Un must dans le genre de la BD historique. L'atmosphère de cette époque particulière marquée par l'inquisition est rendue de façon remarquable. Les dessins sont magnifiques (regardez les couv!) et le scénario haletant. Bien sûr, l'ombre d'Eco plane sur cette série. Mais elle se lit tout de même plus vite que les 500 pages du maître italien!
J'attends (et c'est peu dire) la fin pour passer en mode culte.
Et voilà, la fin est arrivée et je passe en mode culte :)
Bon, même si beaucoup de bien en a déjà été dit, je me devais de poster sur ce cycle qui est pour le moment mon préféré (et sera dur à détrôner!) Les dessins sont excellents (j'ai fait d'une planche mon fond d'écran) avec des visages aux expressions souvent hilarantes.
Quant aux dialogues, ils sont tout sauf basiques et apportent un réel plaisir de lecture.
Le scénario est plein de rebondissements (Gaw gaw) ce qui est bien le moins qu'on puisse attendre d'une histoire de grenouille.
Pour les frileux qui hésitent encore, investissez simplement dans les deux premières BD qui forment une histoire complète. Vous finirez bien par en venir aux autres... :)
Professeur BELL est pour moi une des meilleures séries fantastiques du moment. Que ce soit au niveau du dessin comme du scénario l'ambiance sombre d'un LONDRES de fin de siècle est très bien rendu. Les personnages sont très fouillés et intéressants et les histoires sont de réelles caricatures des tares de nos congénères qui n'en ressortent jamais grandis.
Akira est la référence en matière de manga. Et quand on l'a lu, on sait pourquoi. Tout d'abord le scénario post apocalyptique vous tient en haleine du début à la fin, les personnages sont tous très intéressants. Le dessin est impeccable (il est plaisant de s'attarder sur certains dessins). Mais la mise en page est peut être ce qu'il y a de plus beau, ce sens de la disposition fait que les 6 tomes se lisent avec beaucoup de facilité, il m'arrive parfois même de me surprendre à relire certains passages comme la destruction de néo Tokyo ou d'admirer certaines double-pages.
Je la recommande donc à tous ceux qui aiment la bd sans forcément adorer les MANGAS (ce qui est mon cas).
CULTE! Cela n' engage que moi bien sûr mais Largo, malgré toutes ses qualitées (ça a l' air d' en gêner plus d' un) possède à mon avis toutes les qualitées pour faire une très bonne BD, c' est à dire des scénarii abordables (faire des histoires de 2 tomes me parrait une excellente idée) servis par des dessins très "complets" (détails sans surcharge). N' en déplaise aux élitistes de la BD, Largo Winch est une excellente BD destinée au plus grand nombre!
Franchement si vous aimez les histoires de samouraï impitoyable comme dans l'ancien temps, alors lisez Kyo. De plus, il est dans la lignée de Kenshin le vagabond même si on peut qualifier Kyo de plus dangereux, de plus terrible,...
Dans ce manga, y'a que de l'action de page en page ainsi que du suspens à en mourir...
Conseil lisez-le, achetez-le, volez-le...
Mon opinion reprend en gros toutes les meilleures critiques déjà postées ici... Ce qu'on remarque en premier c'est bien sur les dessins et les couleurs, et là dessus il n'y a rien à redire ! Toute l'histoire tourne autour du théatre, c'est mis en scéne comme une pièce, les dialogues sont savoureux, les références multiples... L'histoire pas trop compliquée permet de bien apprécier tout ça.
Parfois, je me dis que c'est surement la meilleure que j'ai lue (et j'en ai lu !)
Suite aux prix et aux hommages que cette BD a reçu, j'avais commandé cet album sans l'avoir vu. Lorsque je suis allé le chercher, c'est là que j'ai découvert le dessin en noir et blanc (des souris et des chats!!!), le petit format... et le prix $$$$$ (oui, je sais ! J'aurais dû m'informer avant!). Toujours est-il que...on l'avait commandé pour moi, j'ai donc assumé. Puis, au prix que je l'avais payé, je l'ai lu, même si ça ne m'attirais pas. Quelle surprise ! J'ai non seulement été captivé par le scénario mais aussi par le dessin. Je ne pensais pas que ce genre de dessin pouvait avoir un tel impact sur moi. À lire absolument !
C'est un premier album que signe ici Santos De Veracruz et quel album!!! Il faut dire qu'il est bien secondé avec Jorge Zentner comme scénariste (celui qui nous a donné entre autres "Le silence de Malka"). De Veracruz met en image cette histoire avec toute la fougue et la passion qui caractérise ses personnages. Plus je regarde ses dessins et ses couleurs, plus je trouve ça beau.
C'est comme un opéra en plusieurs actes inpiré tout au long de l'album par la musique, la danse et le chant populaire andalous. J'ai retrouvé sur internet et pu entendre ce que chante Paco (le personnage principal)lorsqu'il réusssit à performer le "cante vrai". C'est magnifique!
Le monde de Daar, aussi loin que remontent les souvenirs des différents peuples qui l'habitent, a toujours été en guerre. Les trois Immortels, Zembria la cyclope, Barr-Find Main noire et Jargoth le parfumé, lancent à chaque croisée des deux soleils leurs armées dans une lutte sanglante et impitoyable, pour des raisons si anciennes que nul ne les connaît plus. Même les petits et malingres chninkels, réduits en esclavage par Barr-Find, doivent participer à l'immense carnage programmé. Mais à la fin d'une bataille, J'on le chninkel parvient miraculeusement à survivre. J'on s'extrait des monceaux de cadavres qui le recouvrent, et, oublié de tous, s'abandonne au désespoir. C'est alors que lui apparaît une étrange entité monolithique, qui se présente comme le Maître créateur des mondes et confie au jeune chninkel une mission : il doit ramener la paix dans le monde de Daar. Pour cela, l'entité lui accorde le Grand Pouvoir... Mais en quoi ce Grand pouvoir consiste-t-il ? Et comment diable J'on, misérable petit esclave, pourrait-il amener les redoutables Immortels à cesser leur querelle ?
"Le grand pouvoir du chninkel" est une extraordinaire bande dessinée. Sans doute l'une des meilleures à ce jour, si l'on en croit les avis de nombreux amateurs. Rééditée il y a peu sous forme de trois albums en couleur, cette oeuvre est sortie à l'origine en un volume unique, en noir et blanc. Sans affirmer que la réédition est nécessairement inférieure, l'édition originale a l'avantage de mettre en valeur la qualité du trait de Rosinski. L'auteur de "Thorgal" maîtrise pleinement son trait, d'autant qu'il sait en 1988 qu'aucun ajout de couleur ne viendra le modifier. Il y a donc un soin tout particulier accordé au jeu des ombres et des lumières, tant pour les décors que pour les personnages. Van Hamme, déjà complice de Rosisnski pour "Thorgal", livre un scénario d'une ambition et d'une virtuosité époustouflantes. Ceux qui critiquent aujourd'hui cet auteur à succès feraient bien de relire "Le grand pouvoir du Chninkel". Le scénariste s'y réapproprie les mythes bibliques (l'Ancien comme le nouveau Testament) : même si le parallèle avec Jésus et les évangiles est le plus évident, la rencontre de J'on avec le maitre créateur évoque plutôt Moïse, et le caractère de la divinité, jalouse et rancunière, évoque le dieu hébreu plus que le dieu chrétien. Une certaine connaissance des événements bibliques est nécessaire pour pleinement apprécier le travail de Van Hamme, mais son récit peut également se lire comme une formidable aventure, inventive et remarquablement menée.
Fondement de la civilisation occidentale, la Bible a profondément marqué de son empreinte la bande dessinée grâce à Rosinski et Van Hamme. Car "Le grand pouvoir du Chninkel", répétons-le, est l'une des oeuvres incontournables du genre, que les années n'ont aucunement altéré. Inutile de dire que sa lecture est indispensable si vous souhaitez revendiquer une culture bédéphile.
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Le Troisième Testament
Un must dans le genre de la BD historique. L'atmosphère de cette époque particulière marquée par l'inquisition est rendue de façon remarquable. Les dessins sont magnifiques (regardez les couv!) et le scénario haletant. Bien sûr, l'ombre d'Eco plane sur cette série. Mais elle se lit tout de même plus vite que les 500 pages du maître italien! J'attends (et c'est peu dire) la fin pour passer en mode culte. Et voilà, la fin est arrivée et je passe en mode culte :)
Garulfo
Bon, même si beaucoup de bien en a déjà été dit, je me devais de poster sur ce cycle qui est pour le moment mon préféré (et sera dur à détrôner!) Les dessins sont excellents (j'ai fait d'une planche mon fond d'écran) avec des visages aux expressions souvent hilarantes. Quant aux dialogues, ils sont tout sauf basiques et apportent un réel plaisir de lecture. Le scénario est plein de rebondissements (Gaw gaw) ce qui est bien le moins qu'on puisse attendre d'une histoire de grenouille. Pour les frileux qui hésitent encore, investissez simplement dans les deux premières BD qui forment une histoire complète. Vous finirez bien par en venir aux autres... :)
Professeur Bell
Professeur BELL est pour moi une des meilleures séries fantastiques du moment. Que ce soit au niveau du dessin comme du scénario l'ambiance sombre d'un LONDRES de fin de siècle est très bien rendu. Les personnages sont très fouillés et intéressants et les histoires sont de réelles caricatures des tares de nos congénères qui n'en ressortent jamais grandis.
Akira
Akira est la référence en matière de manga. Et quand on l'a lu, on sait pourquoi. Tout d'abord le scénario post apocalyptique vous tient en haleine du début à la fin, les personnages sont tous très intéressants. Le dessin est impeccable (il est plaisant de s'attarder sur certains dessins). Mais la mise en page est peut être ce qu'il y a de plus beau, ce sens de la disposition fait que les 6 tomes se lisent avec beaucoup de facilité, il m'arrive parfois même de me surprendre à relire certains passages comme la destruction de néo Tokyo ou d'admirer certaines double-pages. Je la recommande donc à tous ceux qui aiment la bd sans forcément adorer les MANGAS (ce qui est mon cas).
Largo Winch
CULTE! Cela n' engage que moi bien sûr mais Largo, malgré toutes ses qualitées (ça a l' air d' en gêner plus d' un) possède à mon avis toutes les qualitées pour faire une très bonne BD, c' est à dire des scénarii abordables (faire des histoires de 2 tomes me parrait une excellente idée) servis par des dessins très "complets" (détails sans surcharge). N' en déplaise aux élitistes de la BD, Largo Winch est une excellente BD destinée au plus grand nombre!
Samuraï Deeper Kyo
Franchement si vous aimez les histoires de samouraï impitoyable comme dans l'ancien temps, alors lisez Kyo. De plus, il est dans la lignée de Kenshin le vagabond même si on peut qualifier Kyo de plus dangereux, de plus terrible,... Dans ce manga, y'a que de l'action de page en page ainsi que du suspens à en mourir... Conseil lisez-le, achetez-le, volez-le...
De Cape et de Crocs
Mon opinion reprend en gros toutes les meilleures critiques déjà postées ici... Ce qu'on remarque en premier c'est bien sur les dessins et les couleurs, et là dessus il n'y a rien à redire ! Toute l'histoire tourne autour du théatre, c'est mis en scéne comme une pièce, les dialogues sont savoureux, les références multiples... L'histoire pas trop compliquée permet de bien apprécier tout ça. Parfois, je me dis que c'est surement la meilleure que j'ai lue (et j'en ai lu !)
Maus
Suite aux prix et aux hommages que cette BD a reçu, j'avais commandé cet album sans l'avoir vu. Lorsque je suis allé le chercher, c'est là que j'ai découvert le dessin en noir et blanc (des souris et des chats!!!), le petit format... et le prix $$$$$ (oui, je sais ! J'aurais dû m'informer avant!). Toujours est-il que...on l'avait commandé pour moi, j'ai donc assumé. Puis, au prix que je l'avais payé, je l'ai lu, même si ça ne m'attirais pas. Quelle surprise ! J'ai non seulement été captivé par le scénario mais aussi par le dessin. Je ne pensais pas que ce genre de dessin pouvait avoir un tel impact sur moi. À lire absolument !
Flamenco
C'est un premier album que signe ici Santos De Veracruz et quel album!!! Il faut dire qu'il est bien secondé avec Jorge Zentner comme scénariste (celui qui nous a donné entre autres "Le silence de Malka"). De Veracruz met en image cette histoire avec toute la fougue et la passion qui caractérise ses personnages. Plus je regarde ses dessins et ses couleurs, plus je trouve ça beau. C'est comme un opéra en plusieurs actes inpiré tout au long de l'album par la musique, la danse et le chant populaire andalous. J'ai retrouvé sur internet et pu entendre ce que chante Paco (le personnage principal)lorsqu'il réusssit à performer le "cante vrai". C'est magnifique!
Le Grand Pouvoir du Chninkel
Le monde de Daar, aussi loin que remontent les souvenirs des différents peuples qui l'habitent, a toujours été en guerre. Les trois Immortels, Zembria la cyclope, Barr-Find Main noire et Jargoth le parfumé, lancent à chaque croisée des deux soleils leurs armées dans une lutte sanglante et impitoyable, pour des raisons si anciennes que nul ne les connaît plus. Même les petits et malingres chninkels, réduits en esclavage par Barr-Find, doivent participer à l'immense carnage programmé. Mais à la fin d'une bataille, J'on le chninkel parvient miraculeusement à survivre. J'on s'extrait des monceaux de cadavres qui le recouvrent, et, oublié de tous, s'abandonne au désespoir. C'est alors que lui apparaît une étrange entité monolithique, qui se présente comme le Maître créateur des mondes et confie au jeune chninkel une mission : il doit ramener la paix dans le monde de Daar. Pour cela, l'entité lui accorde le Grand Pouvoir... Mais en quoi ce Grand pouvoir consiste-t-il ? Et comment diable J'on, misérable petit esclave, pourrait-il amener les redoutables Immortels à cesser leur querelle ? "Le grand pouvoir du chninkel" est une extraordinaire bande dessinée. Sans doute l'une des meilleures à ce jour, si l'on en croit les avis de nombreux amateurs. Rééditée il y a peu sous forme de trois albums en couleur, cette oeuvre est sortie à l'origine en un volume unique, en noir et blanc. Sans affirmer que la réédition est nécessairement inférieure, l'édition originale a l'avantage de mettre en valeur la qualité du trait de Rosinski. L'auteur de "Thorgal" maîtrise pleinement son trait, d'autant qu'il sait en 1988 qu'aucun ajout de couleur ne viendra le modifier. Il y a donc un soin tout particulier accordé au jeu des ombres et des lumières, tant pour les décors que pour les personnages. Van Hamme, déjà complice de Rosisnski pour "Thorgal", livre un scénario d'une ambition et d'une virtuosité époustouflantes. Ceux qui critiquent aujourd'hui cet auteur à succès feraient bien de relire "Le grand pouvoir du Chninkel". Le scénariste s'y réapproprie les mythes bibliques (l'Ancien comme le nouveau Testament) : même si le parallèle avec Jésus et les évangiles est le plus évident, la rencontre de J'on avec le maitre créateur évoque plutôt Moïse, et le caractère de la divinité, jalouse et rancunière, évoque le dieu hébreu plus que le dieu chrétien. Une certaine connaissance des événements bibliques est nécessaire pour pleinement apprécier le travail de Van Hamme, mais son récit peut également se lire comme une formidable aventure, inventive et remarquablement menée. Fondement de la civilisation occidentale, la Bible a profondément marqué de son empreinte la bande dessinée grâce à Rosinski et Van Hamme. Car "Le grand pouvoir du Chninkel", répétons-le, est l'une des oeuvres incontournables du genre, que les années n'ont aucunement altéré. Inutile de dire que sa lecture est indispensable si vous souhaitez revendiquer une culture bédéphile.