Monster Kill Squad

Retrouvez l'artiste de L'Œil d'Odinn et le scénariste de Ninja-K et des jeux Marvel Spider-Man dans un récit d'action et d'horreur !
Auteurs argentins Les petits éditeurs indépendants
Tout a commencé il y a deux ans. Les monstres, auparavant discrets et méconnus, se sont mis à attaquer les humains de plus en plus souvent. L'humanité devait trouver une réponse : Joan Stockard et sa Monster Kill Squad. Cette équipe d'experts associe une sorcière païenne à sa rivale, l'exorciste aux pouvoirs sacrés, accompagnées par un colosse à la force surnaturelle et un cyborg aux armes terrifiantes. C'est un lundi normal pour la MKS, qui intervient sur une banale attaque de clowns tueurs. Mais cette fois-ci, les évènements vont prendre un tournant (encore plus) étrange…
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Date de parution | 07 Mars 2025 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis


C'est pas fou-fou. Dans un futur indéterminé, la brigade MKS (Monster Kill Squad), avec à sa tête l'impassible Joan Stockar, est sur le pied de guerre. En effet, depuis deux ans des monstres apparaissent et veulent récupérer les différents morceaux de la boîte de Pandore et ainsi la reconstituer pour supprimer l'humanité. Des monstres de tous genres, du clown psychopathe aux pouvoirs mentaux au wendigo, en passant par le sasquatch. Rien de bien innovant. Une réalisation qui mise tout sur les scènes de combat avec un peu de trash. Christos Cage essaye tout de même de faire passer quelques messages sur le féminisme, le patriarcat, la religion et la lesbienneté. Mais ces messages sont juste effleurés et n'ont aucune portée. Et on en sait peu sur ce monde post-apocalyptique. La narration rythmée permet de ne pas s'ennuyer. Ce comics vaut surtout pour la partie graphique, Giorello et Rodriguez réalisent du très bon boulot. Un visuel qui dégage une ambiance trouble superbement mis en avant par un découpage dynamique. En bonus, les origines, en 8 planches, de Joan Stockard. Pas terrible d'un point scénaristique et visuellement (Ryp au dessin et Arreola aux couleurs) c'est moyen. Dispensable. Note réelle : 2,5. Merci à Tomás Giorello.
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