Le Directeur
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Être directeur et obsédé sexuel a du bon.
Hard & Soft, d'un érotisme à l'autre Les petits éditeurs indépendants
Le Directeur de ce grand magasin est un obsédé sexuel qui assimile entretien d'embauche et droit de cuissage. Il n'est pas une vendeuse ou une secrétaire qui ne doivent "passer sous le bureau" pour le satisfaire. Mais ayant installé une caméra vidéo dans les toilettes du personnel, il constate que les employés font de même pendant leurs pauses, et que dans les entrepôts ce sont les magasiniers qui se paient du bon temps.
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Genre
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Date de parution | Février 2000 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis


Pas grand-chose à sauver de cet album, et au contraire pas mal de choses déplaisantes. A commencer par le dessin, que je n’ai pas trouvé bon. Si le rendu avec les dégradés de gris passe bien, le dessin lui-même est souvent maladroit et inégal. En tout cas pas à mon goût. Mais ce sont « l’intrigue » et les dialogues qui ne passent pas. J’ai mis des guillemets à « intrigue », car, s’il y en a bien une, elle est plus que légère. Pour faire simple, nous suivons les exploits du directeur d’un grand magasin de vêtements, qui soumet la quasi-totalité de son personnel féminin (et parfois masculin) à sa volonté et ses violences sexuelles, puisqu’il jouit de la soumission de ces dames. Il semble ne jouir que de son pouvoir sur elle d’ailleurs. Le plus risible – et donc le moins crédible et acceptable – c’est qu’à chaque fois la femme semble ne pas s’en laisser compter, pour presque aussitôt accepter n’importe quoi, avec à chaque fois, sur la forme et sur le fond, quelque chose d’avilissant (y compris sur la fin lorsqu’une des victimes de notre directeur parait vouloir se venger et le tenir par les c…, tout en rentrant rapidement dans les rangs et dans son jeu). Rien de décalé, rien même de fétichiste dans ces rapports de soumission, plutôt l’expression d’un masculinisme froid, sûr de lui, anachronique. Rien de volontairement exagéré ou comique, tout semble « naturel », sans pour autant masquer un côté artificiel et grotesque. Bref, pas emballé par le dessin ou l’histoire, voilà un album que je ne saurais vous recommander.


N’importe quoi. Le pire harcèlement sexuel qu’on puisse imaginer présenté comme allant de soi. Et comme bien sûr toutes les femmes sont des salopes, celles qui n’ont pas envie au début en viennent à apprécier les inimaginables faveurs qu’on leur fait. Le personnage du directeur est particulièrement antipathique. Le salaud parfait en quelque sorte, celui auquel on a envie de couper les couilles. Poubelle direct, ce truc pue.

Cette BD n'est clairement pas d'une folle originalité mais si cela devenait un critère majeur de l'intérêt d'une BD érotique, ça se saurait. Le canevas de départ est donc assez bateau mais l'ensemble est plutôt croustillant, Coq faisant de plus preuve d'un talent graphique certain.

Autant j'avais bien aimé L'étrange Docteur Mazsovich autant là, je me suis vraiment fait chier. La trame de fond est assez ridicule puisqu'elle est sans la moindre folie, sans la moindre fantaisie (enfin... on se comprends) Du coup, l'intérêt de la BD se révèle être des plus limités puisque tout est d'un banal... Il reste les lavis de Coq qui me plaisent toujours autant, mais sinon...
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