Un recueil de bonne humeur, une ambiance superbe et en plus un humour très frais. Lire et relire cette série revient à passer un moment agréable loin de la vie moderne et du stress.
Le dessin est fin et beau.
J'aime particulièrement l'ambiance dans les maisons de chacun des héros, le côté douillet du terrier de Blaireau, l'aspect accueillant et chaud de celui de Taupe, le confort de la maison de Rat, etc.
Ay, ay Sir! Tronchet est grand. :)
Le pays voisin de Houppeland n'est pas vraiment plus agréable que ce dernier. Une brigade tue les porteurs de vêtements non assortis, la poésie se vit comme une guerre (d'accord avec Cassidy, cette histoire est grandiose), la croisière ethnique fait un tabac, le gouvernements bat des records de rapidité pour remplacer les gens que des terroristes font exploser... tout est d'une originalité incroyable, d'un cynisme à toute épreuve et d'une causticité comme seule Tronchet sait la faire. C'est vraiment drôle et vraiment intelligent. Je suis un peu moins fan du dessin que je trouve un peu sommaire et brouillon parfois, même s'il colle assez bien à ce monde de fous. Tergal, Calbuth, Houppeland, Welcome Land, Toi et moi, Les damnés de la terre, Là-bas : une pluie de 4 et de 5 pour ma part. A lire absolument.
Dans "On vit une époque formidable", Reiser s'attaque plus particulièrement à la société de consommation, aux travers du capitalisme et à tout ce qui a fait bouger les années 70 en général. Ses chroniques très acerbes s'attaquent aux années post-68 et à la déception qu'elles ont pu générer. Et assez curieusement l'ensemble n'a pas pris une ride. Du Reiser au meilleur niveau, drôle et mordant.
Franchement ma bd preferée.
Un excellent scenario alliant humour, imagination, aventure, etc. L'imagination de ses créateurs (Arleston et Tarquin) est impressionnante. On voit l'évolution du dessinateur au cours des différents tomes.
Une histoire qui se suit par "Lanfeust des étoiles" ainsi que par les différents tomes de l'encyclopédie anarchique du monde de Troy, ainsi que la cartographie illustrée du monde de Troy.
Une bd culte à acheter en urgence.
Remarquable. A lire absolument ! Une des plus grandes séries. Fait partie de l'Histoire de la B.D. (avec un grand H !) A l'époque où les bulles n'existaient pas, on lisait le texte sous l'image. Pour un collectionneur, cette série est précieuse.
Je ne vais pas me lancer dans la grande critique que mériterait l'oeuvre, je suis sûr de m'y perdre. Mais je pense que je peux aisément affirmer que c'est la BD de super-héros ultime, qui devrait plaire à certains qui n'aiment pas le genre, et déplaire à certains qui en sont fans.
L'illustration fait au premier abord un peu vieux comics (ben... c'en est un en fait), surtout à cause de la colorisation, mais en avançant, on se rend compte des qualités du dessinateur, capable de mettre des choses en scène avec une suggestion toute particulière. J'ai beaucoup aimé certains plans en ombres chinoises. Il fait ce qu'il veut de ses mises en scène. On sent la maîtrise du dessinateur tout en avançant dans l'histoire.
Bon. Si je fais le bilan de ma lecture, je me dis que cela ne m'a pas transporté à des summums d'intensité émotionelle, que cela ne m'a pas touché au plus profond de ma sensibilité, mais pourtant, je la considère comme indispensable. Pourquoi ?
Parce qu'une fois qu'on est plongé dans le récit, on ne peut s'empêcher de penser : "Moore est fou. C'est un foutu génie, mais il doit être fou, pas possible autrement". Comment mener un récit de cette façon ? Comment mêler toutes ces choses avec tant de subtilité ? Mettre dans un contexte réel des éléments absurdes avec tant de force ? Je n'ai ressenti ça qu'en lisant du Dick.
Nous sommes quasiment là entre le roman et la bande dessinée, avec les "dossiers" et extraits "d'ouvrages" qui viennent clore chaque chapitre.
Faire rimer "réalisme" et "super-héros", c'est déjà un superbe tour de force. Mais ça va beaucoup plus loin, puisqu'ils sont en fait une sorte d'imagerie qui permet d'exprimer une vision sur la situation politique et sociale à l'époque. Un compte à rebours en fil rouge.
Une oeuvre très riche.
"Achille Talon" est une BD que beaucoup de jeunes maintenant n'aiment pas car ils ne comprennent pas les mots utilisés ou le jeu de mot, la contrepéterie cachée...
Greg a réussi à créer une série de BD qui, à chaque page de chaque tome, m'amène à me dire qu'il m'aurait fallu un an pour trouver un jeu de mot comme celui s'y trouvant.
Le seul point négatif que je verrais est qu'il répète certaines blagues ou fait des histoires courtes assez stupides.
Je pense que ce genre de BD doit être recommandé à toute personne aimant la langue française et l'humour en général. :)
Un avis qui peut évoluer, c'est le premier tome. Un démarrage plutôt séduisant et une organisation autour de cette BD plutôt originale qui devrait permettre la sortie de 8 albums sur 3 ans.
Avant tout, ce qui m'a séduit c'est l'atmosphère de cette terre du futur. Un univers SF riche et un scénario qui promet. J'ai trouvé les dessins agréables ; par contre au niveau de la couleur je trouve qu'il pourrait y avoir des progrès.
Double baptême en ce qui me concerne avec cet album : première lecture d'un album de Seth et première lecture d'un album de la collection "Ecritures" de Casterman. Je précise ce point car sans même parler de son contenu, ces livres sont superbes, sobres et joyeux à la fois, doux et revêches en même temps, de superbes objets vraiment.
Le commis voyageur, acte I, scène I : Un vieil homme se lève et le lecteur le suit toute la journée en l'écoutant raconter des souvenirs vieux de plus de quarante ans. Au milieu de ce monologue, les commentaires sur l'art de bien vendre ne cessent de fuser. Lorsqu'une telle scène s'étend sur plus de soixante pages, il est plus que facile de tomber dans l'ennui et le désintérêt le plus total. Mais Seth parvient à éviter cet écueil de bien belle manière. En adoptant un ton intimiste mais jamais précieux, il emmène lentement le lecteur dans un état contemplatif rempli de sérénité. C'est un vieil homme qui parle, on le voit se lever, s'habiller, monter et descendre ses escaliers, manger, et même nu lorsqu'il va se laver. Jamais il n'arrête de nous parler, et on se sent de la famille, étrangement intime en fait. C'est vraiment fort comme sentiment ce que Seth parvient à faire passer sans l'air d'y toucher. Les dessins participent grandement à cet effet avec des nuances de bleu pâle toujours douces, et des touches légères de gris, de blanc et de noir. C'est fin, pas révolutionnaire mais superbement maîtrisé et surtout, ce type de trait s'adapte vraiment bien au propos de l'auteur.
Le commis voyageur, acte I, scène II : Dans la deuxième partie de ce premier tome, le lecteur fait connaissance avec Simon dont le vieil homme nous a déjà parlé dans la première scène… Simon le commis voyageur par intermittence, qui doit vendre des ventilateurs malgré ses difficultés de communication… Ce personnage est un véritable personnage de fiction, plein d'attraits et de ces petits défauts qui font la grandeur des anti-héros. En jouant avec les relations et les rencontres de Simon, Seth s'amuse à le faire dériver vers les limites de l'humanité, vers les confins obscurs de ce masque que nous portons tous jour après jour. La place de l'individu dans la société est en effet à ce prix et toujours avec ce ton mesuré mais qui fait mouche, Seth signe ici un premier tome très touchant.
Déjà fan de "l'Autre Monde", l'autre série de Rodolphe et Magnin, je me suis laissé tenter par celle-ci sans en connaître la teneur. Et voilà un choix que je ne regrette pas.
Le dessin de Florence Magnin y est toujours très agréable (à mes yeux du moins) et sa beauté convient parfaitement à l'atmosphère un tant soit peut onirique de cette histoire fouillée et bien menée. Chaque case est ouvragée comme un tableau et l'ensemble (des pirates, des auberges, des fantômes, la mer et le vent) possède un cachet formidable.
Très agréable à lire et plutôt captivant, voilà une BD que je conseillerai.
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Le Vent dans les Saules
Un recueil de bonne humeur, une ambiance superbe et en plus un humour très frais. Lire et relire cette série revient à passer un moment agréable loin de la vie moderne et du stress. Le dessin est fin et beau. J'aime particulièrement l'ambiance dans les maisons de chacun des héros, le côté douillet du terrier de Blaireau, l'aspect accueillant et chaud de celui de Taupe, le confort de la maison de Rat, etc.
Welcome Land
Ay, ay Sir! Tronchet est grand. :) Le pays voisin de Houppeland n'est pas vraiment plus agréable que ce dernier. Une brigade tue les porteurs de vêtements non assortis, la poésie se vit comme une guerre (d'accord avec Cassidy, cette histoire est grandiose), la croisière ethnique fait un tabac, le gouvernements bat des records de rapidité pour remplacer les gens que des terroristes font exploser... tout est d'une originalité incroyable, d'un cynisme à toute épreuve et d'une causticité comme seule Tronchet sait la faire. C'est vraiment drôle et vraiment intelligent. Je suis un peu moins fan du dessin que je trouve un peu sommaire et brouillon parfois, même s'il colle assez bien à ce monde de fous. Tergal, Calbuth, Houppeland, Welcome Land, Toi et moi, Les damnés de la terre, Là-bas : une pluie de 4 et de 5 pour ma part. A lire absolument.
On vit une époque formidable
Dans "On vit une époque formidable", Reiser s'attaque plus particulièrement à la société de consommation, aux travers du capitalisme et à tout ce qui a fait bouger les années 70 en général. Ses chroniques très acerbes s'attaquent aux années post-68 et à la déception qu'elles ont pu générer. Et assez curieusement l'ensemble n'a pas pris une ride. Du Reiser au meilleur niveau, drôle et mordant.
Lanfeust de Troy
Franchement ma bd preferée. Un excellent scenario alliant humour, imagination, aventure, etc. L'imagination de ses créateurs (Arleston et Tarquin) est impressionnante. On voit l'évolution du dessinateur au cours des différents tomes. Une histoire qui se suit par "Lanfeust des étoiles" ainsi que par les différents tomes de l'encyclopédie anarchique du monde de Troy, ainsi que la cartographie illustrée du monde de Troy. Une bd culte à acheter en urgence.
Prince Valiant
Remarquable. A lire absolument ! Une des plus grandes séries. Fait partie de l'Histoire de la B.D. (avec un grand H !) A l'époque où les bulles n'existaient pas, on lisait le texte sous l'image. Pour un collectionneur, cette série est précieuse.
Watchmen
Je ne vais pas me lancer dans la grande critique que mériterait l'oeuvre, je suis sûr de m'y perdre. Mais je pense que je peux aisément affirmer que c'est la BD de super-héros ultime, qui devrait plaire à certains qui n'aiment pas le genre, et déplaire à certains qui en sont fans. L'illustration fait au premier abord un peu vieux comics (ben... c'en est un en fait), surtout à cause de la colorisation, mais en avançant, on se rend compte des qualités du dessinateur, capable de mettre des choses en scène avec une suggestion toute particulière. J'ai beaucoup aimé certains plans en ombres chinoises. Il fait ce qu'il veut de ses mises en scène. On sent la maîtrise du dessinateur tout en avançant dans l'histoire. Bon. Si je fais le bilan de ma lecture, je me dis que cela ne m'a pas transporté à des summums d'intensité émotionelle, que cela ne m'a pas touché au plus profond de ma sensibilité, mais pourtant, je la considère comme indispensable. Pourquoi ? Parce qu'une fois qu'on est plongé dans le récit, on ne peut s'empêcher de penser : "Moore est fou. C'est un foutu génie, mais il doit être fou, pas possible autrement". Comment mener un récit de cette façon ? Comment mêler toutes ces choses avec tant de subtilité ? Mettre dans un contexte réel des éléments absurdes avec tant de force ? Je n'ai ressenti ça qu'en lisant du Dick. Nous sommes quasiment là entre le roman et la bande dessinée, avec les "dossiers" et extraits "d'ouvrages" qui viennent clore chaque chapitre. Faire rimer "réalisme" et "super-héros", c'est déjà un superbe tour de force. Mais ça va beaucoup plus loin, puisqu'ils sont en fait une sorte d'imagerie qui permet d'exprimer une vision sur la situation politique et sociale à l'époque. Un compte à rebours en fil rouge. Une oeuvre très riche.
Achille Talon
"Achille Talon" est une BD que beaucoup de jeunes maintenant n'aiment pas car ils ne comprennent pas les mots utilisés ou le jeu de mot, la contrepéterie cachée... Greg a réussi à créer une série de BD qui, à chaque page de chaque tome, m'amène à me dire qu'il m'aurait fallu un an pour trouver un jeu de mot comme celui s'y trouvant. Le seul point négatif que je verrais est qu'il répète certaines blagues ou fait des histoires courtes assez stupides. Je pense que ce genre de BD doit être recommandé à toute personne aimant la langue française et l'humour en général. :)
La Compagnie des Glaces
Un avis qui peut évoluer, c'est le premier tome. Un démarrage plutôt séduisant et une organisation autour de cette BD plutôt originale qui devrait permettre la sortie de 8 albums sur 3 ans. Avant tout, ce qui m'a séduit c'est l'atmosphère de cette terre du futur. Un univers SF riche et un scénario qui promet. J'ai trouvé les dessins agréables ; par contre au niveau de la couleur je trouve qu'il pourrait y avoir des progrès.
Clyde Fans (Le Commis voyageur)
Double baptême en ce qui me concerne avec cet album : première lecture d'un album de Seth et première lecture d'un album de la collection "Ecritures" de Casterman. Je précise ce point car sans même parler de son contenu, ces livres sont superbes, sobres et joyeux à la fois, doux et revêches en même temps, de superbes objets vraiment. Le commis voyageur, acte I, scène I : Un vieil homme se lève et le lecteur le suit toute la journée en l'écoutant raconter des souvenirs vieux de plus de quarante ans. Au milieu de ce monologue, les commentaires sur l'art de bien vendre ne cessent de fuser. Lorsqu'une telle scène s'étend sur plus de soixante pages, il est plus que facile de tomber dans l'ennui et le désintérêt le plus total. Mais Seth parvient à éviter cet écueil de bien belle manière. En adoptant un ton intimiste mais jamais précieux, il emmène lentement le lecteur dans un état contemplatif rempli de sérénité. C'est un vieil homme qui parle, on le voit se lever, s'habiller, monter et descendre ses escaliers, manger, et même nu lorsqu'il va se laver. Jamais il n'arrête de nous parler, et on se sent de la famille, étrangement intime en fait. C'est vraiment fort comme sentiment ce que Seth parvient à faire passer sans l'air d'y toucher. Les dessins participent grandement à cet effet avec des nuances de bleu pâle toujours douces, et des touches légères de gris, de blanc et de noir. C'est fin, pas révolutionnaire mais superbement maîtrisé et surtout, ce type de trait s'adapte vraiment bien au propos de l'auteur. Le commis voyageur, acte I, scène II : Dans la deuxième partie de ce premier tome, le lecteur fait connaissance avec Simon dont le vieil homme nous a déjà parlé dans la première scène… Simon le commis voyageur par intermittence, qui doit vendre des ventilateurs malgré ses difficultés de communication… Ce personnage est un véritable personnage de fiction, plein d'attraits et de ces petits défauts qui font la grandeur des anti-héros. En jouant avec les relations et les rencontres de Simon, Seth s'amuse à le faire dériver vers les limites de l'humanité, vers les confins obscurs de ce masque que nous portons tous jour après jour. La place de l'individu dans la société est en effet à ce prix et toujours avec ce ton mesuré mais qui fait mouche, Seth signe ici un premier tome très touchant.
Mary la Noire
Déjà fan de "l'Autre Monde", l'autre série de Rodolphe et Magnin, je me suis laissé tenter par celle-ci sans en connaître la teneur. Et voilà un choix que je ne regrette pas. Le dessin de Florence Magnin y est toujours très agréable (à mes yeux du moins) et sa beauté convient parfaitement à l'atmosphère un tant soit peut onirique de cette histoire fouillée et bien menée. Chaque case est ouvragée comme un tableau et l'ensemble (des pirates, des auberges, des fantômes, la mer et le vent) possède un cachet formidable. Très agréable à lire et plutôt captivant, voilà une BD que je conseillerai.