Tueur de monde

Note: 2.8/5
(2.8/5 pour 5 avis)

Fildegar, un humain perdu au milieu de l'espace visite une planète appellée Bar-Jona.


Ecole Duperré Giraud-Moebius Planet Fantasy

Fildegar, un humain perdu au milieu de l'espace visite une planète appellée Bar-Jona. Il y rencontre deux autoctones. Puis il se laisse guider par une force invisible qui l'amène à un gros champignon mystique (qui parle!). Un petit conte de science-fiction court et équivoque. Moebius y évoque-t-il les champignons hallucinogène?

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Avril 1979
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Tueur de monde © Casterman 1979
Les notes
Note: 2.8/5
(2.8/5 pour 5 avis)
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23/10/2002 | ArzaK
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Par Gaston
Note: 3/5
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2.5 Un album qui se lit vite : 2-3 minutes et c'est tout ! À la fin de ma lecture, je me demandais bien quel était l'intérêt de cet album si vite lu. L'histoire est pas mal, mais comme la lecture a été très rapide j'ai l'impression qu'il manque quelque chose. J'espère pour ceux qui ont acheté 'Tueur de monde' que le prix n'était pas cher ! Je vais tout de même être indulgent et donner 3 étoiles à cette histoire courte que j'ai bien aimée malgré le fait que sa place serait mieux dans un recueil d'histoires courtes que comme album uniquement. C'est dommage parce que le récit était accessible même si on peut interpréter le champignon géant de différentes façons.

22/03/2012 (modifier)
Par cac
Note: 3/5
L'avatar du posteur cac

Tueur de monde est une sorte d'album concept. On ne le lira pas pour la densité de son histoire qui se résume en 3 lignes. On ne le lira pas pour l'extraordinaire beauté de son dessin, Moebius a fait mieux. Malgré tout il s'en dégage quelque chose de relaxant, très zen. Je n'irai pas faire d'analyse sur le symbolisme de l'amanite géante et parlante que découvre le héros, pourquoi pas y voir une allusion de l'auteur aux champignons hallucinogènes. Mais tant qu'on y est, pourquoi pas également y voir une nouvelle interprétation du jardin d'Eden. On fera le parallèle avec la chute de l'homme qui a croqué le fruit défendu. Bref, c'est assez spécial et plutôt à réserver aux fans de Moebius qu'à ses nouveaux lecteurs.

14/03/2012 (modifier)
Par Ems
Note: 2/5

Moebius est un grand créateur d'univers. Son style est unique et facilement identifiable. J'aime ce qu'il fait mais je reste sur ma faim avec "Tueur de monde". A raison d'une case unique par page, la lecture est très rapide. Ce récit n'est pas vraiment développé et reste limité. Ce one shot est plus un objet pour collectionneur qu'une BD plaisante. L'histoire risque de ne plaire d'ailleurs qu'aux fans de Moebius en raison de son côté mystique. Le dessin est typique de cet auteur mais peu détaillé malgré la taille des cases. A découvrir pour la curiosité, à laisser pour la postérité.

03/08/2009 (modifier)
Par Ro
Note: 3/5
L'avatar du posteur Ro

Je ne pensais pas que cette histoire était aussi courte mais elle l'est vraiment : 47 pages d'une case par page, case souvent muette, souvent épurée, ça revient à une histoire vraiment vite lue. L'histoire en question se lit bien, n'est pas aussi hermétique que je le craignais, ne prenant pas la teinte "poétique mais sans réel suivi" d'autres histoires de Moebius qui semblent valoir plus par leur dessin que par leur récit. Ici, c'est une vraie histoire, elle est juste très courte. Le dessin est évidemment maîtrisé mais pas particulièrement époustouflant comparé à d'autres oeuvres de Moebius. Et quand, au bout de 2 minutes, on a lu cet album, on reste quand même largement sur sa fin. Ca m'a donné un peu l'impression d'être confronté à un petit scénario rapidement imaginé rapidement raconté, quoique contenant quelques originalités quand même. Pas mal quoique très court mais à réserver quand même aux fans de Moebius, suffisamment en tout cas pour que j'en déconseille l'achat au tout-venant.

16/09/2005 (modifier)
Par ArzaK
Note: 3/5

Un très court récit en 47 planches et 47 cases devenu introuvable. L'intrigue est assez énigmatique, Moebius y évoque à sa manière les champignons hallucinogènes dont il a sûrement abusé à l'époque. On peut se poser la question de l'intérêt de faire de cette histoire tout un album. Une case par page, c'est peu. Alors que mise en planches, cette histoire aurait fait 4-5 planches grand maximum. A réserver aux fans de Moebius.

23/10/2002 (modifier)