Le Marchand de temps

Note: 1.5/5
(1.5/5 pour 2 avis)

Traficant d'armes et marchand sans scrupules, Dino Spolete se débat dans un XIIIème siècle obscur, sourd aux enjeux économiques d'une société à l'aube de son rayonnement. Aventure, action, fortune et sentiments... Le Moyen-Age bigot a enfin son héros: on le dit marchand de temps!


987 - 1299 : Moyen-Âge et Capétiens Corbeyran

Traficant d'armes et marchand sans scrupules, Dino Spolete se débat dans un XIIIème siècle obscur, sourd aux enjeux économiques d'une société à l'aube de son rayonnement. Aventure, action, fortune et sentiments... Le Moyen-Age bigot a enfin son héros: on le dit marchand de temps !

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution Janvier 1992
Statut histoire Série abandonnée 2 tomes parus

Couverture de la série Le Marchand de temps © Soleil 1992
Les notes
Note: 1.5/5
(1.5/5 pour 2 avis)
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08/11/2007 | Erik
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Par Gaston
Note: 2/5
L'avatar du posteur Gaston

Une œuvre de jeunesse de Corbeyran et cela se voit. Le scénario n'est pas totalement inintéressant, mais il comporte plusieurs défauts (notamment lorsque ça parle trop) qui ont fait qu'au final je me suis rapidement désintéressé de ce marchand et de ses aventures alors qu'au début je trouvais ça pas mal. En plus, c'est une série abandonnée alors on ne saura jamais la fin de l'histoire et donc lire ces deux tomes est plutôt inutile. Le dessin est franchement inégal. Il y a des cases que j'ai trouvées très belles et parfois on dirait même de la peinture alors qu'il y a aussi des cases moches qui semblent avoir été faites à la va vite. J'imagine que c'était aussi les débuts du dessinateur.

24/04/2012 (modifier)
Par Erik
Note: 1/5
L'avatar du posteur Erik

L'Eglise condamnait au Moyen-âge les marchands qui vendaient les étoffes en faisant crédit. L'acheteur avait le bien plus rapidement mais cela coûtait plus cher. Cette pratique lucrative était contraire aux préceptes du Christ car le temps n'appartient qu'à Dieu. Triste époque ! Partant de ce postulat intéressant, ce récit va se perdre dans des méandres jusqu'à renier son genre en plongeant dans un pseudo-fantastique qui n'était pas de mise. Le second tome est d'ailleurs d'une fainéantise intellectuelle sans pareille ! Je comprends que cette série ait été abandonnée. Pourtant, elle porte la signature de Corbeyran. Juste un mot sur le dessin : les planches sont d'une qualité très inégale tout au long de ces deux tomes alternant le pire et le mauvais.

08/11/2007 (modifier)