Jean-Pierre Léaud

Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)

Ce Petit Carnet conçu et dessiné par François Ayrolles est un hommage à Jean-Pierre Léaud.


Cinéma École européenne supérieure de l'image Séries avec un unique avis Tout petits albums

Acteur, Scénariste, Réalisateur. Une carrière qui commence à l'âge de 15 ans après qu'il ait répondu à l'annonce dans France-Soir du casting des Quatre cents coups de François Truffaut. Le film est l'une des oeuvres fondatrices de la Nouvelle Vague dont Jean-Pierre Léaud devient avec le personnage d'Antoine Doinel l'un des acteurs les plus représentatifs. De l'adolescent tourmenté des Quatre Cent Coups, son personnage fétiche va évoluer et grandir à travers quatre autres films : L’Amour à vingt ans (1962), Baisés volés (1968) Domicile conjugal (1970) et L’Amour en fuite (1979). Il tourna également Les deux anglaises et le Continent (1971) et La Nuit Américaine (1973) sous la direction de François Truffaut qui l'initia même à la réalisation en le faisant travailler comme assistant sur La Peau Douce en 1964. Repères : Les Petits Carnets, une nouvelle collection tirée à 1000 exemplaires numérotés.

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 20 Août 2007
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Jean-Pierre Léaud © Alain Beaulet Editeur 2007
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)
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20/11/2009 | Ems
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Par Ems
Note: 2/5

Second volume de cette collection que je lis. A nouveau, le thème abordé est le cinéma, plus particulièrement un acteur, auteur et réalisateur : Jean-Pierre Léaud. L'hommage est rendu pas François Ayroles. Il décompose son petit volume par paire de pages. A gauche on a deux personnages vus de dos qui conversent à propos de JP Léaud. Le trait est fin comme dans les BD Les Lecteurs, Les Amis ou encore Les Penseurs. A droite on a un dessin résumant à lui seul à chaque fois un film de JP Léaud. Le dessin est relativement gras comme dans Enfer portatif ou encore "Payback" C'est bien conçu mais je ne me suis pas senti concerné pour la simple raison que je ne connais pas Jean-Pierre Léaud. On reconnait cependant la touche de François Ayroles avec la particularité de mettre en opposition ses deux styles de dessin. Cette BD est une curiosité destinée à un public réduit.

20/11/2009 (modifier)