Les forums / Gruizzli ?
>> Blue boy avait écrit : >> >> Canarde avait écrit : >> >> Bravo pour ton avis sur "Champs de Bataille", tu as bien mieux réussi que moi à rendre cette émotion teintée de colère que l'on ressent à la lecture. >> >> C'est capital de lire cet album. >> >> Futur avis de la semaine ? je suis pour ! Moi aussi. L'avis est très bon, et l'album doit être mis en avant !
>> Noirdésir avait écrit : >> Salut, >> Je crois que tu avais suggéré/demandé il y a quelques temps un thème sur les publications issues de La Revue Dessinée. Eh bien voilà c'est fait (s'il y a des manques ne pas hésiter à les signaler !). >> Sinon, tu as lu "Pieds nus sur la terre sacrée" ? Non, j'ai pris la résolution de n'acheter aucun nouveau livre tant que je n'ai pas fini ma pile à lire (j'ai les BD de Calimeranne depuis plus d'un mois ...) et là je lis presque que des livres le temps que ma copine soit absente. Mais c'est dans ma liste ! Merci pour la liste, il y en avait encore plus que ce que je pensais ! D'ailleurs j'ai regardé aussi pour un éventuel thème sur la boulangerie et le pain, mais j'ai pas assez de BD à mon gout.
>> Bouriket avait écrit : >> Hello ! >> Je lis ton avis sur Alice au Pays des Pirates. Je me dis que je me reconnais franchement dedans, que je n’ai pas accroché non plus, que l’histoire m’a perdue, que le dessin ne m’a pas plus malgré son extraordinaire richesse… >> Et je le rends compté que j’ai avisé la série en ce sens il y a 8 ans ! >> Comme quoi le souvenir est tenace… à la hauteur de la déception ? >> Certaines œuvres gagnent à une seconde lecture, la connaissance du background permettant de mieux les apprécier. Mais je n’ai pas aimé suffisamment pour tenter une relecture ici. >> Bonne soirée. Oui, c'est ce que j'ai constaté en voyant que tu étais le seul à ne pas avoir aimé non plus ! Mais personnellement j'aurais du mal à revenir à la lecture, trop arrêté par le dessin franchement difficile à suivre. Je pense qu'on est minoritaire aussi parce que pas mal de gens sont assez vite refroidi et ne le lisent pas, donc ne l'avisent pas
Hello ! Je lis ton avis sur Alice au Pays des Pirates. Je me dis que je me reconnais franchement dedans, que je n’ai pas accroché non plus, que l’histoire m’a perdue, que le dessin ne m’a pas plus malgré son extraordinaire richesse… Et je le rends compté que j’ai avisé la série en ce sens il y a 8 ans ! Comme quoi le souvenir est tenace… à la hauteur de la déception ? Certaines œuvres gagnent à une seconde lecture, la connaissance du background permettant de mieux les apprécier. Mais je n’ai pas aimé suffisamment pour tenter une relecture ici. Bonne soirée.
>> Noirdésir avait écrit : >> Bon, on n'a pas eu le même ressenti à propos de La Fille maudite du capitaine pirate ! >> Cela dit à la fin de ton avis, lorsque tu parle de blocus, tu voulais sans doute dire blocage, non ? Tout à fait, j'ai corrigé. Et franchement, je suis très surpris de l'écart qu'on a dans le ressenti de lecture !
Bon, on n'a pas eu le même ressenti à propos de La Fille maudite du capitaine pirate ! Cela dit à la fin de ton avis, lorsque tu parle de blocus, tu voulais sans doute dire blocage, non ?
>> gruizzli avait écrit :
>> Le débat est franchement intéressant ! Personnellement je sais que j'ai un vrai souci avec l'iconisation de certaines figures (le cow-boy comme je le dis souvent dans mes avis sur des westerns, les tueurs même "vertueux", les mafieux ...). En fait je crois que cette iconisation vient surtout du traitement aux cinémas de ces personnages qui permettent d'explorer des thématiques mais aussi (et surtout) d'avoir facilement une action dans une histoire.
>>
>> Comme je l'ai souligné, je pense qu'il y a aussi une grande part d'appréciation personnelle et de l'endroit où l'on place son curseur de supportable niveau violence. Je sais que je l'ai plutôt très bas, et Zaroff a sans doute quelque chose de trop pour moi. Mais j'ai eu l'occasion de lire pas mal sur la question de la représentation des mafieux dans le cinéma et après avoir vu les témoignages des personnes réellement confrontées à la mafia, c'est assez difficile de se sentir en empathie avec des mafieux même présentés comme "cool". Je pense que dans Zaroff je n'ai pas été satisfait de la présentation de sa famille comme moteur d'expression humaine. En fait j'ai du mal avec l'idée qu'une famille nous humanise, ayant vu malheureusement beaucoup de monde dont la famille fut un boulet dans la vie ... Bref, de mon point de vue c'est une notion très subjective qui m'a pris ici !
>> Mais je le redis, j'aime bien le débat que ça donne !
Oui, je suis tout à fait d'accord avec toi, le débat est intéressant et mérite d'être posé, merci de nous avoir donné l'occasion d'exprimer chacun notre point de vue. 
Le débat est franchement intéressant ! Personnellement je sais que j'ai un vrai souci avec l'iconisation de certaines figures (le cow-boy comme je le dis souvent dans mes avis sur des westerns, les tueurs même "vertueux", les mafieux ...). En fait je crois que cette iconisation vient surtout du traitement aux cinémas de ces personnages qui permettent d'explorer des thématiques mais aussi (et surtout) d'avoir facilement une action dans une histoire. Comme je l'ai souligné, je pense qu'il y a aussi une grande part d'appréciation personnelle et de l'endroit où l'on place son curseur de supportable niveau violence. Je sais que je l'ai plutôt très bas, et Zaroff a sans doute quelque chose de trop pour moi. Mais j'ai eu l'occasion de lire pas mal sur la question de la représentation des mafieux dans le cinéma et après avoir vu les témoignages des personnes réellement confrontées à la mafia, c'est assez difficile de se sentir en empathie avec des mafieux même présentés comme "cool". Je pense que dans Zaroff je n'ai pas été satisfait de la présentation de sa famille comme moteur d'expression humaine. En fait j'ai du mal avec l'idée qu'une famille nous humanise, ayant vu malheureusement beaucoup de monde dont la famille fut un boulet dans la vie ... Bref, de mon point de vue c'est une notion très subjective qui m'a pris ici ! Mais je le redis, j'aime bien le débat que ça donne !
>> Brodeck avait écrit :
>> Salut Josq (et salut Gruizzli, il est suffisamment tôt pour te saluer aussi et puis, c'est quand même ton fil de discussion ^^),
>>
>> Dans le premier Zaroff (je n'ai pas lu le second tome, on ne sera pas surpris
), les auteurs selon moi montrent tout, mais ne racontent rien.
>> Le scénario tient dans cette phrase répétée à l'envi : " Je ne suis pas gibier, tu n'es pas le chassseeeeeur ! " au cas où nous aurions perdu le fil de cette intrigue passionnante à la Predator (autre oeuvre notable durant laquelle on déroulerait probablement du papier vierge si on pratiquait un électroencéphalogramme).
>> Tu évoques " Le silence des agneaux ", il me semble que dans ce film, le jeu d'A. Hopkins et de J. Foster, la qualité des répliques, l'écriture de leur personnage, la tension dramatique de chaque scène font effectivement de ce film un objet cinématographique abouti et de qualité. Pour moi, Zaroff, c'est tellement plat, stéréotypé et vide que je me suis ennuyé ferme.
C'est là qu'interviendront les goûts et les couleurs...
Pour ma part, je trouve que dans Zaroff, les répliques sont de qualité, l'écriture des personnages soignées et la tension dramatique extrêmement présente, entre autres grâce aux magnifiques graphismes de Miville-Deschênes. Donc même s'il est difficile de comparer un film et une bande dessinée, je trouve à peu près le même genre d'intérêt dans un film comme Le Silence des agneaux et Zaroff.
Quant à Predator (qui a effectivement des points communs avec la BD de Runberg), je te rejoins à peu près sur l'électroencéphalogramme plat. Néanmoins, cela n'enlève rien aux qualités formelles de l'oeuvre, et à l'atmosphère poisseuse et tendue que John McTiernan réussit à instaurer avec brio. Ce qui en fait un film culte dans son domaine, à raison selon moi (même si c'est loin d'être mon film préféré).
Salut Josq (et salut Gruizzli, il est suffisamment tôt pour te saluer aussi et puis, c'est quand même ton fil de discussion ^^),
Dans le premier Zaroff (je n'ai pas lu le second tome, on ne sera pas surpris
), les auteurs selon moi montrent tout, mais ne racontent rien.
Le scénario tient dans cette phrase répétée à l'envi : " Je ne suis pas gibier, tu n'es pas le chassseeeeeur ! " au cas où nous aurions perdu le fil de cette intrigue passionnante à la Predator (autre oeuvre notable durant laquelle on déroulerait probablement du papier vierge si on pratiquait un électroencéphalogramme).
Tu évoques " Le silence des agneaux ", il me semble que dans ce film, le jeu d'A. Hopkins et de J. Foster, la qualité des répliques, l'écriture de leur personnage, la tension dramatique de chaque scène font effectivement de ce film un objet cinématographique abouti et de qualité. Pour moi, Zaroff, c'est tellement plat, stéréotypé et vide que je me suis ennuyé ferme.
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