J. comme John (Une aventure de)

Note: 1/5
(1/5 pour 1 avis)

Les aventures fantastiques d'un saxophoniste humaniste.


La BD au féminin Musique Séries avec un unique avis

Qui était-il ? John, simplement. Il jouait du saxo pour Loula. Elle l'aimait, elle l'écoutait. Mais elle ne fut pas la seule cette nuit là... Quelques notes envolées et les portes s'ouvrent sur un univers de souterrains où se terrent de curieux personnages...

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 05 Mai 1999
Statut histoire Une histoire par tome 2 tomes parus

Couverture de la série J. comme John (Une aventure de) © Dargaud 1999
Les notes
Note: 1/5
(1/5 pour 1 avis)
Cliquez pour afficher les avis.

19/12/2020 | Mac Arthur
Modifier


L'avatar du posteur Mac Arthur

J’ai rarement lu une bande dessinée dans laquelle les dialogues sonnaient aussi faux à mes oreilles. Voici un exemple pris au hasard : - A chaque fois, je ressens ici la même impression, mille yeux nous observent et nous sommes aveugles. Deux poissons dans un bocal. - Ca ira ici Tonio. Je me sens pleinement rassurée à présent. Si ce genre de narration et de dialogues vous plaisent, vous pouvez tenter l’aventure. Sinon, sachez que tout est écrit de la sorte, voire parfois même en rimes de mirlitons, ce qui ne fait qu’accroître le caractère lourdingue du récit. Au niveau du dessin, je n’ai pas trop compris le concept. Les personnages féminins et plusieurs personnages masculins sont dessinés dans un style semi-réaliste très classique mais d’autres personnages, à commencer par le héros de ces aventures, ont des traits monstrueux qui ne correspondent ni au genre humain ni à un animal. Ils sont juste moches et difformes et je ne comprends pas pourquoi. C’est… perturbant. Au niveau des scénarios (et je n’ai lu que le premier tome), nous sommes dans un récit d’aventure avec des éléments fantastiques qui s’insèrent dans un univers réaliste. Dans le premier tome, c’est surtout la découverte d’un quartier uniquement accessible par des souterrains qui est au centre du récit, quartier menacé par un homme d’affaire, un flic à sa solde et quelques affreux à la solde du flic susmentionné. Déjà que ce type de montage en cascade n’a que peu d’intérêt mais comme l’intrigue est cousue de fil blanc, c’est tout l’album qui m’a paru lourd et peu entrainant. Honnêtement, je me suis ennuyé. Je passe mon tour pour le tome 2. 'Vraiment pas aimé' est un peu sévère, mais clairement, je n'ai pas aimé.

19/12/2020 (modifier)