Takeru

Note: 3/5
(3/5 pour 2 avis)

De la fantasy futuriste par le père de Cobra: The Space Pirate.


Manga : avant 1995, la préhistoire Seinen Shueisha

Takeru Ichimonji. Un nom qui fait frémir tous les criminels. Un chasseur de primes redoutable. Et pour cause, il est détenteur du kotadama, il est un maître des mots et de leurs pouvoirs, capable de les incarner par la seule force de sa volonté. Arrivé dans le pays de Yamato, il va être confronté à sa plus grande aventure, plongé dans un complot qui cherche à abattre la princesse du pays, et devra se confronter à des ennemis tels qu’il n’en a jamais rencontré… Texte: L'éditeur

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Janvier 1995
Statut histoire Série terminée 2 tomes parus

Couverture de la série Takeru © Isan Manga 1995
Les notes
Note: 3/5
(3/5 pour 2 avis)
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07/04/2020 | Gaston
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Par PatrikGC
Note: 3/5
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Clairement un sous-Cobra. Buichui Terasawa sait toujours bien dessiner la plastique féminine, ainsi que les divers détails de l'univers baroque très proche de Cobra, un peu plus à la sauce japonaise, donc aucun dépaysement de ce côté-là. Donc on se dit : chic, un Cobra-bis ! Ben... oui et non... Commençons par ce qui fâche : le scénario ne casse pas des briques, il est prévisible, calibré pour ados. Le héro à l'étrange chevelure et au cœur d'artichaut a pour vocation de sauver des princesses en détresse entre 2 captures lucratives de renégats. Bien sûr, habillé de rouge (comme c'est original), le héro est beau, fort, sûr de lui, et la gente féminine fond devant lui et ses cicatrices. Pour info, le psychogun est remplacé par des incantations. Quant à l'humour, il est distillé à dose homéopathique, ce qui est dommage. Les dessins sont léchés, mais je regrette le noir et blanc de Cobra, beaucoup plus vivant. L'informatique permet de belles choses, mais on sent que parfois le dessinateur oscille entre dessin et couleur pure. Une curieuse impression de cul entre deux chaises comme on dit par chez nous. L'auteur aurait peut-être dû rester dans son univers habituel, plutôt que de nous pondre un ersatz... J'étais parti pour un 2.5, que j'ai arrondi à 3, surtout par nostalgie de Cobra. Attention, il existe 2 éditions françaises : - Dynamic Vision (1995) seulement 2 volumes sur les 4 - Isan Manga (2016) en intégrale de deux volumes

10/04/2020 (modifier)
Par Gaston
Note: 3/5
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2.5 Une oeuvre de l'auteur de Cobra:The Space Pirate et ça se voit facilement: le héros ressemble à Cobra, il y a de l'action virile et les femmes portent toutes des bikinis sexy et même la super femme badass a besoin d'être sauvée par le héros et tombe évidemment amoureux du héros. J'ai beaucoup moins aimé que Cobra. Premièrement, le héros n'a pas le charisme de Cobra et il faut dire qu'il manque d'humour. Le ton est un peu trop sérieux pour une histoire qui possède des éléments trop kitsch pour moi. Ça passe mieux dans une oeuvre qui mélange l'humour et le sérieux comme Cobra. Deuxièmement, j'aime moins le dessin ici. Non seulement l'auteur utilise de la couleur alors que son trait est beaucoup plus élégant en noir et blanc, mais en plus si je me fie à ce que j'ai lu sur wikipedia, il a utilisé l'ordinateur et cela explique pourquoi j'ai trouvé que le dessin était aussi froid et un peu figé par moment. Sinon, le récit est de la fantasy un peu basique qui manque de rebondissement prenant. Par exemple, il y a une révélation sur la princesse et dès que j'ai vu cette révélation j'ai compris ce qui allait arriver à ce personnage. Ça se laisse lire, mais je pense que c'est uniquement conseillé aux fans hardcore de l'auteur et/ou amateur de BD virile où le héros obtient la fille après avoir vaincu les méchants. Le truc le plus intéressant pour moi est comment l'auteur mélangeait le Japonais médiéval avec de la technologie futuriste.

07/04/2020 (modifier)