Le Chevalier de Roncevaux

Note: 3/5
(3/5 pour 1 avis)

Un nobliau va devenir espion de Louis XIII...


1454 - 1643 : Du début de la Renaissance à Louis XIII Séries avec un unique avis

Nous voici plongés « au beau temps des mousquetaires ». Du côté de la frontière espagnole, on y fait la rencontre du Chevalier de Roncevaux, seigneur d’un petit domaine… Roncevaux ?… un excellent bretteur qui a aussi la particularité d’être le roi des Gitans. Bien que faisant montre d’une certaine neutralité, il sera bientôt contracté par le roi Louis XIII qui lui confiera certaines misions. Il est vrai qu’à cette époque les relations et ses « voisins » ne sont pas au beau fixe. De même, le danger peut survenir à chaque instant du pays et mettre à mal tant la sécurité de celui-ci que celle du roi. Malgré ces missions qui –il le sait- vont s’avérer dangereuses, Roncevaux est prêt à prendre tous les risques et, accompagné de son valet Fivolin, va chevaucher les routes de France pour remplir à bien les ordres du roi.

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution Mars 1996
Statut histoire Histoires courtes 1 tome paru

Couverture de la série Le Chevalier de Roncevaux © A.E.M.E.G.B.D. 1996
Les notes
Note: 3/5
(3/5 pour 1 avis)
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26/01/2009 | L'Ymagier
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Par L'Ymagier
Note: 3/5

Une bonne BD d’aventures… comme beaucoup d’autres de cette époque là. Notre brave chevalier débute sa carrière en 1960, en format poche, dans le magazine « Mousquetaires ». Et il y avait tellement de séries éditées sous ce format (le manga n’a rien inventé) que cette dernière passa un peu inaperçue. Seulement voilà : le dessin est de René Giffey, une vraie « pointure » française qui eut une énorme production des années 30 à 50. J’aime bien son style réaliste, maintenant « dépassé » c’est vrai, mais le travail du noir et blanc n’avait rien à envier à celui –plus tard- de Hugo Pratt. Par quelques traits, quelques ombres, Giffey parvient à faire « vivre » ses cases, emmène le lecteur dans celles-ci pour participer à l’action. Bon, c’est vrai, les détails historiques ne font pas l’objet de profondes recherches, mais le but de ces aventures était de donner un simple et bon moment de lecture. Et de ce côté là, c’est réussi. Un album plaisant, « dépaysant », au charme un peu suranné ; mais c’est ce qui en fait son atout.

26/01/2009 (modifier)