Les Ailes de Plomb

Note: 2.88/5
(2.88/5 pour 17 avis)

Affaire d'espionnage dans la France des années 50.


1946 - 1960 : L'Après-Guerre et le début de la Guerre Froide Charles de Gaulle École européenne supérieure de l'image Histoires d'espions Les Pyrénées

La vie de Patrick Plomb s'écoule tranquillement au coeur des Pyrénées jusqu'à sa rencontre avec une ancienne play-mate reconvertie dans l'espionnage et le chantage industriel... Le jeune couple se retrouve en possession des plans secrets d'un boîtier de commande à distance d'un avion prototype, outil d'un complot visant à la personne du Général de Gaulle. Entre le naïf Patrick Plomb, la sulfureuse Valérie et le groupe de tueurs et barbouzes en tous genres, s'engage une féroce course contre la montre où les coups les plus bas sont permis. Après de multiples rebondissements, l'attentat est déjoué et cette histoire s'achève au moment où la IVème République vacille et où l'Algérie est en ébullition...

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 31 Août 1995
Statut histoire Série terminée (2 cycles terminés, pas de nouveau cycle prévu) 7 tomes parus

Couverture de la série Les Ailes de Plomb © Delcourt 1995
Les notes
Note: 2.88/5
(2.88/5 pour 17 avis)
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05/07/2003 | Brian
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Par Cosme
Note: 3/5
L'avatar du posteur Cosme

Je ressors de cette lecture avec le sentiment d’avoir passé un bon moment. Une nuit au boulot à bouquiner alors qu’il y a une grosse tempête, orage dehors, c’était parfait pour être en raccord avec l’ambiance de la série où justement de nombreux événements sont liés et se passent pendant un orage. Elle est composée de 2 cycles de 3 tomes, avec un album de transition entre les 2 cycles (le tome 4). De Gibelin je n’avais lu que des séries fantastiques ou de SF, Terres d'Ombre, Les Lumières de l'Amalou et le Le Traque Mémoire, et j’ai toujours apprécié ses scénarios. Alors une série d’espionnage dans les années 50, j’étais presque sûr que j’allais apprécier. Le premier cycle, avec au dessin Barral, dont j’avais aimé le dessin classique et efficace dans Les Cobayes, se déroule pendant l’organisation d’un attentat contre De Gaulle, un risque de coup d’état militaire. L’ambiance a fait mouche sur moi, surtout que c’est une période que je ne connais que très peu, et qui m’a intrigué, questionné. Le second cycle où Gibelin se retrouve seul aux commandes (à partir du tome 4), se consacre à une histoire d’espionnage avec les communistes en Alsace. Et malgré les avis plus mitigés sur ce second cycle, j’ai été conquis aussi. Quelques petits détails m’ont déplu, questionné… - une référence au film le bon la brute et le truand, où le personnage cite une réplique du film. J’aurais trouvé ça amusant si le film était sorti au moment où est censé se passer l’histoire ou un peu avant, mais pas des années après. Soit Gibelin est un immense fan de Leone et voulait caser une réplique, soit c’est un gros anachronisme, surtout que je n’ai pas vu un seul autre clin d’œil à d’autres œuvres dans la série entière, là je trouve que ça sort de nulle part et que ce n’est pas du tout adapté, ça m’a perturbé, agacé plus que ça ne m’a amusé. - dans le second cycle, il y a au minimum une dizaine de planches écrites entièrement en allemand, et beaucoup d’autres planches comportant de nombreux textes en allemand… je n’ai rien contre l’allemand, mais j’aurais aimé comprendre ce qui ce disait, et la traduction n’est nulle part, ni sur les planches avec des petits astérisques, ni en fin d’album. Je ne comprends pas l’intérêt, surtout que je n’ai pas envie d’aller sur Google traduction et tout taper pour traduire ça. Le seul mot que j’ai repéré et que je connaissais c’est Scheisse, et manque de bol, ils y ont fait une faute d’orthographe dans l’album. Et il faut attendre les 20 dernières planches du 7 eme album (donc sur 150 planches environ pour ce cycle en Alsace/Allemagne de l’Ouest), pour qu’enfin les paroles en allemand soient traduites en français avec la manière classique d’utiliser une police d’écriture différente (il a fallu le temps!). Hormis ça, c’était ce que j’espérais de ma lecture. En résumé, une bonne petite série d’espionnage dans les années 50, classique, faite efficacement, qui ne révolutionnera pas le genre mais qui offre tout ce dont on peut en attendre. Je me suis même surpris en refermant le dernier tome à regretter qu’il n’y ait pas eu plus de cycles, j’aurais été preneur.

28/08/2023 (modifier)
L'avatar du posteur Noirdésir

Je ne suis généralement pas fan des changements de dessinateur en cours de série. Et ici, c’est encore plus le cas, car je préférais le dessin de Barral, à celui de Gibelin (pas mauvais en soi, très « propre », froid, mais presque trop léché). Question de goût certainement, car objectivement, il est plutôt bon quand même. Ces changements à la fin du « premier cycle » (trois premiers albums) ne sont pas que graphique. Je pense d’ailleurs que Gibelin aurait peut-être pu s’arrêter à ces trois albums – et alors mieux conclure ce cycle. En effet, la fin de miss Merle est bâclée (et peut claire) : je l’aurais bien vu continuer, à la rigueur (s’il fallait relancer l’intrigue) à jouer les méchantes, user de son charme avec quelques coups retors. Toujours est-il que Gibelin relance l’histoire, sans miss Merle, avec un nouveau dessin, mais aussi avec un nouveau Plomb (qui est passé pour le coup trop rapidement et abruptement du tombeur fanfaron dépassé par des évènements qu’il subit, à un homme sûr de lui et ayant les idées bien en place : le ton a trop changé à mon goût). Le quatrième album, de transition, est sensé faire passer le relais avec le cycle suivant de trois album (ce quatrième tome est certainement celui que j’ai le moins aimé). Alors que les trois premiers tomes restaient franco-français pour ce qui est des coups fourrés de barbouzes (grosso modo les tensions liées à la guerre d’Algérie, et l’arrivée imminente de de Gaulle au pouvoir), du tome cinq au tome sept, c’est le contexte de la guerre froide qui est exploité, avec la guerre que se livrent services secrets de l’Est et de l’Ouest, avec Plomb comme pion. Si j’ai préféré le premier cycle, le second se laisse lire. Mais un grand nombre de dialogues sont alors en Allemand (parfois des pages entières !) sans qu’ils soient traduits ! Si mes souvenirs d’Allemand m’ont permis de comprendre l’essentiel (mais forcément pas tout), il aurait été bien vu de les traduire. Et ce d’autant plus qu’à la fin du septième tome, tout d’un coup, ces dialogues en Allemand sont écrits dans un Français utilisant une police gothique pour les distinguer (et la dernière phrase d’Olivier en Allemand est même traduite) : pourquoi Gibelin ne l’a-t-il pas fait plus tôt ? Pour finir, relevons quelques clins d’œil disséminés dans la série : un majordome prénommé Nestor ressemblant à celui de Haddock, un policier à l’allure de Lino Ventura (ces deux détails dans le premier cycle), et deux barbouzes aux airs de Laurel et Hardy : mais ce dernier point est un peu trop accentué et improbable à mon goût. Une série qui se laisse lire, et pourquoi pas acheter… Surtout si vous êtes amateurs de bagnoles et d’avions des années cinquante : Gibelin s’est fait plaisir ici – et il faut dire que cet aspect est vraiment très réussi au niveau des reconstitutions.

26/08/2017 (modifier)
L'avatar du posteur Agecanonix

La série s'appuie sur un thème courant en BD ou à l'écran : l'individu sans histoire propulsé par hasard dans un univers dangereux et mouvementé (surtout dans le premier triptyque), en l'occurrence le monde de l'espionnage des années 50. En effet, ça évolue dans le milieu des barbouzes avec un peu d'humour qui peut se comparer au film de Lautner, les Barbouzes. On y voit des sosies de Laurel & Hardy, un vieux truand qui ressemble à un Spencer Tracy fatigué, et plein d'autres petits clins d'oeil... le tout malaxé en un bon mix de fictif et de réalité historique sur la politique française de 1958 autour du général De Gaulle. Je ne suis pas connaisseur de cette période que je n'ai pas vécue et qui m'intéresse assez peu, mais j'aime l'époque pour ce qu'elle a de "singulier" et je dirais même "d'exotique" si je puis m'exprimer ainsi. On a l'impression que tout sonne vrai. La description géographique est également correcte, autour de Biscarosse et de l'étang de Cazaux situés presque à la frontière avec la Gironde. Le premier récit en triptyque n'est pas mal, malgré un côté déjà vu et peu surprenant, quelques imperfections aussi. C'est un festival de situations qui s'enchaînent avec des rebondissements tant bien que mal, quelques incohérences et quelques situations pas toujours très claires, mais l'ensemble est bien mené, je suis seulement un peu déçu par un final trop rapide concernant la disparition trop vague de Valérie Merle. Les récits suivants sont un peu moins passionnants ; le tome 4 est un tome de transition pour préserver une continuité qui se relie au triptyque précédent, il est moins réussi car l'évolution de Patrick Plomb marque un trop grand contraste. Entre le coureur de jupons irresponsable des débuts dans l'hôtel pyrénéen de sa mère et le garçon aguerri qui a son brevet de pilote et apparemment doué pour le journalisme, il y a un sacré écart. Le triptyque suivant devient complètement fou et bien trop rocambolesque, même si on a l'impression que ça a l'air plausible. En tout cas, il m'a intéressé moyennement. D'autre part, les nombreux dialogues en allemand dans le tome 5 auraient pu au moins se fendre d'une traduction. J'ai attaché un plus grand intérêt au dessin. Il est vraiment agréable et séduisant, surtout dans les décors et les voitures très soignées des années 50, on sent que c'est un vrai plaisir pour les dessinateurs de reproduire les Simca Aronde ou Ariane, les Dauphine Renault, les DS Citroën et autres Alfa Romeo Giuletta... Je préfère cependant le dessin plus appliqué et d'une plus grande netteté, très propre de Gibelin à partir du tome 4, et il s'améliore en suivant. Voici donc une série ni tout à fait captivante, ni tout à fait médiocre, qui propose des aventures classiques et assez courantes vues dans des Bd plus anciennes, mais l'effort sur la re-création d'époque fifties est méritoire.

14/07/2017 (modifier)
Par sloane
Note: 3/5
L'avatar du posteur sloane

Ma note n'est valable que pour le premier cycle (tomes 1, 2 et 3). Que tout cela est sympathique! Avouons-le, ce qui m'a fait craquer c'est le ton "Les barbouzes", "Les Tontons Flingueurs". Dans cette histoire les seconds couteaux sont à l'honneur, ils ont des gueules, du tempérament et sont brut de pommes. Au début de ma lecture j'ai eu un peu peur de tomber sur une histoire assez basique de jeunots, coureurs de filles. Mais finalement j'ai trouvé un polar un peu à l'ancienne. Le fait qu'il se déroule dans les années 50 rajoute une petite touche nostalgique pour une époque que je n'ai pas connue. Alors oui c'est basique, c'est de l'espionnage à la papa, sans artifice James Bondien, la touche humoristique est juste comme il faut, un petit peu de fesses, comme on disait, j'ai au final passé un agréable moment de lecture. Le dessin ne m'a pas paru vieillot et retranscrit l'atmosphère de ces années là. Plaisant vous dis-je et sans prise de tête.

28/10/2014 (modifier)
L'avatar du posteur Mac Arthur

Bienvenue aux nostalgiques des années ’50. Mais les autres peuvent continuer à lire, car ceci pourrait bien leur plaire. Gibelin, un auteur que je trouve très inégal, a réussi à me séduire avec ce récit d’espionnage, ce polar noir, cette histoire policière légèrement humoristique, enfin ! avec ce drôle de brol que sont « les Ailes de Plomb ». J’ai trouvé l’histoire très plaisante à lire, les rebondissements sont nombreux et la personnalité du héros apporte cette dimension humoristique qui dédramatise le propos (mais certains seconds rôles contribuent également grandement à cette dédramatisation). Le premier cycle, composé des 3 premiers tomes, est très réussi, et j’en recommanderais l’achat sans hésitations. Le quatrième tome est un tome de transition. Il ferme certaines portes laissées entrouvertes à la fin du premier cycle, et permet à Patrick Plomb (le héros de la série) d’entamer une nouvelle carrière dans le journalisme et l’aviation (alors qu’à la base, nous avions à faire avec un fils à maman gérant un hôtel des Pyrénées avec une grande parcimonie de ses effort, hormis dans sa quête d’amour (menée tambour battant auprès de toute personne de sexe opposé et de plastique appétissante)). Un album de transition est rarement une réussite, et la règle se confirme une fois de plus dans le cas présent. Le cinquième tome débute un nouveau cycle très prometteur, même si Patrick Plomb a perdu une bonne part de son charme en même temps que sa candeur, si séduisante durant le premier cycle. Le scénario est cependant suffisamment tordu, dense et riche, et les rebondissements sont suffisamment nombreux et bien amenés pour maintenir mon attention. A noter également que depuis le quatrième tome, Gibelin assume tout seul. Personnellement, même si lui et Barral n’ont pas des techniques identiques, je n’ai pas remarqué de baisse de niveau. Cela reste du travail soigné, mais le graphisme n’est pas à mes yeux la qualité principale de cette série. Un lecteur ne la choisira sans doute pas pour son trait, mais ne la rejettera sans pas non plus à cause de celui-ci. Entre franchement bien (les tomes 1, 2, 3 et 5) et bof (le tome 4), la moyenne est à la satisfaction du lecteur que je suis. Oublions ce tome 4 (pourtant nécessaire à la transition) et espérons que cette série ne prenne plus du plomb dans l’aile à l’avenir (rien n’est acquis, monsieur Gibelin ! Ne tombez pas dans la facilité et restez vigilants afin de conserver ce très haut niveau de finition qui m’incite à coter votre série d’un « franchement bien » méritoire).

28/07/2009 (modifier)
Par tolllo
Note: 2/5

Vraiment trop basique, trop classique, voilà mon premier ressenti après la lecture de ce premier cycle. J’ai eu l’impression d’être devant une série télé des années 80, sans envergure. Elle me parait vieillotte : bien sûr cette histoire se déroule dans les années 50 mais le contexte historique n’est pas en cause, cela est bien dû au dessin, aux dialogues et à son scénario. Si on y regarde de plus près Halloween Blues se situant à peu de chose près à la même période, ne souffre aucunement de ce coté vieillot... Le personnage principal et l’héroïne sont relativement attrayants mais l’histoire est, comme je le disais plus haut, bien trop conventionnelle et en souffre véritablement, Malheureusement le scénario n’aide en rien cette série, le coté "barbouze", les multiples représentants de l’ordre comme le souligne Pol, finissent par nous perdre dans cette histoire finalement quelconque. Et que dire de la fin bouclée, pour ne pas dire bâclée en 2 pages... j’exagère ? Pas tant que cela... (10/20)

06/04/2009 (modifier)
Par L'Ymagier
Note: 3/5

Un bon thriller mâtiné d’espionnage. Mais… bon… l’histoire du mec qui s’attache à une bonne femme, laquelle est poursuivie par des barbouzes qui veulent s’emparer d’une invention qu’elle détient… ça m’a un goût de déjà vu/déjà lu ; bien que ce soit sous d’autres formes. Le scénario, quand même, a ceci d’intéressant qu’il met en scène –à sa façon- un attentat dont le Général de Gaulle devra être la victime. J’ai ainsi suivi une course-poursuite qui –heureusement- se laisse lire et regarder comme un bon vieux polar d’il y a cinquante qui serait ici dessiné. Les personnages sont bien typés, le décor général fleure bon l’ancien demi siècle et, je le reconnais, l’ensemble est divertissant autant qu’intéressant. Le graphisme est agréable, le jeu d’ombres portées faisant bien ressortir sujets et décors des cases. Tout ça pour ?… une série intéressante à lire, divertissante, mais avec un petit goût de « réchauffé ».

23/02/2009 (modifier)
Par Pacman
Note: 3/5

Mon avis porte sur le premier cycle de trois tomes, le reste étant à mon avis, largement dispensable tant au point de vue du dessin que du scénario. Le premier triptyque, donc, démarre fort bien avec pas mal d'humour, du rythme, quelques références historiques intéressantes, et surtout une ambiance film de barbouzes d'après guerre "à la française" plutôt réussie. Puis, il semble que le scénariste n'ai pas trop su ou aller, ou bien qu'il ait du finir sa série plus vite que prévu, parce que tout d'un coup, au troisième tome tout s'emballe, et voila, c'est fini (???). Un peu dommage, cette fin en queue de poisson, d'autant que le dessin est propre, les visages et les expressions bien travaillés, les décors soignés (les Pyrénées, l'étang de Cazaux), les engins impeccables (avions, voitures d'époque, ...). Au final, un 3/5 tiré par les cheveux, et l'impression d'avoir raté l'occasion de lire une bonne série...

26/10/2008 (modifier)
Par pol
Note: 3/5
L'avatar du posteur pol

Un thriller d'espionnage qui partait bien, mais qui m'a finalement déçu au fil de ma lecture. Le dessin sans être parfait est pas mal. Je regrette un peu le découpage des planches beaucoup trop standard. Les couleurs sont plutôt neutres mais assez bien choisies. Au début on fait connaissance avec les personnages, et passé les 2 ou 3 clichés réglementaires, on entre dans une prometteuse histoire d'espionnage sur fond d'attentat contre le général De Gaule. J'ai trouvé que ça partait plutôt très bien. Et sans pouvoir dire à quel moment ça dérape, je me suis retrouvé décroché de l'intrigue en me demandant dans quelle direction l'auteur nous emmenait. Entre les truands qui ne s'apprécient pas entre eux et se font des coups bas sans explication, la gendarmerie du coin, la police nationale, les agents délégués de l'état, la DST, on ne sait plus qui court après qui..... Un nouveau méchant qui apparaît, le grand chef qui disparaît, bref on ne sait plus où on en est ! Et puis subitement arrive la fin. Tombée du ciel sans qu'on s'y attende et limite sans qu'on la comprenne. Je peux dire que je suis resté sur ma faim. Le tome 4 commence un nouveau cycle. Le dessinateur a changé. Si le dessin y gagne en netteté, les personnages eux ont perdu leur identité, puisqu'ils ne se ressemblent plus trop..... L'histoire ne m'a pas emballé du tout, c'est un peu n'importe quoi. 2 étoiles seraient un peu trop sévères mais c'est un tout petit 3 / 5.

26/06/2006 (MAJ le 16/05/2008) (modifier)
Par Ems
Note: 2/5

Après lecture des 4 premiers tomes. J'avais lu les 3 premiers tomes il y a un certain temps, et je n'avais pas vraiment apprécié ce premier triptyque. Aujourd'hui j'ai remis le couvert avec en complément le tome 4. Et bien, ça reste toujours "Bof, sans plus". L'histoire est décousue, je n'arrive pas à être captivé par le scénario. Le dessin est correct, je n'aime pas les couleurs dans les 3 premiers tomes, ce problème est corrigé dans le quatrième, mais je me demande l'intérêt de poursuivre une série poussive... L'ensemble me donne l'impression d'avoir terriblement vieilli. Je ne reviendrai plus sur cette série, quand ça ne le fait pas, autant passer à autre chose.

28/02/2008 (modifier)