Okko

Note: 3.72/5
(3.72/5 pour 71 avis)

An 1108 du calendrier officiel de l'empire du Pajan.


Japan-Fantasy Les meilleures séries terminées en 2015 Les prix lecteurs BDTheque 2005 Samourai Terres de Légendes

An 1108 du calendrier officiel de l'empire du Pajan. En cette période tumultueuse, communément appelée l'ère Asagiri ou l'ère de la brume, les clans majeurs s'entre-déchirent depuis des décennies pour s'emparer du pouvoir. Loin des champs de bataille, Okko, le rônin sans maître, est à la tête d'un petit groupe de chasseurs de démons et arpente ainsi les terres de l'empire. Il est accompagné de Noburo, singulier géant qui cache son identité derrière un masque rouge, et du moine Noshin, bonze fantasque et grand amateur de saké. Ce dernier a la faculté d'invoquer et de communiquer avec les forces de la nature. Tikku, jeune pêcheur, va faire appel à Okko pour retrouver Petite Carpe, sa soeur enlevée par une horde de pirates. Mais une telle mission a un prix. Elle entraînera les quatre aventuriers bien plus loin qu'ils ne l'avaient imaginé.

Scénario
Hub
Dessin
Hub
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution Janvier 2005
Statut histoire Série terminée (cycles de 2 tomes) 10 tomes parus

Couverture de la série Okko © Delcourt 2005
Les notes
Note: 3.72/5
(3.72/5 pour 71 avis)
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12/01/2005 | ArzaK
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Par PAco
Note: 5/5 Coups de coeur expiré
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Wououh !!!! "Okko" est pour moi à ce jour une des meilleure série du genre ! Non pas que je sois un spécialiste en ce domaine, mais pratiquant l'aïkido, étant amateur de récits fantastiques, épiques et d'aventure, j'ai été comblé avec le travail de Hub ! "Okko" et ses 3 cycles en 2 tomes sur les éléments est plus que réussi. Espérons que le quatrième cycle du feu ne gâche pas notre plaisir, ce qui paraît heureusement peu probable... Ce qui marque d'abord dans cette série, ce sont les couvertures magnifiques, et leur pouvoir d'attraction qu'elles exercent. Rien que le nom de la série Okko est hypnotique... Et si certaines BD savent nous accrocher par des couvertures puissantes, on est parfois déçu dès la première page (changement de colorisation, de dessinateur, etc.). Mais là, on est vite conforté par le coup de crayon fin et précis de Hub. C'est beau... et ça va durer ! Décors minutieux, paysages assez époustouflants, costumes d'époque fouillés, personnages et créatures de la mythologie nippone vraiment bien rendus : chapeau ! On sent la maîtrise de l'univers ! Et tout ça dans une colorisation très réussie. Côté mise en page, Hub n'est pas en manque d'idées pour composer ses planches. C'est aussi fougueux mais maîtrisé que l'art du combat de notre ronin ; efficace ! Ajoutez à cela un sens du récit et du rythme, et Hub construit au fil de ses cycles un monde dont on s'approprie peu à peu les codes, et dont les personnages principaux se révèlent par touches au fil des pages. Car ce qui fait la réussite de cette série c'est bien la complexité de notre troupe de héros et la singularité de chacun des membres de cette troupe. Sous leurs airs caricaturaux du premier tome, ils se révèlent moins linéaires qu'il n'y paraît. Et même après 3 cycles, des mystères restent entiers... Suspens, quand tu nous tient... Alors, en attendant le dernier cycle de cette excellente série, on ne peut d'ors et déjà que féliciter l'auteur qui maîtrise son projet de bout en bout : peu en sont capable, surtout avec une constance dans le résultat ! Une série qui si elle poursuit dans cette voie méritera amplement à mon goût sa 5e étoile pour faire partie de mes séries "cultes". *** Cycles 4 & 5 *** Ce n'était donc pas 1 mais 2 cycles qui ont suivi les 3 premiers ! En sus du feu, Hob nous fait la surprise d'un dernier cycle sur le vide ! Quelle série mes amis ! Voilà une saga découpée en cycles bouclée en dix tomes maîtrisée de bout en bout. Et pour le coup, pour avoir pu en discuter avec l'auteur, quand on sait que dès le début Hub avait une vision globale de son récit et qu'il savait précisément qu'il ferait 10 tomes, moi je dis chapeau ! Car si chaque cycle pourrait se lire indépendamment avec une histoire dans la trame générale, c'est bien cette dernière qui se tisse au fil des tomes et se conclue de façon magistrale dans le tome 10. Toutes les questions et les mystères distillés au fil des cycles finissent par trouver réponse, et quelles réponses ! Quant au travail graphique, il reste complètement maîtrisé avec la très belle colorisation de Li et nous immerge de bout en bout dans cette puissante saga japonaise. Voilà donc une série de plus à rentrer dans mon petit panthéon des 5 étoiles ! Bienvenue au club :)

01/04/2011 (MAJ le 14/04/2020) (modifier)
Par Tolllo
Note: 5/5 Coups de coeur expiré

J'ai commencé cette série sans rien en attendre, n'étant pas un grand fan du médiéval fantastique "asiatique". La première lecture fut laborieuse du fait du fantastique trop présent à mon goût. Je suis tombé par hasard sur la série complète à un prix défiant toute concurrence, et en ai fait l'acquisition, au cas où j'aurais loupé quelques chose. Et bien oui ! j'avais loupé une grande bd avec des personnages hauts en couleurs. Les 4 premiers diptyques, sur des thèmes à chaque fois différents sont prenants. Ils développent une solide histoire, et laissent les personnages évoluer au fil des tomes. Car oui les personnes évoluent, autant que notre vision des choses en en apprenant plus sur eux. Le dernier diptyque clôt magistralement la série. Tout nous est conté. D'où ils viennent, ce qu'il sont, et pourquoi. Je ne me posais pas particulièrement de questions à leur sujet et malgré tout les réponses sont là. Le scénariste ne s'est pas fichu de nous. Il nous a pondu une fin aux petits oignons. Bref une série magistrale, 5 grosses histoires réparties sur 10 tomes, qui forment un ensemble du tonnerre ! 18/20

29/02/2016 (modifier)
Par Ro
Note: 5/5 Coups de coeur expiré
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La série Okko est terminée et je peux désormais la classer au rang de culte. Elle gagne d'autant plus ce droit qu'elle est l'oeuvre d'un unique auteur qui nous offre à la fois des scénarios originaux et très bien menés et un graphisme formidable. Hub a su créer un Japon de fiction, médiéval-fantastique, où samouraïs et bonzes croisent nombre de kamis et autres monstres du folklore japonais. Au cours de chapitres de deux tomes chacun, dont les décors et les intrigues s'inspirent successivement de chacun des quatre éléments naturels puis du passé des héros, on y suit les aventures d'Okko, ronin taciturne et chasseur de démons, et de ses acolytes, une sorte de grand guerrier démoniaque, un moine alcoolique et son jeune disciple. Confrontés à différentes situations originales et complexes, on voit les personnages évoluer et le mystère sur les origines du héros se dévoilent peu à peu. Malgré les trames emplies de fantastique, le ton est réaliste et volontiers sombre par moment. L'auteur n'épargne d'ailleurs pas son héros et n'en fait surtout pas un justicier lumineux et intouchable. Et pourtant il sait faire contraster cette noirceur avec de nombreuses touches de légèreté et d'humour. Le dessin est excellent. Décors et personnages sont soignés, beaux et pleins de personnalité. Les scènes d'action sont superbement représentées. Et certains paysages sont tout simplement envoûtants. Avec Okko, on va voyager de cités flottantes en monastères montagnards, de villages dans le vent en îles japonaises, dans un Japon fantasmé et beau. On découvrira des situations et décors dépaysants et parfaitement ciselés, en compagnie d'une petite bande de personnages fouillés et intéressants. Et quand vient le dernier diptyque et ses révélations sur le passé d'Okko, la série prend une nouvelle profondeur qui ne pousse qu'à vouloir relire l'intégrale, juste pour le plaisir.

03/02/2005 (MAJ le 18/12/2015) (modifier)
Par loudiere
Note: 4/5 Coups de coeur expiré

Okko, c'est la série écrite par des européens qui a compris par excellence l'esprit de l'Asie. On y retrouve tous les personnages d'un manga habituel, le chef ronin respecté et habile, le guerrier surpuissant sorte de démon aux origines mystérieuses, le moine alcoolique donnant la touche d'humour sans entrer dans la pitrerie (du style jarjar binks de star wars) et le jeune apprenti fougueux. De très belles images et des histoires toujours fouillées donnent une excellente série à posséder sans hésitation

12/03/2014 (modifier)
Par Miranda
Note: 5/5 Coups de coeur expiré
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J’adore « Okko » et pourtant l’appellation « culte » serait presque un peu excessive car les scénarios ne sont pas intrinsèquement originaux. Le premier cycle table sur les vampires, le second sur les zombies et le troisième surtout sur la magie. Ma préférence, pour l’instant, va au « cycle de l’eau », qui est à mes yeux le plus original et aussi peut-être parce qu’étant le tout premier, on y découvre l’univers « Okko ». Le « cycle de la terre » est plus classique et l’impression de déjà-vu est furieusement présente. Quant au « cycle de l’air », plus surprenant que le précédent, il comporte un peu trop de combats, à mon goût évidemment, mais ce n’est pas gênant car le plaisir visuel prend le relais. Malgré ces « tous petits défauts », à mettre impérativement entre guillemets, il y a une ambiance particulière qui fait que je suis totalement tombée sous le charme de cette série. Charme dû aux personnages attachants et originaux, et à une dose de fantastique bien dosée et présente quasiment à chaque instant du récit. Ce Japon issu d’une autre dimension, ponctué de mots et de titres japonais, malgré son haut niveau de fantastique m’a paru presque réel, et il a été extrêmement jouissif de m’y balader. Le graphisme évidemment y est pour beaucoup, je n’aurai cependant qu’un seul et unique reproche. Dans les premiers tomes la colorisation a tendance à être ton sur ton, les décors et personnages se confondent un peu trop par moments, ce qui n’est plus du tout le cas dans le « cycle de l’air » que je trouve parfait à tous les niveaux. La seule chose qui manque à cette série c’est son édition en Format de Luxe, comme celui sorti pour Long John Silver. J’ai vu et possède même quelques Tirages de Tête en noir et blanc, et bien que le dessin soit très beau, la colorisation lui apporte, à mes yeux, un plus non négligeable, mettant en valeur chaque détail des décors et habillements des personnages, et qui nous propulsent totalement dans ce monde magique et hypnotique. Le cycle du feu Une autre bonne aventure en compagnie d'Okko et de sa troupe, bien que le feu ne soit pas suffisamment présent dans le récit à mon goût, surtout dans le second tome, où il est quasiment absent. En ce qui concerne le dessin, le papier du tome 8 est plus mat et le rendu moins lumineux. Par ailleurs la colorisation est sensiblement différente des tomes précédents, les couleurs ne sont pas tout à fait les mêmes, moins raffinées je dirais, avec l'apport d'un bleu presque désagréable car il détonne trop et devient agaçant. Je laisse ma note maximale, car je suis une inconditionnelle de cet univers, mais j'espère que pour le cycle du vide le visuel sera de même facture que les tomes 1 à 7, car s'il suit la pente du tome 8, je serai forcément un peu déçue.

02/09/2011 (MAJ le 13/12/2012) (modifier)
Par Jetjet
Note: 5/5 Coups de coeur expiré
L'avatar du posteur Jetjet

Hub, le concepteur de cette série géniale a laissé entendre dans diverses interviews qu’il n’avait jamais été au Japon par phobie de prendre l’avion… C’est cette anecdote qui fait toute la saveur de ce monde mi-médiéval mi-fantastique car dès la première page le dépaysement est totalement réussi. La faute à des dessins clairs et chatoyants, un beau style simple permettant une immersion dans un univers riche complet et dont on accepte vite les règles. La faute également à des scénarios simples en surface et un peu plus complexes en substance. Okko est un véritable petit bijou appelé à devenir un classique au même titre que des séries comme Tintin ou la quète de l’oiseau du temps auquel il emprunte le souffle épique et enchanteur tout en demeurant unique. Au premier abord ces histoires de chasseurs de démons menées par un guerrier déchu de tout honneur et antipathique restent d’un abord classique. Okko pourtant ne se résume pas à cela tant son équipe formée d’un moine alcoolique, d’un géant invulnérable caché sous un masque démoniaque et d’un disciple candide s’attribuent tour à tour une importance conséquente dans les différents cycles. Les personnages sont difficiles à cerner par un manque voulu d’informations à leur égard ce qui permet d’en développer par petites touches leur passé trouble et différentes origines au gré des albums. Chaque cycle reprenant les éléments (eau, terre, ciel, feu et le néant) peut se lire presque de façon indépendante par dyptique. Et même là où on pourrait y cerner certaines facilités comme la ballade parmi les monastères du cycle de la terre avec répétition d’événements banals, j’y retrouve davantage une aisance à poser les ambiances pour mieux les tordre et surprendre son lectorat sans le gratter dans le sens du poil. Car Hub sait parfaitement où il va et même s’il est encore trop tôt pour poser un certain regard de recul sur les histoires déjà contées, nul doute que la conclusion en sera surprenante. La force de ces histoires est d’amener un cliffhanger improbable et haletant à la fin de chaque premier tome de cycle pour le conclure par une mélancolie et une certaine forme de poésie n’excluant pas des scènes d’action proprement ébouriffantes par leur montage et mise en scène. L’œuvre m’a curieusement renvoyé vers Apocalypse Now avec cette lente dérive vers l’inconnu dont on sait qu’on n’en sortira pas indemne. Hub mixe beaucoup d’éléments issus du jeu de rôle et du cinéma asiatique sans pour autant les copier et c’est très fort. J’ai retrouvé ce qui me plaisait tant dans la défunte série Lotus de Jade en bien plus travaillé… De même des références comme les films du Sabreur Manchot ou des Baby Cart me paraissent évidentes. On y parle même des premiers Méchas japonais avec ces armures de guerre fabuleuses et presque plausibles. Le fantastique est omniprésent mais agit par légères touches car tout n’est que mystères et chuchotement en ces temps troubles. L’essentiel n’est pas forcément la façon dont chaque enquête ou aventure sera résolue mais plutôt les impacts qu’elle laissera aux principaux protagonistes pour leur honneur et leur vécu. Il s’agit d’un monde bien sombre mais aux atours bien sensuels comme des décors et des costumes magnifiques ainsi que pas mal de touches humoristiques bienvenues avec les deux moines dont le plus jeune raconte son histoire à la façon du « Nom de la Rose ». Il y a suffisamment de choses agréables pour lire et relire Okko et je me surprends à en attendre vivement le huitième tome vu comme l’histoire prend un tournant encore inédit avec certains rebondissements et ne peux qu’en conseiller la lecture tout en pestant moi-même pour l’avoir découverte si tardivement. Epique et magnifique, Okko est bien la preuve que l’on peut manier l’aventure et le dépaysement tout en touchant à la sensibilité de chacun. Merci à Hub pour cette œuvre unique et intemporelle qui touche du doigt la magie des Histoires de Fantômes Chinois avec finesse et talent.

21/11/2011 (modifier)
L'avatar du posteur Michelmichel

J'ai a-do-ré cette série !! Ca a été un vrai régal de plonger dans ces aventures tous les soirs pendant la semaine qui vient de s'écouler. Okko m'a fait voyager dans l'univers féodal du Japon moyenâgeux. On fait connaissance avec le mode de vie et les légendes de cette époque. En résumé, une bande de rônins dont le sensei s’appelle Okko envoit onis et autres mahootsukai droit en jigoku, le plus souvent pour le compte d’un daimyo, afin de gagner des kokus ou quelques zenis. A l’aide de Yaris, de Tetsubos, de katanas, et de bunrakus, nos fameux bushis enverront paitre ces gun’tai et kimabusha du mal, (qui arborent d’ailleurs souvent des mons pas très nets...), sans pitié, les traitant comme des kono yaro. Après l’effort, ils chausseront leurs geta pour déguster un maigre shôshû tout en savourant un spectacle de jôruri au son des taikos. (Après avoir lu quelques albums, ce résumé n'aura plus de secret pour vous) Chacune de leur quête est passionnante, j'avais envie de connaitre le fin mot de l'histoire, et comment ils allaient arriver à renverser leur ennemi. L'intrigue est bien menée, riche en action, en rebondissements, avec une touche d'humour et d'émotion pour parfaire le tout. De plus, j'ai été pris par le charisme des personnages, la force de caractère d'Okko san, la force physique de Naburo (mon perso préféré ^^...), l'innocence de Tikku, et la sympathie du moine. Côté graphisme, c'est superbe, la richesse des costumes des personnages, la splendeur des couleurs, le raffinement des décors...rien à redire. Un mérité, et pourtant, c'est pas souvent que j'attribue cette note ! C'est clair, cette série finira par se retrouver un jour au complet dans ma bibliothèque ! (75)

02/11/2011 (modifier)
Par jaydee
Note: 5/5 Coups de coeur expiré

Voila une de mes bandes dessinées préférées du moment, et je pense en toute objectivité une des plus prometteuses.... Les histoires sont en deux tomes, chacun consacré à un élément (10 tomes prévus, avec le néant en dernier cycle). On suit les aventures de Okko un ronin (samurai sans honneur), noburo le guerrier démon, le moine Noshin et son apprenti Tikku. Tout d'abord, je tiens à signaler que les personnages sont parfaitement complémentaires, certains apportant de l'humour, d'autres de la profondeur au récit, de plus leurs capacités respectives leur donnent une grande force d'action. Chaque cycle nous présente aussi de nouveaux personnages, très intéressants, et comblant l'onomastique définitivement réussie de ces aventures. L'histoire débute fort, on est tout de suite plongés dans ces aventures, bien que les premiers tomes soient inférieurs aux seconds pour les deux premiers cycles. Le premier cycle est agréable, met très bien en place les principaux protagonistes et le monde (qui est le Japon des Samurai, avec quelques ingrédients fantasy), et offre des aventures très plaisantes. Le second commence moins bien, le premier tome du cycle traine un peu en longueur selon moi, mais le tir est parfaitement corrigé avec le quatrième tome, le meilleur de la série, une référence en matière de scénario et d'aventures ! Enfin, le troisième cycle commence très fort et le prochain tome à paraitre promet d'être passionnant. Ce cycle nous explique un peu plus du passé de Okko, et donne beaucoup de profondeur à la série, nous fait encore plus accrocher ! Le dessin est très réussi, quoique conventionnel, et le découpage est très lisible et dynamique. Bref, si vous ne connaissez pas encore, courrez l'acheter, vous ne serez pas déçus !

02/04/2010 (modifier)
Par Popak
Note: 4/5 Coups de coeur expiré

J'ai échangé les 4 premiers Les Arcanes du Midi-minuit contre les 4 "Okko". Eh ben, je ne suis pas du tout déçu du deal. Un vrai régal. J'adore cette histoire de samouraï et des ses compagnons dans un Japon-fantasy, en quête de monstres à occire. C'est divertissant et les dessins magnifiques. De l'action, de l'humour, un peu de sagesse japonaise, une bd qui ne se prend pas au sérieux et qui fait passer un très bon moment au lecteur. Vivement la suite...

29/06/2008 (modifier)
Par Gevaudan
Note: 4/5 Coups de coeur expiré

Je suis emballé par cette série, point barre. C'est exactement le genre de dessins et de colorisation que j'aime, très précis, très étudié et en même temps remarquablement fluide et dynamique. L'univers fantastique créé sur les bases de la mythologie et de l'histoire nippones est intéressant, et riche de potentialités et de promesses. Et les histoires, qu'il s'agisse du cycle de l'Eau (terminé) ou du cycle de la Terre (en cours), elles sont sobres, souvent inquiétantes tout en contenant la dose nécessaire d'action. Je suis conquis et j'en redemande.

16/02/2007 (modifier)