Clodomir Free

Note: 1/5
(1/5 pour 2 avis)

Dans un futur aseptisé, Clodomir Free cherche le grand amour tandis qu'un terrible complot contre sa modeste personne se monte par delà l'Atlantique.


Pilote

Dans un futur aseptisé, Clodomir Free cherche le grand amour tandis qu'un terrible complot contre sa modeste personne se monte par delà l'Atlantique.

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution Janvier 1975
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Clodomir Free © Dargaud 1975
Les notes
Note: 1/5
(1/5 pour 2 avis)
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14/08/2012 | Mac Arthur
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L'avatar du posteur Agecanonix

C'est le genre de Bd typique d'une époque à Pilote où cette bande est prépubliée en 1975, qui essayait de changer les codes de la bande dessinée, de tout bousculer, en gros de la BD expérimentale à tendance intellectuelle qui en 1975 alors que j'étais jeune ado, ne m'intéressait absolument pas. A lire aujourd'hui, après toutes ces années, je me rends compte que j'avais raison d'être rétif à ce type de bande, car c'est un récit complètement perché, très bordélique, et dont le propos m'échappe totalement. J'ai essayé de faire un effort pour comprendre quelque chose, mais je n'ai pas réussi ; on dirait que l'auteur a déversé toute une brouette de trucs incompréhensibles, un hétéroclisme absurde sur comment fonctionne l'univers, le tout dans un style cocasse, c'est une vague impression que j'ai ressentie dans tout ce fatras. Je ne sais pas mais je ne suis pas sûr que l'auteur lui-même savait ce qu'il faisait, il est probable que c'était fait sous l'emprise de substances hallucinogènes tellement c'est space, et surtout épuisant à lire avec cette mise en page foutraque, ces textes envahissants et ces dessins dans tous les sens. Le dessin est certes intéressant, même s'il n'est pas dans mes préférences, mais l'ensemble de cette Bd est une véritable overdose de tout, de trop de tout et de rien, que non seulement ça reste abscons et que je ne pipe rien, mais que ça finit aussi par fatiguer les neurones.

11/03/2023 (modifier)
L'avatar du posteur Mac Arthur

Finalement, je n’ai pas réussi à terminer cet album, tant sa narration, très typées « intellectuelle sous influence de psychotropes dans les années ‘70 » m’a emmerdé (pour le dire platement). Pourtant, j’ai bien aimé le dessin qui me rappelle celui d’Alexis. Il est faussement réaliste mais franchement caricatural. Certains personnages ont des têtes savoureuses. La mise en page est très éclatée et a souvent recours à des cases en forme de bulles (toujours ce côté années ’70). Ce n’est donc pas toujours évident de savoir dans quel ordre doivent se lire ces cases. Mais, bon, comme d’un autre côté, la narration, c’est du grand n’importe quoi, je ne peux pas dire que c’est cette mise en page qui m’a empêché de terminer l’album. L’histoire, elle, est très décousue, se veut drôle mais ne parvient qu’à être assommante à force de vouloir faire « allumée ». Une curiosité mais loin d’être une priorité. Comme je n’ai pas réussi à terminer l’album, je ne peux rien dire d’autre que « pas aimé »…

14/08/2012 (modifier)