Le Galérien

Note: 2.5/5
(2.5/5 pour 2 avis)

Le galérien recontre une sirène. Leur amour surmontera t'il tous les obstacles ?


Ciboulette La Lune Sirènes

Le galérien est un petit bonhomme perdu dans des pages de douze cases carrées où tout est possible. Dans un esprit très différent de celui des aventures de Victor Levallois, Stanislas a longtemps animé le personnage du Galérien dans diverses revues. Poétique et faussement rétro, cet album est le premier en solo de Stanislas depuis La Grande Course (Futuropolis, 1986). Et probablement son livre le plus personnel. (Site éditeur)

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution Octobre 1994
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Le Galérien © L'Association 1994
Les notes
Note: 2.5/5
(2.5/5 pour 2 avis)
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08/08/2009 | Erik
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L'avatar du posteur Noirdésir

Étrange ensemble réuni ici par Stanislas. Qui va dérouter beaucoup de lecteurs. Dans une suite d’une quarantaine de chapitres (chacun occupant une page de 12 cases), nous suivons les aventures d’un personnage ballotté par les événements. Évènements qui sont souvent nimbés de loufoque, d’une certaine poésie lunaire, des aventures aussi un peu naïves où le lecteur doit accepter raccourcis, rebondissements improbables et changement de plan sans sourciller. Stanislas lui fait même des clins d’œil, en évoquant telle page précédente, ou bien telle autre de ses productions (« Victor Levallois » par exemple). Disons que ça se laisse lire, qu’il y a des passages, très feuilleton à l’ancienne, qui tiennent par leur poésie naïve. Mais j’ai trouvé que ça peinait à se renouveler vers la fin, qu’il était temps de conclure. Une lecture sympathique, sans doute à réserver aux amateurs de l’auteur. Note réelle 2,5/5.

21/10/2021 (modifier)
Par Erik
Note: 2/5
L'avatar du posteur Erik

Le galérien est un petit bonhomme perdu dans des pages de douze cases carrées où tout est possible. Le format est petit. Je vous laisser imaginer la taille de ces cases. La loupe est de rigueur. Pour le reste, on a droit à un récit purement absurde au-delà du possible comme je les aime. Il y a cependant une histoire d'amour où le galérien essayera de retrouver la sirène qu'il a rencontrée et qui s'est évaporée à cause du coup des klaxons... en pleine mer (je précise). C'est la Lune qui lui a indiqué que c'était les klaxons qui ont enlevé sa sirène. Et en route pour la Lune pour une promenade lunaire ! Je dois bien avouer qu'il y a une certaine audace dans la construction de cette histoire. Les enchaînements paraissent maîtrisés. Et on se fait facilement au dessin dont le crayonné sur les ombres est plein de nuances. Je crois que cela pourra plaire à un certain lectorat. Je reconnais que ce type de production n'est pas fait pour moi.

08/08/2009 (modifier)