amenés, le déroulement de l'histoire est linéaire et plan-plan. Bref, rien n'est fait pour attiser l'intérêt du lecteur, qui a tôt fait de s'ennuyer et de lire la fin en diagonale.
Une déception, donc :o/
Un album déroutant.
Commençons par le dessin. j'ai vraiment du mal avec ce type de trait, figé, impressionniste, comme plaqué en deux dimensions, sans profondeur. Ma lecture s'en trouve ralentie.
Mais cela n'empêche pas l'examen minutieux du contenu scénaristique.
Et là, c'est du grand art : une enquête policière qui bascule vers la science-fiction, le combat pour les valeurs, sur fond de conflit mondial. David B. a parsemé son récit d'un grand nombre d'éléments passionnants : le canon à rêves, les hommes de terre, le folklore guerrier, le quartier de Butcherwood à Londres, le Nisnas, l'arme des abattoirs, le nain jaune, la liste pourrait encore s'allonger...
Tout cela aurait pu faire une série d'albums très intéressants. Mais David B. a décidé de seulement les effleurer, même l'élément qui donne son nom à l'album ; peut-être est-ce mieux ainsi...
A noter que le personnage du Colonel Phillimore est une relecture (alambiquée) et un amalgame de Blake et Mortimer.
Si je n'avais pas été un peu rebuté par le graphisme de l'album, celui-ci aurait frôlé la note maximale. Mais quel vivier d'idées !
Intéressante cette série. Centrée sur Hyacinthe de Cavallère, elle nous permet de suivre ses premiers pas, avant la fondation du Donjon. Les personnages évoluent (le neuneu du tome 1 s'affirme au fil des pages), dans un sens plutôt crédible, ce qui en fait pour moi la série préférée des "Donjon" avec Zénith.
On aimerait bien savoir comment va évoluer la relation entre Hyacinthe et Alexandra... Quant au dessin, je réitère l'impression que j'ai eue en lisant Isaac le Pirate : Blain a vraiment un trait fort sympathique, très adapté aux aventures picaresques.
Un ancien légionnaire, des triplés neuneus, un jeune homme perdu, des histoires de maternité contrariée... Tous les éléments du drame social sont présents dans ce one-shot. Réalisé par deux auteurs bordelais talentueux mais se cherchant encore, il permet de passer un bon moment de lecture.
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Le Vent des Dieux
Une série que j'ai eu du mal à lire : la psychologie du personnage principal, qui soutient toute l'intrigue, m'a parue sans aucun intérêt, ce qui diminue fortement le suspense et l'intérêt de l'histoire. Bon, le début est quand même pas mal, les passages délirants mis à part. Il y a des intrigues, de l'action, et surtout la description minutieuse des moeurs du Japon médiéval, et là ça m'a pas mal interéssée, vu que je ne connais rien sur cette période, très différente au Japon que dans le reste du monde. Mais le passage en Chine est plutôt raté : alors que la description historique du début de la série est assez subtile, qu'on y découvre la société des samouraïs et ses règles comme "en passant", la fin semble au contraire créer des aventures et des personnages seulement pour pouvoir nous dire "oh, vous voyez, untel à telle époque ben il était là lui aussi, donc tiens on va le rencontrer dans l'histoire". Bref c'est pas génial, et assez soporifique.
Les Fabuleux Vapeur Détectives
J'ai lu ces mangas chez un copain qui les avait achetés à 1€ pièce. Ben même pour ce prix là je n'en voudrais pas :( C'est très moyen, très prévisible. Le jeune garçon se dit détective, mais en fait il s'agit plutôt d'un combattant qui affronte des monstres divers, à l'aide de son propre robot géant, c'est bien pratique. Cette histoire est une accumulation de clichés et de "rebondissements" plus qu'attendus. Certes les dessins sont corrects, mais là encore j'ai l'impression d'avoir déjà vu ces têtes là un peu partout. Je me demande pourquoi un éditeur à pris la peine de traduire ça...
Jim the Wolf
Une histoire sans paroles (ou presque) pour une BD qui se veut proche de Tex Avery. Hélas, le talent est le don le moins bien réparti chez les humains. Les histoires manquent de rythme, les rebondissements sont téléphonés... C'est très plat, du fanzinisme assez médiocre...
B.N. et les sept petits adultes
Sur une idée de départ ma foi sympathique, la revisite des caractères des sept nains, on a là un petit album sans prétention, mais loin d'être inoubliable ; les dessins, grâce à leur diversité, rendent l'ensemble agréable à lire, mais les histoires sont soit trop creuses, soit remplies de clichés.
Contes de Noël
Certaines des histoires de ce recueil sont très sympathiques : les deux histoires de Peyo (Johan et Pirlouit), le conte de Tillieux intitulé La Porteuse de Dinde, Un Etrange paquet, de Fournier... D'une longueur variable (d'une à dix pages), ces récits pourraient paraître niais au XXIème siècle, de prime abord. Mais si l'on regarde de plus près, il n'en n'est rien, car les thèmes sont intemporels, et contés par des auteurs de grand talent. L'occasion de (re)découvrir des séries fantastiques !
Koma
Ouaip c'est vraiment pas mal. J'avais entendu pas mal d'éloges sur cet album, je l'ai donc lu. Je n'ai vraiment pas été déçue. Les dessins sont assez banals, bien faits, sans plus, le graphisme ne sort pas vraiment des sentiers battus donc, mais il est néanmoins très sympa. A côté de ça, on a une histoire pas très approfondie, il faut bien l'avouer, de sorte qu'on reste un peu sur notre faim. Mais la grande force de cette bd, c'est qu'elle fascine. Tout ce petit monde fascine réellement, les personnages sont très attachants, c'est de la poésie à l'état pur. Donc même si à la base l'histoire est très classique, la façon dont elle est développée, la rend vraiment intéressante... Vivement le tome 2 !
Le Roi Cyclope
Je suis surprise de voir autant d'avis positifs sur cette BD. Comme l'indique ma note, je n'ai pas vraiment aimé... Le scénario ne m'a pas emballé, c'est une sorte de mélange de contes divers et variés pas franchement original ni très enthousiasmant. Et puis le caractère des personnages est à peine esquissé et les dialogues sont souvent très théâtraux. C'est dommage, il y avait matière à faire des caractères ambigüs très intéressants, mais l'auteur(e) est passée à côté de l'opportunité. Le graphisme est inégal. Certaines cases sont vraiment très réussies, mais d'autres semblent plus bâclées et le tout laisse une sensation de vide pas très agréable. Les couleurs sont jolies, en revanche. Mais ce qui m'a le plus dérangée c'est la narration, très mauvaise. Il n'y a aucune structure dans le récit, les rebondissements ne sont pas amenés, le déroulement de l'histoire est linéaire et plan-plan. Bref, rien n'est fait pour attiser l'intérêt du lecteur, qui a tôt fait de s'ennuyer et de lire la fin en diagonale. Une déception, donc :o/
La lecture des ruines
Un album déroutant. Commençons par le dessin. j'ai vraiment du mal avec ce type de trait, figé, impressionniste, comme plaqué en deux dimensions, sans profondeur. Ma lecture s'en trouve ralentie. Mais cela n'empêche pas l'examen minutieux du contenu scénaristique. Et là, c'est du grand art : une enquête policière qui bascule vers la science-fiction, le combat pour les valeurs, sur fond de conflit mondial. David B. a parsemé son récit d'un grand nombre d'éléments passionnants : le canon à rêves, les hommes de terre, le folklore guerrier, le quartier de Butcherwood à Londres, le Nisnas, l'arme des abattoirs, le nain jaune, la liste pourrait encore s'allonger... Tout cela aurait pu faire une série d'albums très intéressants. Mais David B. a décidé de seulement les effleurer, même l'élément qui donne son nom à l'album ; peut-être est-ce mieux ainsi... A noter que le personnage du Colonel Phillimore est une relecture (alambiquée) et un amalgame de Blake et Mortimer. Si je n'avais pas été un peu rebuté par le graphisme de l'album, celui-ci aurait frôlé la note maximale. Mais quel vivier d'idées !
Donjon Potron-minet
Intéressante cette série. Centrée sur Hyacinthe de Cavallère, elle nous permet de suivre ses premiers pas, avant la fondation du Donjon. Les personnages évoluent (le neuneu du tome 1 s'affirme au fil des pages), dans un sens plutôt crédible, ce qui en fait pour moi la série préférée des "Donjon" avec Zénith. On aimerait bien savoir comment va évoluer la relation entre Hyacinthe et Alexandra... Quant au dessin, je réitère l'impression que j'ai eue en lisant Isaac le Pirate : Blain a vraiment un trait fort sympathique, très adapté aux aventures picaresques.
Le Singe et la Sirène
Un ancien légionnaire, des triplés neuneus, un jeune homme perdu, des histoires de maternité contrariée... Tous les éléments du drame social sont présents dans ce one-shot. Réalisé par deux auteurs bordelais talentueux mais se cherchant encore, il permet de passer un bon moment de lecture.