Love & collage (Ai Kora)

Note: 3/5
(3/5 pour 2 avis)

Love hina clone pour les pré-adolescent.


Pantsu ou Shonen Harem Shogakukan Shonen

Maeda Hachibei vient tout juste d'emménager à Tokyo, c'est un jeune garçon un peu particulier puisqu'il n'est pas spécialement attiré par la gente féminine mais plutôt par certaines parties de leur corps dont il a un idéal. L'incendie de son dortoir va l'obliger à cohabiter avec cinq jeunes filles qui ont chacune une partie de leur corps correspondant aux exigences physiques de Maeda...

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 02 Janvier 2008
Statut histoire Série terminée 12 tomes parus

Couverture de la série Love & collage © Kurokawa 2008
Les notes
Note: 3/5
(3/5 pour 2 avis)
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21/01/2008 | fonch001
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Par PatrikGC
Note: 3/5
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Love Hina, oui. Mais Roméo et Juliette se retrouvent aussi dans West Side Story. Autant en emporte le vent s'est offert un simili remake avec La bicyclette bleue. Bref, c'est pareil, mais pas si pareil que ça. Oui, il y aura des petites culottes ici et là, des seins aussi, des clichés à la tonne, mais le but est de rigoler, et de ce côté-là, l'auteur y réussit bien sur ce 1er volume. Je ne sais pas ce que ça donnera par la suite mais ça commence bien. C'est le principal. Après quelques volumes, l'auteur maintient la barre : ce n'est pas encore trop répétitif et on rigole toujours autant, certaines situations étaient totalement à la masse ! La série se termine, au bout de 12 volumes, sur une vraie fin, ce qui est un plus, car on ne compte plus les mangas qui s'achèvent sur une fin ouverte ou en queue de poisson. Sans parler de ceux qui ont été abandonnés en cours de route.

01/02/2008 (MAJ le 26/08/2020) (modifier)
Par fonch001
Note: 3/5

La première chose qui frappe quand on parcours le premier tome c'est l'influence de Ken Akamatsu (Negima !, Ai non stop, Love Hina,...), dans le dessin. Par exemple, sakurako, l'héroïne, semble toute droite sortie de Negima !, les héroïnes de ces 2 œuvres poussent le vice jusqu'à avoir la même particularité physique (les yeux)... D'ailleurs l'influence d'Akamatsu ne se ressent pas que dans le dessin, le comportement violent de l'héroïne avec le héros et même l'histoire (un gringalet dans une pension de jeune fille) rappellent furieusement... Love Hina bien sûr ! Pourtant l'œuvre ici présentée a son scénario propre et arrive, contre toute attente, à se créer une identité propre. Sans doute grâce à un humour, puéril (sans connotation péjorative) mais omniprésent et très efficace. La trame, comme les comportements des personnages, me semble un peu trop infantile et prédestine ce manga plus à des pré-adolescents qu'a des ado ou des adultes. D'ailleurs, malgré la présence des stéréotypes habituels (la belle héroïne, la timide aux gros seins, la "grande sœur" et la guerrière qui joue également le rôle de la gamine -moé- ), le fan service est extrêmement limité. Une œuvre pas inintéressante donc pour un public jeune.

21/01/2008 (MAJ le 19/01/2009) (modifier)