Complainte des landes perdues - Les Chevaliers du Pardon

Note: 3.26/5
(3.26/5 pour 23 avis)

La Complainte des landes perdues se poursuit. Au Moyen Age, un groupe de navigateurs débarque dans les landes perdues d'une île située dans les mers du Nord. Ces "Chevaliers du Pardon" entendent libérer les lieux de l'emprise d'une sorcière, la dernière des cruelles Moriganes qui aurait survécu. Voir aussi : La Complainte des landes perdues La Complainte des landes perdues - Les sorcières Complainte des landes perdues - Les Sudenne


Jean Dufaux

La complainte des Landes Perdues se poursuit. Au Moyen Age, un groupe de navigateurs débarque dans les landes perdues d'une île située dans les mers du Nord. Ces "Chevaliers du Pardon" entendent libérer les lieux de l'emprise d'une sorcière, la dernière des cruelles Moriganes qui aurait survécu. Doté de pouvoirs surnaturels, le plus jeune d'entre eux est le seul à pouvoir débusquer cette créature maléfique qui laisse derrière elle des cadavres atrocement mutilés. Après cinq années d'absence, complainte revient enfin pour un nouveau cycle avec Dufaux au scénario et Delaby dans une somptueuse mise en images en couleur directe.

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Novembre 2004
Statut histoire Série terminée 4 tomes parus

Couverture de la série Complainte des landes perdues - Les Chevaliers du Pardon © Dargaud 2004
Les notes
Note: 3.26/5
(3.26/5 pour 23 avis)
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08/06/2011 | Gros Robert
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L'avatar du posteur Tomdelapampa

2ème cycle des complaintes, Dufaux est toujours à la plume et la partie graphique a été confiée à Delaby (puis Jeremy), sur ce dernier point on en prend plein les mirettes. Malheureusement le plaisir des yeux ne rattrape pas les tics du scénariste (un melting-pot de trucs vus ici ou là, c’est lent, froid …). Hormis pour Murena, il n’arrive pas vraiment à me subjuguer, c’est plaisant mais il y a toujours un truc qui coince. C’est encore le cas ici, je me faisais une joie de découvrir la jeunesse de Seamus et en découvrir plus sur les chevaliers du pardon, mais c’est mal géré à mes yeux, du bon et du moins bon niveau histoire, un ressenti toujours bancal. Je lis mais j’achète pas.

20/09/2022 (modifier)

J'ai beaucoup de mal à comprendre les bonnes critiques que cette série a reçues. Soyons clair : graphiquement, c'est effectivement très beau, le regretté Delaby montrant encore ici toute l'étendue de sa technicité . C'est d'autant plus mortifiant de constater que cette maestria graphique se soit mise au service de scénarios d'une rare indigence servis, pour ne rien arranger, par une narration aussi pompeuse que ridicule. Je n'avais déjà pas apprécié le cycle précédent dont le scénario était archi convenu mais Dufaux a réussi l'exploit de faire pire avec celui-ci. Le premier tome ? Un groupe de chevaliers traque une créature appelée Morrigane. Ils font étape dans un château, identifient la créature (après quelques tâtonnements), la tue et... c'est tout. Le second tome nous présente une espèce de Dark Vador moyen-âgeux monolithique et, pour tout dire, je peine à me souvenir de l'histoire, si ce n'est le vague sentiment encore une fois de vide et de banalité. Et d'ennui ! Quant aux "fameux" chevaliers du Pardon, ils se distinguent surtout par leur austérité (à faire passer un moine dominicain pour un joyeux drille !), leur manque total de charisme et l'absence d'informations les concernant qui pourraient nous permettre d'éprouver un tant soit peu d'empathie. Autant dire que, n'étant pas masochiste et considérant le prix des albums de nos jours, je n'ai pas été plus loin. Bref, l'exemple même de la bande dessinée franco-belge visuellement très belle mais qui ne raconte rien ou si peu que c'est du pareil au même.

22/09/2016 (modifier)
Par Jérem
Note: 4/5

J’ai trouvé ce 2ème cycle de La Complainte des landes perdues beaucoup plus abouti et intéressant que le 1er. Visuellement d’abord, c’est tout bonnement somptueux. Sans vouloir offenser Rosinski (que j’adore), le travail de Delaby est bien plus impressionnant. Il a réussi à conserver le charme celtique et l’atmosphère brumeuse du 1er cycle tout en imposant sa patte graphique exceptionnelle. Je ne me lasse pas de m’attarder sur ses planches. Bref, c’est un régal pour les amateurs de fantasy ! Scénaristiquement ensuite. J’avais trouvé l’intrigue du premier cycle vraiment trop banale, voire convenue. Cette fois, Dufaux propose une histoire nettement plus ambitieuse et bien mieux construite. Les personnages sont travaillés et charismatiques (en plus d’être graphiquement très réussis) et Dufaux a bien su intégré les éléments importants du 1er cycle dans son scénario. La partie des Chevaliers du Pardon a su parfaitement relancer l’intérêt pour la série. Superbe et passionnant ce cycle est une grande réussite. J’ai hâte de découvrir la suite avec Béatrice Tillier aux crayons.

20/09/2016 (modifier)
Par jul
Note: 4/5

Ce 2ème cycle de "La Complainte des landes perdues" n'a finalement rien à voir avec le 1er cycle de Rosinski, si ce n'est ce lieu des landes perdues. Encore que... ce lieu ressemblant plus à des landes irlandaises ou écossaises mais tellement imaginaires, qu'on est plus proche d'un univers 100 % fantasy. Le Guinea Lord (le méchant de la série) est d’ailleurs un mélange entre le chevalier tonnerre des Légendes des Contrées Oubliées et Dark Vador... Mais tout cela n'enlève en rien les qualités de ce second cycle. Des qualités graphiques surtout. Enfin principalement dans les 2 premiers tomes d'une beauté à couper le souffle. Si vous êtes sensibles à cette ambiance de chevaliers galopant à cheval à travers des landes (perdues don ), sous de magnifiques ciels gris... et combattant de redoutables démones reptiliennes diaboliques, il n'y a pas mieux sur le marché. Chaque case est une merveille de dessin ultra minutieux et de somptueuses couleurs (directes). Et non à l'ordinateur comme les les 2 tomes suivants. Bon après, étant donné le travail de titan que cela représente, je ne vais pas jeter la pierre à Delaby. De plus cet auteur est décédé récemment, paix à son âme. Par contre le scénario est pas mal, mais pas parfait. J'ai pu lire dans certains avis que Dufaux a l'air de ne pas savoir où il va. C'est vrai que c'est un peu l'impression que cela donne même si ce n'est pas mauvais pour autant. Les "méchants" sont magnifiques, les "gentils" un peu fades... Certains de ces "méchants" sont presque abandonnés en cours de route ou pas assez exploités (la mère des douleurs par exemple). Comme si leur présence était surtout là pour en mettre plein la vue lors de leur découverte (la mère des douleurs) puis laissés de côté, sans que leurs présence ne soit finalement totalement utile. Pour faire uniquement de belles planches, de belles séquences, comme dans un film. C'est souvent le cas tout au long de ces 4 tomes. Pareil pour certaines séquences (la chapelle renversée par exemple). Mais bon c'est un défaut récurrent dans énormément de séries de fantasy. Donc même avec ce défaut présent tout au long de la série, je ne peux m’empêcher de mettre un 4, en raison des dessins sublimes des 2 premiers albums. Réellement envoûtant et chiadés, aux petits ognons. Dans le genre, difficile de faire mieux. Et puis les couvertures... Je crois que les 3 cycles de "La Complainte des landes perdues" est une des rares séries à aligner autant de couvertures sublimes... Il me tarde d'acheter la dernière dessinée par Tillier (à la couverture tout aussi sublime). De plus j'adore vraiment ce que fait cette auteure ("Fées et tendres automates" et Le Bois des Vierges, séries à compléter également ... )

27/12/2015 (modifier)
L'avatar du posteur Mac Arthur

Ce nouveau cycle de La Complainte des landes perdues, avec l’arrivée au dessin de Delaby en remplacement de Rosinski, reste agréable à lire. Esthétiquement, je le préfère même au premier cycle. Le trait est peut-être un peu moins nerveux mais il gagne en précision et en lisibilité. De toute façon, que ce soit l’un ou l’autre, c’est du très haut niveau ! Pas mal du tout, en somme. Et une série que j’ai eu bien du plaisir à relire. J’en conseille donc l’achat même si la seconde moitié de la série tarde à montrer le bout du nez. Heureusement, ces histoires peuvent se lire indépendamment (mais par couple) et le deuxième tome offre une fin acceptable (même si j’aimerais connaître la suite de ces aventures).


Après lecture des quatre tomes, ma cote ne change pas. Finalement les deux tomes centraux sont ceux que j'ai préférés tandis que le quatrième m'est apparu un peu faiblard. Une fois de plus, Dufaux me semble avoir eu du mal à conclure son récit. Mais dans l'ensemble, c'est quand même plaisant, ça charcute gaiement, il y a quelques créatures qui en jettent du point de vue esthétique, le scénario tient la route et est cohérent avec le premier cycle. Pas mal, donc.

08/06/2011 (MAJ le 15/01/2015) (modifier)
Par sloane
Note: 3/5
L'avatar du posteur sloane

Suite ou plus exactement, histoire se déroulant avant les Landes Perdues. On y assiste à l'apprentissage de Seamus pour y devenir Chevalier du Pardon sous la houlette de son maitre Sill Valt. Comme dit par ailleurs cela ressemble furieusement à une autre histoire de chevaliers ; quand en plus le méchant Guinéa Lord fait lui aussi penser à un grand méchant tout en noir, il devient difficile de faire abstraction de ces références. Pour nous y aider, une grosse dose de fantastique ancrée dans l'imaginaire des contes et légendes mais j'ai tout de même trouvé l'ensemble assez convenu. Les personnages ne m'ont pas fait vibrer, empêtrés dans de vieilles recettes déjà vues ailleurs. Mais il y a le dessin de Delaby ! Somptueux ! Qu'ajouter ? Rien, les images se suffisent à elles mêmes. Alors je crois que sans ce dessin ma note aurait été plus basse, (c'est pour lui que je conseille toutefois l'achat) car vraiment je n'ai pas trouvé une originalité folle à ce cycle. Pour le prochain nous verrons ce qu'il en sera fait, mais je reste prudent.

29/12/2014 (modifier)
Par Daggermam
Note: 4/5

Voilà c'est fini... Le dernier tome de feu Philippe Delaby. Certainement pour moi l'un des meilleurs dessinateurs du 7ème art sinon le meilleur. Quelle tristesse lorsque j`appris le décès de Philippe. Il est l'un des rares dessinateurs dont j'ai suivi l'évolution entre le 1er tome de Murena jusqu'au dernier tome des Landes Perdues. Ces dernières années il avait atteint un niveau de dessin qui frise la perfection, tant au niveau des personnages que pour les bâtiments et autres décors. Il était et restera pour moi le dessinateur le plus généreux que j'ai pu ''lire''. Pas une case sur fond uni, du détail à foison, à chaque lecture de ses albums je découvre un nouvel aspect qui me donne l' impression de lire l'album pour la première fois. Une pensée aussi à ses proches, à Jean Dufaux et à Jeremy. Des moments toujours difficiles à passer. Enfin ce tome termine dans la douleur un cycle somme toute assez sombre. En fait (ne pas lire la suite pour ceux qui n'ont pas lu les 4 tomes) ici la légendes des Moriganes est le prétexte pour nous narrer l'histoire du Guinea Lord. La fin prenant tout le monde à contre pied avec un petit côté ''retour du Jedi'' au moment où le Guinea Lord retire son casque. Ce 4eme opus termine aussi le récit de Seamus devenu chevalier et prêt à affronter le cycle suivant (Rosinski/Dufaux). Je n'en dis pas plus.

18/12/2014 (modifier)
Par Erik
Note: 5/5
L'avatar du posteur Erik

Ce second cycle se situe avant l’histoire originale de La Complainte des landes perdues avec une amélioration au niveau du dessin dont la reprise est assurée par l’excellent Philippe Delaby, un dessinateur hors pair, qui montre encore une fois sa maîtrise consommée du graphisme. Ce qui pose véritablement problème est que ce nouveau cycle dénote totalement du premier. Le ton plus sombre n'est plus du tout le même. La manière d'aborder l'histoire diffère totalement. Bref, nous avons véritablement un excellent second cycle mais qui ne repose en rien sur le premier qui avait tant fonctionné. Cependant, celui-ci aurait pu faire l'objet d'une nouvelle série totalement indépendante. Je pense que le plaisir aurait été d'ailleurs plus grand pour le lecteur amateur d'héroïc fantasy. La mode de multiplier des cycles à tout va dans la bande dessinée n'est pas forcément à suivre. Par ailleurs, le fait de passer du tome 5 à un tome 2 d'un nouveau cycle dénote bien que les auteurs ne savent pas sur quel pied danser entre la continuité ou le renouvellement. C'est bien entendu réellement agaçant pour le collectionneur de bd qui devra tout bonnement accepter d'avoir 3 tranches différentes pour cette collection. Le dernier tome de ce cycle (qui est en fait le tome 8 ) marque la fin de la collaboration entre le scénariste Jean Dufaux et son dessinateur Philippe Delaby qui est allé jusqu'à la planche 33. Annoncé comme cela dans la préface, je me suis posé des questions. Y a t'il eu une enième bataille d'auteurs avec abandon du dessinateur à la clé ? Non, en fait, j'apprends que l'un de mes dessinateurs préférés est décédé brutalement. Cela fait toujours un choc ce genre de nouvelle. Qui va dessiner le prochain Murena ? Bref, les choses ne seront plus jamais pareilles. Un mot pour dire que le remplaçant Jérémy a fait du bon travail pour conserver une certaine unité. C'est un album qui a accouché dans la douleur, c'est certain. Un prochain cycle est d'ores et déjà sur les rails. La vie continue. Note Dessin: 5/5 - Note Scénario: 4/5 - Note Globale: 4,5/5

08/06/2011 (MAJ le 16/12/2014) (modifier)
L'avatar du posteur Le Grand A

J’ai un peu le même ressenti que sur la série mère, à savoir d’avoir eu à faire à une histoire peu inspirée et pas originale pour un sou. Il manque un quelque chose qui rend le récit accrocheur, un fil conducteur permettant de relier les albums et d’apporter la sensation au lecteur qu’il est en train de vivre une grande histoire. Or ce n’est pas le cas, j’ai l’impression qu’on pourrait lire chaque tome indépendamment les uns des autres, il manque le ciment qui aurait permis de consolider tout ça. L’histoire dans sa globalité me donne l’impression d’un truc patchwork, des morceaux pris par-ci par-là dans différentes histoires classiques puis rassemblés pour essayer de former une grande histoire. Quoique je note tout de même que la part action et fantastique est nettement plus présente ici que dans la première série. Un bon point pour ceux qui préfèrent les histoires privilégiant l’aventure épique aux séries d’ambiance. Pour le manque d’originalité qui m’a exaspéré à la longue, la relation de maître à apprenti entre Sill Valt et Seamus m’a furieusement rappelé celle entre Qui-Gon Jinn et Obi-Wan Kenobi dans Star Wars. En fait les Chevaliers du Pardon, dont peu d’informations avaient filtré de la série mère, ne sont ni plus ni moins que des ersatz de Jedi. Un ordre religieux de moines-guerriers ayants des pouvoirs hors de portés du commun des mortels, justiciers et serviteurs du bien, ils opèrent de manière indépendante et affrontent les forces du mal dans une lutte éternelle qui se veut très manichéenne. Le mimétisme n’est pas si flagrant que ça me direz-vous, et c’est plutôt cool non ? Peut être bien mais ça rejoint ce sentiment général que j’ai et qui m’empêche d’apprécier pleinement cette série, qu’on est toujours à la limite du flagrant délit de plagiat et pas du tout dans l’inspiration de telle ou telle histoire permettant la création d’une œuvre authentique. Et puis, quand on pousse la ressemblance jusqu’au physique des personnages, on se demande si les auteurs ne cherchent pas à se faire dénoncer. Je parle de cette ressemblance entre Seamus et Ewan MacGregor, qui est poussée jusqu’à cette coupe de cheveux en brosse avec une petite queue de rat, celle entre Sill Valt et Liam Neeson, bouc et cheveux long ; il y a de quoi semé le doute. Et puis ce méchant très réussi, lord Guinéa, toujours vêtu d’une épaisse armure noire terrifiante, il hante ce deuxième cycle de bout en bout par son côté invincible et surpuissant, il n’évoque rien lui non plus ? Darth ou « lord » Vador bien sûr ! Le dessin réaliste de Delaby est beau, surtout sur les deux derniers albums où il élève encore un peu plus le cran, bien que je ne sois pas spécialement amateur de ce style. On peut saisir le niveau de technicité lors de certaines scènes contemplatives franchement impressionnantes. Toutefois je le trouve faible lorsqu’il faut passer à des scènes qui demandent plus de dynamismes comme les phases de duels qui sont ratées à mon goût car elles sont davantage racontées en voix off, que montrées. Voix off souvent pompeuse. Les amateurs de fantasy celtique classique pourront y trouver leur compte mais ceux appréciant les histoires plus riches en aventure et exploits épiques resteront de marbre devant cette série stéréotypée et sans génie. J'avais excusé Complainte des landes perdues en raison du contexte de l'époque. Là on est dans les années 2000, faut pas déc'.

26/11/2014 (modifier)
Par olma
Note: 3/5
L'avatar du posteur olma

Bonne surprise à démarrer ce nouveau cycle de La Complainte des landes perdues ! 1) Le graphisme me plait beaucoup plus (ça c'est toujours perso, mais je trouve que les couleurs et les traits ont plus de punch que la première série qui me laisse une impression de fadeur) 2) Les personnages sont beaucoup plus riches et ambigus, et notamment les forces du Mal sont bien plus réussies : le Mal sait jouer de l'horreur comme de la beauté, de la façon la plus extrême. Cette fois, pas de ridicule qui tienne. Dans les rangs des forces du Mal, le Guinea Lord est une belle création, je suis curieux de voir ce que la suite va donner avec lui. Et comme dit l'autre, une bonne histoire, c'est d'abord un bon méchant... Bon, il y a toujours les questions oiseuses sur les places relatives du mal et de l'amour, mais ça ne devient pas envahissant. ***** mise à jour suite à la lecture du 3eme tome "La Fée Sanctus" Un 3eme tome là aussi plaisant à lire. Des lieux et des ambiances bien réussies. L'histoire recèle sa part de mystère, avec une partie du mystère qui se lève sur le Guinea Lord, mais pour amener d'autres questions... Reste à espérer que le 4eme tome saura conclure de belle façon. Sans être le chef d'oeuvre absolu du genre, cette série sait faire entrer le lecteur dans son univers.

08/06/2011 (MAJ le 18/01/2014) (modifier)